Alioune Badara Mbacké, médecin accusé de coups et blessures volontaires sur son épouse Dieynaba Sangharé Ndiaye, devrait comparaître aujourd’hui mercredi devant le Tribunal de Matam, selon L’Obs. Cette comparution fait suite à une plainte déposée par son épouse, après des violences ayant entraîné une incapacité […]
ACTUALITE SOCIETEA Mermoz, une bande d’agresseur a été percutée par un automobiliste près de l’Auchan, en face de l’ambassade du Maroc. Selon les témoignages, les agresseurs ont attaqué une femme et un homme pour s’emparer de ses biens. Ils ont été heurtés par par un automobiliste, […]
ACTUALITE SOCIETECeux qui espéraient assister à un face-à-face public entre Ousmane Sonko et Amadou Bâ pour un débat sur la marche du pays, devront probablement repasser. Si l’on en croit le nouveau président du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (Cnra), Mamadou Oumar Ndiaye, ce duel […]
ACTUALITE POLITIQUEB. Diaw, ancien portier de l’équipe fanion de Saint-Louis, «La Linguère», est dans de beaux draps. L’Observateur rapporte qu’il a été arrêté pour vol de bétail, en compagnie du nommé P. M. Camara. La même source révèle que les faits se sont produits au village […]
ACTUALITE SOCIETEB. Diaw, ancien portier de l’équipe fanion de Saint-Louis, «La Linguère», est dans de beaux draps. L’Observateur rapporte qu’il a été arrêté pour vol de bétail, en compagnie du nommé P. M. Camara. La même source révèle que les faits se sont produits au village de Diougoupe Peulh. Où Diaw et Camara, après avoir capturé des chèvres, 14, au total, les ont aussitôt embarquées dans leur véhicule 4×4.
Malheureusement pour eux, signale le quotidien d’information, des habitants étaient aux aguets. Pris sur le fait, les mis en cause ont tenté de décamper, fonçant sur la foule. Sans succès. « P. M. Camara, qui était au volant, abandonne le véhicule et saute dans le vide. Il sera interpellé par les jeunes du village aux mains de qui, il va passer un sale quart d’heure. Poursuivant la chasse à l’homme, les jeunes vont appréhender le second larron », relate le journal du Groupe futurs médias (GFM). C’est ainsi qu’ils ont été lynchés par la foule en furie avant d’être conduits à la Brigade de gendarmerie de Diama.
L’enquête est loin d’être bouclée. D’autres membres de la bande, notamment des receleurs, sont activement recherchés, glisse L’Observateur.
Absent lors de la plénière convoquée lundi pour l’examen du projet de loi n°11/2024 portant révision de la Constitution en perspective de la suppression du Haut conseil des collectivités territoriales (HCCT) et du Conseil conseil économique, social et environnemental (CESE), le maire de Dakar, Barthélemy […]
ACTUALITE POLITIQUEAbsent lors de la plénière convoquée lundi pour l’examen du projet de loi n°11/2024 portant révision de la Constitution en perspective de la suppression du Haut conseil des collectivités territoriales (HCCT) et du Conseil conseil économique, social et environnemental (CESE), le maire de Dakar, Barthélemy Dias, a voté par procuration.
Le journal Les Échos affirme que le collaborateur de Khalifa Sall a voté en faveur du texte du Président Bassirou Diomaye Faye, tout comme les autres députés de Taxawu Sénégal. La source croit savoir que le député-maire, malgré les bisbilles avec Pastef, le parti au pouvoir, a « toujours estimé que ces institutions [HCCT et CESE] étaient budgétivores et ne servaient à rien ». Il a donc suivi sa logique.
Au final, le texte a été rejeté par les 83 députés de Benno contre 80 voix pour.
Le ministre de la Justice, Ousmane Diagne, a annoncé, lundi, à l’Assemblée nationale, l’ouverture d’une enquête approfondie concernant le scandale présumé à l’Office National de l’Assainissement du Sénégal ( ONAS ). Le ministre de la Justice, qui défendait le projet de loi portant révision de la […]
À La Une POLITIQUELe ministre de la Justice, Ousmane Diagne, a annoncé, lundi, à l’Assemblée nationale, l’ouverture d’une enquête approfondie concernant le scandale présumé à l’Office National de l’Assainissement du Sénégal ( ONAS ).
Le ministre de la Justice, qui défendait le projet de loi portant révision de la Constitution, avait annoncé une enquête pour clarifier le scandale à l’Onas. Le Garde des Sceaux est passé à l’acte.
Selon les informations de Libération, le parquet de Dakar, qui s’est adossé à la plainte du député non inscrit Thierno Alassane Sall, a saisi la Section de Recherches (SR) de la gendarmerie nationale.
Dans son soit-transmis, le procureur a demandé aux gendarmes une enquête exhaustive sur l’ensemble des faits allégués par les différentes parties.
Thierno Alassane Sall avait, dans son document, rappelé des décision de l’ARMP (actuelle ARCOP) et de la Cour suprême, cassant l’attribution de marchés aux sociétés DELTA et VICAS en 2019 et 2020, alors que l’ONAS était dirigée par Lansana Gagny SAKHO, actuel PCA de l’APIX.
La République des Valeurs parle d’une “Mafia au coeur du système de l’assainissement au Sénégal” et demande au procureur de la République auprès de qui elle a déposé une plainte de se saisir de ce dossier.
Le 3 septembre 2024, la Présidence de la République du Sénégal a diffusé un communiqué détaillant sa position suite au rejet par l’Assemblée nationale du projet de loi N°11/2024, qui visait à supprimer le Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT) et le Conseil économique, social […]
ACTUALITE POLITIQUELe 3 septembre 2024, la Présidence de la République du Sénégal a diffusé un communiqué détaillant sa position suite au rejet par l’Assemblée nationale du projet de loi N°11/2024, qui visait à supprimer le Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT) et le Conseil économique, social et environnemental (CESE). Ce projet, porté par le Président S.E.M. Bassirou Diomaye Diakhar Faye, s’inscrivait dans un large programme de réorganisation de l’État et de rationalisation des dépenses publiques.
Le communiqué rappelle que « lors de l’élection présidentielle du 24 mars 2024, des engagements fermes, validés souverainement par le peuple, ont été pris par le Président de la République, S.E.M. Bassirou Diomaye Diakhar Faye ». Ces engagements ont donné naissance à un « Pacte social de gouvernance publique adossé à une réorganisation institutionnelle des organes de l’État », visant une gestion plus efficace des ressources publiques. La suppression du HCCt et du CESE devait compléter la la dissolution déjà effective de la Commission Nationale du Dialogue des Territoires ( CNDT ).
Cependant, le rejet de ce projet de loi par les députés révèle, selon la Présidence, « la rupture profonde entre les députés de la majorité et les aspirations populaires qui se sont massivement exprimées lors de l’élection présidentielle du 24 mars 2024 ». Cette décision parlementaire est perçue comme un décalage entre les élus et les attentes des citoyens.
Malgré ce rejet, le Président de la République « prend acte de la décision des députés de la majorité » et reste résolu à poursuivre ses réformes. Le communiqué souligne l’importance de « l’expression des positions politiques plurielles, essentielle au jeu démocratique et à l’équilibre des pouvoirs », réaffirmant ainsi l’engagement du Président à maintenir un débat politique ouvert et diversifié.
Voici l’intégralité du communiqué émis par la Présidence de la République du Sénégal :
REPUBLIQUE DU SENEGAL
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE
COMMUNIQUÉ
Lors de l’élection présidentielle du 24 mars 2024, des engagements fermes, validés souverainement par le peuple, ont été pris par le Président de la République, S.E.M. Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Il en ressort un Pacte social de gouvernance publique adossé à une réorganisation institutionnelle des organes de l’État, qui engage nécessairement une rationalisation systématique des charges de celui-ci.
La suppression, déjà effective, de la Commission Nationale du Dialogue des Territoires (CNDT), ainsi que celle du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT) et du Conseil économique, social et environnemental (CESE), soumise à l’appréciation de l’Assemblée nationale à travers le projet de loi N°11/2024, portant révision de la Constitution, s’ajoutent aux différentes directives présidentielles sur la rationalisation des dépenses publiques, que le gouvernement entend mettre en œuvre dans le cadre de la doctrine de transformation de la gouvernance publique inscrite dans le PROJET.
Le rejet du projet de loi portant révision de la Constitution, visant la dissolution du HCCT et du CESE, renseigne à suffisance, s’il en est besoin, sur la rupture profonde entre les députés de la majorité et les aspirations populaires qui se sont massivement exprimées lors de l’élection présidentielle du 24 mars 2024.
Le Président de la République prend acte de la décision des députés de la majorité et réaffirme son engagement à œuvrer pour l’expression des positions politiques plurielles, essentielle au jeu démocratique et à l’équilibre des pouvoirs.
#Jubbanti
Présidence de la République, le 3 septembre 2024
Le Ministre-conseiller, porte-parole de la Présidence
Ousseynou LY
En plus de la psychose des assassinats, les habitants de HLM Montagne ont vu leur vie agitée par un accident mortel dont un des leurs a été victime. Il s’agit d’un enfant mortellement fauché par un L200 qui transportait plusieurs personnes. Le drame a eu lieu vers […]
ACTUALITE SOCIETEEn plus de la psychose des assassinats, les habitants de HLM Montagne ont vu leur vie agitée par un accident mortel dont un des leurs a été victime.
Il s’agit d’un enfant mortellement fauché par un L200 qui transportait plusieurs personnes. Le drame a eu lieu vers 7h du matin près de l’avenue Bourguiba à côté de la Senelec.
Il a fallu que l’enfant échappe, quelques secondes à la vigilance de sa mère, alors qu’ils traversaient la route pour l’irréparable se produise.
Le conducteur du véhicule ne pouvait plus retenir ses larmes, après l’accident mortel. Le chauffeur du pock-up a été arrêté par la Police.
A peine sorti de prison, B Seck est rattrapé par ses vieux démons. Libéré après 2 mois de prison pour vol, il y retourne pour des faits similaires. Le jour même de sa libération, Seck a été surpris en train de subtiliser des câbles. À trois heures […]
ACTUALITE SOCIETEA peine sorti de prison, B Seck est rattrapé par ses vieux démons.
Libéré après 2 mois de prison pour vol, il y retourne pour des faits similaires. Le jour même de sa libération, Seck a été surpris en train de subtiliser des câbles.
À trois heures du matin, il a été arrêté et conduit au commissariat des Parcelles Assainies. Face aux agents enquêteurs, le mis en cause avoue les faits.
Conduits devant la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar, il revient sur ses déclarations après avoir contesté les faits. À l’en croire, ce jour-là, relate SourceA, il s’était rendu chez le nommé Moussa Thiam pour récupérer le vélo qu’il lui avait vendu.
Celui-ci, refusant de lui remettre sa bicyclette, l’a accusé à tort du chef de vol. «Ma mère m’a suppliée de ne pas y aller. Mais je suis quand même parti car je ne peux pas travailler sans vélo. Il a refusé de me la remettre et a eu l’idée de m’accuser de vol. Des riverains et lui ont commencé à me battre c’est ainsi que j’ai ramassé les fils pour me défendre. Je jure que j’ai arrêté de voler. J’ai passé des moments difficiles en prison. Je ne veux pas y retourner», a-t-il déclaré.
Malgré cela, le maître des poursuites qui trouve que le prévenu est loin de s’amender a requis deux ans d’emprisonnement dont six mois ferme contre le prévenu. Prenant la parole en dernier, Bamba Seck a supplié le tribunal de le laisser partir. «J’étais malade en prison. Durant deux mois je n’ai pas dormi», a-t-il quémandé le tribunal. Il a écopé d’une peine de prison de 2 ans dont 3 mois ferme.
Une éclaircie se profile dans l’affaire des marchés de l’ONAS, d’après le Garde des Sceaux. Dans cette affaire, l’ancien directeur général évoque des marchés passés de gré à gré, bien que le nouveau directeur général et ses collaborateurs rejettent ces accusations et défendent le ministre […]
ACTUALITE POLITIQUEUne éclaircie se profile dans l’affaire des marchés de l’ONAS, d’après le Garde des Sceaux. Dans cette affaire, l’ancien directeur général évoque des marchés passés de gré à gré, bien que le nouveau directeur général et ses collaborateurs rejettent ces accusations et défendent le ministre de l’Assainissement, Cheikh Tidiane Dièye.
Cette affaire a captivé l’attention des milieux politiques et syndicaux depuis quelque temps, conduisant au limogeage du directeur de l’ONAS, Cheikh Dieng, et à une série de critiques visant le ministre Cheikh Tidiane Dièye.
Interrogé sur le sujet, le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, a déclaré lundi à l’Assemblée nationale que le dossier progresse. Selon Ousmane Diagne, cette affaire sera bientôt élucidée.
« Je peux vous assurer qu’une enquête a été ordonnée. Je vous donne ma parole que tous les faits incriminés seront examinés, » a-t-il affirmé pour rassurer les députés.
Deux semaines après le double meurtre du danseur Aziz Dabala et de son neveu, tués dans leur appartement, de nouveaux éléments apparaissent dans l’enquête confiée à la Division des investigations criminelles (Dic). Le double meurtre de Aziz Dabala et du jeune Waly est plein de rebondissements. D’après […]
À La Une SOCIETEDeux semaines après le double meurtre du danseur Aziz Dabala et de son neveu, tués dans leur appartement, de nouveaux éléments apparaissent dans l’enquête confiée à la Division des investigations criminelles (Dic).
Le double meurtre de Aziz Dabala et du jeune Waly est plein de rebondissements. D’après des sources de L’AS, il y a beaucoup de zones d’ombre dans cette affaire pour le moins rocambolesque.
Selon les derniers développements du dossier, « il n’y a qu’un seul tueur et la complicité des suspects n’est pas prouvée. ». Et, « Nabou Lèye a été citée à tort dans le dossier », d’après L’AS qui précise qu’il n’y rien qui indique qu’elle a été complice du présumé assassin.
Le présumé meurtrier a confié aux enquêteurs qu’il aurait tué Aziz Dabala sous l’emprise de la drogue, indique la même source.
« Le présumé tueur s’est rendu chez Aziz Dabala pour de l’argent et connaissait bien la supposée orientation du défunt qui lui faisant les yeux doux », selon les confidences de L’AS.
« Sur place, ce dernier armé de son arsenal de séduction, aurait tenté de le séduire. Une somme de 5000 FCFA a été retirée, mais on ne sait pas ce qui s’est passé pour que ça se termine par un coup de poignard au niveau du coup puis par une bagarre mortelle », confie L’AS.
« Le présumé meurtrier s’en est également tiré avec des blessures lors de la bagarre », rapporte le journal. Qui ajoute : « pour les suspects, deux ont été mis hors de cause. C’est l’autre suspect qui a accompagné (de force) à Touba qui dénoncé le meurtrier présumé aux Forces de défense et de sécurité ».
La question que se posent les enquêteurs : « Pourquoi Nabou Lèye a été accusée alors que tout la disculpe », précise L’AS qui souligne que « l’enquête a été bâclée ».
Après de graves soupçons suite à ses deux interrogatoires et aux témoignages recueillis, la copine de 16 ans de Maman Aicha a été déférée au parquet lundi, accusée de « meurtre ». En attente de son passage devant le tribunal, elle sera fixée sur son […]
À La Une SOCIETEAprès de graves soupçons suite à ses deux interrogatoires et aux témoignages recueillis, la copine de 16 ans de Maman Aicha a été déférée au parquet lundi, accusée de « meurtre ». En attente de son passage devant le tribunal, elle sera fixée sur son sort ce mardi.
Tout a commencé avec la disparition de Maman Aïcha Ndong alors qu’elle revenait de la boutique en compagnie de sa copine, pour aboutir à la découverte de son corps sans vie dans un canal, avec des éléments compromettants captés par une caméra de surveillance.
La jeune A. Gueye, âgée de 16 ans, dernière personne à avoir été en contact avec Maman Aïcha avant sa disparition, a été déférée au parquet ce lundi 2 septembre pour meurtre, bien qu’elle ait nié les faits devant les enquêteurs, qui ont néanmoins relevé de lourdes suspicions à son encontre.
Lors de son interrogatoire, rapporte Libération, on lui a demandé de préciser l’endroit exact où elle se serait séparée de Maman Aïcha Ndong. A. Gueye a alors expliqué qu’en revenant d’un point Wave après avoir acheté du lait, elles avaient emprunté une ruelle inhabituelle située à proximité immédiate d’un canal, et que c’est précisément à ce niveau qu’elle avait perdu de vue Maman Aïcha, sans pouvoir en dire plus.
A. Gueye a ensuite retracé avec les policiers l’itinéraire qu’elles avaient suivi le jour de la disparition de Maman Aïcha. Elle les a conduits jusqu’au point de leur séparation, où, contre toute attente, le corps sans vie de la victime a été retrouvé.
Dans ses explications, A. Gueye a indiqué qu’elle avait devancé la défunte de quelques mètres. C’est à ce moment que cette dernière aurait mystérieusement disparu. L’enquête de voisinage a permis aux policiers d’apprendre que lors des recherches, les nommés A. Ciss et A. Ndione, habitants du même quartier que la défunte, avaient croisé cette nuit-là Maman Aïcha et sa copine A. Gueye…
Ce lundi 2 septembre 2024, l’Assemblée nationale devra statuer sur le sort du Conseil économique, social et environnemental (CESE) et du Haut Conseil des collectivités territoriales (HCCT). Cependant, lors de la réunion de la commission des lois, de la décentralisation, du travail et des droits […]
ACTUALITE POLITIQUECe lundi 2 septembre 2024, l’Assemblée nationale devra statuer sur le sort du Conseil économique, social et environnemental (CESE) et du Haut Conseil des collectivités territoriales (HCCT).
Cependant, lors de la réunion de la commission des lois, de la décentralisation, du travail et des droits humains, le débat sur l’homosexualité a fait irruption dans les discussions. Certains commissaires estiment que la suppression de ces deux institutions est insignifiante et « inopportune ». D’autres, en revanche, pensent que cette loi doit être adoptée, car elle fait partie des promesses électorales.
Les députés de l’opposition soutiennent que si l’élimination du HCCt et du CESE est une promesse du Chef de l’État, la criminalisation de l’homosexualité l’est tout autant, selon le rapport. « …Puisque cette réforme découle d’une promesse de campagne électorale, le Chef de l’État aurait dû inclure la suppression des fonds communs, des fonds politiques logés à la Présidence et à la Primature, mais surtout la criminalisation de l’homosexualité, qui était également une promesse électorale. Selon eux, en proposant ce projet de loi, le Président de la République tente à la fois de dissimuler certains scandales gouvernementaux, comme celui impliquant l’Onas, et de mettre les députés de la coalition Benno Bokk Yaakaar en difficulté auprès des Sénégalais en cas de rejet », ont critiqué certains commissaires en présence du ministre de la Justice, Ousmane Diagne, du ministre du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les Institutions, ainsi que d’autres collaborateurs.