Invité par Maimouna Ndour Faye sur la TFM, Bougane Gueye Dani a évoqué le dossier des 100 milliards trouvé sur un compte bancaire. Le leader de Gueum Sa Bopp ne trouve pas crédible la révélation de Sonko sur ce dossier. Bougane Gueye Dany ne croit pas […]
ACTUALITE POLITIQUEReug Reug a fait son retour en MMA dans la nuit du vendredi 8 au samedi 9 novembre. Il a affronté Anatoly Malykhin, le champion du monde ONE Heavyweight. L’athlète sénégalais, connu pour ses performances en lutte, a obtenu le titre de champion du monde […]
ACTUALITE SPORTSÀ la suite de la plainte déposée par le parti Pastef contre Anta Babacar Ngom et des individus non identifiés pour des actions qu’ils jugent comme des tentatives de perturbation de leur campagne électorale pour les législatives de 2024 à Diourbel, la présidente de l’Alternative […]
ACTUALITE POLITIQUELe département de Bakel, situé dans l’est du Sénégal, fait face à une situation dramatique liée aux crues du fleuve Sénégal. Un enfant de 7 ans a tragiquement perdu la vie en se noyant dans les eaux en crue, selon la RFM. Ce drame survient […]
ACTUALITE necrologieLe département de Bakel, situé dans l’est du Sénégal, fait face à une situation dramatique liée aux crues du fleuve Sénégal. Un enfant de 7 ans a tragiquement perdu la vie en se noyant dans les eaux en crue, selon la RFM.
Ce drame survient alors que la région est sous l’emprise d’inondations exacerbées par le débordement du fleuve, dont la cote d’alerte a été atteinte en août dernier. Ces crues sont aggravées par les lâchers d’eau du barrage de Manantali, intensifiant les risques d’inondations dans les zones avoisinantes comme Bakel. Les élus locaux, alarmés par la situation, ont appelé au déclenchement du plan ORSEC pour venir en aide aux populations sinistrées.
L’urgence est de trouver des solutions durables face à ces événements. Le gouvernement a également intensifié le suivi hydrologique dans les zones à risque pour prévenir de nouveaux drames. Ce mercredi, Ousmane Sonko a annoncé que le gouvernement va débloquer 8 milliards de FCFA pour assister les sinistrés.
Le Comité National de Gestion de la Lutte (CNG) a un nouveau président : Malick Ngom. Ancien arbitre, il succède à Bira Sène, dont le mandat a pris fin le 30 septembre 2024 après deux mandats marqués par de nombreuses réformes. Malick Ngom a été […]
ACTUALITE SPORTSLe Comité National de Gestion de la Lutte (CNG) a un nouveau président : Malick Ngom. Ancien arbitre, il succède à Bira Sène, dont le mandat a pris fin le 30 septembre 2024 après deux mandats marqués par de nombreuses réformes.
Malick Ngom a été désigné par l’Association des lutteurs en activité, dirigée par Ibrahima Dione, connu sous le nom de Gris Bordeaux, qui a exprimé le soutien unanime des lutteurs pour sa candidature, a confirmé le nouveau président du CNG à la rédaction de SeneNews. La nomination de Malick Ngom intervient dans un contexte de défis majeurs pour le CNG, notamment des tensions entre les lutteurs et les promoteurs concernant l’organisation des galas et les frais imposés par la structure. Gris Bordeaux a souligné que les promoteurs avaient subi des préjudices, étant souvent contraints de débourser des sommes élevées pour organiser des événements.
Le nouveau président aura la tâche de poursuivre les efforts de modernisation du CNG, comme l’a fait son prédécesseur, en ajustant notamment les coûts des licences pour les lutteurs et en établissant de nouvelles règles de sécurité pour les événements. Malick Ngom devra aussi faire face aux attentes croissantes des acteurs de la lutte sénégalaise, qui espèrent des changements significatifs dans la gestion de ce sport emblématique du pays.
Le nommé Madiap Sarr a été condamné à deux mois de prison ferme, ce mercredi 16 octobre. Ce jeune homme de 28 ans a été reconnu coupable d’abus de confiance par le tribunal des flagrants délits de Dakar. Sa peine est assortie du versement de […]
ACTUALITE SOCIETELe nommé Madiap Sarr a été condamné à deux mois de prison ferme, ce mercredi 16 octobre. Ce jeune homme de 28 ans a été reconnu coupable d’abus de confiance par le tribunal des flagrants délits de Dakar. Sa peine est assortie du versement de 4 millions de francs Cfa à la partie civile pour toutes causes et préjudices confondues.
Cofina était la plaignante. Madiap Sarr occupait le poste de chargé du recouvrement dans cette institution financière spécialisée dans la méso-finance. Sa mission était de collecter les fonds dus à l’entreprise et les verser dans ses caisses.
Lors d’un audit interne, un trou de 5 millions 225 mille francs Cfa apparaît dans les comptes. Devant les difficultés de Sarr à justifier l’anomalie, Cofina porte plainte contre lui pour abus de confiance. Il apparaîtra que le chargé du recouvrement a détourné le montant en cause pour jouer au Parifoot. Et malheureusement pour lui, il a tout perdu.
Devant le tribunal des flagrants délits, Madiap Sarr «a reconnu sans ambages les faits qui lui sont reprochés avant de faire son mea-culpa», rapporte L’Observateur, qui a assisté à l’audience. Le journal informe que la famille du mis en cause a déjà versé à la banque 2 millions 250 mille francs Cfa en guise de réparation partielle du préjudice. Elle devra trouver 4 millions supplémentaires pour permettre à Sarr de faire face à la sanction pécuniaire du tribunal qui, en sus, l’a envoyé en prison pour deux mois.
L’enquête autour de la tragédie survenue à Ngor, où une travailleuse de nuit a été retrouvée morte à moitié nue dans son appartement, connaît des avancées majeures. Selon des sources exclusives de Seneweb, trois suspects ont été arrêtés par les gendarmes de la brigade de […]
ACTUALITE SOCIETEL’enquête autour de la tragédie survenue à Ngor, où une travailleuse de nuit a été retrouvée morte à moitié nue dans son appartement, connaît des avancées majeures. Selon des sources exclusives de Seneweb, trois suspects ont été arrêtés par les gendarmes de la brigade de recherches de Faidherbe. Il s’agit de deux prostituées, D. Sow et M. Sy, ainsi que d’un client nommé A. Diop.
Les trois individus ont été placés en détention provisoire et font l’objet d’une enquête approfondie après avoir été longuement interrogés par les autorités. D’après le dossier de l’enquête, les deux jeunes femmes arrêtées étaient présentes avec leur collègue décédée, Nd. C. S., la nuit des faits.
Le client A. Diop est considéré comme le principal suspect dans cette affaire. Selon des informations obtenues, il aurait appelé la victime tard dans la nuit du mercredi, vers 3 heures du matin, et serait l’un des derniers à l’avoir vue vivante. L’enquête se concentre désormais sur la reconstitution des événements de cette nuit afin de déterminer les circonstances exactes du décès de la victime. Les autorités continuent de travailler sur l’affaire pour faire toute la lumière sur ce drame.
Les villages de la commune de Ballou, dans le département de Bakel, vivent une situation dramatique depuis près d’une semaine en raison des lâchers du barrage de Manantali. Le fleuve Sénégal, sortant de son lit, a inondé champs et habitations. Les habitants ont dû trouver […]
ACTUALITE SOCIETELes villages de la commune de Ballou, dans le département de Bakel, vivent une situation dramatique depuis près d’une semaine en raison des lâchers du barrage de Manantali. Le fleuve Sénégal, sortant de son lit, a inondé champs et habitations. Les habitants ont dû trouver refuge sur les terrasses ou sur les hauteurs du Diéri. Bien que des secours étatiques soient arrivés, la réponse est largement insuffisante par rapport aux besoins. Une solidarité locale, menée par les expatriés de la région, tente de compenser la lenteur de l’État.
Depuis six jours, plusieurs villages dont Aroundou, Yafera, Golmy et Balou sont sous les eaux, rendant les déplacements impossibles sans pirogue. « C’est vraiment difficile », confie Cheikhna Camara, maire de Balou. Le paysage est transformé en une scène apocalyptique, et les habitants, déplacés de force, attendent une intervention étatique décisive, notamment le déclenchement du Plan Orsec. Mamadou Diabe Cissokho, habitant d’Aroundou, alerte sur le risque de maladies dues aux conditions insalubres et à un manque criant de tentes pour s’abriter.
Les réseaux de communication sont coupés, exacerbant l’isolement. Les routes sont inaccessibles sans risques, et la rareté des ressources pousse les habitants à de longs trajets en pirogue et en voiture pour se procurer le nécessaire. L’eau potable manque cruellement, l’eau courante étant contaminée et malodorante, forçant les habitants à se rabattre sur des solutions improvisées et insuffisantes.
De plus, le courant électrique est coupé par mesure de sécurité, plongeant les villages dans l’obscurité. Le réseau téléphonique étant hors service, les habitants se retrouvent totalement déconnectés. Les besoins urgents incluent la mise en place d’hôpitaux mobiles, car les infrastructures sanitaires, comme à Yafera, sont inaccessibles.
La réponse de l’État est fortement critiquée. La lenteur de l’intervention, ressentie par les sinistrés, exacerbe leur frustration. Sohané Barry déplore l’absence de soutien et l’épuisement des ressources locales. Malgré la visite tardive du ministre de l’Intérieur, accompagnée d’une promesse d’aide, les ressentiments persistent face à une mobilisation jugée insuffisante.
Le passage de l’onde de crue continue de faire grimper le niveau des eaux, menaçant davantage de villages le long de son trajet. L’urgence humanitaire est manifeste alors que les sinistrés clament leur détresse face à l’ampleur du désastre et l’inefficacité des actions étatiques.
Dans le cadre de l’enquête sur les marchés de l’Onas, Thierno Alassane Sall et Cheikh Dieng ont été entendus par la Section de recherches de la gendarmerie de Colobane. Le premier est l’auteur de la plainte contre X qui a déclenché la procédure. Le second […]
À La Une justiceDans le cadre de l’enquête sur les marchés de l’Onas, Thierno Alassane Sall et Cheikh Dieng ont été entendus par la Section de recherches de la gendarmerie de Colobane. Le premier est l’auteur de la plainte contre X qui a déclenché la procédure. Le second était le directeur général de l’entreprise, limogé après l’éclatement des suspicions de corruption et de surfacturations sur le marché de curage des canaux à Dakar et dans les autres régions. Sall a confirmé sa plainte tandis que Dieng, reparti libre de la Section de recherches, a déclaré avoir apporté les preuves qu’il est blanc comme neige dans cette affaire.
Aussitôt après ces deux auditions, les regards se sont tournés vers Cheikh Tidiane Dièye, qui assure la tutelle de l’Onas en tant que ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement. Celui qui avait laissé entendre que le directeur de l’Onas limogé était coupable, notamment de choix douteux dans l’exécution du marché en question.
Cheikh Tidiane Dièye peut bel et bien être entendu. Il y a deux voies selon le juriste Ibrahima Ndiaye, interrogé par Source A : soit le Garde des Sceaux donne son aval soit son collègue démissionne. «Si le ministre de la Justice le veut, il donne autorisation au procureur de la République pour entendre Cheikh Tidiane Dièye», renseigne le spécialiste. Qui s’empresse d’ajouter que s’il doit être jugé, le ministre de l’Hydraulique est passible de la Haute Cour de justice.
Selon Ibrahima Ndiaye, Cheikh Tidiane Dièye peut «mettre tout le monde à l’aise» en démissionnant. «C’est comme ça que ça se passe dans des pays démocratiques, appuie le spécialiste de Source A. Quand vous êtes cité, à tort ou à raison, dans un scandale comme celui de l’Onas, vois allez voir le président de la République ou son Premier ministre pour leur dire : ‘le temps d’éclaircir cette situation, je voudrais être libéré de mes charges ministérielles’.»
Les travailleurs du Groupe Emedia Invest expriment leur plus vive indignation face à la situation préoccupante qu’ils subissent depuis plusieurs mois. En effet, cela fait maintenant 5 mois que « les braves hommes et femmes constants et dévoués à l’entreprise, sont confrontés à des retards […]
ACTUALITE médiaLes travailleurs du Groupe Emedia Invest expriment leur plus vive indignation face à la situation préoccupante qu’ils subissent depuis plusieurs mois. En effet, cela fait maintenant 5 mois que « les braves hommes et femmes constants et dévoués à l’entreprise, sont confrontés à des retards de paiement qui mettent en péril leur bien- être et celui de leurs familles ».
Selon le communiqué du Synpics de ce groupe de presse, la situation, déjà difficile, s’est aggravée avec la suspension de l’assurance maladie.
Ils jugent cette situation intenable et inacceptable, soulignant qu’il s’agit d’une violation flagrante de leurs droits fondamentaux. En conséquence, la section Synpics d’Emedia en appelle une dernière fois à la direction du groupe pour qu’elle prenne ses responsabilités.
Ils demandent que les salaires en souffrance soient versés immédiatement et que l’assurance maladie soit rétablie dans les plus brefs délais. Les travailleurs préviennent que sans ces mesures, ils se verront, à partir de ce lundi, dans l’obligation de « ne plus exécuter leurs tâches rédactionnelles ».
Le Tribunal d’instance de Louga a été le théâtre d’une affaire pour le moins étonnante, où deux belles-sœurs, B. Sow et Ng. Sow, se sont affrontées pour des accusations de coups et blessures volontaires. Selon L’Observateur, cette affaire qui a laissé le public perplexe, s’est déroulée […]
ACTUALITE SOCIETELe Tribunal d’instance de Louga a été le théâtre d’une affaire pour le moins étonnante, où deux belles-sœurs, B. Sow et Ng. Sow, se sont affrontées pour des accusations de coups et blessures volontaires.
Selon L’Observateur, cette affaire qui a laissé le public perplexe, s’est déroulée au village de Bickel, dans l’arrondissement de Keur Momar Sarr.
La situation a dégénéré lors d’un baptême où B. Sow, qui a déjà été placée sous mandat de dépôt, a accusé Ng. Sow, la grande sœur de son mari, de l’avoir attaquée par derrière, affirmant : « Elle m’a donné un coup à l’épaule avant de me pincer atrocement les oreilles. » En plus de ces allégations, elle a présenté un certificat médical attestant d’une incapacité temporaire de travail de deux jours. Selon ses dires, la tension entre elles durait depuis des années, et Ng. Sow aurait même promis de tout faire pour que son mari la répudie.
De son côté, Ng. Sow, qui possède également un certificat médical d’une incapacité de six jours, a rejeté les accusations de sa belle-sœur.
Comparaissant libre, elle a expliqué: « B.Sow veut juste se tirer d’affaire. Elle m’a accusée d’avoir « mangé » son enfant et a terni mon image. Je veux qu’elle me fasse excuses ici devant la barre. » Ng. Sow a également indiqué que la dispute avait éclaté lorsque B. Sow a critiqué son mari pour son manque d’ambition.
La situation s’est intensifiée lorsque Ng. Sow a affirmé que B. Sow l’avait frappée avec un bâton, entraînant la fracture de trois de ses doigts. Cependant, cette version a été mise en doute par le frère de Ng. Sow, qui a soutenu que sa sœur avait simulé ses blessures.
Le procureur a requis l’application de la loi, et après délibération, le tribunal a déclaré les deux parties coupables, les condamnant chacune à un mois de prison avec sursis. De plus, B. Sow devra verser la somme de 75 000 FCFA à Ng. Sow, marquant ainsi la fin d’une affaire familiale pour le moins tumultueuse.
Une femme a été retrouvée morte ce mercredi 16 octobre dans son appartement, situé à Ngor. La police est actuellement sur place pour procéder à l’extraction du corps. Nous y reviendrons avec plus de détails…
ACTUALITE SOCIETEUne femme a été retrouvée morte ce mercredi 16 octobre dans son appartement, situé à Ngor. La police est actuellement sur place pour procéder à l’extraction du corps.
Nous y reviendrons avec plus de détails…
Ndella Madior Diouf a été placée sous mandat de dépôt, en décembre dernier. La propriétaire de l’orphelinat « Keur Yeurmandé » est poursuivie pour traite de personnes, exercice illégal de la fonction de médecin, privation d’aliments ou de soins ayant entraîné la mort sans intention de la […]
ACTUALITE SOCIETENdella Madior Diouf a été placée sous mandat de dépôt, en décembre dernier. La propriétaire de l’orphelinat « Keur Yeurmandé » est poursuivie pour traite de personnes, exercice illégal de la fonction de médecin, privation d’aliments ou de soins ayant entraîné la mort sans intention de la donner, mise en danger de la vie d’autrui, non-assistance à personne en danger et obtention indue de certificats aux fins d’inhumation.
La patronne de Saphir Fm est en détention depuis un peu plus de dix mois à la prison pour femmes du Camp pénal de Liberté 6. L’Observateur révèle « qu’elle a d’abord été placée dans la chambre numéro 3 de ladite prison avant d’être transférée à celle numéro 6 ». Pourquoi ce changement de cellule. Aucune précision n’est faite à ce propos.
Dans tous les cas, avance le journal du Groupe futurs médias, « dans cet espace exigu, elle partage un matelas avec une autre détenue, au milieu d’une petite cellule où s’entassent jusqu’à sept autres pensionnaires ». La même source rapporte qu’en plus des affres de la prison, Ndella Madior Diouf, dont la radio n’émet plus, souffre de « la mort de son business ».
« Je suis en train d’utiliser toutes mes économies », aurait-elle confié à une de ses connaissances venue lui rendre visite. « La vie en prison est coûteuse pour les femmes. En plus de la nourriture, il faut acheter des produits d’hygiène ou de première nécessité. Les proches ne peuvent pas toujours subvenir aux besoins des détenues », aurait ajouté la détenue.
Plus que tout, affirme le quotidien d’information, Ndella Madior Diouf vit dans l’attente de son procès. Une attente interminable. Pour rappel, ses deux dernières demandes de liberté provisoire dont l’option du port du bracelet électronique, déposées par Me Aboubacry Kane, ont été rejetées. Mais, son avocat n’a pas encore dit son dernier mot puisque signale L’Obs, « [Sa défense] s’apprête à solliciter une audience auprès du juge pour obtenir son renvoi devant une juridiction de jugement ».
Pour l’heure, « [ma cliente] reste résignée et s’en remet à la volonté divine », confie Me Kane.