La détention de Jérôme Bandiaky, alias « Sniper », entraîne de lourdes conséquences pour sa famille. En effet, comme rapporté par Les Echos, le juge d’instruction a ordonné l’expulsion de sa famille de l’appartement de fonction situé en centre-ville, qu’elle occupait encore jusqu’à récemment. Hier, une notification officielle […]
ACTUALITE justiceLa pression sur le tandem «Diomaye Faye – Ousmane Sonko» s’intensifie . Furieux après la nomination de Samba Ndiaye, ancien maire de Ndofane, au poste de président du Conseil d’administration (PCA) de la SN/HLM, les militants du Pastef ont lancé une pétition pour réclamer son […]
À La Une POLITIQUEUn jeune nommé A. S. a été placé sous mandat de dépôt à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Louga pour coups et blessures volontaires ayant entraîné une Itt (Incapacité temporaire de travail) de dix jours. Le mis en cause est accusé de […]
ACTUALITE SOCIETELe Premier ministre Ousmane Sonko a rendu visite ce lundi, de nuit, au khalife général des mourides à Touba. Le leader de Pastef, accompagné d’une délégation très restreinte, a été reçu à huis clos par le patriarche de Darou Miname. Les deux hommes ont eu […]
ACTUALITE POLITIQUELe Premier ministre Ousmane Sonko a rendu visite ce lundi, de nuit, au khalife général des mourides à Touba.
Le leader de Pastef, accompagné d’une délégation très restreinte, a été reçu à huis clos par le patriarche de Darou Miname.
Les deux hommes ont eu un tête-à-tête avant que le chef du gouvernement ne retourne à Dakar.
Le chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye, a lancé le processus de machine de dissolution de l’Assemblée nationale, avec la demande d’avis qu’il a envoyée au Président Amadou Mame Diop, hier lundi. La 14e Législature vit ses derniers jours, et pour cause. Le chef de l’Etat vient de […]
ACTUALITE POLITIQUELe chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye, a lancé le processus de machine de dissolution de l’Assemblée nationale, avec la demande d’avis qu’il a envoyée au Président Amadou Mame Diop, hier lundi.
La 14e Législature vit ses derniers jours, et pour cause. Le chef de l’Etat vient de poser un acte légal allant dans le sens de dissoudre le Parlement, après ses deux ans de vie.
D’après des informations de L’Observateur, le Président Diomaye Faye a saisi le Président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop, d’une correspondance référencée n°313/Pr en datée d’hier 9 septembre pour une demande d’avis, conformément à la Constitution.
Dans la correspondance, Bassirou Diomaye Faye a, d’abord, rappelé «qu’autre titre de l’article 87 de la Constitution, le Président de la République peut, après avoir recueilli l’avis du Premier ministre et celui du Président de l’Assemblée nationale, prononcer, par décret, la dissolution de l’Assemblée nationale».
Ensuite, le chef de l’Etat a révélé au Président de l’Assemblée nationale dans la correspondance, que «le Conseil constitutionnel, via l’article 2 de la décision n°2/C/2024 du 10 juillet 2024, affirme que la dissolution de l’Assemblée nationale peut être légalement prononcée par le Président de la République à partir du 12 septembre 2024».
Après avoir exposé ces deux éléments, le Président Bassirou Diomaye Faye a sollicité l’avis du Président Amadou Mame Diop sur «la dissolution de l’Assemblée nationale à partir de la date qui ressort de la décision du Conseil constitutionnel», c’est-à-dire à partir du 12 septembre.
Sans précision. A la fin de sa lettre, le chef de l’Etat dit attendre l’avis du Président de l’Assemblée nationale «d’ici le 11 septembre 2024», correspondant à demain, mercredi. Une manière pour le Président d’être dans les délais.
Ce qui place une ombre sur la Déclaration de politique générale du Premier ministre prévue le 13 septembre. C’est dire que la dissolution de l’Assemblée nationale, c’est une question de jours.
L’enquête ouverte suite au chavirement d’une embarcation remplie de migrants en partance pour l’Espagne avance à grands pas. Fin de cavale pour le capitaine de la pirogue. Il s’agit, explique L’Observateur, qui annonce son arrestation, du nommé C. Sall. Le pêcheur, précise le journal du […]
À La Une SOCIETEL’enquête ouverte suite au chavirement d’une embarcation remplie de migrants en partance pour l’Espagne avance à grands pas. Fin de cavale pour le capitaine de la pirogue. Il s’agit, explique L’Observateur, qui annonce son arrestation, du nommé C. Sall. Le pêcheur, précise le journal du Groupe futurs médias (GFM), « principal organisateur de ce voyage à l’émigration clandestine, et propriétaire de la fameuse pirogue, en était également le capitaine au moment de la tragédie ».
La même source révèle que le mis en cause, âgé de 52 ans, polygame et père de 12 enfants, a été interpellé lundi aux environs de 17 heures, « au moment où il s’affairait à des pratiques mystiques auprès de charlatans pour échapper à toute éventuelle arrestation ».
Fall, signale le quotidien d’information, ne serait pas à son coup d’essai. Face aux enquêteurs, le mis en cause, repris par L’Observateur, a déclaré avoir embarqué 88 candidats moyennant des sommes variants entre 300 000 F CFA et 400 000. Mais, des rescapés réfutent « catégoriquement » cette version, jurant que « la pirogue, pleine comme un œuf, avait à son bord plus de 200 passagers dont 5 femmes et un nombre important d’enfants ». Sall a été nuitamment acheminé dans les locaux du commissariat urbain de Diamaguene, qui hérite du dossier, avance L’Observateur.
Ce lundi, cinq autres corps dont ceux de trois femmes, en état de putréfaction ont été repêchés par les sapeurs pompiers après la découverte des quatre premiers corps à la plage de Tama Lodge.
A la tribune de l’Assemblée nationale dans le cadre de l’examen du projet de loi n°03/2024 relatif à la Commission nationale des Droits de l’Homme (Cndh), le député de Touba, Cheikh Abdou Mbacké Bara Doly a abordé la polémique née des propos du professeur Cheikh […]
ACTUALITE POLITIQUEA la tribune de l’Assemblée nationale dans le cadre de l’examen du projet de loi n°03/2024 relatif à la Commission nationale des Droits de l’Homme (Cndh), le député de Touba, Cheikh Abdou Mbacké Bara Doly a abordé la polémique née des propos du professeur Cheikh Oumar Diagne.
Dans sa prise de parole, il a demandé le limogeage du Directeur des moyens généraux de la présidence de la République.
« Monsieur le ministre de la Justice, je profite de cet instant solennel, en tant que petit fils de Serigne Touba, pour demander au président de la République de virer le professeur Cheikh Oumar Diagne », a-t-il lancé, demandant à Ousmane Diagne de transmettre son message au chef de l’État. « Il est inacceptable que M. Diagne, après avoir tenu de tels propos, puisse rester assis à côté du Président de la République », a insisté Cheikh Abdou Mbacké Bara Doly.
Marié et pere de deux enfants, l’une des victimes du naufrage de la pirogue aux larges des côtes de Mbour, survenu hier dimanche, avait declaré à sa famille qu’il se rendait à la ville de Tivaouane. M. Ndiaye, maçon de profession a surpris toute sa […]
ACTUALITE SOCIETEMarié et pere de deux enfants, l’une des victimes du naufrage de la pirogue aux larges des côtes de Mbour, survenu hier dimanche, avait declaré à sa famille qu’il se rendait à la ville de Tivaouane.
M. Ndiaye, maçon de profession a surpris toute sa famille. D’ailleurs quand ses proches ont été informés du drame qui lui a couté la vie, ils ont déclaré que ce n’était pas lui. Car, disent-ils, M. Ndiaye se trouvait à Tivaouane.
Pour rappel, une pirogue partie de Mbour a chaviré aux larges des côtes.
Quatre corps sans vie ont été repêchés (trois hommes et une femme) et quatre rescapés qui sont pris en charge à l’hôpital Thierno Mouhamadou Mansour Barro de Grand-Mbour. Mais plusieurs personnes restent encore introuvables.
Séga Sakho, ancienne gloire du football sénégalais, s’est éteint la nuit dernière après une longue maladie. Une légende vient de nous quitter. Il est décédé ce dimanche soir à l’hôpital Principal de Dakar, une grande perte non seulement pour le football sénégalais, mais pour tout […]
ACTUALITE necrologieSéga Sakho, ancienne gloire du football sénégalais, s’est éteint la nuit dernière après une longue maladie.
Une légende vient de nous quitter. Il est décédé ce dimanche soir à l’hôpital Principal de Dakar, une grande perte non seulement pour le football sénégalais, mais pour tout le pays.
Âgé de 75 ans, Séga Sakho a débuté à l’US Gorée avant de rejoindre la Jeanne d’Arc de Dakar, la Linguère de Saint-Louis, et enfin le Jaraaf de Dakar. Il a marqué l’histoire de l’équipe nationale du Sénégal dans les années 1970, contribuant de manière significative à son succès.
Surnommé le « Garrincha sénégalais » par Doyen Laye Diaw, Séga Sakho luttait depuis deux ans contre une maladie cardiovasculaire qui avait gravement affecté son pied gauche, l’obligeant à ne porter qu’une seule chaussure.
En mars dernier, en proie à des difficultés financières, il avait lancé un appel à l’aide pour financer son traitement, estimé à 3 360 000 francs CFA, rappelant les sacrifices qu’il avait faits pour son pays et demandant le soutien nécessaire pour ses soins.
Un drame vient de se produire sur la route entre Ndangalma et Khombole, précisément au niveau du village de Ndiama Fall. En effet, des sources affirment qu’un bus a pris feu aux environs de 05 heures du matin, aussitôt après sa collision avec un camion […]
ACTUALITE SOCIETEUn drame vient de se produire sur la route entre Ndangalma et Khombole, précisément au niveau du village de Ndiama Fall. En effet, des sources affirment qu’un bus a pris feu aux environs de 05 heures du matin, aussitôt après sa collision avec un camion transportant du sable.
Selon un témoin, un excès de vitesse serait la cause de ce violent accident qui a fait plusieurs victimes.
L’on signale toutefois que les sapeurs pompiers sont déjà sur les lieux. Affaire à suivre …
Les agents de la Section de recherches et de la Sûreté urbaine auront un agenda très chargé cette semaine. Libération révèle que le procureur de la République a fait plusieurs soit-transmis concernant des rapports de l’IGE, de la Cour des comptes, de l’Ofnac, de la […]
ACTUALITE POLITIQUELes agents de la Section de recherches et de la Sûreté urbaine auront un agenda très chargé cette semaine.
Libération révèle que le procureur de la République a fait plusieurs soit-transmis concernant des rapports de l’IGE, de la Cour des comptes, de l’Ofnac, de la Centif, des rapports internes comptables.
Ils seront ventilés la semaine prochaine entre la SR et la DIC. Comme indiqué par Ousmane Sonko, le déclenchement de ces procédures a été accompagné de mesures conservatoires.
Des sources autorisées renseignent qu’une liste composée de plus d’une trentaine de personnes -anciens dignitaires, homme d’affaires, hauts fonctionnaires…, a été transmise à la Police de l’Air et des frontières pour opposition.
A preuve, Mamadou Guèye, l’ancien directeur des Domaines a été bloqué à l’AIBD alors qu’il devait voyager. Idem pour l’ex ministre Abdoulaye Seydou Sow qui devait voyager avec l’équipe nationale de football.
Le parquet a transmis plusieurs rapports pour une enquête approfondie, lançant une première série de soit-transmis vers la Section de Recherches (SR) et la Division des Investigations Criminelles (DIC), spécialisées dans les enquêtes financières. Parmi les dossiers, celui de l’Inspection Générale des Finances (IGF) sur […]
À La Une justiceLe parquet a transmis plusieurs rapports pour une enquête approfondie, lançant une première série de soit-transmis vers la Section de Recherches (SR) et la Division des Investigations Criminelles (DIC), spécialisées dans les enquêtes financières.
Parmi les dossiers, celui de l’Inspection Générale des Finances (IGF) sur le Prodac est le premier à être traité, à la suite d’une plainte de l’État. D’autres rapports de l’IGE, la Cour des comptes, et l’OFNAC suivront, entraînant des enquêtes majeures.
Des mesures conservatoires ont déjà été prises contre une trentaine de personnalités, dont Mamadou Guèye et Abdoulaye Sow, interdits de quitter le territoire, rapporte Libération.
Seydi Gassama, directeur exécutif d’Amnesty International Sénégal, a pris position en faveur de la libération d’Ahmet Suzanne Camara et de l’ex-commissaire Cheikhouna Keïta. Dans un message publié sur X (anciennement Twitter), Seydi Gassama a fermement condamné les détentions de ces deux personnalités. « Ahmet Suzanne Camara […]
ACTUALITE POLITIQUESeydi Gassama, directeur exécutif d’Amnesty International Sénégal, a pris position en faveur de la libération d’Ahmet Suzanne Camara et de l’ex-commissaire Cheikhouna Keïta.
Dans un message publié sur X (anciennement Twitter), Seydi Gassama a fermement condamné les détentions de ces deux personnalités. « Ahmet Suzanne Camara et l’ex commissaire Keita doivent être remis en liberté. Les peines de prison pour les délits de diffamation, offense au Chef de l’État, outrage, etc., doivent êtte supprimées comme recommandé par les mécanismes internationaux des droits humains. Et une fausse nouvelle qui ne présente pas un risque grave de troubler l’ordre public ne doit faire l’objet de poursuites pénales », condamne-t-il.
Ahmed Suzanne Camara, un enseignant et membre actif du Réseau des enseignants de l’Alliance pour la République (APR), a été arrêté pour offense et discrédit envers les hautes autorités de l’État, ainsi que pour incitation des citoyens à enfreindre les lois. Après plusieurs allers-retours devant le parquet, son dossier a été requalifié en matière criminelle, avec un mandat de dépôt requis par le procureur de la République. Actuellement, Camara est en attente de la désignation d’un juge d’instruction pour la suite de l’affaire, ce qui laisse planer une incertitude sur la durée de sa détention.
De son côté, l’ancien commissaire Cheikhouna Keïta a été placé en garde à vue suite à des propos jugés offensants envers le président Bassirou Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko. Les accusations portent sur la diffusion de « fausses nouvelles » concernant une supposée altercation entre ces deux figures politiques. Lors de son audition à la Division des Investigations Criminelles (DIC) à Dakar, Keïta a expliqué qu’il ne faisait que reprendre des informations déjà publiées par d’autres, insistant sur sa bonne foi et sa volonté de participer au débat public.