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À La Une SOCIETEContrairement à Déthié Fall qui vient d’annoncer son départ de la coalition Samm Sa Kaddou, PUR confirme son alliance avec la dite coalition. Dans un communiqué, le Parti de l’Unité et de Rassemblement a démenti les rumeurs de départ. Le Communiqué in extenso Le Parti […]
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À La Une POLITIQUEAccusée du vol de bijoux en or d’une valeur de 16 millions FCfa, au préjudice de sa patronne, la domestique Mame Diarra a été jugée hier, au tribunal d’instance de Dakar. Elle risque 6 mois de prison. La plaignante A. Cissé accuse sa domestique d’avoir dérobé ses […]
ACTUALITE SOCIETEAccusée du vol de bijoux en or d’une valeur de 16 millions FCfa, au préjudice de sa patronne, la domestique Mame Diarra a été jugée hier, au tribunal d’instance de Dakar. Elle risque 6 mois de prison.
La plaignante A. Cissé accuse sa domestique d’avoir dérobé ses bijoux en or d’une valeur de 16 millions de FCFA. Une accusation réfutée par la prévenue. Les débats d’audience ont permis de situer les faits courant juillet dernier. A l’époque, la commerçante Awa Cissé choisit d’employer la domestique Mame Diarra.
Une collaboration rendue possible, grâce à l’agent recruteur et de placement de domestiques, Abdou Rahim Baldé. Le trio convient d’une rémunération mensuelle de 75 000 FCfa. Seulement, au bout d’une semaine de travail, Mame Senghor contacte l’agent de placement pour se plaindre de la lourde charge de travail et manifeste son désir d’arrêter.
Abdou Rahim lui conseille alors de servir un alibi à sa patronne et qu’il se chargera, à son tour, de lui trouver une autre domestique. La dame simule alors des nausées et autres maux de ventre, tout en cherchant à attirer l’attention de sa patronne. Interpellée par celle-ci, la domestique sert qu’elle traîne un début de grossesse et qu’elle souhaite arrêter le boulot. Une requête acceptée par la patronne.
Seulement à la veille de la cessation de travail de sa domestique, la commerçante Awa Cissé va, à sa descente du travail, vérifier ses bijoux en or. C’est ainsi qu’elle constate la disparition des deux bijoux en or d’une valeur de 16 millions FCfa qu’elle avait ramenés d’Arabie saoudite.
Elle saisit les gendarmes de la brigade de la Foire. Une enquête est ouverte et l’exploitation du téléphone de la domestique a permis aux gendarmes de relever que la mise en cause s’était absentée plusieurs fois dans l’après-midi du mardi 23 et mercredi 24 juillet pour se rendre au quartier Tally-Boumack, à l’insu de sa patronne.
Les enquêteurs ont aussi su qu’elle discutait avec deux individus. Le premier avait assuré lui avoir trouvé un travail en Côte-d’Ivoire, alors que sa discussion avec le second, un certain Cheikh Dollar, a porté sur une histoire de «IPhone 15». Arrêtée et mise devant le fait accompli, la domestique perd les pédales.
A la barre du tribunal hier, la prévenue Mame Senghor a réfuté les accusations. A l’en croire, elle n’a fait que 3 fois le ménage de la chambre de sa patronne et que c’était en présence de celle-ci. Elle reconnaît s’être rendue à Tally Boumack, «pour rencontrer le menuisier qui lui confectionne des meubles.»
L’avocat de la partie civile a réclamé 20 millions de FCFA. A sa suite, rapporte L’OBS, le parquet a requis 6 mois ferme. Les avocats de la défense, estimant que l’accusation ne repose que sur de simples suppositions, ont plaidé la relaxe pure et simple à titre principal et la relaxe au bénéfice du doute subsidiairement.
Le verdict sera connu le 19 septembre prochaine.
Le détenu René Capain Bassène a été évacué hier mercredi 04 septembre, aux environs de 10 heures, aux services des urgences du centre hospitalier de Ziguinchor (sud) suite à la grève de faim qu’il avait entamé depuis une semaine. Condamné en première instance à la […]
ACTUALITE SOCIETELe détenu René Capain Bassène a été évacué hier mercredi 04 septembre, aux environs de 10 heures, aux services des urgences du centre hospitalier de Ziguinchor (sud) suite à la grève de faim qu’il avait entamé depuis une semaine. Condamné en première instance à la réclusion criminelle puis confirmée en appel, le détenu dans l’affaire Boffa-Bayotte, a refusé de s’alimenter. Son état de santé s’est détérioré. Selon Amadou Tom Mbodj, président de l’ Organisation nationale d’assistance juridique et judiciaire (Ona2J), « les risques de complications graves, telles qu’une déshydratation sévère et des dommages aux organes vitaux, sont considérablement accrus »
Selon le journal Libération, cette évacuation indique une détérioration significative de son état de santé, nécessitant une innervation médicale urgente
Amadou Tom Mbodj qui a informé que les autorités médicales surveillent attentivement ses signes vitaux, lance un appel à l’endroit des autorités. » Nous espérons une intervention rapide pour éviter des conséquences plus graves ».
Par ailleurs, les organisations des défenses de droit de l’homme et sa famille sont interpellées par M.Mbodj pour » dissuader René Capain Bassène de ne pas continuer sa diète et l’encourager à adopter d’autres formes de résistances plus sécuritaires ».
Virés par le chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye, les présidents du CESE et du HCCT, Aminata Mbengue Ndiaye et Abdoulaye Daouda Diallo (ADD) n’ont pas encore reçu le décret de limogeage. Où est le décret limogeant Aminata Mbengue Ndiaye et Abdoulaye Daouda Diallo (ADD). Selon Abdou […]
ACTUALITE POLITIQUEVirés par le chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye, les présidents du CESE et du HCCT, Aminata Mbengue Ndiaye et Abdoulaye Daouda Diallo (ADD) n’ont pas encore reçu le décret de limogeage.
Où est le décret limogeant Aminata Mbengue Ndiaye et Abdoulaye Daouda Diallo (ADD). Selon Abdou Mbow, ni le président du CESE ni la présidente du HCCT ont reçu les décrets mettant fin à leurs fonctions respectives.
Seul le communiqué du ministre secrétaire général de la Présidence, Oumar Samba Bâ, a été partagée. Et dans le communiqué, il n’est aucunement mentionné un numéro de décret…
Rebondissement dans l’affaire Maman Aicha Ndong. Son amie A. Gueye, initialement suspectée, a été libérée par décision du procureur de la République. Malgré des soupçons sérieux, suite à deux interrogatoires approfondis et des témoignages compromettants recueillis par les enquêteurs, la jeune fille de 16 ans, […]
ACTUALITE SOCIETERebondissement dans l’affaire Maman Aicha Ndong. Son amie A. Gueye, initialement suspectée, a été libérée par décision du procureur de la République.
Malgré des soupçons sérieux, suite à deux interrogatoires approfondis et des témoignages compromettants recueillis par les enquêteurs, la jeune fille de 16 ans, amie de Maman Aicha, a été relâchée. Placée en garde en vue en raison de preuves pouvant la compromettre, son implication avait suscité de nombreuses spéculations.
Cependant, après un examen minutieux des preuves et des déclarations, le procureur a jugé que les charges retenues contre elle ne suffisaient pas à justifier une poursuite judiciaire.
Sa libération représente un tournant dans l’affaire, bien que de nombreuses questions demeurent sans réponse. Les enquêteurs poursuivent leur investigation pour élucider les zones d’ombre restantes.
La cause de la mort de Maman Aicha Ndong reste inconnue, l’autopsie ayant conclu à un décès inexpliqué. La famille, qui a récupéré le corps pour l’inhumation, attend toujours que justice soit rendue et que les circonstances de ce drame soient pleinement clarifiées.
Tout a commencé avec la disparition de Maman Aïcha Ndong alors qu’elle revenait de la boutique en compagnie de sa copine, pour aboutir à la découverte de son corps sans vie dans un canal…
Le dossier du PRODAC (Programme des domaines agricoles communautaires), opposant Ousmane Sonko à l’ancien ministre du Tourisme, Mame Mbaye Niang, sera bientôt rouvert. Ousmane Sonko qui animait, dimanche 10 juin 2024, une conférence politique de la Jeunesse patriotique a fait une grosse révélation sur le […]
ACTUALITE justiceLe dossier du PRODAC (Programme des domaines agricoles communautaires), opposant Ousmane Sonko à l’ancien ministre du Tourisme, Mame Mbaye Niang, sera bientôt rouvert.
Ousmane Sonko qui animait, dimanche 10 juin 2024, une conférence politique de la Jeunesse patriotique a fait une grosse révélation sur le dossier Prodac. Un dossier pour lequel il a été condamné à six mois de prison avec sursis pour diffamation. Une peine qui l’a rendu inéligible à la Présidentielle 2024.
Il avait confié que le rapport qui l’avait valu une condamnation pour diffamation au préjudice de Mame Mbaye Niang, existe bel et bien. « Le rapport est sur ma table. Je vais le mettre à la disposition de la justice. La justice a toujours nié son existence », informait le leader de Pastef.
Libération révèle que le rapport de l’Inspection générale des finances (IGF) sur le Prodac a été transmis à la Division des investigations criminelles (DIC) qui a ouvert une enquête. Et l’ex-ministre de la Jeunesse a du souci à se faire.
« À cause de ce dossier, on m’a empêché d’être candidat à la Présidentielle. Ce dossier a causé des morts et des blessés. J’ai été agressé, ma voiture saccagée, mon convoi gazé quand je devais répondre à la convocation de la justice», se souvenait Sonko.
Six personnes ont déposé en même temps une plainte contre le directeur des Moyens généraux de la Présidence (MGP), Cheikh Oumar Diagne. Il s’agit de Serigne Modou Bara Doly, Serigne Modou Bousso Dieng, Mouhamadou Fadilou Fall, Modou Lamine Diallo, Amadou Gaye et Cheikhna Cheikh Keïta […]
À La Une justiceSix personnes ont déposé en même temps une plainte contre le directeur des Moyens généraux de la Présidence (MGP), Cheikh Oumar Diagne. Il s’agit de Serigne Modou Bara Doly, Serigne Modou Bousso Dieng, Mouhamadou Fadilou Fall, Modou Lamine Diallo, Amadou Gaye et Cheikhna Cheikh Keïta («commissaire Keïta»). Les plaignants ont saisi le parquet en ce sens, ce mercredi 4 septembre, par l’intermédiaire de leur avocat, Me Abdou Dialy Kane.
«Le sieur Cheikh Oumar Diagne a pris l’habitude de parcourir les plateaux de télévision pour tenir des propos particulièrement outrageants à l’endroit de diverses communautés religieuses», pointent-ils dans la plainte reprise par Libération dans son édition de ce jeudi 5.
«Commissaire Keïta» et Cie reprochent au ministre-conseiller d’avoir soutenu «que la Grande mosquée de Touba et celle de Dakar recèlent des signes ou des symboles maçonniques». De plus, dénoncent les plaignants, Cheikh Oumar Diagne a affirmé que «le Grand Magal de Touba [constitue] un vaste cadre de blanchiment d’argent».
«Toutes ces déclarations prises séparément comme dans leur ensemble, signale Me Abdou Dialy Kane pour le compte de ses clients, constituent des allégations purement diffamatoires en ce qu’elles sont factuellement fausses, mais aussi relèvent d’une volonté farouche de porter atteinte à l’honneur et à la considération des différentes communautés religieuses du pays auxquelles appartiennent les plaignants, dont la communauté mouride.»
Cheikh Oumar Diagne est visé par cette plainte alors que ses propos lugubres sur le Roi du Maroc, Mohamed VI, et son défunt père, Hassan II, suscitent l’indignation.
La multinationale française, spécialisée dans la grande distribution, est dans le collimateur de l’administration fiscale. Selon Libération , le Fisc a redressé Auchan Retail Sénégal, la filiale de la multinationale française connue dans la grande distribution. Si pour le moment le montant du redressement n’est […]
ACTUALITE écomonieLa multinationale française, spécialisée dans la grande distribution, est dans le collimateur de l’administration fiscale. Selon Libération , le Fisc a redressé Auchan Retail Sénégal, la filiale de la multinationale française connue dans la grande distribution. Si pour le moment le montant du redressement n’est pas encore connu, note le confrère, il demeure qu’Auchan le conteste et pour cause. La multinationale, comme Woodside, a fait une opposition devant le tribunal.
Avant de se prononcer dans le fond, la 2ème Chambre civile du tribunal de grande instance hors classe de Dakar a désigné Saliou Dièye du cabinet Fiddex Sda à faire le point entre les parties. Un courrier, apprend-on, dans ce sens lui a été adressé par l’administrateur des greffes le 31 juillet dernier.
Le Premier ministre Ousmane Sonko s’est prononcé, ce mercredi, sur la motion de censure annoncée par le groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar (BBY) pour faire tomber son gouvernement. « Je peux vous rassurer qu’il n’y a pas de motion de censure, parce que d’ici le […]
À La Une POLITIQUELe Premier ministre Ousmane Sonko s’est prononcé, ce mercredi, sur la motion de censure annoncée par le groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar (BBY) pour faire tomber son gouvernement.
« Je peux vous rassurer qu’il n’y a pas de motion de censure, parce que d’ici le 12 [septembre], ces gens-là auront autre chose à faire que d’être députés à l’Assemblée nationale », a-t-il dit dans une rencontre tenue à la primature.
Il ressort de ses propos que le président Bassirou Diomaye Faye va dissoudre cette législature.
Pape Matar Sarr a fait preuve d’humour en réponse aux railleries suscitées par ses propos tenus au début de sa carrière. Sur TikTok, son expression « j’ai que mon quartier tuwoi » est devenue virale. Un challenge a été lancé pour se moquer de l’international sénégalais. Pour […]
ACTUALITE SPORTSPape Matar Sarr a fait preuve d’humour en réponse aux railleries suscitées par ses propos tenus au début de sa carrière.
Sur TikTok, son expression « j’ai que mon quartier tuwoi » est devenue virale. Un challenge a été lancé pour se moquer de l’international sénégalais.
Pour répliquer, Pape Matar Sarr a imprimé cette citation sur un tee-shirt, assumant avec humour les moqueries.
N. D. Ndoye, 32 ans, risque dix ans de réclusion criminelle. C’est la peine requise par le Procureur. Le professeur de Maths, poursuivi pour attouchements sexuels, viols, pédophilie et détournement de mineures, sera fixé sur son sort le 10 septembre prochain, date du délibéré. L’affaire […]
ACTUALITE SOCIETEN. D. Ndoye, 32 ans, risque dix ans de réclusion criminelle. C’est la peine requise par le Procureur. Le professeur de Maths, poursuivi pour attouchements sexuels, viols, pédophilie et détournement de mineures, sera fixé sur son sort le 10 septembre prochain, date du délibéré.
L’affaire remonte à décembre 2019. « La mère de A. Ndiaye [une des victimes présumées] sollicite le professeur pour des cours de renforcement dans les matières scientifiques pour sa fille », rembobine le journal. La même source rapporte que l’élève âgée de 16 ans accuse son professeur d’avoir « profité des heures de cours pour abuser d’elle ». «J’ai commencé à me confier à lui. Un jour, je lui ai confié que je vivais mal la séparation de mes parents. Mon père m’avait abandonnée à l’âge de 2 ans et j’avais besoin d’une figure paternelle. Il m’a promis de jouer ce rôle, tout en veillant sur moi. C’est ainsi qu’il a commencé à avoir de l’emprise sur moi. Il a commencé à me faire des attouchements. Je ne disais rien, parce que je croyais que c’était normal », déclare l’accusatrice.
Elle appuie : «Au début, c’était juste des firts. Il frottait son sexe contre le mien sans me pénétrer. Mais au fur du temps, il a fini par me pénétrer. » O. Ndiaye a tenu à préciser « qu’il ne l’a jamais forcée». « Il me donnait des ordres et j’exécutais», a-t-elle dit.
Quid de l’autre élève ? A ce propos, O. Ndiaye soutient que « le professeur organisait des séances de partouze avec elle et sa meilleure amie, O. W. Ndiaye ». « Ce cauchemar a duré une année », enfonce l’accusation. Des déclarations corroborées, selon L’Observateur, par la seconde plaignante même si celle-ci a brillé par son absence à l’audience.
« J’ai porté plainte pour le mettre hors d’état de nuire. J’en suis sure qu’il comptabilise une dizaines de victimes», martèle O. Ndiaye, bien présente.
En face, Ndoye conteste les faits, affirmant que « son ex-petite amie a monté cette histoire de toutes pièces pour se venger [car] elle ne supporte pas qu’il soit marié à une autre fille ». «J’entretenais une relation amoureuse avec A. Ndiaye. Je lui avais même fait une proposition de mariage, mais elle m’avait dit qu’elle n’était pas prête. Sur ce, on s’est séparés, et j’ai épousé une autre. Six mois après mon mariage, elle m’accuse de viol», s’est-il défendu. La défense plaide l’acquittement pure et simple.