F. Diédhiou, ancien policier, croupit en prison depuis 2022. Attrait devant la Chambre criminelle de Mbour, ce vendredi, il risque la prison à vie si le juge suit le réquisitoire du Procureur, rapporte L’Observateur. Les faits remontent à 2022, précisément le 15 mars, rappelle le […]
ACTUALITE SOCIETEL’engagement de l’ITFC à soutenir les communautés défavorisées, à promouvoir la diversification et à développer la croissance du secteur privé a été renforcé par nos centres régionaux dédiés. En #Afrique subsaharienne, notre équipe basée à Dakar – dirigée par Aliou barki Kane, Manager, Hub Régional de Dakar […]
ACTUALITE ECONOMIELes parlementaires sénégalais sont convoqués en séance plénière ce lundi 10 février 2025 à partir de 10 heures. Selon un communiqué de presse de la Direction de la Communication de l’Assemblée nationale, relayé par SourceA, l’ordre du jour portera sur l’examen de deux projets de loi […]
ACTUALITE POLITIQUEF. Diédhiou, ancien policier, croupit en prison depuis 2022. Attrait devant la Chambre criminelle de Mbour, ce vendredi, il risque la prison à vie si le juge suit le réquisitoire du Procureur, rapporte L’Observateur. Les faits remontent à 2022, précisément le 15 mars, rappelle le […]
ACTUALITE SOCIETEF. Diédhiou, ancien policier, croupit en prison depuis 2022. Attrait devant la Chambre criminelle de Mbour, ce vendredi, il risque la prison à vie si le juge suit le réquisitoire du Procureur, rapporte L’Observateur.
Les faits remontent à 2022, précisément le 15 mars, rappelle le journal. L’accusé, radié depuis 2020 après trois ans de service, pour vol de moteur de véhicule appartenant à la police nationale, cible une quincaillerie, abritant un multiservice : «Au moment de quitter son domicile sis à Médinatoul Salam, il s’arme d’un pistolet chargé, change ses vêtements avec lesquels il s’était auparavant présenté au gérant et prend la direction de ladite quincaillerie.»
Selon le mode opératoire révélé par la même source, «Diémé s’était rendu [une première fois sur les lieux ] pour retirer la somme de 2 millions de francs Cfa via Orange Money», reprend L’Obs.
Sur place, poursuit le quotidien d’information, «F. Diémé trouve [le gérant] M. Djiguèl s’apprêtant à faire ses prières. [Ce dernier] lui notifie que l’argent est disponible». Mais le plan de l’assaillant est perturbé par la présence d’une autre personne dans la quincaillerie, croit savoir le titre du Groupe futurs médias. «[…]. Ayant entendu du bruit venant d’une des pièces de la grande bâtisse, [l’ancien policier devenu vigile dans une maison à Saly Portudal] demande au gérant d’utiliser les toilettes. [Ne se doutant de rien], Djiguèl [les] lui désigne. L’ancien policier croise [le nommé] O. Diémé à l’entrée des toilettes. [Il] s’en prend à lui, le cogne contre le mur et tente de l’enfermer dans les toilettes pour pouvoir s’attaquer librement au quincailler.»
O. Diémé ne se laisse pas faire. Il oppose une résistance farouche à l’ancien policer. Qui dégaine. «[…]. L’ancien policier pointe son arme contre le jeune homme qui parvient toutefois à le terrasser. Mais au moment d’alerter son collègue de travail, [O. Diémé] sera rattrapé par [l’assaillant]. Sans hésiter, l’ancien policier ouvre le feu sur le gérant, s’empare de l’argent avant de prendre la fuite», laissant la victime gisant dans une mare de sang.
Atteint à la mâchoire, «Djiguèl n’a dû son salut que grâce à l’intervention» de son beau-frère, A. Diédhiou. Ce dernier, entendu comme témoin lors du procès, est revenu sur les faits, enfonçant l’accusé dont «la perquisition du domicile a permis la découverte par les enquêteurs «d’un fusil, une machette, deux cartouches de calibre 12 mm, une carte professionnelle de la police nationale, un béret, un macaron et des insignes de la police», liste L’Observateur. Qui signale que le mis en cause a admis «être le propriétaire de tout le matériel [trouvé chez lui] à l’exception du fusil».
L’ancien policier a également «reconnu s’être rendu à deux reprises» à la quincaillerie. Niant les faits à lui reprochés, il s’est toutefois empressé d’ajouter «qu’il y est allé pour faire un retrait d’argent». La partie civile réclame 15 millions de dommages et intérêts.
Délibéré, le 28 février prochain.
L’engagement de l’ITFC à soutenir les communautés défavorisées, à promouvoir la diversification et à développer la croissance du secteur privé a été renforcé par nos centres régionaux dédiés. En #Afrique subsaharienne, notre équipe basée à Dakar – dirigée par Aliou barki Kane, Manager, Hub Régional de Dakar […]
ACTUALITE ECONOMIEL’engagement de l’ITFC à soutenir les communautés défavorisées, à promouvoir la diversification et à développer la croissance du secteur privé a été renforcé par nos centres régionaux dédiés. En #Afrique subsaharienne, notre équipe basée à Dakar – dirigée par Aliou barki Kane, Manager, Hub Régional de Dakar – travaille en partenariat avec les acteurs clés pour fournir des solutions de financement du commerce ayant un impact dans 15 États membres d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale.
Grâce à notre approche intégrée des solutions commerciales, nous avons fourni un soutien essentiel en matière de financement du commerce et d’assistance technique. Que ce soit en soutenant le secteur arachidier en #Gambie, le financement du coton au Burkina Faso ou les initiatives en faveur des #PME au Burkina Faso, au #Sénégal et en Côte d’Ivoire, nos programmes renforcent les chaînes de valeur locales et créent des emplois durables.
#ITFCImpact#EmpoweringAfrica#CroissanceRégionale#ITFCPartenariat
Les parlementaires sénégalais sont convoqués en séance plénière ce lundi 10 février 2025 à partir de 10 heures. Selon un communiqué de presse de la Direction de la Communication de l’Assemblée nationale, relayé par SourceA, l’ordre du jour portera sur l’examen de deux projets de loi […]
ACTUALITE POLITIQUELes parlementaires sénégalais sont convoqués en séance plénière ce lundi 10 février 2025 à partir de 10 heures. Selon un communiqué de presse de la Direction de la Communication de l’Assemblée nationale, relayé par SourceA, l’ordre du jour portera sur l’examen de deux projets de loi majeurs relatifs au secteur financier : le projet de loi n°01/2025 portant réglementation bancaire et le projet de loi n°02/2025 sur la microfinance.
D’après les informations du journal SourceA, c’est le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba qui sera chargé de défendre ces textes devant les députés. Ces réformes visent à renforcer l’encadrement du secteur bancaire et du système de microfinance au Sénégal. Ces textes législatifs interviennent dans un contexte où la régulation financière est un enjeu central pour la stabilité économique du pays.
La réglementation bancaire devra s’adapter aux nouvelles exigences du marché, tandis que le volet microfinance aura pour objectif d’améliorer l’accès au crédit pour les petites et moyennes entreprises ainsi que les entrepreneurs individuels. Plusieurs députés comptent profiter de cette séance pour interpeller le ministre sur l’état du secteur bancaire et les défis liés à l’inclusion financière. Il sera intéressant de suivre les débats et les amendements qui pourraient être proposés avant l’adoption de ces textes.
Dans sa livraison de ce samedi 8 février, L’Observateur fait part des conclusions de l’autopsie dans l’affaire Pape Coulibaly, qui agite Yeumbeul-Nord. L’homme, la quarantaine, est décédé dans des conditions nébuleuses. Sa famille désigne un supposé indic et son acolyte, un élément du Groupement mobile […]
ACTUALITE SOCIETEDans sa livraison de ce samedi 8 février, L’Observateur fait part des conclusions de l’autopsie dans l’affaire Pape Coulibaly, qui agite Yeumbeul-Nord. L’homme, la quarantaine, est décédé dans des conditions nébuleuses. Sa famille désigne un supposé indic et son acolyte, un élément du Groupement mobile d’intervention (Gmi). Ce dernier s’est rendu de lui-même à la police tandis que le premier est en cavale. Le duo l’aurait passé à tabac. Selon le témoignage de sa copine, la victime, qui est réapparue très mal en point, a rendu l’âme peu après.
Le certificat médical sur la cause du décès atteste «d’une cardiopathie dilatée décompensée avec un foie muscade, d’une congestion des viscères et d’un contenu gastrique alimentaire», souffle le quotidien du Groupe futurs médias.
Autrement dit, éclaire la même source après s’être entretenue avec une blouse blanche sous le couvert de l’anonymat, «la cardiopathie dilatée décompensée avec un foie muscade [ou foie dure] renvoie à des complications d’une pathologie cardiaque».
«La congestion des viscères peut renvoyer à des signes d’asphyxie mécaniques ou encore à une privation d’air mécanique, manuelle voire chimique», ajoute l’interlocuteur du journal. L’Observateur fait toutefois savoir que le médecin légiste a conclu à «un décès de cause non explicite».
Un jeune homme de 19 ans, nommé Ousmane Hanne, résidant à Keur Simbiri, sera présenté ce vendredi devant le tribunal de Rufisque par les gendarmes de la brigade de recherche de Keur Massar. Il est accusé de viol sur une jeune fille, un acte qui […]
ACTUALITE SOCIETEUn jeune homme de 19 ans, nommé Ousmane Hanne, résidant à Keur Simbiri, sera présenté ce vendredi devant le tribunal de Rufisque par les gendarmes de la brigade de recherche de Keur Massar.
Il est accusé de viol sur une jeune fille, un acte qui aurait eu lieu le 29 janvier dernier. Selon les informations de la TFM, Ousmane Hanne aurait utilisé une paire de ciseaux et une corde pour commettre son crime.
La victime, après avoir subi l’agression, a été rapidement prise en charge et évacuée à l’hôpital Youssou Mbagane de Rufisque, comme l’a rapporté RFM.
L’affaire des boulettes pour fesses a été jugée par le tribunal de Pikine-Guediawaye. Les prévenues Alima Fall, Maty Mbaye, Haoussou Ndiaye et autres ont été déclarées coupables. Elles ont écopé de peines ferme allant de un à six mois. Le tribunal des flagrants délits de […]
À La Une justiceL’affaire des boulettes pour fesses a été jugée par le tribunal de Pikine-Guediawaye. Les prévenues Alima Fall, Maty Mbaye, Haoussou Ndiaye et autres ont été déclarées coupables. Elles ont écopé de peines ferme allant de un à six mois.
Le tribunal des flagrants délits de Pikine-Guédiawaye a rendu ce matin son jugement dans l’affaire des boulettespour fesses. Dans son délibéré, le juge a relaxé les prévenus pour exercice illégal de la profession de pharmacien, usurpation de fonction, administration de substances nuisibles à la santé publique. Il a également relaxé Alima Sow, Seynabou Gassama, Bintou Diop, Pape Guéye, Moussou Gassama et Haoussou Ndiaye du chef de publicité illégale de produits pharmaceutiques. Le magistrat a relaxé Haoussou Ndiaye et Maty Mbaye du délit d’association de malfaiteurs. Par contre, Alima Sow, Alima Fall, Bintou Diouf, Pape Guéye et Moussou Gassama ont été déclarés coupables du délit d’association de malfaiteurs. Alima Fall et Maty Mbaye sont coupables de publicité illégale de produits pharmaceutiques.
Poursuivant, le juge a déclaré tous les prévenus coupables de fabrication et mise en vente sans autorisation préalable de produits pharmaceutiques ayant mis en danger la vie d’autrui.
Pour la répression, les vendeuses Alima Fall et Maty Mbaye ont écopé de 2 ans dont 6 mois ferme. Pour Haoussou Ndiaye, elle a pris 2 ans dont 3 mois ferme. Le trio a aussi une amende ferme de 500 000 FCFA, à verser à la caisse des dépôts et consignations.
Le tribunal a condamné le reste à 2 ans dont un mois ferme et une amende ferme de 200 000 FCFA.
Le juge a ordonné la confiscation et la destruction des pommades « Infidèles » et « Caviar » saisies dans la boutique d’Alima Fall, ainsi que des médicaments et compléments alimentaires saisis chez Maty Mbaye et Haoussou Ndiaye.
Sur l’action civile, il a reçu les constitutions des parties civiles de SOS Consommateurs et de l’Ordre des Médecins et condamne les prévenus à payer le franc symbolique. Il met le dépens à la charge des prévenus et fixe la durée de la contrainte par corps au maximum.
L’Observateur maintient que la convocation du député-maire des Agnam, Farba Ngom «reste imminente» même si avance le journal «la Dic [Division des investigations criminelles] n’a pas encore reçu de soit-transmis du Parquet financier pour enquêter dans la procédure [enclenchée] contre [le chargé de mobilisation de […]
ACTUALITE justiceL’Observateur maintient que la convocation du député-maire des Agnam, Farba Ngom «reste imminente» même si avance le journal «la Dic [Division des investigations criminelles] n’a pas encore reçu de soit-transmis du Parquet financier pour enquêter dans la procédure [enclenchée] contre [le chargé de mobilisation de l’Apr] et autres».
«Le compte à rebours a été lancé depuis mardi dernier [après que] l’acte de levée de l’immunité parlementaire du député qui a suivi tout le suivi administratif, a été déposé sur le bureau du juge d’instruction du Parquet du Pool judiciaire financier [Pjf]», suite au rapport de la Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif), mentionnant des « transactions suspectes » d’une valeur provisoire estimée à plus de 125 milliards de francs CFA, rappelle le journal. Qui précise que «l’enquête sera confiée à la police ou la gendarmerie».
La même source annonce d’ores et déjà plusieurs autres auditions, impliquant «d’anciens cadres du Trésor public». «Des patrons de Sociétés civiles immobilières (Sci), des banquiers et hommes d’affaires sont également dans le viseur du parquet financier», signale L’Observateur.
Selon L’Observateur, le richissime homme d’affaires B. Sarr, spécialisé dans la commercialisation de graines d’arachide, se retrouve aujourd’hui en difficulté avec la justice. Son arrestation par la Division des Investigations Criminelles (DIC) fait suite à un différend financier avec la Société nationale commerciale d’oléagineux du […]
À La Une SOCIETESelon L’Observateur, le richissime homme d’affaires B. Sarr, spécialisé dans la commercialisation de graines d’arachide, se retrouve aujourd’hui en difficulté avec la justice.
Son arrestation par la Division des Investigations Criminelles (DIC) fait suite à un différend financier avec la Société nationale commerciale d’oléagineux du Sénégal (Sonacos), portant sur un stock de 5 000 tonnes d’arachide. Installé à Keur Gorgui, l’homme d’affaires avait bâti sa fortune grâce aux campagnes annuelles de commercialisation des graines d’arachide. Cependant, ce partenariat lucratif avec la Sonacos a dégénéré, menant B. Sarr directement dans les locaux de la DIC pour solder un litige autour de cette cargaison.
D’après les informations exclusives de L’Observateur, l’affaire remonte à la campagne arachidière 2020/2021, lorsque B. Sarr s’était vu confier 5 000 tonnes de graines d’arachide par la Sonacos. À la fin de la saison, il propose de racheter 2 000 tonnes, obtenant une facture pro-forma de 960 millions de FCFA. Cependant, sans attendre la finalisation de l’accord, il revend le stock à l’insu de la Sonacos et effectue des transferts partiels totalisant 630 millions de FCFA entre mars 2022 et mars 2023, laissant un reliquat de 330 millions de FCFA. Malgré un engagement signé en septembre 2023 pour rembourser la somme en plusieurs échéances, L’Observateur indique que B. Sarr n’a pas respecté cet accord, ce qui a conduit à son interpellation à l’aéroport international Blaise Diagne de Diass ( AIBD ) avant son transfert vers la DIC.
Présenté au procureur de la République près le Tribunal de grande instance de Dakar, B. Sarr a finalement obtenu une liberté conditionnelle après avoir versé une forte somme consignée, précise L’Observateur. Toutefois, la procédure judiciaire se poursuit et les autorités comptent bien éclaircir tous les aspects de cette affaire aux ramifications complexes.
Il y a quelques jours, le journal Libération annonçait que le Parquet avait formulé une demande de levée de l’immunité parlementaire du député Amadou Ba. Cette annonce a incité les membres de la « Nouvelle Responsabilité » à organiser une conférence de presse pour apporter […]
ACTUALITE justiceIl y a quelques jours, le journal Libération annonçait que le Parquet avait formulé une demande de levée de l’immunité parlementaire du député Amadou Ba. Cette annonce a incité les membres de la « Nouvelle Responsabilité » à organiser une conférence de presse pour apporter des clarifications. Selon une information de Dakaractu, le juge d’instruction aurait rejeté la demande du Parquet de Dakar visant à lever l’immunité parlementaire de l’ancien Premier ministre Amadou Ba dans l’affaire foncière où il est mis en cause. Ce rejet concerne également l’ancien ministre du Budget et député Birima Mangara, indique notre source.
En effet, le dossier dans lequel l’ancien Premier ministre est cité concerne l’indemnisation suite à l’expropriation pour cause d’utilité publique des titres fonciers nº 5058/Nga, 13833/Nga et 1838/Nga, au profit de la société Sofico.
Dans ce dossier complexe, les héritiers des titres fonciers concernés dénoncent des irrégularités qu’ils jugent frauduleuses dans la procédure d’expropriation. Ils avaient mandaté Matar Diène pour déposer une plainte. À la suite d’une enquête préliminaire menée par la Sûreté urbaine (SU) de Dakar en 2022, le Parquet avait ouvert une information judiciaire contre X pour des faits présumés de faux, usage de faux en écritures authentiques et privées, escroquerie portant sur des deniers publics, ainsi que complicité de ces infractions. L’affaire avait été transmise en instruction au deuxième cabinet, où elle semblait jusque-là en suspens.
D’après nos confrères de Libération, le ministère public a récemment transmis un réquisitoire supplétif au deuxième cabinet, donnant un nouvel élan à la procédure. Dans ce réquisitoire, Tahirou Sarr est désigné, ainsi que d’autres personnes dont l’identité n’a pas encore été officiellement révélée. Le Parquet ne se limite pas à demander leur inculpation, mais requiert également leur placement sous mandat de dépôt.
C’est dans ce contexte que le ministère public a demandé au juge d’instruction d’engager les démarches nécessaires pour la levée de l’immunité parlementaire des députés Amadou Ba et Birima Mangara, respectivement ancien ministre des Finances et ancien ministre chargé du Budget.
Par ailleurs, plusieurs protagonistes ont été auditionnés, dont Matar Diène, Tahirou Sarr, l’inspecteur des impôts Amadou Diop, les inspecteurs à la retraite Dame Fall et Meissa Ndiaye, ainsi que le contrôleur des impôts Mouhamadou Moustapha Gaye.
Le professeur Bara Mbengue, enseignant en Lettres et en Histoire-Géographie au Collège d’Enseignement Moyen (CEM) Louga commune, a été couronné lauréat du prestigieux Grand Prix du Chef de l’État pour l’Enseignant, édition 2023. Avec un score impressionnant de 90,28 points sur 100, il a été […]
ACTUALITE éducationLe professeur Bara Mbengue, enseignant en Lettres et en Histoire-Géographie au Collège d’Enseignement Moyen (CEM) Louga commune, a été couronné lauréat du prestigieux Grand Prix du Chef de l’État pour l’Enseignant, édition 2023. Avec un score impressionnant de 90,28 points sur 100, il a été décoré de l’Ordre national du Lion et a reçu une enveloppe de 20 millions de FCFA en reconnaissance de son travail exceptionnel.
Le Grand Prix du Chef de l’État pour l’Enseignant est un prix destiné aux enseignants et enseignantes du préscolaire au niveau pré-universitaire, ainsi qu’aux enseignants de la formation professionnelle. Selon l’Inspecteur Ibou Ndiath, président du jury national, les enseignants sont évalués sur plusieurs critères, dont leur culture générale, leur compréhension des politiques publiques éducatives, leur contribution à l’amélioration du système éducatif, leur sens des responsabilités, leur droiture, et leur ponctualité. « Le jury décerne ce prix aux enseignants exceptionnels », a-t-il souligné.
Après une compétition qui a débuté au niveau départemental, régional et national, six candidats ont été retenus pour la phase finale. En plus de Bara Mbengue, deux autres finalistes ont été honorés pour leurs performances remarquables. Momar Kébé, enseignant au lycée Diagane Barka de Fatick, a remporté le prix d’encouragement, tandis qu’Amadou Lamine Mané, professeur au lycée Djindilé de Louga, a été désigné deuxième attributaire. Chacun de ces finalistes a reçu une somme de 5 millions de FCFA.