La course effrénée vers la Présidentielle 2024 au Sénégal continue de susciter des débats passionnés au sein de la sphère politique. Ce mercredi, une rencontre entre les mandataires des candidats retenus provisoirement avec les membres du Conseil constitutionnel a jeté de l’ombre sur les rumeurs […]
ACTUALITE POLITIQUEDans le cadre du processus électoral en cours, une rencontre entre le Conseil constitutionnel et les mandataires des 21 candidats retenus après le contrôle des parrainages a révélé des contestations. Le mandataire de Serigne Mboup, Mbaye Ngom, a délivré un compte-rendu succinct des échanges houleux […]
ACTUALITE POLITIQUELes négociations de prolongation du contrat de Pape Gueye avec l’OM, sont bloquées. En en croire l’Equipe, les exigences du sénégalais sont très élevées. L’OM peine à convaincre Pape Gueye de prolonger son contrat qui prendra fin ce mois de juin. Selon L’Equipe, l’international sénégalais […]
ACTUALITE SPORTSDeuxième et troisième force politique du Sénégal, à la veille des législatives. Yewwi Askan wi et Guem sa Bopp font face à un même adversaire, dans un même combat , mais dans la division. Face à un régime très calculateur qui décaisse et débauche, les […]
ACTUALITE POLITIQUEDeuxième et troisième force politique du Sénégal, à la veille des législatives. Yewwi Askan wi et Guem sa Bopp font face à un même adversaire, dans un même combat , mais dans la division.
Face à un régime très calculateur qui décaisse et débauche, les deux Coalitions rament en eau trouble après le dépôt des listes et affichent la même volonté d’en découdre avec principalement Macky Sall….
Largement relayée par la presse, la réaction de Bougane Guèye Dany et Fadel Barro a été ferme et sans ambages pour indexer le régime de Macky Sall qui dans sa volonté annoncée et affichée de vouloir réduire l’opposition sénégalaise à zéro.
Le filtrage du parrainage avait recalé la Coalition Gueum sa bopp, pourtant arrivée troisième lors de ces récentes élections locales. Bougane Guèye Dany réagissant à cette « élimination » a démontré, mais aussi montré ses preuves contre une décision jugée arbitraire. Plus radical, Fadel a menacé le régime en place pour lui dire que « ça ne passera pas ! ». « Macky Sall devra marcher sur nos cadavres pour arriver à ses fins ! », avait-il ajouté.
A peine quelques heures après ce fut au tour de Yewwi Askan Wi de se voir recaler pour la conquête de Dakar qu’elle avait raflé pourtant face à Benno lors des élections locales. Avec les démissions des frustrés, nécessité était de les remplacer sur la liste, mais aussi selon certaines sources de rééquilibrer la parité, Mais Barth Dias qui apportait ces rectifications a été bloqué à l’entrée de la Direction générale des élections.
Bouillant de colère devant ce qu’il qualifie de énième forfaiture du Régime de Macky, il a carrément appelé à la mobilisation pour « montrer à Macky Sall que cela ne passera pas, ce pays ne lui appartient pas ! » Deux attitudes identiques face à un même adversaire qui agit dans l’illégalité, car sur le parrainage maintenu au forcing, la CEDEAO a déjà tranché : « C’est une mesure antidémocratique. » C’est ainsi que l’institution communautaire avait demandé au pouvoir sénégalais de supprimer la parrainage. Proposition rejetée.
Question : « Avec une volonté commune d’en découdre avec Macky, qu’est ce qui empêche YAW et Gueum Sa Bopp de taire leurs divergences, pour porter le même combat ? ».
Farba Ngom avait soulevé le lièvre, lors de la conférence de presse de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), en le citant nommément. En tout cas, le quotidien L’INFO semble lui donner raison dans sa livraison de ce vendredi. « Après les discussions entre Yewwi Askan […]
ACTUALITE POLITIQUEFarba Ngom avait soulevé le lièvre, lors de la conférence de presse de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), en le citant nommément. En tout cas, le quotidien L’INFO semble lui donner raison dans sa livraison de ce vendredi.
« Après les discussions entre Yewwi Askan Wi et Wallu Sénégal, il a été retenu de retirer le nom Palla Samb pour le remplacer par une femme de Takhawou Sénégal et de mettre Joseph Sarr de Wallu à la 7e place pour respecter la parité », écrit le journal.
Qui ajoute : « Saliou Sarr a changé la liste définitive, au moment du dépôt au niveau de la commission, en maintenant la liste avec Palla Samb. Il a expliqué que ce sont les représentants de la Cena et de la Dge, avec qui il a échangé au niveau de la commission, qui lui ont assuré quela liste avec Palla Samb était valable ».
L’INFO de poursuivre : « C’est pourquoi Barthélemy Dias et Déthié Fall ont dit, lors de leurs adresses à la presse, que cette liste n’était pas celle donnée par le mandataire. Khalifa Sall et le mandataire national Déthié Fall ont été informés, très tard dans la nuit, du dépôt d’une liste non paritaire ».
Un homme est mort d’une crise cardiaque dans son jardin en Caroline du Sud, où il était en train d’enterrer une femme qu’il avait étranglée, ont annoncé mardi les autorités locales. Sa mort «semble naturelle», selon elles. L’homme, âgé de 60 ans, «a été retrouvé […]
ACTUALITE INTERNATIONALUn homme est mort d’une crise cardiaque dans son jardin en Caroline du Sud, où il était en train d’enterrer une femme qu’il avait étranglée, ont annoncé mardi les autorités locales. Sa mort «semble naturelle», selon elles.
L’homme, âgé de 60 ans, «a été retrouvé mort dans son jardin» samedi matin et son corps «ne présentait aucun signe de traumatismes», ont indiqué la shérif et le responsable médico-légal du comté d’Edgefield dans un communiqué, diffusé par la presse locale.
Attaque cardiaque
En enquêtant sur ce décès, la police a découvert sur les lieux un autre cadavre, celui d’une femme 65 ans, dans une tombe qui venait d’être creusée. Les autopsies réalisées lundi ont conclu que l’homme était mort d’une crise cardiaque tandis que la femme avait été assassinée par strangulation.
Selon les autorités, le sexagénaire a attaqué sa victime à l’intérieur de la maison, puis il l’a ligotée et enveloppée de sacs-poubelles avant de la placer dans la tombe qu’il venait de creuser. C’est en recouvrant la tombe de terre qu’il a eu une attaque cardiaque. Les motifs du meurtre restent pour le moment inconnus.
Nombreux sont les partis et mouvements politiques qui se sont offusqués du processus électoral. Si certains pointent du doigt l’Etat central (Apr et alliés), d’autres n’hésitent pas à crier à tue-tête l’absence d’impartialité de la commission électorale, avec à sa tête le ministre de l’Intérieur. […]
ACTUALITE POLITIQUENombreux sont les partis et mouvements politiques qui se sont offusqués du processus électoral. Si certains pointent du doigt l’Etat central (Apr et alliés), d’autres n’hésitent pas à crier à tue-tête l’absence d’impartialité de la commission électorale, avec à sa tête le ministre de l’Intérieur. Mais, le plus désolant se trouve dans les rangs de ceux qui se réclamaient première force, «divisée», de l’opposition.
La nature a horreur du vide, nous renseigne le vieux adage. Depuis un certain temps, nous constatons un silence, quelque part coupable, des acteurs politiques. D’où l’immersion de nouveaux hommes de médias «sociopolitiques», pour prendre doucement et sûrement la place des vrais acteurs. Ils bénéficient de l’audience et de leurs temps d’antenne PROFESSIONNELS pour épiloguer de manière envoûtante sur les questions qui intéresseraient le peuple, non sans trop proposer des solutions. Que de description euphorique des maux de la société ! Ceci leur donne le droit de s’ériger en représentants des sans voix, accompagnés par les feuilles volantes des partis politiques pour matérialiser leurs stratégies que j’appellerais «se rechercher sur l’échiquier politique» ou simplement faire de la politique sans passer par la voie politique.
En outre, force est de constater l’irresponsabilité et la bassesse des tenants du pouvoir à écarter de vaillants fils du pays qui se sont investis depuis et que tout le monde a bien constaté leurs descentes sur le terrain pour s’enquérir des préoccupations de la population. A ce niveau, il serait judicieux de reconnaître, à juste titre, le mérite de Bougane d’avoir usé de tous ses moyens pour aller dans les milieux les plus éloignés du pays, pour se faire non seulement un nom mais aussi gonfler les rangs de son mouvement. Alors dire qu’il n’a pas le nombre de parrains qu’il faut relève de la méchanceté et du forcing. Dommage pour ce pays où le citoyen est apprécié suivant de quel côté il marche.
Mon vécu sur le terrain politique m’a appris que de nos jours, les alliances sont purement faites pour soit sauver sa peau (entendez par là de maille avec la Justice), soit pour bénéficier d’éventuels strapontins. Autrement dit, elles sont teintées de fumisterie, de copinage et de lobbying. Malheur à ce pays qui ne cessera jamais d’être pris en otage par des calculateurs. Quelle est l’avenir et la fiabilité de la coalition Yewwi askan wi au vue de la présentation de sa liste de candidats pour les Législatives ?
En définitive, le pouvoir en place aurait beaucoup à gagner avec l’éclatement des rangs de l’opposition, mais également le peuple aura beaucoup à gagner car cette scission lui permettra de mieux apprécier les propositions des uns et des autres avant de prendre part. Les acteurs politiques, quant à eux, auront à revoir leurs cahiers s’ils veulent reprendre leur terrain, hélas, entre les mains «des cherche-cœurs (live).»
Du neuf dans l’affaire D. Diallo du nom de ce nourrisson faussement déclaré mort à l’hôpital de Kaolack et qui a finalement rendu l’âme aprés sa réadmission en pédiatrie. Placée en garde à vue depuis, S.Diéne, l’aide-infirmière qui avait rédigé le certificat de décès, a […]
ACTUALITE SOCIETEDu neuf dans l’affaire D. Diallo du nom de ce nourrisson faussement déclaré mort à l’hôpital de Kaolack et qui a finalement rendu l’âme aprés sa réadmission en pédiatrie. Placée en garde à vue depuis, S.Diéne, l’aide-infirmière qui avait rédigé le certificat de décès, a fait face au procureur ce jeudi. Elle a été inculpée pour mise en danger de la vie d’autrui et usurpation de la fonction de médecin. N’empêche, S.Diéne a obtenu une liberté provisoire et c’est ce 18 mai qu’elle sera jugée devant le tribunal de Kaolack. Par ailleurs, un autre rebondissement est survenu dans cette affaire. A. Diallo, le père de la victime, avait plus tôt retiré sa plainte à l’origine de l’enquête ouverte par le parquet.
Le secteur de la justice va connaître un arrêt de travail ce vendredi 13 Mai à 11h précises. Ensuite, les travailleurs vont s’adresser à la presse. En effet, selon une source bien aux faits, le bureau exécutif national de l’union nationale des travailleurs de la […]
ACTUALITE justiceLe secteur de la justice va connaître un arrêt de travail ce vendredi 13 Mai à 11h précises. Ensuite, les travailleurs vont s’adresser à la presse. En effet, selon une source bien aux faits, le bureau exécutif national de l’union nationale des travailleurs de la justice (UNTJ) a invité les travailleurs affiliés à ce syndicat de respecter le mot d’ordre.
Ce mouvement d’humeur entre en droite ligne avec la dernière sortie du syndicat sur Seneweb dénonçant entre autres, des arriérés de salaires et une gestion nébuleuse des fonds communs.
Mame Makhar Gueye est monté au créneau, jeudi, pour dénoncer, à nouveau, l’affaire Dubaï Porta Potty qui défraie la chronique au Sénégal. Une occasion pour le vice-président de l’Ong islamique Jamra de lever le coin du voile sur l’audience que le chef de l’Etat lui […]
ACTUALITE SOCIETEMame Makhar Gueye est monté au créneau, jeudi, pour dénoncer, à nouveau, l’affaire Dubaï Porta Potty qui défraie la chronique au Sénégal. Une occasion pour le vice-président de l’Ong islamique Jamra de lever le coin du voile sur l’audience que le chef de l’Etat lui accordée le lundi 9 mai, à cet effet.
C’est une audience qui aura duré 2 tours d’horloge entre les deux hommes. Une rencontre lors de laquelle Mame Makhtar Gueye a restitué au chef de l’Etat les informations que son Ong détient au sujet de l’affaire Dubaï Porta Potty.
43 Sénégalaises concernées
Dans cette affaire, pas moins de 43 Sénégalais ont été identifiés, précise M. Gueye.
6 pays africains…
Selon le religieux, six États sont concernés par cette sulfureuse affaire, dont le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Bénin, la Guinée Conakry, le Mali et la République Démocratique du Congo (RDC).
Mafia de trafic de migrants
Selon Mame Makhtar Gueye, la particularité de l’affaire Dubaï Porta Potty est la mafia du trafic de migrants à l’insu des États concernés.
Le fétichisme
Une affaire qui serait motivée par le fétichisme. « Une victime m’a raconté qu’après avoir encaissé et mangé les cacas de son patron, ce dernier a, aussitôt, appelé quelq’un pour, semble-t-il, lui signifier qu’il a accompli la mission telle que demandée », a-t-il expliqué.
Passeports confisqués…
A l’arrivée à Dubaï, les passeports des victimes sont souvent récupérés. Histoire de s’assurer la main mise sur elles. Le coordonnateur de l’Ong Jamra dit même détenir des photos de Sénégalaises prises en otages aux Emirats Arabes Unis.
12 Sénégalaises supplémentaires localisées à Dubaï
Au lendemain de l’audience, affirme M. Gueye, 12 compatriotes supplémentaires ont été déjà localisées à Dubaï avec adresses précises (à Dubaï) et au Sénégal.
Pour ce faire, Mame Makhtar Gueye a promis le remettre « dès la semaine prochaine » la liste afin qu’il puisse travailler en étroite collaboration avec les autorités dubaïotes pour les besoins de rapatriement.
Macky Sall vole au secours de victimes
Le chef de l’Etat, en ce qui le concerne, a pris la ferme décision de volet au secours de nos compatriotes » en situation de détresse ». A en croire Mame Makhtar Gueye, il a promis de le mettre en rapport avec une autorité. Cerise sur le gâteau, l’ambassadeur des Emirats Arabes Unis l’a contacté par l’entremise de son chargé d’affaires. Ensemble, les deux Etats ont décidé de coopérer.
Regardez :
A l’approche des élections Législatives du 31 juillet 2022 et de la présidentielle de février 2024, on assiste au jeu des alliances mais aussi aux négociations secrètes voire « hautement confidentielles » qui détermineront la carrière des uns et des autres. Et à ce stade, […]
ACTUALITE POLITIQUEA l’approche des élections Législatives du 31 juillet 2022 et de la présidentielle de février 2024, on assiste au jeu des alliances mais aussi aux négociations secrètes voire « hautement confidentielles » qui détermineront la carrière des uns et des autres. Et à ce stade, un jeu trouble se joue entre le Palais et Yewwi Askan Wi (YAW), cette opposition dite radicale. Un lien secret unirait un des membres fondateurs de la coalition et un émissaire du Palais qui ne rendrait compte qu’à Macky Sall…pour un seul but : faire exploser Yewwi et détruire Sonko au bon moment.
« La destruction du PROS (Président Ousmane Sonko) » est toujours d’actualité au Palais. Et c’est de bonne guerre car la politique est la conquête du pouvoir qui doit passer obligatoirement par le triomphe sur ses adversaires politiques. Ousmane Sonko est le seul homme politique qui menace les ambitions des républicains et libéraux qui est la conservation du pouvoir « pendant 50 ans » comme le prônait Me Abdoulaye Wade. Les pièges tendus par le pouvoir pour stopper l’avancée fulgurante du PROS ont échoué jusqu’à ce jour. Et la popularité grandissante du PROS inquiète jusqu’au plus niveau.
Et tout est mis en œuvre pour détruire le PROS. Nos sources bien introduites nous renseignent sur un plan ourdi par des personnes tapies dans la coalition Yewwi Asklan Wi pour éliminer politiquement Sonko après les Législatives et pendant la course à la présidentielle de 2024. Et le coup de sabre viendrait de l’intérieur avec la complicité du palais de la République. Un émissaire de Macky Sall serait même l’instigateur avec la complicité d’un des membres fondateurs de la coalition Yewwi Askan Wi. Le PROS (Président Ousmane Sonko) serait la cible de sa propre coalition avec la bénédiction du camp d’en face.
Ousmane Sonko n’arrange personne. Il est l’incarnation de ce nouveau type de Sénégalais qui veut absolument effacer de l’histoire tout un passé. D’ailleurs, c’est lui qui avait préconisé de fusiller tous les anciens présidents du Sénégal. Ousmane Sonko est un danger pour le pouvoir mais aussi pour l’opposition qui voit dans sa radicalité une menace pour le pays. Il serait alors dans le collimateur de ses alliés
Ousmane Sonko est un radical et un anti système. Son accession à la magistrature mettrait en péril plusieurs pans de la société et pourrait ouvrir les portes des prisons à des familles entières. Et Sonko, dans sa démarche, n’opérerait aucun rapprochement avec les autres membres de l’opposition. L’érection de l’alliance Yewwi-Wallu n’est pas de lui. Elle a été faite par d’autres responsables de Yewwi.
Dans une récent sortie, un mandataire de la coalition Yewwi Askan Wi a confié que Khalifa Ababacar Sall et Me Abdoulaye Wade sont à l’origine du rapprochement de la coalition Wallu et Yewwi Askan Wi. Et pour qui connaît Me Wade, défenseur infatigable du libéralisme, il ne prendrait jamais langue avec un socialiste comme Khalifa Sall. Cette entente s’est faite entre khalifa Ababacar Sall et l’héritier du PDS, Karim Wade qui piétine les idéologies libérales.
Et l’élimination politique de Sonko serait une aubaine pour ces responsables de Yewwi et des autres coalitions de l’opposition. Selon nos sources, les négociations secrètes entre Yewwi et le palais sont menées avec la complicité de Karim Wade dont l’objectif est sa réintégration politique qui n’aurait aucun effet avec la présence de Sonko. Donc tous, opposition comme parti au pouvoir, veulent voir Sonko disparaître de l’échiquier politique.
La taupe dans Yewwi a de solides attaches avec Macky Sall même s’il montre aux yeux de tous qu’il est un opposant radical. Il serait aussi un candidat sérieux à la succession de Macky Sall en 2024.
Farba Ngom n’a pas été tendre avec les membres de YAW, accusés de ne pas être capables de confectionner une liste ou un complot. C’est leur problème s’ils sont incompétents. « On rend hommage à la police nationale qui a été très sereine, sinon il y […]
ACTUALITE POLITIQUEFarba Ngom n’a pas été tendre avec les membres de YAW, accusés de ne pas être capables de confectionner une liste ou un complot. C’est leur problème s’ils sont incompétents. « On rend hommage à la police nationale qui a été très sereine, sinon il y aurait des drames. Il voulait créer une émeute, mais les populations ont d’autres chats à fouetter », fulmine Farba Ngom.