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ACTUALITE INTERNATIONAL500 grammes de cocaïne ont été retrouvés dans l’estomac d’un ressortissant sénégalais à l’aéroport de Zurich. Il venait de Madrid capitale de l’Espagne.Il a été arrêté par la police cantonale de Zurich lors d’un contrôle de routine alors qu’il tentait de franchir le cordon policier.Le Sénégalais a été déféré au parquet de Winterthur/Interland
Le Professeur Alpha Condé, ancien Président guinéen, risque la prison à vie. La junte au pouvoir a actionné les services du Procureur général qui, depuis hier, ont inculpé l’ancien Président et 26 autres de ses compagnies de divers crimes liés notamment aux manifestations de 2019 […]
ACTUALITE INTERNATIONAL POLITIQUELe Professeur Alpha Condé, ancien Président guinéen, risque la prison à vie. La junte au pouvoir a actionné les services du Procureur général qui, depuis hier, ont inculpé l’ancien Président et 26 autres de ses compagnies de divers crimes liés notamment aux manifestations de 2019 contre le troisième mandat.
On se rappelle que durant cette période, le Front national de défense de la démocratie (Fndc) qui regroupe plusieurs partis politiques et membres de la société civile organisait, régulièrement des manifestations réprimées dans le sang. On parle d’une dizaine voire d’une centaine de morts selon les sources.
En effet, les forces de l’ordre tiraient à balles réelles sur les manifestants, ce qui avait engendré de vives protestations en Guinée et dans les pays d’Afrique.
Aujourd’hui, Condé et certains de ses ministres devront répondre de ces actes devant la Justice, ce qui, à coup sûr, signifiera la prison à vie pour eux.
Ainsi, après les déboires du principal opposant Celou Dalein Diallo qui a vu ses domiciles confisqués, c’est au tour de l’ancien Président et nombre d’acteurs politiques guinéens de subir de procédures judiciaires qui pour corruption, qui pour assassinat, etc.
Ce qui se passe en Guinée, est le remake de la situation au Mali où la junte au pouvoir entend à la fois lutter contre la corruption et l’insécurité mais également contre la classe politique classique accusé de tous les maux d’Israël et d’avoir surtout entrainé leurs pays dans la situation d’impasse où ils se trouvent.
La réalité est que donc les militaires au pouvoir ne souhaitent pas un jour voir arriver au pouvoir cette classe politique classique. Et c’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles les transitions sont aussi prolongées. Il s’agit de se donner le temps de mettre en place une nouvelle classe politique avec ou sans les militaires pour éviter au pays les déboires du passé.
Toutefois, cette stratégie a quelque chose de dangereux. Car, il est difficile d’écarter toute la classe politique, celle qui a eu à participer au pouvoir si cette dernière est aux commandes des principaux partis et mouvements politiques.
La principale équation des militaires aussi bien au Mali, au Burkina Faso qu’en Guinée est de trouver la bonne formule pour choisir les hommes politiques à leur convenance afin d’assurer les ‘’révolutions’’ qu’ils souhaitent.
Car, la Cedeao est là pour veiller au grain et la communauté internationale aussi. Et il est difficile de toujours trouver des prétextes pour écarter des hommes politiques dans un système qui se veut un tant soit peu démocratique.
C’est pourquoi, malgré le risque de retour un système ‘’corrompu et anti-démocratique’’, il est important de laisser le soin aux populations elles-mêmes de choisir leurs propres dirigeants.
Ce système a des risques, notamment d’élire ceux qui ont plus de moyens et de capacités de mobilisation, mais c’est le moins mauvais.
Force est de reconnaitre en effet qu’on ne peut pas faire autrement à moins de retomber dans le piège qui constitue, pour un homme ou un groupe, de penser qu’il a le monopole de la vérité et du nationalisme.
C’est pourquoi, même s’ils ont de bons côtés, les coups d’Etat ne sont pas à encourager. Ils sont même condamnables.
Car, il n’appartient pas aux militaires de décider des profils des candidats et des futurs présidents des pays.
C’est pourquoi tous ces pays qui ont connu des coups d’Etat sont dans une sorte d’impasse. La souveraineté appartient au peuple et non à l’Armée.
S’agissant du cas d’Alpha Condé, la junte sera confrontée à la difficile équation de l’emprisonnement d’un vieillard de 80 ans. Ce qui équivaudra à une condamnation à mort.
L’autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP) a procédé hier à la restitution des travaux de mise en place de la comptable analytique de la société nationale La Poste. Elle révèle une rémunération publique d’environ 11,5 milliards F Cfa. Le secteur postal, au […]
ACTUALITE ECONOMIEL’autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP) a procédé hier à la restitution des travaux de mise en place de la comptable analytique de la société nationale La Poste. Elle révèle une rémunération publique d’environ 11,5 milliards F Cfa.
Le secteur postal, au vu de l’analyse des forces et des faiblesses du secteur ainsi que des remontées d’informations des opérateurs et autres acteurs, est caractérisé par l’existence de faibles volumes, des revenus et des investissements modestes, une densité postale moyenne, une qualité de service à améliorer entre autres. Pour y faire face, l’autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP) a fait faire des travaux de mise en place de la comptabilité analytique de la société nationale La Poste. Ces travaux ont été restitués hier. Selon le directeur général de l’ARTP, Abdoul Ly, le secteur postal connaît de profondes mutations qui bouleversent les usagers et les conditions d’exploitation de l’activité de courrier et de colis imposant ainsi une démarche de régulation concertée avec l’ensemble des acteurs. « La Poste prestataire du service universel postal est soumise à des obligations comptables spécifiques dont le respect est garanti par le régulateur. La mise en place de la comptabilité analytique de la Poste outre le renforcement de la transparence comptable celui de la détermination de la contrepartie due à l’Etat au titre de la mission de service public assurée par l’opérateur public. Ce sont donc des jalons qui assurément contribueront à œuvrer en faveur de la restructuration de l’opérateur historique, véritable vecteur d’inclusion économique et social », dit-il. De son avis, ces actions permettront de favoriser la promotion et le développement de la concurrence des services innovants dans le secteur postal, d’identifier les besoins des opérateurs postaux pour mieux les accompagner, d’offrir aux usagers et aux consommateurs une meilleure visibilité de l’offre tarifaire postale, d’orienter les acteurs vers le respect des bonnes pratiques et lignes de conduite fixées par l’ARTP
Pour le directeur général de la Poste, Abdoulaye Bibi Baldé, l’Etat a investi 1, 3 milliard F Cfa pour un service adapté pour cette société nationale. « Ce montant, la poste ne cesse de s’y atteler pour assurer ses services sur l’ensemble du territoire national et contribue de manière significative à un maillage du territoire. Ce plaidoyer a permis au moment de la concession du service de la poste qui est sorti de l’élaboration du cahier de charge 14-2015 a obtenu du comité ad hoc d’atteindre leurs objectifs avec la réhabilitation du montant de cette subvention à 6,7 milliards f Cfa », fait-il savoir. Et de poursuivre : « Ce qui a permis de mettre à la poste une comptabilité analytique afin de pouvoir résorber le montant de cette rémunération sur des bases rigoureuses et plus objectives ». Il reconnaît toutefois que depuis lors ladite convention de même que le cahier de charge est toujours en instance de régulation. «Cette rémunération s’est faite accompagner par un cabinet privé pour mettre en place une comptabilité analytique dont les conclusions pour cette question de la rémunération publique laissent paraître un montant d’environ 11,5 milliards F Cfa. Cette étude déjà faite conformément aux revues interministérielles de la restructuration de la poste a été livrée et laisse en attente de la détermination du montant du service public », renseigne-t-il. A l’en croire, tout au long du processus de la comptabilité analytique, certaines questions reviennent souvent à savoir comment déterminer le coût d’un produit ou prestation de services en ignorant complètement les différentes activités et processus dans la réalisation de produit pour une telle autre prestation. «Nous comptons trouver des réponses à ces questions et débattre sur le dispositif interne mis en place pour la mise en œuvre des principales recommandations issues des conclusions des rapports d’audit. L’objectif reste d’améliorer le système et de se conformer aux meilleures pratiques existantes en matière de comptabilité analytique », conclut-il.
Marième Guèye et le Docteur Nadia Atinouke Tchevidimi Maliki Raimi, respectivement sage-femme et gynécologue au centre de santé Nabil Choucair ont été jugées ce jeudi 05 mai 2022 devant le tribunal Correctionnel de Dakar pour homicide involontaire au préjudice de Aminata Cissé décédée dans des […]
ACTUALITE SANTE SOCIETEMarième Guèye et le Docteur Nadia Atinouke Tchevidimi Maliki Raimi, respectivement sage-femme et gynécologue au centre de santé Nabil Choucair ont été jugées ce jeudi 05 mai 2022 devant le tribunal Correctionnel de Dakar pour homicide involontaire au préjudice de Aminata Cissé décédée dans des circonstances déplorables ainsi que son bébé de 5,4 kilos.
Ce jeudi 5 mai 2022, jour du procès de Astou Sokhna, décédée à la maternité de l’hôpital de Louga à cause d’une négligence médicale, une autre affaire presque similaire à son cas a été jugée à la chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Dakar.
En septembre 2015, l’avocat de la partie civile, Me Dramé a saisi la justice en portant plainte contre le centre de santé Nabil Choucair de la Patte D’oie pour une affaire d’homicide involontaire. En effet, après son accouchement, la dame Aminata Cissé a confié à sa maman que deux gaillards sont venus s’asseoir sur son ventre pour faire sortir son enfant. Par la suite, son bébé décédera et elle avait les lèvres enflées. Quelques jours plus tard, la dame Aminata Cissé va rendre l’âme. Le certificat de genre de mort va déceler une insuffisance cardiaque pulmonaire dû à une rupture utérine. L’enquête a conduit à l’arrestation de Marième Guèye et du Docteur Nadia Atinouke Tchevidimi Maliki Raimi, respectivement sage-femme et gynécologue au centre de santé Nabil Choucair.
Devant le prétoire, le plaignant, Amsatou Diallo, époux de la dame, explique que ce jour-là, il a acheminé sa femme à l’hôpital aux environs de 6 heures du matin. Il précise qu’en quittant chez lui, la défunte avait déjà commencé le travail. « Quand nous sommes arrivés au centre de santé, les sage-femmes d’accueil l’ont prise en charge et m’ont suggéré d’attendre. Après quelques heures, elles sont venues m’annoncer que le bébé est décédé, mais la maman est vivante. Mon épouse suivait régulièrement ses visites prénatales. Elle était suivie dans une structure de santé qui se trouve aux Parcelles assainies. Quand ma belle-mère est venue me voir, elle m’a dit que sa fille lui avait confié que des gaillards sont montés sur son ventre pour faire sortir le bébé. C’est la raison pour laquelle elle a eu une rupture de l’utérus », narre-t-il.
Des déclarations corroborées par la maman de la victime répondant au nom de Fatoumata Mbaye. Elle dira : « c’est vers les coups de 8 heures du matin que j’ai su que ma fille a été acheminée au centre de santé Nabil Choucair. « Je me suis rendu sur les lieux. J’ai voulu entrer, mais les sages-femmes ont refusé. Quelques instants après, j’ai forcé le passage et j’ai vu ma fille dans un état pitoyable avec les lèvres enflées. Lors de ses visites prénatales, les sages-femmes lui avaient clairement dit qu’elle ne pouvait pas accoucher normalement. Elle devait plutôt subir une intervention chirurgicale vu la taille de son bébé. Sur son lit d’hôpital, elle m’a suppliée de la faire sortir de cet hôpital, car elle a failli perdre la vie. C’est ainsi que ma fille m’a confié que deux gardes de l’extérieur sont montés sur son ventre pour faire sortir le bébé, car l’enfant était coincé.
Interrogée sur les faits, la sage-femme Marème Guèye qui comparait seule devant la barre en l’absence de la gynécologue, a nié les faits qui lui sont reprochés. Elle livre sa relation des faits : « Lorsque la dame Aminata Cissé est venue à l’hôpital, la gynécologue l’a regardée. La patiente présentait quatre pathologies à risque pour un accouchement par voie basse. Quand elle a accouché, j’ai tout de suite pris le bébé pour l’amener à la salle de réanimation. Son bébé était à cinq (5) kilos 600. Depuis 20 ans de service, je n’ai jamais vu une pareille taille pour un nouveau-né. La patiente était une femme obèse et diabétique », se défend-elle.
La blouse rose affirme que ce jour-là, le bloc opératoire était en panne et le médecin sous astreinte était injoignable. Elle ajoute que la dame est arrivée au centre de santé alors que la tête du bébé était déjà visible. « Et au moment de l’accouchement, on lui a fait une super extension des membres inférieurs. Par la suite, elle a eu une déchirure du col. Après l’accouchement, elle ne saignait plus. Elle est décédée le lendemain à 15 heures », explique-t-elle.
Prenant la parole, Me Dramé, avocat de la partie civile, a posé à la prévenue la question de savoir si la gynécologue avait dit que c’était impossible que la dame accouche par la voie normale ? Elle répond par « Oui, je confirme ». L’avocat enchaîne par une deuxième question : « Est-ce que vous avez essayé de la transférer dans une autre structure pour une prise en charge » ? La sage-femme rétorque : « Nous avons appelé dans les structures sanitaires, mais nous n’avons pas pu trouver de place. En plus de cela, le médecin sous astreinte était injoignable. »
Le parquet demandera à l’époux de la dame à quel moment les sages-femmes lui ont fait savoir que sa femme avait une rupture utérine. « Elles ne m’ont rien dit. Ma femme a laissé quatre enfants derrière elle. Et elle les a eus tous par voie basse. Plus de 12 ans de mariage, on ne m’a jamais signalé qu’elle était diabétique », déclare Amsatou Diallo.
Un témoin du nom de Babacar Biaye relate que la dame a été admise au bloc pour réparer la rupture. Il affirme que si le diagnostic avait été fait, peut-être que la dame allait s’en sortir. Il révèle que l’hémorragie était minimale, mais cela a duré.
Quant au Docteur Gassama, il explique que son rôle est de faire de l’anesthésie au centre de santé Nabil Choucair. Il avoue que la défunte s’est endormie après l’accouchement. « Elle a beaucoup saigné. L’anesthésie était risquée, mais il fallait prendre ce risque pour l’opérer », explique-t-il.
Lors de sa plaidoirie, le conseil de la partie civile, Me Dramé a fait savoir que depuis 2014, Fatoumata Mbaye est devenue une mère complètement dévastée, pleurant toujours sa fille. La robe noire a souligné que dans cette affaire, on s’est focalisé sur l’accouchement, mais est ce qu’on devrait en arriver à ce stade. « Une dame s’est présentée avec un dossier médical qui justifie qu’elle ne peut pas accoucher par la voie normale. Tôt le matin, tout le monde savait qu’elle ne devait pas faire un accouchement normal. Vous savez que vous ne pouviez pas porter une assistance à la dame, car vous n’avez pas les compétences requises. Il ne fallait pas y toucher vu que ce n’est pas de votre ressort », dit-il. Il laisse entendre qu’Aminata Cissé est morte parce qu’on l’a abandonnée et elle était en danger. « Lorsqu’une personne est en danger, on doit tout faire pour la sauver surtout quand il s’agit d’un médecin. La gynécologue Nadia n’avait pas beaucoup d’expérience. Elle savait que la dame ne pouvait pas s’en sortir. Ils ont essayé d’appeler le Dr Abdou Ndiaye parce qu’ils étaient pris de panique. Aminata Cissé n’est pas morte de diabète, ni d’obésité, ni de tension artérielle. Il est imputable à la rupture utérine. Rien ne les oblige à prendre une patiente sans avoir les qualités requises. La responsabilité est totale d’où le délit d’homicide involontaire. Tout l’argent du monde ne fera pas revenir Aminata Cissé. Suffisant pour la défense de réclamer la somme de 100 millions de francs Cfa pour tous préjudices confondus.
Le parquet, dans son réquisitoire, indexe le gynécologue Nadia d’être la responsable et mentionne que si Aminata Cissé était prise en charge très tôt, le diagnostic de rupture pouvait être décelé. Ainsi, il requiert deux ans, ferme et décerne un mandat d’arrêt contre Nadia Riami. Pour Marième Guèye, le parquet retient qu’elle n’a fait qu’exécuter des ordres. Sur le plan pénal, on ne peut lui imputer un quelconque délit. Ainsi, il plaide pour sa relaxe. Du côté de la défense assurée par Me Demba Ciré Bathily, l’accouchement s’est fait normalement même si le bébé est mort. Ils ont aidé la dame, car elle était de forte corpulence.
Le jugement sera rendu le 02 juin prochain…
Un jeune homme a été poignardé à mort mardi soir à Alfortville, dans le Val-de-Marne, relatent plusieurs médias hexagonaux, dont Le Parisien et RMC. La victime était en train de frapper sa compagne en pleine rue lorsqu’un individu s’est interposé avant de lui asséner plusieurs […]
ACTUALITE SOCIETEUn jeune homme a été poignardé à mort mardi soir à Alfortville, dans le Val-de-Marne, relatent plusieurs médias hexagonaux, dont Le Parisien et RMC. La victime était en train de frapper sa compagne en pleine rue lorsqu’un individu s’est interposé avant de lui asséner plusieurs coups de couteau. L’auteur du coup de couteau mortel a été interpellé alors qu’il tentait de s’enfuir.
Le couple se disputait violemment à la sortie d’un magasin aux alentours de 21h30 ce mardi soir. Le jeune homme de 25 ans a porté des coups à sa compagne. Un étudiant de 21 ans s’est interposé et la situation a dégénéré.
Le compagnon violent s’en est pris au jeune qui tentait de mettre fin à la dispute. Selon une source citée par Le Parisien, ce dernier a alors sorti un couteau et a poignardé son adversaire au niveau du thorax. La victime, connue de la police, n’a pu être réanimée par les secours et est décédée.
L’auteur du coup de couteau mortel a été interpellé alors qu’il tentait de prendre la fuite. Il a été placé en garde à vue. Toujours selon le quotidien, la compagne de la victime n’aurait pas été blessée.
Les langues commencent à se délier, dans ce que l’on peut appeler le scandale sexuel le plus dégueulasse de ces derniers temps. C’est l’affaire Dubaï Porta Porty.Les Sénégalaises ne sont pas épargnées par ce scandale. Si l’on se réfère à la liste des pays concernés, […]
ACTUALITE SOCIETELes langues commencent à se délier, dans ce que l’on peut appeler le scandale sexuel le plus dégueulasse de ces derniers temps. C’est l’affaire Dubaï Porta Porty.
Les Sénégalaises ne sont pas épargnées par ce scandale. Si l’on se réfère à la liste des pays concernés, le Sénégal arrive en 4e position, avec pas moins de 43 filles concernées.Dans ce contexte, la célèbre jet setteuse sénégalaise, Nabou Dash semble prendre la défense des influenceuses citées. Selon elle, on fait pire au Sénégal.
Une mise au point de taille du Président du Conseil départemental de Mbacké a été adressée à la conférence des leaders de la coalition Yewwi Askan Wi. Serigne Fallou Mbacké s’est voulu on ne peut plus clair dans la note qu’il confie à Dakaractu : […]
ACTUALITE POLITIQUEUne mise au point de taille du Président du Conseil départemental de Mbacké a été adressée à la conférence des leaders de la coalition Yewwi Askan Wi. Serigne Fallou Mbacké s’est voulu on ne peut plus clair dans la note qu’il confie à Dakaractu : « Je l’affirme catégoriquement : personne ne décidera à notre place des candidatures aux élections législatives prochaines. »
Visiblement décidé à ne pas se laisser faire, le Mbacké- Mbacké a préféré d’abord lancer un appel assez courtois, mais sans ambiguïté aucune (au nom des militants et sympathisants de la Coalition And Suxali Sénégal, membre actif de Yewwi Askan Wi) au directoire de la coalition nationale. « Cet appel, dit-il, est une mise en garde relative au choix des investitures au niveau du département de Mbacké, en perspective des élections législatives du mois de juillet 2022. En ma qualité de coordonnateur de la Coalition And Suxali Sénégal, et d’acteur pleinement engagé dans la promotion de l’action politique de Yewwi Askan Wi dans le département de Mbacké, je n’accepterai aucune investiture pour les Législatives contraire aux propositions du département, qui a souverainement plébiscité notre leadership politique lors des élections locales du 23 janvier 2022. »
Serigne Fallou Mbacké de signaler qu’ « au vu de la place prépondérante du département de Mbacké et de Touba, dont le poids électoral commande une considération particulière, le choix souverain de ceux qui porteront notre voix aux élections doit nous revenir, en toute exclusivité, sans une quelconque influence extérieure, contre laquelle nous nous dresserons sans autre forme de procès. »
Il poursuit : « tout autant nous attendons de Yewwi Askan Wi toute la considération requise dans le choix des candidats sur la liste nationale, car nous revendiquons la place de locomotive de notre coalition, au vu du poids électoral incontestable de Mbacké qui peut faire basculer le scrutin en notre faveur, si le casting conforme à nos attentes est fait.
C’est pourquoi je tiens pour finir à le souligner fermement : toute initiative contraire au respect des propositions des populations du département de Mbacké ne passera pas, et les conséquences politiques d’une telle forfaiture, si jamais elle venait à être perpétrée, seront assumées par les responsables de cet état de fait ».
Affaire à suivre…
Nous avons lu avec beaucoup de déception et d’amertume le texte du corsaire de GUY MARIUS SAGNA, doublé de voyou, triplé d’activiste partisan, quadruplé de violent et quintuplé de pointeur récidiviste demandant sans vergogne une place dans notre Auguste Assemblée nationale. Nous tenons à te […]
ACTUALITE POLITIQUENous avons lu avec beaucoup de déception et d’amertume le texte du corsaire de GUY MARIUS SAGNA, doublé de voyou, triplé d’activiste partisan, quadruplé de violent et quintuplé de pointeur récidiviste demandant sans vergogne une place dans notre Auguste Assemblée nationale.
Nous tenons à te dire d’emblée que ta candidature est IRRECEVABLE. Le Sénégal, notre grand pays a besoin de représentants dignes de ce nom, aptes à prendre en charge les préoccupations des populations avec discernement et non avec violence.
Ensuite, nous t’informons que l’Assemblée nationale est un lieu où l’on tient des débats sérieux concernant le devenir de notre pays et non un théâtre d’opération où l’on se frotte avec des policiers à longueur de journée.
En outre, Mister Guy, l’Assemblée nationale a besoin d’honorables députés conscients et lucides et non des dépités toujours armés de coupe coupe et de pompes à gaz bien rangés dans un petit sac de paysan traversant le corps et prêts à polluer l’hémicycle jusqu’à agresser le Président de l’ Institution- on ne sait jamais.
Enfin, nous te demandons cher frère, tu étais où lorsque ta camarade de parti de golf sud a renvoyé indignement les 67 techniciens de surface – ou bien tu sélectionnes tes combats.
Nous avons toujours cru, avec raison, que ton mouvement Frapp est dans le Pastef ce que la Cojer, le Meer ou les JBR représentent pour L’APR : une instance de la jeunesse du parti.
Pour terminer, nous te faisons savoir, de façon simple que le fruit de l’Assemblée nationale n’est pas encore mûr pour toi et tu n’es pas encore mûr pour ce fruit.
A bon entendeur….
Le maire de Bambey a préféré déposer ses baluchons auprès de la mouvance présidentielle. Ce, après avoir été élu sous la bannière de la coalition Yewwi Askan Wi (Yaw) au soir des élections locales qui ont eu lieu le 23 janvier dernier. Ainsi, la présidente […]
ACTUALITE POLITIQUELe maire de Bambey a préféré déposer ses baluchons auprès de la mouvance présidentielle. Ce, après avoir été élu sous la bannière de la coalition Yewwi Askan Wi (Yaw) au soir des élections locales qui ont eu lieu le 23 janvier dernier.
Ainsi, la présidente du mouvement Alliance Nationale pour la Démocratie And Saxal Liguey s’est appesantie suite à cette décision du désormais allié de Macky Sall. Seulement, pour Aida Mbodj, « on ne peut pas lui reprocher quoi que soit car elle n’a pas été au courant. »
« Dans cette affaire, on ne peut reprocher grande chose à Aida MBODJI parce qu’on n’a trahi personne. Je n’y suis pour rien, je n’en sais absolument rien, nous sommes au même niveau d’information. Pour le reste on aura l’occasion d’y revenir », déclare-t-elle, selon Walfadjiri.
A l’en croire, « une personne est venue nous dire son ambition. Trois ans après, on a eu l’opportunité de la concrétiser et on lui a fait cette faveur. J’estime que si quelqu’un doit baisser les yeux, ce ne sera pas de notre côté. Nous rendons grâce à Dieu. On nous l’avait dit et répété mais on pensait que c’était la parole d’une ennemi ».
A noter que plusieurs maires de Yewwi Askan Wi ont rejoint la coalition Benno Bokk Yakaar pour, selon eux, travailler pour leur commune.
Les habitants du village de Somme, situé dans la commune de Warkhokh dans le département de Linguère se sont réveillés dans la consternation. Une habitante du village a été retrouvée morte. Elle a été identifiée sous le nom d’Ouleye Ka, âgée de 32 ans. Les […]
ACTUALITE SOCIETELes habitants du village de Somme, situé dans la commune de Warkhokh dans le département de Linguère se sont réveillés dans la consternation. Une habitante du village a été retrouvée morte. Elle a été identifiée sous le nom d’Ouleye Ka, âgée de 32 ans. Les faits se sont déroulés mardi vers 6 heures du matin. Son corps a été trouvé pendue à un arbre situé à quelques encablures du village.
Selon les informations de « Réwmi Quotidien », elle aurait attendu que tous les membres de sa famille soient endormis pour se suicider. La défunte se serait servie d’une corde qu’elle a attaché à l’une des branches avant de le passer autour de son cou.
L’absence d’Ouleye Ka a été découverte par son oncle Gagnado Ka à son retour de la mosquée. Inquiet, il a alerté le reste de la famille et ils se sont lancés à sa recherche. Suivant les pas de la victime, ils sont arrivés à l’endroit où le drame s’est produit.
Prévenus, les gendarmes de Linguère et l’infirmier chef du poste de santé de Warkhokh se sont rendus sur les lieux du drame. Après constat, la dépouille d’Ouleye Ka a été déposée à la morgue de l’hôpital Magatte Lô de Linguère. Selon les témoignages de la famille, la défunte souffrait de troubles mentaux depuis quelques temps.