La reddition des comptes s’emballe. « Plus de 1000 milliards de francs CFA auraient été découverts dans un seul compte bancaire par les nouvelles autorités. » La révélation a été faite par Ousmane Sonko lors du meeting d’ouverture de la campagne de sa coalition pour les législatives, […]
ACTUALITE POLITIQUEAmeth Ndoye sera présenté devant le procureur de la République ce lundi 28 octobre. Le chroniqueur de Sen TV a été arrêté jeudi dernier par des agents de la brigade de recherches de Faidherbe pour défaut de permis de conduire et usage de faux. Depuis […]
ACTUALITE justiceCe lundi 28 octobre 2024, le journal Les Echos rapporte une violente attaque contre le convoi d’Abass Fall, acteur politique influent, à Mermoz – Sacré-Cœur. Cet incident aurait entraîné des blessures parmi les militants d’Abass Fall, ainsi que des agressions physiques et des dégradations de véhicules. Face […]
À La Une POLITIQUESuite à la dissolution de l’Assemblée Nationale par le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, le leader de « Geum Sa Bopp » Bougane Guèye, n’ a pas manqué encore une fois de tirer sur le tandem Diomaye-Sonko. Sur sa page Facebook, il critique sévèrement le […]
ACTUALITE POLITIQUESuite à la dissolution de l’Assemblée Nationale par le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, le leader de « Geum Sa Bopp » Bougane Guèye, n’ a pas manqué encore une fois de tirer sur le tandem Diomaye-Sonko. Sur sa page Facebook, il critique sévèrement le duo Diomaye Sonko, dans un texte intitulé » de Vitrine démocratique à l’Etat renégat?
« Notre pays ouvre ce soir l’une des plus scabreuses pages de son histoire institutionnelle avec l’émergence de menteurs crédibles qui curieusement drainent des foules buvant avec une idiotie rationnelle leurs mensonges. Le premier est le second et le second méconnaît l’insulteur des confréries.
Jamais, dans la vie de cette nation, la folie aveugle d’un seul homme n’a autant pris le dessus sur la souveraineté de notre vaillant peuple.
A y regarder de près, le citoyen Ousmane Sonko, chef de Pastef, impose sa veulerie avec un mépris inédit de nos institutions y compris aujourd’hui la présidence de la République. Il ne se présentera donc pas à l’Assemblée nationale. Victoire d’un chef qui confirme que le populisme demeure le patriotisme des idiots.
Le moment présent m’inspire, comme proclamé par la Déclaration de 1789, “ Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément .
Face aux manœuvres et jublang du duo Diomaye -Sonko pour esquiver la DPG, face à un PR sans parole ni signature, le désespoir se mesure à l’aune de l’élan suicidaire des jeunes sans perspectives, à l’insécurité humaine et juridique, à l’anxiété de nos partenaires financiers, au désarroi du Secteur privé et à la volonté manifeste de museler la presse, etc..
Le temps de la résistance a sonné : face aux reniements et forfaitures, aux règlements de comptes sur mesure, nous n’avons d’autres alternatives que de nous dresser devant ces fossoyeurs de la République !
Pour le leader politique, « le Jub, Jubanti inconnu de notre glossaire institutionnel ne devrait en aucun cas remplacer notre BUT qui doit rester “la conservation des droits naturels et imprescriptibles” que sont “la liberté, la propriété, la sûreté et la RÉSISTANCE à l’OPPRESSION”.
Une mobilisation nationale s’impose pour faire respecter la Constitution et nos institutions face à ce multi récidiviste !
La date des élections législatives au dimanche 17 Novembre, j’appelle toutes les forces vives de notre nation à s’unir pour sauver le Sénégal ».
Les Sénégalais sont appelés aux urnes, le 17 novembre 2024, pour des élections législatives anticipées. Le choix de cette date suscite des interrogations sur le parrainage. L’élection anticipée du 17 novembre 2024 supprime-t-elle de facto le système de parrainage ? OUI. Car le parrainage et ses […]
ACTUALITE POLITIQUELes Sénégalais sont appelés aux urnes, le 17 novembre 2024, pour des élections législatives anticipées. Le choix de cette date suscite des interrogations sur le parrainage.
L’élection anticipée du 17 novembre 2024 supprime-t-elle de facto le système de parrainage ? OUI. Car le parrainage et ses contraintes n’ont pas été prévus en cas d’élection anticipée, ni par la Constitution ni par le Code électoral.
« Ce qui voudra dire, qu’en toute logique juridique, il ne doit pas y avoir de parrainage lors de ces élections législatives anticipées », analyse dans l’anonymat un juriste interrogé par L’OBS.
Poursuivant son argumentaire, le juriste et spécialiste des questions électorales soutient que dans ce cas de figure, les procédures qui dépassent les 90 jours prévus par la Constitution ne doivent pas, en principe, s’appliquer.
Il base son raisonnement sur la récente jurisprudence en France. «Cela a été le cas lors des dernières élections anticipées en France. Je pense que le Conseil constitutionnel sénégalais va, à peu près, suivre l’exemple du Conseil constitutionnel français dans ce sens», conclut-il.
Un avis partagé par Ndiaga Sylla. L’expert électoral juge la date du 17 novembre trop juste pour respecter le délai prévu par le Code électoral concernant le dépôt des listes qui est de 85 jours encore moins recueillir des parrainages.
«On ne peut plus faire le parrainage parce que les listes seront déposées dans moins de 65 jours. Le parrainage est un élément du dossier de candidature. La collecte est faite des mois avant le dépôt», dit-il.
Sur demande du chef de l’Etat Bassirou Diomaye Faye, les juges du Conseil constitutionnel ont tranché qu’il n’y aura pas de parrainages, renseigne Les Echos.
« J’ai toujours su qu’on allait dissoudre l’Assemblée nationale » , a déclaré Thierno Alassane Sall, ce jeudi 12 septembre sur la Rfm. L’ancien député précise n’avoir jamais pensé que le Président Bassirou Diomaye Faye allait se « dédire ». « Et j’ai été très surpris. Et on dirait qu’au Sénégal, […]
À La Une POLITIQUE« J’ai toujours su qu’on allait dissoudre l’Assemblée nationale » , a déclaré Thierno Alassane Sall, ce jeudi 12 septembre sur la Rfm.
L’ancien député précise n’avoir jamais pensé que le Président Bassirou Diomaye Faye allait se « dédire ». « Et j’ai été très surpris. Et on dirait qu’au Sénégal, on n’accorde plus d’importance aux promesses. Le président avait écrit à l’Assemblée nationale pour leur dire que la Déclaration de politique générale (DPG) allait se tenir le 13 » , a rappelé le président de la République des Valeurs (RV).
Qui poursuit : « Au niveau des ambassades étrangères, il y’en a qui discutent avec nous… Ils son préoccupés par la situation du pays, qu’on se dise la vérité. Et tout le monde était attentif à l’issue de cette crise. Mais lui (le chef de l’État), lorsqu’il écrivait à l’Assemblée, n’avait aucune intention à ce que la DPG se tienne. Ils ont fait du ‘ndioudji ndiadji’… Le Président Diomaye ne peut pas entamer son mandat avec des tromperies. Il a dévalorisé la parole sénégalaise ».
D’après Thierno Alassane Sall, le Président Diomaye aurait dû mettre l’accent sur le deuil national. « Il a même oublié de s’y prononcer dans son discours… La parole publique est morte, la parole d’un chef de l’État est morte, elle ne vaut plus rien, elle a été liquidée par le président de la République…» , a-t-il regretté.
L’annulation de son invitation a provoqué la colère de Pape Djibril Fall qui s’est fendu d’un post pour la dénoncer. Le président de la République va s’adresser à la Nation, ce jeudi à 20 h. À cet effet, l’émission « Champ contre champ » n’aura pas lieu […]
ACTUALITE POLITIQUEL’annulation de son invitation a provoqué la colère de Pape Djibril Fall qui s’est fendu d’un post pour la dénoncer.
Le président de la République va s’adresser à la Nation, ce jeudi à 20 h. À cet effet, l’émission « Champ contre champ » n’aura pas lieu après le journal télévisé de la RTS. À la suite de l’annulation de son invitation, Pape Djibril Fall a déversé sa bile sur la chaîne nationale.
« Mes chers compatriotes,
Sine die, la RTS vient d’annuler avec fracas l’émission prévue aujourd’hui après le journal de 20 h, pourtant à son initiative.L’heure est grave ; le pays anxiogène et le désespoir qui étreint nos concitoyens exige de la RTS une vraie pluralité et non de façade dans le traitement de l’information pour le bien de la population sénégalaise. Halte à la censure. #RTSnieupasiyem. »
Une rocambolesque histoire de poison versé dans un puits secoue le paisible village de Bourgou situé dans la commune de Ndoga-Babacar. Un individu a versé du poison intitulé «conquête» dans le puits du village pour tuer l’ensemble des habitants. Démasqué, le mis en cause a été arrêté et […]
ACTUALITE SOCIETEUne rocambolesque histoire de poison versé dans un puits secoue le paisible village de Bourgou situé dans la commune de Ndoga-Babacar.
Un individu a versé du poison intitulé «conquête» dans le puits du village pour tuer l’ensemble des habitants. Démasqué, le mis en cause a été arrêté et déféré au parquet local.
Les habitants de Bourgou, une localité située dans le département de Tamba, n’en reviennent toujours pas. Ceci, après avoir découvert qu’un individu du nom de Sory Camara a versé du poison dans le principal puits du village dans le but de leur ôter la vie.
Les faits ont eu lieu au village de Bourgou, une localité située dans la commune de Ndoga-Babacar (département de Tamba), sur la route nationale n°7. Selon des sources de l’Observateur, l’auteur de ce projet macabre a été identifié sous le nom de, Ibrahima Sory Camara. Piqué par on ne sait quelle mouche, Camara s’est rendu au principal puits du village muni d’un petit récipient contenant du poison intitulé «conquête».
Seulement, sa sale besogne n’a pas échappé à certains dans la foule qui se sont empressés de le dénoncer. C’est ainsi que les restes de ce poison ont été trouvés par devers lui. Avisé, l’ancien Président du conseil rural (Pcr), ainsi que des autorités de la zone sont venus constater les faits.
La DIC a mis fin à cette rocambolesque affaire qui se déroulait dans un appartement aux Almadies. Une affaire de séquestration impliquant un commerçant et un opérateur économique a conduit à l’arrestation d’Elhadj Abdoulaye Diop, alias Willy (50 ans), et de Papa Aly Diop, alias […]
ACTUALITE SOCIETELa DIC a mis fin à cette rocambolesque affaire qui se déroulait dans un appartement aux Almadies.
Une affaire de séquestration impliquant un commerçant et un opérateur économique a conduit à l’arrestation d’Elhadj Abdoulaye Diop, alias Willy (50 ans), et de Papa Aly Diop, alias « Péli », par la Division des Investigations Criminelles (DIC).
Les deux hommes ont été déférés devant le parquet hier mercredi, suite à l’enlèvement et à la séquestration d’Assane Farad, avec une demande de rançon de 10 millions FCFA.
Selon les informations rapportées par Libération, la DIC s’est mis aux trousses des deux mis en cause, lorsqu’elle a été saisie de l’enlèvement et de la séquestration d’Assane Farad.
En plus, les deux mis en cause réclamaient une rançon de 10 millions FCFA pour libérer Assane Farad. Mais les limiers se sont rapidement mis sur la piste de Abdoulaye Diop dit Willy (50 ans) et Papa Aly Diop. Rapidement, les policiers ont localisé le lieu où était détenu Assane Farad avant de neutraliser le duo.
Face aux enquêteurs, Elhadj Abdoulaye Diop s’est livré à de graves révélations. En effet, il a expliqué qu’il y a de cela quelques mois, Assane Farad était placé sous mandat de dépôt pour trafic de drogue. C’est en pareilles circonstances que saisi par Farad, depuis la prison, il l’a mis en rapport avec Papa Aly Diop. Ce dernier a permis de le faire libérer grâce à son carnet d’adresses, moyennant le paiement de 10.000.000 FCFA.
L’accord conclu, Assane Farad a effectivement bénéficié d’une libération provisoire quelque temps après. Cependant, il n’a jamais payé le montant convenu, rapporte Libération.
Pour le contraindre à payer la somme dûe, le duo a mis la main sur Assane Farad avant de le séquestrer dans un appartement aux Almadies dans la nuit du 2 au 3 septembre 2024, de 2 heures à 20 heures. Afin d’être libéré, Assane Farad a, sous la menace, appelé son frère se trouvant en Guinée-Bissau pour venir à son secours.
Par le système » hawala », ce dernier a déposé une somme de 10 millions de FCFA, récupérable dans une boutique de Sandaga, auprès d’un commerçant Guinéen. Mais avant que les mis en cause ne récupèrent l’argent, la DIC est intervenue. Le commerçant de Sandaga, qui avait les 10 millions de FCFA, devait les déposer à la DIC après avoir été identifié et contacté par les enquêteurs.
Le président de la République Bassirou Diomaye Faye va faire une adresse à la Nation. Cette allocution est prévue ce jeudi à 20 heures, renseigne la RTS. Rappelons que son Premier ministre avait déjà annoncé ce discours à la nation lorsque le président séjournait en […]
À La Une POLITIQUELe président de la République Bassirou Diomaye Faye va faire une adresse à la Nation. Cette allocution est prévue ce jeudi à 20 heures, renseigne la RTS.
Rappelons que son Premier ministre avait déjà annoncé ce discours à la nation lorsque le président séjournait en Chine. « Parce qu’il important que les Sénégalais comprennent ce qui se passe », avait dit Ousmane Sonko en parlant de la reddition lors d’une rencontre à la Primature.
Cette adresse à la nation se tient dans le contexte de la déclaration de politique générale et d’une éventuelle dissolution de l’Assemblée nationale, possible à compter du 12 septembre.
Le président de la République a déjà reçu le feu vert du Conseil constitutionnel et du président de l’Assemblée nationale Amadou Mame Diop à cet effet.
Parti voir les corps sans vie des victimes refoulées à la plage de Mbour, un policier a vécu la surprise de sa vie, en tombant sur la dépouille de son propre père. Le défunt, âgé de 54 ans, vivait au Mali où il officiait en […]
ACTUALITE SOCIETEParti voir les corps sans vie des victimes refoulées à la plage de Mbour, un policier a vécu la surprise de sa vie, en tombant sur la dépouille de son propre père.
Le défunt, âgé de 54 ans, vivait au Mali où il officiait en tant que tailleur et est récemment rentré au bercail. Sa famille et son entourage ignoraient que le défunt polygame avait embarqué à bord de la pirogue, renseigne source A.
A noter que le nombre de victimes du chavirement de la pirogue à Mbour survenu ce dimanche continue d’augmenter. En date du mercredi 11 septembre 2024, trois nouveaux corps ont été repêchés, portant le total à 40 morts.
Momo, le chroniqueur de l’émission « Balance », a récemment donné des nouvelles de Nabou Lèye, l’influenceuse emprisonnée suite à l’affaire impliquant Aziz Dabala. Selon ses informations, Nabou Leye est en bonne santé, mais elle fait face à une situation difficile en détention. Une autre prisonnière semble […]
ACTUALITE SOCIETEMomo, le chroniqueur de l’émission « Balance », a récemment donné des nouvelles de Nabou Lèye, l’influenceuse emprisonnée suite à l’affaire impliquant Aziz Dabala.
Selon ses informations, Nabou Leye est en bonne santé, mais elle fait face à une situation difficile en détention. Une autre prisonnière semble en effet la harceler régulièrement. « D’après les nouvelles qu’on a, elle se porte bien mais une prisonnière ne cesse de la provoquer. À part ça, elle va bien », a-t-il déclaré.
Les tensions en détention pour Nabou Lèye interviennent après son arrestation controversée dans le cadre de l’affaire Aziz Dabala, qui a captivé l’attention du public et des médias. Pour rappel, Nabou Lèye avait été interpellée suite à la divulgation de messages compromettants entre elle et Aziz Dabala, un célèbre influenceur accusé d’escroquerie. Leur arrestation a suscité une vague de réactions sur les réseaux sociaux, divisant l’opinion publique.
Les nouvelles de Momo laissent penser que Nabou Lèye essaie de s’adapter à son nouvel environnement malgré les défis quotidiens. La jeune femme, autrefois célèbre pour ses contenus glamour et sa vie d’influenceuse, se retrouve désormais dans une situation bien loin de la lumière des projecteurs. Les raisons du harcèlement qu’elle subit de la part d’une autre détenue ne sont pas encore claires, mais cela ajoute une couche de complexité à son incarcération.
La mer continue de rejeter les corps sans vie des victimes du chavirement de la pirogue de migrants en partance pour l’Espagne, survenu dimanche dernier au large de Mbour. Le bilan des dépouilles échouées sur les plages de la Petite Côte s’établit à ce jour […]
À La Une SOCIETELa mer continue de rejeter les corps sans vie des victimes du chavirement de la pirogue de migrants en partance pour l’Espagne, survenu dimanche dernier au large de Mbour. Le bilan des dépouilles échouées sur les plages de la Petite Côte s’établit à ce jour à une quarantaine de morts, d’après plusieurs médias.
Présumé capitaine et convoyeur de la pirogue, C. Sall, qui était recherché, s’est constitué prisonnier lundi dernier à la Brigade de recherches de Saly Portudal. L’Observateur renseigne que les enquêteurs ont procédé à une deuxième arrestation. «Le fournisseur de carburant auprès de qui Cheikh Sall a fait le plein a été appréhendé et placé en garde à vue. Ce dernier ne peut valablement se prévaloir de sa bonne foi après avoir vendu une si importante quantité de carburant à un tiers», suspectent des sources du journal.