Un drame familial choquant a secoué le quartier de Diamaguene (DVF) à Bambey, où un homme a été accusé d’entretenir des relations sexuelles avec sa propre mère à plusieurs reprises. K. Sarr a été surpris en flagrant délit par sa sœur, qui a immédiatement alerté […]
ACTUALITE SOCIETELa communauté éducative de la région orientale est sous le choc. Un véhicule avec à son bord six élèves du lycée de la commune de Kothiary et sept de leurs professeurs qui étaient partis pour une compétition de « Génie en herbe » s’est renversé hier vers […]
ACTUALITE SOCIETED’après le quotidien, l’immeuble en question, un R+5 situé aux Almadies en bord de mer, a été mis en hypothèque à Orabank sur la base de documents falsifiés : une fausse procuration, un faux état financier et d’autres pièces fabriquées. Ces actes auraient été orchestrés […]
À La Une justiceUn drame familial choquant a secoué le quartier de Diamaguene (DVF) à Bambey, où un homme a été accusé d’entretenir des relations sexuelles avec sa propre mère à plusieurs reprises. K. Sarr a été surpris en flagrant délit par sa sœur, qui a immédiatement alerté […]
ACTUALITE SOCIETEUn drame familial choquant a secoué le quartier de Diamaguene (DVF) à Bambey, où un homme a été accusé d’entretenir des relations sexuelles avec sa propre mère à plusieurs reprises.
K. Sarr a été surpris en flagrant délit par sa sœur, qui a immédiatement alerté les autorités, selon seneweb. L’homme a été arrêté et placé en garde à vue au commissariat urbain de Bambey lundi dernier.
Sa mère, K.Kane, victime de cet acte ignoble, vit avec un handicap suite à un AVC, ce qui a aggravé la situation. L’arrestation de K.Sarr a provoqué une onde de choc dans la communauté locale, et les autorités ont rapidement pris des mesures pour traiter cette affaire. Selon des sources proches du dossier, le présumé agresseur devrait être déféré devant le tribunal de grande instance de Diourbel ce mercredi.
Les enquêteurs poursuivent leur travail pour établir les circonstances exactes de ces faits et déterminer l’étendue de l’infraction. K. Sarr risque gros.
La communauté éducative de la région orientale est sous le choc. Un véhicule avec à son bord six élèves du lycée de la commune de Kothiary et sept de leurs professeurs qui étaient partis pour une compétition de « Génie en herbe » s’est renversé hier vers […]
ACTUALITE SOCIETELa communauté éducative de la région orientale est sous le choc. Un véhicule avec à son bord six élèves du lycée de la commune de Kothiary et sept de leurs professeurs qui étaient partis pour une compétition de « Génie en herbe » s’est renversé hier vers 19 h 30, sur la route nationale n°1, à hauteur du village de Talibadji. Sambala Cissé, 17 ans, élève en classe de 1re audit lycée, est mort sur le coup. On compte aussi 10 blessés, dont cinq dans un état grave.
Alertés, les éléments de la brigade de gendarmerie de Goudiry se sont déployés sur les lieux en compagnie des sapeurs-pompiers de Tambacounda. Après les constats d’usage, les victimes ont été évacuées au district sanitaire de Goudiry. Une enquête est ouverte pour déterminer les causes de ce drame.
D’après le quotidien, l’immeuble en question, un R+5 situé aux Almadies en bord de mer, a été mis en hypothèque à Orabank sur la base de documents falsifiés : une fausse procuration, un faux état financier et d’autres pièces fabriquées. Ces actes auraient été orchestrés […]
À La Une justiceD’après le quotidien, l’immeuble en question, un R+5 situé aux Almadies en bord de mer, a été mis en hypothèque à Orabank sur la base de documents falsifiés : une fausse procuration, un faux état financier et d’autres pièces fabriquées. Ces actes auraient été orchestrés par M. Samb, avec la complicité de T. Ndiaye, chef d’agence d’Orabank Thiaroye, et N. P. Dieng. L’objectif était d’obtenir un prêt de 85 millions de francs CFA.
Anta Babacar Ngom, présidente du mouvement Alternative pour la Relève Citoyenne (ARC), affirme n’avoir jamais vendu cet immeuble ni donné procuration à quiconque pour réaliser une telle transaction. Elle a découvert l’escroquerie lorsqu’un huissier l’a informée d’un changement de propriété sur son bien. « Ils ont fait passer mon immeuble R+5 pour un bâtiment simple et nu », s’insurge-t-elle, dénonçant une fraude manifeste.
Les prévenus, condamnés en première instance, ont fait appel du jugement. Le parquet, cependant, a requis la confirmation des peines initiales malgré leurs dénégations. Le verdict de la Cour d’appel sera rendu le 21 janvier, conclut Les Échos.
La mort d’un supporter, touché par un projectile, a suscité une vive émotion à Mboro. Cet incident tragique s’est produit lors d’un match de navétanes entre l’ASC Mbaye Mbaye Peulh et l’ASC Gorée. La victime a malheureusement succombé à ses blessures. Selon les informations de […]
ACTUALITE SOCIETELa mort d’un supporter, touché par un projectile, a suscité une vive émotion à Mboro.
Cet incident tragique s’est produit lors d’un match de navétanes entre l’ASC Mbaye Mbaye Peulh et l’ASC Gorée. La victime a malheureusement succombé à ses blessures.
Selon les informations de Seneweb, le présumé coupable est activement recherché par les gendarmes de la brigade de Mboro.
Bassirou Diop, membre de la garde rapprochée de Barthélémy Dias décédé en prison, sera inhumé ce mardi, 10 décembre, souligne L’Observateur dans sa livraison du jour. La controverse entoure les conditions de son décès survenu samedi dernier, malgré les résultats de l’autopsie ordonnée par le […]
ACTUALITE SOCIETEBassirou Diop, membre de la garde rapprochée de Barthélémy Dias décédé en prison, sera inhumé ce mardi, 10 décembre, souligne L’Observateur dans sa livraison du jour. La controverse entoure les conditions de son décès survenu samedi dernier, malgré les résultats de l’autopsie ordonnée par le procureur de Saint-Louis, concluant à une mort naturelle. Barthélémy Dias rejette cette thèse.
Actionnée par le procureur de la République près le Tribunal de grande instance de Saint-Louis, la police locale mène l’enquête. L’Observateur rappelle que le magistrat instructeur avait également «initié des démarches» pour informer la famille du défunt de la triste nouvelle. C’est ainsi que la famille du défunt a dépêché des représentants pour «s’enquérir des détails concernant le processus de restitution de la dépouille et le déroulement de l’enquête». D’autant que souffle le journal du Groupe futurs médias, ce dernier «s’était plaint de douleurs lombaires alors qu’il était en détention préventive».
«Le 4 décembre dernier, lors d’échanges avec des proches, il leur avait fait savoir que ses douleurs lombaires s’étaient intensifiées et qu’il en souffrait», rembobine la même source. Qui avance que Bassirou Diop, «admis à l’infirmerie de la prison de Saint-Louis le lendemain de son procès, il y était resté en observation et avait été mis sous perfusion de 10h à 19h» avant de «retourner en cellule».
«Le lendemain, alors qu’il se reposait dans sa cellule, Bassirou Diop aurait soudainement été pris d’un malaise. Il était 10h du matin. [Il] éprouvait de sérieuses difficultés à respirer, complète L’Obs. Il avait la respiration forte. L’alerte a été donnée et les mesures nécessaires ont été prises pour le transporter immédiatement à l’infirmerie, d’où il a été évacué d’urgence à l’hôpital régional de Saint-Louis. Suivi par le Dr Ali Diakhaté, il a été pris en charge avant de rendre l’âme le samedi 7 décembre».
Le jugement en appel de Dieynaba Ndiaye, rendu ce lundi 9 décembre 2024, marque un tournant majeur dans cette affaire emblématique. Après plusieurs semaines d’incarcération, la jeune femme a obtenu une liberté provisoire, comme l’a annoncé le Collectif féministe du Sénégal sur les réseaux sociaux. […]
ACTUALITE SOCIETELe jugement en appel de Dieynaba Ndiaye, rendu ce lundi 9 décembre 2024, marque un tournant majeur dans cette affaire emblématique. Après plusieurs semaines d’incarcération, la jeune femme a obtenu une liberté provisoire, comme l’a annoncé le Collectif féministe du Sénégal sur les réseaux sociaux. Cette décision suscite des réactions de soulagement et d’espoir pour une justice plus équitable.
Une libération sous pression citoyenne
Depuis son arrestation, Dieynaba Ndiaye était au cœur d’une mobilisation nationale. Victime de violences conjugales selon ses témoignages, elle avait été condamnée en première instance à trois mois de prison ferme pour « collecte illicite de données à caractère personnel », sur plainte de son ex-mari Alioune Badara Mbacké. Cette décision avait choqué l’opinion publique, des organisations féministes et de nombreux citoyens dénonçant une double peine infligée à une victime de violences.
Contexte de l’affaire
Mariée en février 2024 à Alioune Badara Mbacké, médecin-chef du district sanitaire de Matam, Dieynaba Ndiaye avait rapidement signalé des agressions physiques et psychologiques. En mars, une dispute éclate après qu’elle découvre des messages compromettants sur le téléphone de son mari, entraînant de graves blessures qui lui valent une incapacité temporaire de travail de 10 jours.
Paradoxalement, alors qu’elle dépose plainte pour violences conjugales, elle se retrouve accusée de violation de la vie privée et condamnée à une peine de prison. Son mari, jugé le 23 octobre 2024, avait écopé de 45 jours de prison ferme, une peine jugée dérisoire par de nombreux observateurs.
Un symbole de lutte pour les droits des femmes
La liberté provisoire accordée à Dieynaba Ndiaye est perçue comme une victoire pour les collectifs féministes et les défenseurs des droits humains. Depuis le début de cette affaire, des manifestations ont été organisées, exigeant non seulement sa libération mais aussi des réformes pour protéger les victimes de violences conjugales.
Le Collectif féministe du Sénégal, qui a joué un rôle central dans la mobilisation, a salué cette décision tout en appelant à rester vigilant. « Ce n’est qu’une étape. Nous devons poursuivre notre lutte pour une justice qui protège les victimes et sanctionne véritablement les auteurs », peut-on lire dans leur communiqué publié sur les réseaux sociaux.
Quelle suite pour Dieynaba Ndiaye ?
Bien que cette liberté provisoire marque un répit pour Dieynaba Ndiaye, le combat judiciaire n’est pas terminé. La cour devra statuer définitivement sur son cas dans les semaines à venir. En attendant, son état de santé, fragilisé par ses 49 jours de détention, reste une préoccupation.
L’affaire de la mort en détention du garde du corps du maire de Dakar Barthélémy Dias, à l’hôpital régional de Saint-Louis, continue de faire du bruit. C’est aujourd’hui que l’autopsie du défunt Bassirou Diop est prévue, selon l’avocat Me Elhadj Diouf qui plaide pour les […]
ACTUALITE SOCIETEL’affaire de la mort en détention du garde du corps du maire de Dakar Barthélémy Dias, à l’hôpital régional de Saint-Louis, continue de faire du bruit. C’est aujourd’hui que l’autopsie du défunt Bassirou Diop est prévue, selon l’avocat Me Elhadj Diouf qui plaide pour les personnes détenues depuis les incidents électoraux à Saint-Louis durant la campagne précédente. « Ce n’est pas une surprise car, ses clients lui ont expliqué les tortures qu’ils ont subies sur la route de Allou Kaagn. Ils ont été piétinés sur la route par les éléments de la BIP qui étaient venus les cueillir. C’est tout à fait inhumain. Ce sont des innocents qui n’ont eu qu’un seul tort, celui d’être dans le cortège de la coalition Samm Sa Kaddù pour soutenir leur tête de liste Barthélémy Dias ».
En effet, selon Me Elhadj Diouf, ces violences et brimades allaient déboucher sur des cas comme celui de l’élément de sécurité de Barthélémy Dias, Bassirou Diop, qui a rendu l’âme. D’ailleurs, regrette l’avocat, « d’autres personnes détenues sont actuellement mal en point et n’arrivent pas à recevoir le traitement qu’il faut ». À noter que Me Elhadj Diouf se confiait aux confrères de la Rfm…
Bonne nouvelle pour Lat Diop. Trois mois après son inculpation et son placement sous mandat de dépôt par le Collège des juges d’instruction, le Pool judiciaire financier rouvre enfin le dossier, selon Les Échos. La Chambre d’accusation financière, saisie de deux requêtes par les avocats de […]
ACTUALITE justiceBonne nouvelle pour Lat Diop. Trois mois après son inculpation et son placement sous mandat de dépôt par le Collège des juges d’instruction, le Pool judiciaire financier rouvre enfin le dossier, selon Les Échos. La Chambre d’accusation financière, saisie de deux requêtes par les avocats de l’ancien directeur de la Lonase, a convoqué les parties concernées, notamment l’Agent judiciaire de l’État et les conseils de Lat Diop, pour son audience d’après-demain, mercredi 11 décembre, afin de statuer sur lesdites requêtes. Lat Diop a saisi la juridiction de recours pour demander, d’une part, l’annulation de la procédure et, d’autre part, la mainlevée de ses comptes.
Ouf de soulagement pour Lat Diop qui, depuis sa cellule, attendait avec impatience que la Chambre d’accusation se prononce sur les requêtes déposées par ses avocats. En effet, depuis près de trois mois, la juridiction d’instruction de recours avait observé un silence inquiétant sur le dossier. Mais tout a une fin. Vendredi dernier, une convocation a été remise à l’Agent judiciaire de l’État ainsi qu’aux avocats des parties, leur demandant de se présenter à l’audience prévue ce mercredi 11 décembre. La juridiction de recours va enfin statuer sur les deux requêtes déposées par l’ancien ministre des Sports (octobre 2023 – avril 2024). Lat Diop peut donc croiser les doigts et espérer. Il appartiendra à ses conseils de présenter des arguments solides pour convaincre les magistrats de la Chambre d’accusation.
Les avocats de Lat Diop ont d’abord attaqué la procédure, en soulignant devant la juridiction du second degré qu’elle comporte un vice. Selon leur argumentaire, les enquêteurs auraient largement dépassé les délais de garde à vue, en violation des dispositions du Code de procédure pénale. Pour eux, ce seul point constitue un motif suffisant pour annuler la procédure.
En outre, les avocats ont évoqué des contradictions concernant les faits visés. Le Parquet financier poursuit Lat Diop pour extorsion de fonds portant sur 8 milliards de francs, qui sont également qualifiés de détournement de deniers publics. Cette contradiction, selon les conseils, devrait être clarifiée. De plus, ils ont relevé que la Lonase ne s’est pas constituée partie civile, ce qui affaiblit, selon eux, la procédure engagée. Si les juges suivent cet argumentaire, Lat Diop pourrait être libéré d’office.
Outre la requête en annulation de la procédure, Lat Diop a également demandé, par une seconde requête, la mainlevée de ses comptes bancaires. Il convient de rappeler que le président du Collège des juges d’instruction avait ordonné la saisie des comptes de l’ancien patron de la Lonase, ce qui l’empêche de faire face à certaines dépenses. Pour ses avocats, la Chambre d’accusation devrait, à défaut de lever la saisie sur tous les comptes, au moins en cantonner certains pour lui permettre d’accéder à une partie de ses biens.
Après-demain sera donc un jour crucial pour Lat Diop. Pour rappel, l’ancien directeur de la Lonase a été inculpé et placé sous mandat de dépôt en septembre dernier pour extorsion de fonds et détournement de deniers publics portant sur 8 milliards de francs. Ces accusations font suite à une dénonciation du patron de 1XBet, qui n’a cependant pas accepté de se présenter devant les enquêteurs pour une confrontation. Pour sa part, Lat Diop continue de contester fermement les faits qui lui sont reprochés.
Neuf (9) opérateurs économiques ont été arrêtés à Porokhane, un village du Sénégal, situé près de Nioro du Rip dans la région de Kaolack. Ils sont poursuivis pour non-respect du prix plancher fixé par le gouvernement pour la commercialisation du kilogramme d’arachide, a fait savoir […]
ACTUALITE SOCIETENeuf (9) opérateurs économiques ont été arrêtés à Porokhane, un village du Sénégal, situé près de Nioro du Rip dans la région de Kaolack. Ils sont poursuivis pour non-respect du prix plancher fixé par le gouvernement pour la commercialisation du kilogramme d’arachide, a fait savoir le chef du service régional du commerce de Kaolack, Adama Mouhamed Mbaye.
Ce service en charge de veiller à l’application des mesures étatiques en matière de transaction commerciale a pris ces neuf (9) opérateurs en flagrant délit d’achats de graines d’arachide à des prix plancher de 305 F Cfa le kilogramme fixé par le gouvernement après concertations avec les différents acteurs de la filière arachide », a expliqué le commissaire aux enquêtes économiques.
A noter que la campagne de l’arachide a officiellement démarré le 5 décembre sur tout le territoire national.
Barthélémy Dias a perdu son poste de député à cause de sa condamnation dans l’affaire Ndiaga Diouf. Mais, il risque en plus de perdre sa liberté, si l’on en croit Les Échos. En effet, renseigne le journal, la famille de ce dernier souhaite l’application de […]
À La Une justiceBarthélémy Dias a perdu son poste de député à cause de sa condamnation dans l’affaire Ndiaga Diouf. Mais, il risque en plus de perdre sa liberté, si l’on en croit Les Échos. En effet, renseigne le journal, la famille de ce dernier souhaite l’application de la contrainte par corps pour recouvrer les 25 millions de francs Cfa de dommages et intérêts que le maire de Dakar doit payer en complément de la peine de deux ans de prison dont six mois ferme prononcée contre lui par la Cour suprême pour la mort de Ndiaga Diouf.
C’est que Barthélémy Dias serait incapable de payer cette somme. L’huissier de justice commis pour la recouvrer «a dressé un procès-verbal de carence que nous avons en notre possession», informe l’avocat de la famille de la victime, Me Pape Mor Niang, repris par Les Échos. Ce dernier rapporte que l’officier public «n’a rien trouvé comme biens; ni avoirs bancaires ni biens immobiliers ou autres».
Pour Me Niang, que déclare avoir être invité par sa cliente à lancer la procédure, la contrainte par corps reste pour la famille de Ndiaga Diouf le seul moyen de rentrer dans ses fonds. «On a tous les documents en notre possession, clame l’avocat. L’arrêt de la Cour suprême est disponible depuis belle lurette. C’est une décision définitive et il n’y a plus possibilité de faire un recours.»