Le tribunal correctionnel de Nice a prononcé une peine de huit mois de prison avec sursis et une amende de 45 000 euros à l’encontre de Youcef Atal, le footballeur international algérien, pour incitation à la haine raciale, rapporte Afrik.com. La star de l’OGC Nice […]
ACTUALITE INTERNATIONALLa commission relevant du Conseil constitutionnel poursuit son travail de vérification des parrainages pour les candidatures à l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. Ce processus, entamé depuis trois jours, vise à assurer la conformité et la complétude des dossiers de candidature. Parmi les candidats […]
ACTUALITE POLITIQUEGeorge Weah, le seul joueur africain Ballon d’Or dans l’histoire du football, a filer quelques tuyaux aux prétendants africains (dont Sadio Mané et Mohamed Salah) concernant l’ultime récompense individuelle du football. Actuel président de la République de Libéria et ancien buteur de l’AC Milan, George […]
ACTUALITE SPORTSInterpellation d’une mule à l’Aéroport international Blaise DIAGNE Ce 25 mars 2021, à 20 heures 10 minutes, les éléments de la Division opérationnelle de la Direction de l’Office Central de Répression du Trafic Illicite des Stupéfiants (DOCRTIS), en collaboration avec ceux de la Cellule Aéroportuaire […]
ACTUALITE INTERNATIONAL SOCIETEInterpellation d’une mule à l’Aéroport international Blaise DIAGNE
Ce 25 mars 2021, à 20 heures 10 minutes, les éléments de la Division opérationnelle de la Direction de l’Office Central de Répression du Trafic Illicite des Stupéfiants (DOCRTIS), en collaboration avec ceux de la Cellule Aéroportuaire Anti Trafics (CAAT), ont procédé à l’interpellation d’une mule de sexe masculin à l’AIBD.
L’interpellation de cette dernière fait suite à l’exploitation d’un renseignement faisant état, du retour au Sénégal, le 09 février 2022, d’un expatrié qui serait lié à un vaste réseau de trafic international de cocaïne s’activant entre le Sénégal et l’Europe.
Sans désemparer, les éléments de la Division opérationnelle de la DOCRTIS ont menées d’amples investigations ayant permis de localiser son domicile sis à la cité SOPRIM et de l’identifier.
Poursuivant les investigations, il a été appris dans le milieu interlope que son commanditaire établi en Italie, le préparait à convoyer de la cocaïne en suisse. C’est ainsi qu’après recoupement, des dispositifs de surveillance et de filature ont été mis en place depuis son domicile jusqu’à l’Aéroport Blaise Diagne de Diass (AIBD).
En relais avec la Cellule Aéroportuaire Anti Trafics (CAAT), il a été interpellé au niveau de l’aérogare.
Fouillé à corps, il a été découvert par devers lui, un passeport et une carte d’identité espagnole, authentiques après expertise, à son effigie et établis au nom d’une autre personne.
Sur ces entrefaites, il a été soumis à un test urinaire qui s’est révélé positif. L’interrogatoire l’a finalement conduit à avouer qu’il devait convoyer de la cocaïne confectionnée sous forme de boulettes qu’il aurait ingurgitées.
De suite, il a expulsé trois (03) boulettes accusant à la pesée, cent (100) grammes.
Acheminé à l’hôpital Principal de Dakar, le 26 mars vers 00 heure 30 minutes, aux fins de subir un examen médical, le rapport provisoire du médecin laisse apparaitre que près de trente-deux (32) boulettes resteraient dans son estomac.
Ce qui ramènerait le nombre de boulettes ingurgitées par la mule à trente-cinq (35). Le processus d’extraction des boulettes de cocaïne suit son cours.
Il est placé en position de garde à vue pour association de malfaiteurs, exportation de produit classé stupéfiant, détention et trafic international de stupéfiants, entente avec un réseau de trafic international de stupéfiants.
Les investigations se poursuivent.
Fait à Dakar, le 26 Mars 2022
LE BUREAU DES RELATIONS PUBLIQUES DE LA POLICE NATIONALE
Les premiers éléments de l’enquête sur la mort de Seynabou Ka Diallo poussent à penser que l’étudiante de l’UGB a été lâchement assassinée.Libération, qui donne l’information dans son édition de ce samedi, rapporte que la victime porte des traces de «violences extrêmes», surtout au niveau […]
ACTUALITE SOCIETELes premiers éléments de l’enquête sur la mort de Seynabou Ka Diallo poussent à penser que l’étudiante de l’UGB a été lâchement assassinée.
Libération, qui donne l’information dans son édition de ce samedi, rapporte que la victime porte des traces de «violences extrêmes», surtout au niveau de la tête, du ventre et du cou.
Le journal annonce qu’une autopsie sera pratiquée ce samedi sur la dépouille de la jeune dame. Elle permettra de connaître la nature de ses blessures et éventuellement si elle a été violée avant d’être tuée.
Originaire de Bambey, Seynabou Ka Diallo était étudiante de la 31e promotion de l’UFR S2ATA de l’UGB. Elle était portée disparue depuis mercredi dernier. Sa disparition inquiétait ses camarades, qui avaient lancé un avis de recherche.
Ils seront informés par la brigade de recherches de Diama que le corps sans vie de l’étudiante a été retrouvé à Ndiawdoun, un village situé à cinq kilomètres de l’Université.
Dans un article publié la semaine dernière et intitulé “Les balades du ciel avec le pilote préféré”, j’affirmais avec force que “l’option de Macky SALL est claire, il n’est pas question de quitter le pouvoir : rester ou rester”. J’y lançais également un appel à […]
ACTUALITE INTERNATIONAL POLITIQUE SOCIETEDans un article publié la semaine dernière et intitulé “Les balades du ciel avec le pilote préféré”, j’affirmais avec force que “l’option de Macky SALL est claire, il n’est pas question de quitter le pouvoir : rester ou rester”.
J’y lançais également un appel à l’opposition pour « surveiller comme du lait sur le feu les élections législatives (maintien de la date et déroulement transparent du scrutin), pour conquérir la majorité à l’Assemblée nationale. Ainsi, formant un bloc homogène malgré nos différences, nous amorcerons ensemble le changement de cap devenu un impératif de développement pour le Sénégal et l’Afrique ».
La suite logique de ces messages est que Macky SALL n’organisera les élections législatives qu’à condition d’avoir la garantie de les « emporter » pour rester au pouvoir. Ensuite, sa crainte d’une cohabitation avec une opposition majoritaire est un cauchemar pour lui.
La première menace sur la tenue des élections, à bonne date et dans la transparence, résulte de la reconduction unilatérale du parrainage par le pouvoir malgré l’arrêt de la Cour de Justice de la CEDEAO du 28 avril 2021 qu’il me plaît de baptiser « arrêt Maitre TINE », en hommage à mon confrère du barreau de Paris, chef de parti au Sénégal et auteur de la requête. Cette décision enjoint le Sénégal à lever tous les obstacles à une libre participation aux élections en supprimant le système du parrainage électoral dans un délai de six mois, largement expiré aujourd’hui. La décision de la CEDEAO est contraignante, exécutoire et sans appel.
De quelle logique les tenants du pouvoir peuvent-ils se prévaloir pour, au nom de la CEDEAO, engager notre pays dans la mise en œuvre de sanctions immédiates et réfutables contre le Mali au point de faire perdre à notre économie des dizaines de milliards de francs et dans le même temps, refuser systématiquement d’appliquer l’injonction incontestable de la même CEDEAO de supprimer le parrainage. C’est du maa tey !
Pourtant, l’introduction du nouveau système de parrainage le 19 avril 2018 et sa mise en œuvre chaotique à l’élection présidentielle de 2019, ont entrainé une levée de boucliers contre ce système inique de parrainage, échantillon unique dans le monde.
Constant dans sa démarche, le régime de Macky SALL est resté sourd. Il a imposé le parrainage sous les grenades, l’a conduit en confisquant illégalement le fichier électoral non remis aux candidats de l’opposition et aux observateurs de la société civile, l’a contrôlé à l’aide d’une application informatique conçue et mise en œuvre sans aucune concertation avec l’opposition et sur la base d’un fichier miné.
Résultat des courses : seuls cinq candidats ont été autorisés à participer à l’élection présidentielle y compris le candidat sortant avec une élimination annoncée et triomphaliste de 27 candidats.
Pour réaliser ce forfait, des parrains ont été volontairement déplacés de leur lieu d’inscription dans le but de réduire le nombre d’électeurs obtenu par les candidats ciblés pour qu’ils n’atteignent pas le seuil requis par région, d’autres ont été simplement éliminés pour erreurs matérielles. Quant au Conseil constitutionnel, il a manqué à son devoir de vérification préalable des informations reçues du ministère de l’Intérieur et à l’obligation de les partager avec les candidats pour sauvegarder sa neutralité absolue.
Les récentes modifications du dispositif de contrôle comportent des pièges. Sous prétexte « d’aider » les candidats à éviter les doublons, un logiciel est proposé pour permettre de les détecter. Quelle manœuvre cousue de fil blanc ! « Ku sa wujj di sang doo set ! C’est connu. Rien n’empêche le pouvoir et son ministère de l’intérieur de procéder au pré-enregistrement, bien dissimulé dans le logiciel filé aux partis, d’une liste de parrains non réutilisables. Une forme d’asséchement ciblé du stock de parrains déjà à sa disposition !
ParCheikh Tidiane Kandé25/03/2022 à 7:30
Dans un article publié la semaine dernière et intitulé “Les balades du ciel avec le pilote préféré”, j’affirmais avec force que “l’option de Macky SALL est claire, il n’est pas question de quitter le pouvoir : rester ou rester”.
J’y lançais également un appel à l’opposition pour « surveiller comme du lait sur le feu les élections législatives (maintien de la date et déroulement transparent du scrutin), pour conquérir la majorité à l’Assemblée nationale. Ainsi, formant un bloc homogène malgré nos différences, nous amorcerons ensemble le changement de cap devenu un impératif de développement pour le Sénégal et l’Afrique ».
La suite logique de ces messages est que Macky SALL n’organisera les élections législatives qu’à condition d’avoir la garantie de les « emporter » pour rester au pouvoir. Ensuite, sa crainte d’une cohabitation avec une opposition majoritaire est un cauchemar pour lui.
La première menace sur la tenue des élections, à bonne date et dans la transparence, résulte de la reconduction unilatérale du parrainage par le pouvoir malgré l’arrêt de la Cour de Justice de la CEDEAO du 28 avril 2021 qu’il me plaît de baptiser « arrêt Maitre TINE », en hommage à mon confrère du barreau de Paris, chef de parti au Sénégal et auteur de la requête. Cette décision enjoint le Sénégal à lever tous les obstacles à une libre participation aux élections en supprimant le système du parrainage électoral dans un délai de six mois, largement expiré aujourd’hui. La décision de la CEDEAO est contraignante, exécutoire et sans appel.
De quelle logique les tenants du pouvoir peuvent-ils se prévaloir pour, au nom de la CEDEAO, engager notre pays dans la mise en œuvre de sanctions immédiates et réfutables contre le Mali au point de faire perdre à notre économie des dizaines de milliards de francs et dans le même temps, refuser systématiquement d’appliquer l’injonction incontestable de la même CEDEAO de supprimer le parrainage. C’est du maa tey !
Pourtant, l’introduction du nouveau système de parrainage le 19 avril 2018 et sa mise en œuvre chaotique à l’élection présidentielle de 2019, ont entrainé une levée de boucliers contre ce système inique de parrainage, échantillon unique dans le monde.
Constant dans sa démarche, le régime de Macky SALL est resté sourd. Il a imposé le parrainage sous les grenades, l’a conduit en confisquant illégalement le fichier électoral non remis aux candidats de l’opposition et aux observateurs de la société civile, l’a contrôlé à l’aide d’une application informatique conçue et mise en œuvre sans aucune concertation avec l’opposition et sur la base d’un fichier miné.
Résultat des courses : seuls cinq candidats ont été autorisés à participer à l’élection présidentielle y compris le candidat sortant avec une élimination annoncée et triomphaliste de 27 candidats.
Pour réaliser ce forfait, des parrains ont été volontairement déplacés de leur lieu d’inscription dans le but de réduire le nombre d’électeurs obtenu par les candidats ciblés pour qu’ils n’atteignent pas le seuil requis par région, d’autres ont été simplement éliminés pour erreurs matérielles. Quant au Conseil constitutionnel, il a manqué à son devoir de vérification préalable des informations reçues du ministère de l’Intérieur et à l’obligation de les partager avec les candidats pour sauvegarder sa neutralité absolue.
Les récentes modifications du dispositif de contrôle comportent des pièges. Sous prétexte « d’aider » les candidats à éviter les doublons, un logiciel est proposé pour permettre de les détecter. Quelle manœuvre cousue de fil blanc ! « Ku sa wujj di sang doo set ! C’est connu. Rien n’empêche le pouvoir et son ministère de l’intérieur de procéder au pré-enregistrement, bien dissimulé dans le logiciel filé aux partis, d’une liste de parrains non réutilisables. Une forme d’asséchement ciblé du stock de parrains déjà à sa disposition !
Il en est de même du logiciel de contrôle des parrainages. Cette application doit être conçu de concert avec l’opposition et combiné à une procédure consensuelle de contrôle des signatures.
L’opposition doit refuser l’utilisation de tout logiciel à la conception duquel ses spécialistes n’ont pas participé. Il n’est pas question d’envoyer des techniciens pour assister en spectateur au fonctionnement d’une application préconçue unilatéralement par un ministère de l’intérieur partisan.
La seconde menace sur les élections législatives tient à l’entêtement du pouvoir à priver des leaders politiques, Karim WADE et Khalifa SALL en l’occurrence, de leur droit de participer aux élections, à la suite de procès inéquitables et de modifications ciblées du Code électoral. La même volonté du pouvoir d’écarter Ousmane SONKO est évidente. La lutte pour sauvegarder leurs droits est légitime et doit être menée par tous les démocrates.
Enfin, les techniques traditionnelles de fraude mises en œuvre par le pouvoir sont encore en cours et doivent être paralysées. L’opposition doit se mobiliser, quelle que soit l’entité à laquelle ses membres appartiennent, pour surveiller le processus électoral de bout en bout. Il faut, en particulier, refuser la participation au vote des électeurs mercenaires recrutés des pays frontaliers du Sénégal, les achats de bulletins ou de procès-verbaux et les transferts massifs d’électeurs.
Pour l’exécution du Plan de Sauvetage du 3ème mandat de Macky SALL, c’est l’argent qui manque le moins. Rien n’est de trop : les cargos masqués d’euros, les jets privés bourrés de pétro dollars, la distribution bruyante de financements de campagnes électorales, les dividendes des « actionnaires confidentiels », les tickets d’entrée des multimilliardaires et les appuis politiques extorqués.
Les moyens financiers pour réaliser le forfait sont là. Les complices pour y contribuer aussi. Leur prix est connu. Les uns le font de bon gré, les autres y sont contraints et forcés, du fait de leurs forfaits du passé et leurs travers découverts, certains pour respecter leurs signatures, d’autres par crainte d’être vilipendés.
Je comprends bien que l’évaporation des soucis d’argent ait laissé la place à l’omniprésence de l’angoisse du lendemain. C’est essoufflant ! Mais ce n’est pas une raison pour s’agripper aux plans casse-cous mijotés par des cerveaux amortis qui s’affolent en privé et font les féroces devant le chef pour l’aider à exorciser sa panique. Le projet déraisonnable et aventureux de garder le pouvoir en 2024 et au-delà ne prospérera pas.
En tout état de cause, il n’est pas question de boycotter les élections. Macky SALL a déjà perdu le pouvoir. Il ne lui reste qu’un choix : ruser pour mettre l’Assemblée nationale dans sa poche dans le dessein de procéder à toutes les modifications constitutionnelles nécessaires pour sauver le troisième mandat dont il rêve. Il faut l’en empêcher. Il n’a même pas besoin de l’Assemblée nationale pour perpétuer l’héritage de la belle aventure de l’APR de 2008 et de la coalition Benno Bokk Yaakaar de 2012. Ku añaane sa ndono…
Le sage et riche laboureur de Jean de La Fontaine avait bien compris, sentant sa mort prochaine, qu’il ne fallait pas vendre l’héritage laissé par les parents. Il fit alors venir ses enfants et les exhorta au trésor-travail de si belle manière : « ne laissez nulle place où la main ne passe et repasse ». Le Trésor du Sénégal, c’est sa stabilité. C’est l’héritage laissé par les précurseurs politiques et les guides spirituels.
Nous inspirant de cette leçon, ne laissons nulle fenêtre, nul trou de souris ou nulle fissure pouvant ouvrir la porte d’un troisième mandat à Macky SALL et pouvant menacer la stabilité de notre cher pays.
La meilleure façon d’asperger de l’eau – denrée rare, il est vrai, même si on en parle beaucoup ces derniers jours et qui manque horriblement aux populations – sur le tapis de braises déroulé par le régime de Macky SALL est de réussir le pari de disposer d’une majorité de députés de l’opposition à l’Assemblée nationale à l’issue des élections du 31 juillet 2022.
En nous épargnant un combat inutile, le pouvoir aura fait l’essentiel : bien partir ! Nos compatriotes sont patients et conscients qu’ils sont quelque part obligés d’assumer la gestion du pouvoir, même avec regret, car ils en ont élu les tenants actuels.
Le peuple sénégalais traverse des moments difficiles. Il n’a pas besoin de laisser exploser sa colère et sa déception. De grâce, ne lui en donnez pas l’occasion. Ne privez pas, non plus, vos fidèles partisans de la joie et de la dignité de vous accompagner jusqu’à votre domicile, si vous choisissez de rester au Sénégal à la fin de votre mandat. Ils méritent de lever la tête comme l’ont fait les partisans de vos trois prédécesseurs : SENGHOR, DIOUF et WADE.
Boubacar CAMARA
Kamâh
25 mars 2022
L’Egypte accueille le Sénégal, ce vendredi 25 mars au Caire, en barrages aller du Mondial 2022. Parmi les duels attendus, le face-à-face entre les deux capitaines, le défenseur sénégalais Kalidou Koulibaly et l’attaquant égyptien Mohamed Salah. Présent en conférence de presse d’avant-match, ce jeudi 24 […]
ACTUALITE INTERNATIONAL SOCIETEL’Egypte accueille le Sénégal, ce vendredi 25 mars au Caire, en barrages aller du Mondial 2022. Parmi les duels attendus, le face-à-face entre les deux capitaines, le défenseur sénégalais Kalidou Koulibaly et l’attaquant égyptien Mohamed Salah.
Présent en conférence de presse d’avant-match, ce jeudi 24 au Caire, Kalidou Koulibaly a évoqué les retrouvailles entre lui et le joueur de Liverpool moins de deux mois après la finale de la CAN 2021 remportée par les Lions face au Pharaons. «Je connais bien Mohamed Salah. C’est l’un des meilleurs joueurs africains», a lancé Koulibaly sous les yeux de son entraîneur, Aliou Cissé.
Mais le défenseur de Naples suggère que lui et ses coéquipiers ne vont pas se focaliser sur le meilleur buteur de la Premier League (20 réalisations). «On va essayer de prendre ce match comme on l’a fait à la finale et ne pas se concentrer uniquement sur Mohamed Salah, mais l’ensemble des joueurs (égyptiens). On sait que Mohamed Salah est un grand joueur, mais on va essayer de gagner ce match.»
Le capitaine des Lions n’a pas manqué de souligner que si l’Egypte a Salah, le Sénégal compte dans ses rangs un autre joueur de classe mondiale. «Demain (aujourd’hui) sur le terrain, signale-t-il, on aura les deux meilleurs joueurs africains sur le terrain et cela va être un grand match. Mohamed Salah a à cœur de bien faire et, de notre côté, on a Sadio Mané qui sera prêt pour ce match.»
Le drame s’est produit à Thièl, une localité du département de Linguère. En effet un bébé âgé de 9 mois a été retrouvé mort calciné. D’après des témoignages, l’incendie est survenu au moment où le père de famille Aliou Sow était au marché hebdomadaire de […]
ACTUALITE SOCIETELe drame s’est produit à Thièl, une localité du département de Linguère. En effet un bébé âgé de 9 mois a été retrouvé mort calciné. D’après des témoignages, l’incendie est survenu au moment où le père de famille Aliou Sow était au marché hebdomadaire de Linguère. A en croire une source digne de foi, c’est la mère de la victime qui, après avoir fait du thé dans une case, a laissé les braises dans le fourneau. Avec le vent fort qui souffle en ce moment dans le milieu, les étincelles ont jailli dans la case et le bébé qui s’y trouvait a péri dans les flammes. Le malheur ne venant pas seul, l’incendie a également causé beaucoup de dégâts matériels. 100 kg de mil, 01 sac de 50 kg de riz, 02: lits en bois et des effets vestimentaires ont été emportés par les flammes.
Décidément, le leader de Gueum Sa Bopp s’est engagé dans une farouche adversité avec le président Macky Sall. Après l’opération « Tibb Tank » lancé en 2021 pour contrecarrer les tournées du président, le boss de D-Medias vient de lancer l’initiative « Jokko Tiiñal Macky […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEDécidément, le leader de Gueum Sa Bopp s’est engagé dans une farouche adversité avec le président Macky Sall. Après l’opération « Tibb Tank » lancé en 2021 pour contrecarrer les tournées du président, le boss de D-Medias vient de lancer l’initiative « Jokko Tiiñal Macky » par opposition à « Jokko ak Macky », la nouvelle trouvaille du président de la République.
« Le mouvement Gueum Sa Bopp dans le cadre de sa politique nationale de Jeunesse lance une série de rencontres publiques d’échanges avec jeunes sénégalais de tout bord. L’initiative « Jokko Tiiñal Macky » est une réponse aux promesses non tenues du Président Macky Sall à l’endroit de la jeunesse sénégalaise sur les problématiques de l’emploi et de l’éducation », informe le mouvement Gueum Sa Bopp dans un communiqué.
Le lancement de cette initiative est prévue, ce lundi 28 mars 2022. A l’instar de Macky Sall, « Le Président Bougane Guéye Dany échangera avec la jeunesse des départements de Pikine et Keur Massar. Une rencontre d’échanges et de recueils sur les manquements et attentes de la vie du jeune sénégalais. Elle sera retransmise sur tous les réseaux sociaux à partir de 19 heures ».
Le Mcss Fulla ak Fayda soucieux de l’unité de l’opposition sénégalaise a toujours mis en avant le dialogue, le consensus dans la rigueur, et la sérénité sans faiblesse, a renseigné un communiqué parvenu à Leral. Lequel fait savoir: « Cette dynamique porteuse de valeurs républicaines fondées […]
ACTUALITE POLITIQUELe Mcss Fulla ak Fayda soucieux de l’unité de l’opposition sénégalaise a toujours mis en avant le dialogue, le consensus dans la rigueur, et la sérénité sans faiblesse, a renseigné un communiqué parvenu à Leral.
Lequel fait savoir: « Cette dynamique porteuse de valeurs républicaines fondées sur la conquête du pouvoir par les urnes et la voie pacifique, nous a valu à la veille des élections locales du 23 janvier 2022 de s’ engager dans l’ancrage de la coalition YEWWI ASKAN WI en dépit des scissions qui s’opéraient en son sein avec la défection inopportune de quelques partis politiques qui se doutaient déjà de la nature hétéroclites de sa composition ».
Le document poursuit: « Ainsi ,le parti politique Mcss Fulla ak Fayda après avoir signé dans la douleur, et l’incertitude la charte constitutive de la coalition YEWWI ASKAN WI, a contribué financièrement à la caution de Yewwi askan wi pour les locales de janvier 2022. Le parti politique Mcss Fulla ak Fayda a battu campagne d’une façon responsable et engagée pour le triomphe final ».
Nébuleuse
Pour conclure, « finalement, la nébuleuse qui a engendré les investitures, et les manquements graves visant à fragiliser les institutions de la République du Sénégal dans le simple but inavoué de tirer d’affaire certains leaders de la coalition en maille avec la Justice au détriment de l’élégance républicaine et de la maturité démocratique ont fini de convaincre au bureau politique du parti politique Mcss Fulla ak Fayda de mettre fin à un compagnonnage qui n’a aucun avenir dans un espace démocratique sincère , axé sur l’éthique et la bonne gouvernance ».
Divorce
Le parti politique Mcss Fulla ak Fayda déclare officiellement avoir quitté la coalition YEWWI ASKAN WI .
Le Mcss Fulla ak Fayda œuvre pour la mise sur pied d’une coalition forte, démocratique, et républicaine en vue des legislatives de Juillet 2022. Nous rappelons que le Mcss Fulla ak Fayda place la culture au cœur de son projet de société.
Sur une voie sinueuse qui traverse la mosquée de la Divinité, il y a un terrain en pente douce. Entre la Corniche Ouest et la mer, l’espace donne vie à un véritable verger : l’eau recyclée en provenance directe des toilettes des maisons de Ouakam […]
ACTUALITE SOCIETEUne brise marine souffle sur la Corniche Ouest. L’espace est déserté. En face de mer, un jardinier se découvre au détour d’un lopin de terre escarpé et boisé. Inhabité depuis toujours, il est totalement délabré lorsque Guillaume Da Sylva le visite pour la première fois.
Ce dernier est un fou de jardin de fruits et légumes, un inconditionnel des plantes et de leurs variétés, depuis plusieurs années. Il a donc fait de cet espace un mini champ multipliant les touches colorées, labellisé « Tolou Keur », en collaboration avec l’Institut de recherche pour le développement (IRD).
Pour le jardiner, l’idée de récolter des légumes bio dans son potager pour la consommation ou encore relever ses plats avec des aromates parfumés est plutôt séduisante. Pour ce faire, il utilise l’eau en provenance directe des toilettes des quartiers de Ouakam pour donner vie à un véritable maraîchage.
Au-delà de la méthode de jardinage, « Tolou Keur » englobe un système de réutilisation des eaux usées déversant en mer. Une fois récupéré, le liquide est donc traité en station d’épuration. Un système permettant de filtrer tous les résidus indésirables a été mis en place.
Un réseau de plusieurs dizaines de mètres a été construit pour acheminer l’eau ainsi qu’un réservoir de 1 500 mètres cube. Selon Guillaume Da Sylva, cette initiative permet d’économiser environ plusieurs milliers de mètres cubes d’eau.
Autre effet positif pour le maraichage, cela permet d’économiser de l’argent, de quoi embaucher deux nouveaux agents d’entretien. Même si ce n’est pas une première à Dakar pour un jardin de fruits et légumes arrosé avec de l’eau recyclée des toilettes.
L’utilisation d’eau usée recyclée pour l’arrosage des champs peut contribuer à réduire la consommation de la ressource en eau potable et répondre ainsi à une préoccupation quotidienne des gestionnaires. La réutilisation des eaux usées traitées est une pratique très répandue dans les pays développés.
Le Sénégal accuse un certain retard en la matière, sans doute lié à la relative abondance de la ressource, mais aussi à une absence de réglementation spécifique.
Abdoulaye Cissé, biologiste-nutritionniste, est toutefois revenu sur les risques sanitaires et technologiques. Selon lui, les organismes pathogènes ne sont généralement pas éliminés par les stations d’épuration. Il prône ainsi la protection sanitaire du public, des animaux, des productions agricoles et de l’environnement.
Le Mcss Fulla ak Fayda soucieux de l’unité de l’opposition sénégalaise, a toujours mis en avant le dialogue, le consensus dans la rigueur et la sérénité sans faiblesse, a renseigné un communiqué parvenu à Leral. Lequel fait savoir: « Cette dynamique porteuse de valeurs républicaines fondées […]
ACTUALITE SOCIETE
Lequel fait savoir: « Cette dynamique porteuse de valeurs républicaines fondées sur la conquête du pouvoir par les urnes et la voie pacifique, nous a valu à la veille des élections locales du 23 janvier 2022, de nous engager dans l’ancrage de la coalition YEWWI ASKAN WI, en dépit des scissions qui s’opéraient en son sein, avec la défection inopportune de quelques partis politiques qui se doutaient déjà de la nature hétéroclite de sa composition« .
Le document poursuit: « Ainsi, le parti politique Mcss Fulla ak Fayda après avoir signé dans la douleur et l’incertitude, la charte constitutive de la coalition YEWWI ASKAN WI, a contribué financièrement à la caution de Yewwi askan wi pour les locales de janvier 2022. Le parti politique Mcss Fulla ak Fayda a battu campagne d’une façon responsable et engagée pour le triomphe final« .
Nébuleuse
Pour conclure, « finalement, la nébuleuse qui a engendré les investitures et les manquements graves visant à fragiliser les institutions de la République du Sénégal, dans le simple but inavoué de tirer d’affaire certains leaders de la coalition en maille avec la Justice au détriment de l’élégance républicaine et de la maturité démocratique, ont fini de convaincre au bureau politique du parti politique Mcss Fulla ak Fayda, de mettre fin à un compagnonnage qui n’a aucun avenir dans un espace démocratique sincère, axé sur l’éthique et la bonne gouvernance« .
Divorce
Le parti politique Mcss Fulla ak Fayda déclare officiellement, avoir quitté la coalition YEWWI ASKAN WI .
Le Mcss Fulla ak Fayda œuvre pour la mise sur pied d’une coalition forte, démocratique, et républicaine, en vue des legislatives de Juillet 2022. Nous rappelons que le Mcss Fulla ak Fayda place la culture au cœur de son projet de société.
²
Des activistes ont été arrêtés par la police puis libérés tard dans la soirée d’hier. Ce, lors de la marche «avortée» contre le parrainage, dans le centre-ville de Dakar. Guy Marius Sagna, qui était l’une des premières personnes à être interpellées, est revenu sur les […]
ACTUALITE POLITIQUEDes activistes ont été arrêtés par la police puis libérés tard dans la soirée d’hier. Ce, lors de la marche «avortée» contre le parrainage, dans le centre-ville de Dakar. Guy Marius Sagna, qui était l’une des premières personnes à être interpellées, est revenu sur les faits qui se sont déroulés après son arrestation et sa «libération mouvementée».
«Pour avoir commis le crime de résister à l’illégalité du président Macky Sall et de son ministre de l’Intérieur qui défient la Cour de justice de la CEDEAO, 17 membres de nos mouvements dont moi-même ont été torturés, nos droits violés. Les policiers du commissariat central de Dakar ont refusé que nos avocats nous voient, ils nous ont mis en garde à vue sans nous le notifier et après – alors que la tradition c’est d’être déféré au parquet – ces policiers nous ont déférés à 50 km de Dakar, sans téléphone, sans argent, sans moyen, dans la brousse et une nuit sombre», a-t-il révélé.