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À La Une POLITIQUEDu nouveau dans l’affaire du fils de l’ancien premier ministre, Idrissa Seck qui a été arrêté pour trafic de drogue dure !Après son audition dans le fond, Pape Abdoulaye Seck avait bénéficié d’une liberté provisoire au mois de juillet dernier.Mais le procureur s’était opposé à […]
ACTUALITE justiceDu nouveau dans l’affaire du fils de l’ancien premier ministre, Idrissa Seck qui a été arrêté pour trafic de drogue dure !
Après son audition dans le fond, Pape Abdoulaye Seck avait bénéficié d’une liberté provisoire au mois de juillet dernier.
Mais le procureur s’était opposé à sa libération en interjetant appel.
A cet effet, les avocats du fils du patron de Rewmi avaient saisi récemment la Chambre d’Accusation.
Cette haute juridiction vient de confirmer l’ordonnance du juge d’instruction du 3e cabinet, a appris Seneweb de son avocat Me Alioune Badara Fall.
Au final, Pape Abdoulaye Seck vient d’obtenir la liberté provisoire assortie d’un contrôle judiciaire.
Mais, il séjourne toujours en prison parce que l’administration pénitentiaire n’a pas encore reçu la notification de la décision de la chambre d’Accusation.
04 ans après l’élection de Me Wade, Madiambal fut arrêté. La presse se dressa en bouclier. Aujourd’hui, le Pastef tente de jouer au petit monstre.Peut-on s’attendre à autre chose de Sonko admirateur de Kagame qui vient de prêter serment pour son 4e mandat.20 ans après […]
À La Une POLITIQUE04 ans après l’élection de Me Wade, Madiambal fut arrêté. La presse se dressa en bouclier. Aujourd’hui, le Pastef tente de jouer au petit monstre.Peut-on s’attendre à autre chose de Sonko admirateur de Kagame qui vient de prêter serment pour son 4e mandat.20 ans après l’arrestation de Madiambal, comme par hasard, Sonko veut en finir avec le même journaliste parce que trop libre d’esprit. Il y a 04 mois, inconsciemment, Sonko avait pourtant prévenu lors de «sa DPG» devant une assemblée populaire Pastéfienne au Grand Théâtre. C’est acté, la presse, avec à sa tête «des délinquants fiscaux », avait été avertie. Il faut la liquider. Cette entreprise funeste et odieuse d’un PM bavard est appuyée par une race pitoyable de journalistes et chroniqueurs collabo de groupes de Presse charognards qui n’honorent pas la mémoire de Sidy Lamine Niasse. On connait maintenant ces journalistes qui recevaient des transferts du « Jutti » en quête de soutiens dans la presse. Les masques sont tombés ce jour. Qui fricote avec un menteur à gage ne perd rien pour attendre son heure.Demain il fera jour.
Bougane Guéye DanyMouvement Gueum Sa Bopp « les jambaars »
Le journaliste sénégalais Madiambal Diagne a une nouvelle fois pris la parole sur des sujets d’actualité lors de l’émission MNF, animée par Maïmouna Ndour Faye, le lundi 12 août 2024. L’une des questions abordées concernait le départ secret d’Adji Sarr, la jeune femme qui avait accusé […]
ACTUALITE SOCIETELe journaliste sénégalais Madiambal Diagne a une nouvelle fois pris la parole sur des sujets d’actualité lors de l’émission MNF, animée par Maïmouna Ndour Faye, le lundi 12 août 2024. L’une des questions abordées concernait le départ secret d’Adji Sarr, la jeune femme qui avait accusé Ousmane Sonko, alors dans l’opposition, de viol. Cette affaire avait débouché sur la condamnation de Sonko pour corruption de la jeunesse. À l’époque, des accusations avaient été portées contre le régime de Macky Sall, soupçonné d’avoir orchestré un complot pour nuire politiquement à Sonko.
Peu après l’élection présidentielle et avant l’installation du nouveau pouvoir, des informations avaient émergé concernant le départ d’Adji Sarr vers une destination inconnue. Des rumeurs avaient alors circulé, impliquant Madiambal Diagne, réputé proche de l’ancien régime, dans l’organisation de ce départ. Le journaliste n’a pas nié ces accusations lors de l’émission : “Pour vous parler un peu du cas d’Adji Sarr, je tiens à préciser que, lorsque j’ai commencé à l’aider, c’était dans un cadre purement humanitaire. Cependant, entre-temps, je peux affirmer ici, devant les téléspectateurs, que personne n’est plus informé que moi sur la manière dont Adji Sarr a quitté le pays. Je sais exactement comment elle est sortie, quand elle a quitté le territoire, et même par quels moyens elle a voyagé.”
Madiambal Diagne a laissé entendre qu’Ousmane Sonko était informé du départ d’Adji Sarr, et il a invité ce dernier à aborder publiquement ce sujet pour éclairer les Sénégalais, rappelant qu’à l’époque, l’affaire était perçue par beaucoup comme un complot d’État contre lui : “N’est-il pas vrai que tout le monde disait que l’affaire Adji Sarr était un complot d’État ? On parlait de manipuler quelqu’un pour détruire la carrière d’une autre personne. On a cité des magistrats, des avocats, et bien d’autres personnes. Oui ou non ? Donc, ceux qui disaient que c’était un complot à l’époque sont aujourd’hui ceux qui détiennent le pouvoir. S’ils veulent vraiment que la vérité éclate, qu’ils ouvrent le dossier pour que tout le monde puisse comprendre ce qui s’est réellement passé. Mais la réalité est qu’il y a beaucoup de gens qui parlent sans avoir la moindre implication dans cette affaire. La première personne concernée est Ousmane Sonko. L’avez-vous entendu aborder ce sujet depuis qu’il est au pouvoir ? Non, vous ne l’avez pas entendu en parler. C’est lui qui sait pourquoi il évite ce sujet.”
C’est avec une profonde tristesse que la communauté musulmane du Sénégal, en particulier la communauté Tidiane, a appris le rappel à Dieu de El Hadji Maniang Gaye ibn El Hadji Bara Gaye Nayobé. Cette perte est ressentie comme un coup dur, non seulement pour ses […]
ACTUALITE necrologieC’est avec une profonde tristesse que la communauté musulmane du Sénégal, en particulier la communauté Tidiane, a appris le rappel à Dieu de El Hadji Maniang Gaye ibn El Hadji Bara Gaye Nayobé. Cette perte est ressentie comme un coup dur, non seulement pour ses proches, mais aussi pour tous ceux qui suivaient ses enseignements et son engagement spirituel.
L’annonce de son décès a été faite par l’organisation Arayhane.Org: Khadara Mame El Hadji Rawane Ngom RTA, qui a partagé la nouvelle dans un communiqué poignant :
« Serigne Babacar Sy Mansour Al Khalipha, El Hadji Ousmane Ngom Khalipha Mame Cheikh Seydil Hadji Rawane Ngom, ainsi que toute la communauté Hadara Tidjanya, ont le regret de vous annoncer le rappel à Dieu de El Hadji Maniang Gaye Ibn El Hadji Bara Gaye Nayobé. »
El Hadji Maniang Gaye laisse derrière lui un vide immense dans la communauté Tidiane, où il était une figure respectée et vénérée. Sa disparition marque la fin d’une ère, et son absence sera profondément ressentie par tous ceux qui ont eu la chance de le connaître ou d’être touchés par son influence spirituelle.
La rédaction de Sunubuzz s’associe à la douleur de la famille éplorée et de toute la communauté, et présente ses sincères condoléances. Que Dieu accueille El Hadji Maniang Gaye dans Son Paradis et lui accorde le repos éternel. Que ses enseignements et son dévouement continuent d’inspirer les générations futures.
La première Session extraordinaire de l’année 2024 de l’Assemblée nationale est ouverte, ce mardi 13 août. Auparavant, sur demande du président de l’institution, un appel nominatif des députés a été effectué. Ainsi, ce sont 122 parlementaires qui ont répondu présents. Par ailleurs, une demande de […]
ACTUALITE POLITIQUELa première Session extraordinaire de l’année 2024 de l’Assemblée nationale est ouverte, ce mardi 13 août.
Auparavant, sur demande du président de l’institution, un appel nominatif des députés a été effectué. Ainsi, ce sont 122 parlementaires qui ont répondu présents.
Par ailleurs, une demande de discussion d’urgence sur une proposition de loi a été formulée par 79 députés, selon Amadou Mame Diop.
Dans l’hémicycle, seul le parlementaire Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly a émis un avis contraire. Une requête qui sera «rejetée » car il faudrait au minimum 2 députés pour ouvrir les débats.
Finalement, le président de l’Assemblée nationale a clôturé la séance plénière.
Les mois passent et les tensions entre les acteurs des médias privés et les nouvelles autorités ne s’apaisent pas. Après une semaine marquée par la suspension de parution de deux médias de référence, le Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal (CDEPS) a […]
ACTUALITE médiaLes mois passent et les tensions entre les acteurs des médias privés et les nouvelles autorités ne s’apaisent pas. Après une semaine marquée par la suspension de parution de deux médias de référence, le Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal (CDEPS) a annoncé l’organisation d’une journée sans presse le 13 août. Reporters sans frontières (RSF) appelle les différents partis à reprendre le dialogue, pour sauver l’un des piliers de la démocratie sénégalaise.
Face au nouveau bras de fer engagé entre les médias privés et les nouvelles autorités sénégalaises, RSF réitère ses recommandations en faveur du dialogue et pour des réformes structurelles pour le droit à l’information et la soutenabilité du journalisme et des médias.
Dans un contexte où, confrontés à des difficultés économiques croissantes, les quotidiens sportifs de référence Stades et Sunu Lamb ont cessé de paraître depuis une semaine, le Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal (CDEPS) a annoncé l’organisation d’une journée sans presse ce 13 août. Le 6 août, la Coordination des associations de la presse (CAP), qui regroupe des organisations locales de médias, a elle dénoncé les “pressions multiformes” des nouvelles autorités : contrôle fiscal, mise en demeure de paiement de redevances, suspension des paiements des conventions commerciales… D’après les informations recueillies par RSF, au moins sept autres médias privés sont proches de mettre la clé sous la porte.
Face au problème de fond que révèle une nouvelle fois cette crise, à savoir la soutenabilité économique des médias au Sénégal, RSF a déposé en juin, une trentaine de recommandations auprès des nouvelles autorités sénégalaises, dont celle, urgente, d’une réforme des aides publiques, mais aussi un éclaircissement des conditions de production de l’information et des règles plus précises relatives à la transparence des médias.
La situation des médias au Sénégal est préoccupante. Bien que les difficultés de la presse sénégalaise ne datent pas de l’arrivée des nouvelles autorités, ces dernières ne peuvent rester insensibles à la chape de plomb qui pèse sur le secteur avec notamment 26 % de reporters dépourvus de contrats de travail, de lourdes dettes fiscales, et une crise de confiance entre les médias et le public. RSF appelle les autorités sénégalaises à veiller à ce que cette crise ne prive pas les Sénégalais d’une presse bouillonnante. Les médias sont les canaux de transmission du droit à l’information et les autorités en sont des garants. A ce stade, il est important que l’Etat et les acteurs des médias se concertent pour trouver des solutions bénéfiques pour le secteur et pour la démocratie.
Sadibou Marong
Directeur du bureau Afrique subsaharienne de RSF
En juin dernier, RSF publiait le rapport Sénégal : le journalisme à la croisée des chemins, avec une trentaine de recommandations en faveur de perspectives concrètes pour la protection des journalistes, le pluralisme des médias, et la lutte contre la désinformation au Sénégal.
C’est la fin de l’histoire entre Bathie Loum et ses trois épouses, Isseu Ndiaye (la première), Fatou Dione (la 2e) et Aby Mbengue (la 3e). Ce boucher de 62 ans a répudié ses dernières en même temps. D’après L’AS, qui donne l’information dans son édition […]
ACTUALITE SOCIETEC’est la fin de l’histoire entre Bathie Loum et ses trois épouses, Isseu Ndiaye (la première), Fatou Dione (la 2e) et Aby Mbengue (la 3e). Ce boucher de 62 ans a répudié ses dernières en même temps. D’après L’AS, qui donne l’information dans son édition de lundi, les trois dames étaient au centre d’une violente bagarre.
L’histoire est partie d’une altercation entre le garçon de la troisième et celui de la première épouse de Loum. Les enfants, qui en sont venus aux mains, se sont infligés des blessures. Lorsqu’elle a vu son fils en sang, Isseu Ndiaye s’emporte et déverse sa colère sur sa coépouse. Aby Mbengue réplique. Le ton monte un peu plus puis la bagarre éclate.
«Malmenée», cette dernière «mord violemment l’oreille de sa coépouse». Venue séparer les protagonistes, Fatou Dione est mordue à son tour au bras par Isseu Ndiaye. Les voisins interviennent.
Alors qu’il était devant son commerce au marché central Ndoumbé Diop, Bathie Loum est alerté par téléphone. On lui précise que ses épouses se sont battues en s’accusant d’anthropophagie. Le boucher débarque chez lui, répudie ses trois femmes et, avant de regagner son lieu de travail, leur demande de quitter la maison illico.
Malgré les interventions des voisins pour le faire revenir sur sa décision, Loum «est resté inflexible», d’après le récit de L’AS. Qui complète : «Aux dernières nouvelles, chacune des trois femmes s’est procuré un certificat médical attestant d’une Incapacité temporaire de travail (ITT), pour déposer plainte pour coups et blessures volontaires.»
La presse est divisée au sujet de la Journée sans presse initiée par certains patrons des médias pour alerter sur les difficultés dans leur secteur qui vit « une des phases les plus sombres de son histoire », plus de quatre mois après l’arrivée au […]
À La Une médiaLa presse est divisée au sujet de la Journée sans presse initiée par certains patrons des médias pour alerter sur les difficultés dans leur secteur qui vit « une des phases les plus sombres de son histoire », plus de quatre mois après l’arrivée au pouvoir des nouvelles autorités.
Plus de quatre mois après l’arrivée au pouvoir des nouvelles autorités, les patrons des médias appellent à une journée sans information pour alerter sur les difficultés du secteur, qui vit « une des phases les plus sombres de son histoire ».
Le CDEPS, qui regroupe des éditeurs privés et publics, a appelé à une journée sans presse, indiquant que la liberté de la presse « est menacée au Sénégal », dans un éditorial commun publié le 12 août par les journaux locaux.
Mais cette journée sans presse n’est pas suivi pas tous. Des journaux comme Rewmi Quotidien, Walfadjri, Le Soleil, Le Témoin… ont bien paru. D’autres sites internet et des radios disent ne pas être concernés par cette « Journée sans presse ».
L’Association des Patrons et Éditeurs de Presse du Sénégal (APEPS), qui réaffirme son attachement au respect de la liberté de presse, marque sa désapprobation à l’initiative prise par le Conseil des Diffuseurs et Éditeurs de Presse (CDEPS).
Elle tient à rappeler que le fondement de toute cette confusion entre l’État et les acteurs des médias réside dans la fiscalité des entreprises de presse. Par conséquent, l’APEPS indique que cette façon de manifester n’engage ni de près ni de loin ses membres.
Au Sénégal, le secteur des médias est confronté depuis longtemps à des difficultés économiques, les acteurs dénonçant des conditions de travail précaires. L’éditeur de deux quotidiens sportifs parmi les plus lus dans le pays, « Stades » et « Sunu Lamb », a suspendu fin juillet leur parution après plus de vingt ans de présence dans l’espace médiatique sénégalais à cause de difficultés économiques.
Le Premier ministre Ousmane Sonko, nommé par le président Bassirou Diomaye Faye qui a pris ses fonctions début avril, avait dénoncé fin juin les « détournements de fonds publics » auxquels se livreraient selon lui certains patrons de presse qui ne versent pas leurs cotisations sociales.
Il avait également mis en garde les médias qui écrivent selon lui ce qu’ils veulent au nom d’une soi-disant liberté de la presse, sans aucune source fiable. Des propos que la profession avait jugés menaçants à l’encontre de la presse.
Depuis 2021, le Sénégal a reculé de la 49e à la 94e place au classement mondial de la liberté de la presse de RSF.
L’intervention du maire de la commune des Parcelles assainies a constitué un appel fort pour le parti au pouvoir, PASTEF. À la tête de la section du parti aux Parcelles assainies depuis 2015, Djamil Sané s’estime bien placé pour faire le diagnostic de la gestion […]
ACTUALITE POLITIQUEL’intervention du maire de la commune des Parcelles assainies a constitué un appel fort pour le parti au pouvoir, PASTEF. À la tête de la section du parti aux Parcelles assainies depuis 2015, Djamil Sané s’estime bien placé pour faire le diagnostic de la gestion de l’entité politique dirigée par le premier ministre, Ousmane Sonko. « Je le dis en toute responsabilité. Il faut qu’on dise la vérité en face. Pas pour les beaux yeux de qui que ce soit. Nous avons beaucoup sacrifié. Il y’a beaucoup de personnes qui ont perdu leur travail à cause du parti. Il faut que les nouveaux dirigeants du pays pensent à cela. Il ne faut jamais affaiblir la base. Et je constate malheureusement que c’est ce qui est en train de se produire. Nous avons intérêt à trouver d’autres alternatives pour remédier à cela. Nous nous acheminons vers des élections très importantes. Et on aura du mal a mobiliser si on n’y remédie pas » a alerté l’édile des Parcelles Assainies qui prenait part ce dimanche , à une activité du mouvement national des cadres de Pastef (MONCAP).
Selon Djamil Sané, il est nécessaire de donner de la confiance à ces membres du parti qui sont au niveau de la base parce que c’est eux qui sont en contact direct avec les populations. « Je constate qu’il n’y a pas une oreille attentive pour remédier à cette situation. Je tiens à le rappeler devant les responsables pour que tout le monde sache ce qui se passe au niveau de la base. Dans le parti, il y’a des gens qui ont la légitimité. Il faut les aider à asseoir leur base » ajoute le maire qui précise qu’il existe des choses qui se passent et que le parti, à travers les hauts responsables qui ont été porté à la tête de l’État, doivent prendre au sérieux.
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On en sait un peu plus sur la drogue retrouvée dans la pirogue en provenance de la Mauritanie qui a été retrouvée sur les côtes de la République Dominicaine. Selon ma consœur, Indira Vasquez, avec qui j’ai échangé, les résultats d’analyse faites sur le produit ont […]
ACTUALITE SOCIETEOn en sait un peu plus sur la drogue retrouvée dans la pirogue en provenance de la Mauritanie qui a été retrouvée sur les côtes de la République Dominicaine.
Selon ma consœur, Indira Vasquez, avec qui j’ai échangé, les résultats d’analyse faites sur le produit ont révélé que c’est bien de la drogue.
Mais, seuls 3 des 12 paquets contiennent cette substance néfaste. Le reste, c’est du bois. Celui qui avait emmené ce produit au cours de ce voyage a tenté de masquer le produit.
À noter que les blocs ont été trouvés dans un sac à dos.