Après trois mois de détention, la danseuse Nabou Lèye, interpellée dans le cadre de l’enquête sur le double meurtre d’Aziz Ba dit « Aziz Dabala » et Boubacar Gano alias « Waly », a bénéficié d’une libération provisoire jeudi dernier. D’après nos confrères du journal Enquête, des incohérences lors […]
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ACTUALITE justiceL’arrestation et l’audition de Bougane Gueye Dany, ont suscité de vives réactions, notamment suite à la fuite du procès-verbal de son interrogatoire. Le document révèle des détails troublants qui plaident en faveur de l’entrepreneur et leader politique, mettant en lumière une tentative apparente de museler […]
ACTUALITE justiceL’arrestation et l’audition de Bougane Gueye Dany, ont suscité de vives réactions, notamment suite à la fuite du procès-verbal de son interrogatoire. Le document révèle des détails troublants qui plaident en faveur de l’entrepreneur et leader politique, mettant en lumière une tentative apparente de museler un opposant gênant.
Dès le début de son audition, Bougane Gueye Dany pointe du doigt une instrumentalisation des forces de l’ordre pour l’empêcher de participer pleinement à la campagne électorale des législatives anticipées du 17 novembre 2024. Selon lui, son cortège a été arrêté arbitrairement sous prétexte que le président de la République se trouvait à Bakel. Or, Bougane souligne un détail crucial : le président n’a jamais emprunté la route terrestre, se déplaçant exclusivement par hélicoptère. Ce fait jette un voile de doute sur les véritables motivations derrière son arrestation.
Le PV révèle également une incohérence flagrante : le communiqué de la gendarmerie accuse Bougane de « forcer un barrage », alors que les vidéos de l’incident montrent qu’il a respecté les consignes données par les agents sur place. Bougane, conscient des implications de ces accusations, annonce qu’il compte porter plainte pour diffamation, renforçant ainsi son image de victime d’une cabale politique.
Ce n’est pas la première fois que Bougane se trouve dans le collimateur des autorités. Il évoque une série d’actions visant à l’écarter de la scène politique, notamment la manipulation de l’opinion publique à travers des déclarations mensongères et la mobilisation disproportionnée de forces de sécurité. À plusieurs reprises dans le PV, il insiste sur le caractère humanitaire de son déplacement, ce qui contraste avec le traitement brutal dont il a fait l’objet : « J’ai passé trois sales minutes comme ‘Punch ball’ entre les mains des gendarmes », confie-t-il, en référence à l’humiliation physique subie lors de son interpellation.
Les images de cette brutalité circulant sur les réseaux sociaux renforcent le sentiment d’une répression ciblée à l’égard de Bougane, qui incarne une opposition sérieuse face au PASTEF et à Ousmane Sonko. En dépit des attaques répétées, Bougane persiste à affirmer qu’il continuera de se battre pour la transparence et l’équité, rappelant que ses actions sont avant tout guidées par son engagement envers le peuple sénégalais.
Dans cette affaire, Bougane Gueye Dany apparaît comme la victime d’un système qui cherche à l’étouffer. Sa détermination à dénoncer les abus et à défendre ses droits mérite d’être soulignée, en particulier à un moment où le Sénégal traverse une période politique particulièrement tendue.
Suite à l’arrestation du leader de Gueum Sa Bopp Bougane Gueye Dany, un opposants les plus remarquables de la scène politique, les représentations occidentales haussent le ton et disent suivre la situation de très prés. L’arrestation de Bougane Gueye DANI opposant investi sur les listes […]
À La Une POLITIQUESuite à l’arrestation du leader de Gueum Sa Bopp Bougane Gueye Dany, un opposants les plus remarquables de la scène politique, les représentations occidentales haussent le ton et disent suivre la situation de très prés.
L’arrestation de Bougane Gueye DANI opposant investi sur les listes électorales de SAAM SA KADDU pour les élections législatives est devenue une affaire internationale.
Car après la déclaration écrite du président de Amnesty Sénégal, de Africa Joom Center et d’autres membres de la société civile, les chancelleries ont fait des notes écrites pour informer leur pays respectifs. Cela a toujours été le cas lorsqu’un pays connaît des violences ou des violations des droits humains. Il s’agit d’une période très fragile au plan politique qui nécessite beaucoup de sérénité comme l’a dit Seydi Gassama de Amnesty international. Rappelons que chaque année, ces organisations de la société civile publient des rapports sur l’état des droits de l’homme et des libertés. Et ces rapports sont des références crédibles pour les partenaires au développement très regardant sur les droits humains et les libertés des populations. Bougane Gueye DANI qui est à sa seconde arrestation rejoint le commissaire Cheikhna KEITA, Ahmed Suzanne, Bah Diakhane, Imam Ndao, Lat Diop, Dieug DIOP, Cheikh Yerim Seck sans oublier les interdictions de sortie du territoire sans base légale. Ces arrestations abusives ternissent l’image du Sénégal et grignotent ses notes au niveau des agences de notation.
Le fait macabre s’est passé au lycée de Dianah Malary situé sur l’axe de Kolda à 55 km au nord est de la commune de Sédhiou. Il s’agit d’un professeur de mathématiques du nom de Cheikh Booba originaire de Patar dans la région de Diourbel. […]
ACTUALITE SOCIETELe fait macabre s’est passé au lycée de Dianah Malary situé sur l’axe de Kolda à 55 km au nord est de la commune de Sédhiou. Il s’agit d’un professeur de mathématiques du nom de Cheikh Booba originaire de Patar dans la région de Diourbel.
Il s’est donné la mort par pendaison dans sa chambre. Un de ses collègues, joint au téléphone, explique qu’il souffrait dès le début des cours mais personne ne soupçonnait qu’il en arriverait à se donner la mort par pendaison.
Les autorités de l’école se démènent pour joindre ses parents du Baol mais jusque-là n’ont pas réussi. Les sapeurs pompiers sont sur les lieux pour déposer le corps sans vie après le constat des hommes en bleu.
C’est la grogne syndicale du côté du des travailleurs de EMEDIA. Selon un communiqué de la section Synpics parvenu à Pressafrik, les agents de cette entreprise de presse journalistes comme techniciens et autres ont décidé de suspendre toute activité pour une semaine. Et cette décision […]
ACTUALITE médiaC’est la grogne syndicale du côté du des travailleurs de EMEDIA. Selon un communiqué de la section Synpics parvenu à Pressafrik, les agents de cette entreprise de presse journalistes comme techniciens et autres ont décidé de suspendre toute activité pour une semaine. Et cette décision prend effet « à partir de ce lundi 21 octobre 2024 conformément au droit du travail qui, en son article L115, dit que les paiements mensuels doivent être effectués au plus tard huit (8) jours après la fin du mois de travail qui donne droit à un salaire ».
« Au-delà du délai », poursuit le communiqué, « le travailleur, par faute de moyen, peut bien rester chez lui. C’est une mesure radicale, Oui, mais elle reste le seul moyen pour pousser la direction à se rendre compte de la gravité de la situation ».
C’est fort de ce constat que le syndicat a invité « tous les agents de la boite (journalistes, cadreurs, monteurs, animateurs, photographes, chauffeurs, techniciens, techniciens de surface…) à suivre le mot d’ordre pour le combat de notre DIGNITÉ ». « C’est le moment ou jamais ! Cette violation de nos droits les plus élémentaires doit arrêter. Nous et nous seuls pouvons combattre cette injustice », ont-ils ajouté.
En définitive, les travailleurs du groupe de presse ont fustigé l’attitude de la direction générale. Qui, soutiennent-ils, a montré un manque de respect et de considération à leur égard.
Moins de 48 heures après le meurtre de Ndèye C. S. dans son appartement à Ngor, la synergie des forces de la brigade de recherches de Faidherbe et de la brigade de proximité de Ngor a permis aux gendarmes d’arrêter le présumé meurtrier à Saly. […]
ACTUALITE SOCIETEMoins de 48 heures après le meurtre de Ndèye C. S. dans son appartement à Ngor, la synergie des forces de la brigade de recherches de Faidherbe et de la brigade de proximité de Ngor a permis aux gendarmes d’arrêter le présumé meurtrier à Saly.
Après avoir tué la dame âgée d’une quarantaine d’années, Cheikh D. Niang alias « Baye Fall » avait emporté son téléphone portable qu’il a vendu. Mais les enquêteurs ont réussi à le récupérer. L’acquéreur a été d’ailleurs disculpé par l’enquête.
Contrairement à ce qui a été dit, Cheikh n’a pas poignardé Ndèye. Il ressort du dossier que la dame a été étranglée à mort.
Le mobile du crime
Interrogé sur procès-verbal, Cheikh D. Niang alias « Baye Fall » a confié qu’il s’était rendu chez la fille pour satisfaire sa libido. Il était ivre, cette nuit-là, selon des sources de Seneweb. « J’ai payé pour deux séances d’intimité. Après le premier coup, elle a refusé de continuer », a confié le présumé meurtrier. Il s’en est suivi une rude bagarre au cours de laquelle Cheikh a pris le dessus. « J’ai donné des coups à Ndèye avant de l’étrangler à mort. J’ai emporté son téléphone portable pour le revendre », déclare-t-il.
Devant les enquêteurs, Cheikh n’a pas regretté son acte. Il s’est défendu tout simplement, d’après ses propos.
Cheikh D. Niang est sans profession. Il mendie dans les rues de Dakar. Il est poursuivi pour meurtre et vol de téléphone portable. Le présumé meurtrier de Ndèye C. S. sera probablement déféré au parquet mardi prochain.
Seydi Gassama appelle à la libération de Bougane Gueye Dany, placé en garde à vue pour refus d’obtempérer, qualifiant l’incident de mineur. Le directeur d’Amnesty International Sénégal, invite également la classe politique à faire preuve de sérénité dans le contexte pré-électoral afin de garantir des […]
ACTUALITE POLITIQUESeydi Gassama appelle à la libération de Bougane Gueye Dany, placé en garde à vue pour refus d’obtempérer, qualifiant l’incident de mineur.
Le directeur d’Amnesty International Sénégal, invite également la classe politique à faire preuve de sérénité dans le contexte pré-électoral afin de garantir des élections législatives libres et paisibles.
M. Gassama souligne l’importance de la solidarité nationale envers les populations sinistrées du nord-est, au-delà des divisions politiques et sociales.
https://x.com/SeydiGassama/status/1847983527490412556?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1847983527490412556%7Ctwgr%5Eaa3459f921e63febf923773d9b2506162197158f%7Ctwcon%5Es1_c10&ref_url=https%3A%2F%2Fsenego.com%2Fseydi-gassama-liberation-de-bougane-gueye-dany-et-un-peu-de-zen-avant-les-elections_1759203.html
Libération révèle dans son édition de ce vendredi que le Parquet national financier (Pnf) a classé sans suite le dossier qui oppose la Douane à Coris Bank. Les soldats de l’économie réclamaient un peu plus de 600 milliards de francs Cfa. La moitié de ce […]
ACTUALITE SOCIETELibération révèle dans son édition de ce vendredi que le Parquet national financier (Pnf) a classé sans suite le dossier qui oppose la Douane à Coris Bank. Les soldats de l’économie réclamaient un peu plus de 600 milliards de francs Cfa. La moitié de ce montant représentait le principal et l’autre, l’amende.
Dans le cadre de l’instruction de ce dossier, le directeur général de la banque, Ibrahima Mar Fall, a été arrêté et déféré au parquet en même temps que Khadim Bâ, patron de Locafrique, également poursuivi par la Douane. Il sera libéré sur convocation. Avec Coris Bank, le banquier ne fait plus l’objet de poursuite judiciaire.
Seulement 48 heures après la découverte macabre du corps sans vie d’une jeune femme, travailleuse de nuit, dans son appartement à Ngor, son présumé meurtrier a été arrêté à Mbour. En collaboration avec la brigade de recherches de Saly Portudal, les éléments de la brigade […]
ACTUALITE SOCIETESeulement 48 heures après la découverte macabre du corps sans vie d’une jeune femme, travailleuse de nuit, dans son appartement à Ngor, son présumé meurtrier a été arrêté à Mbour. En collaboration avec la brigade de recherches de Saly Portudal, les éléments de la brigade de recherches de Faidherbe ont finalement mis la main sur le suspect en fuite.
Sa cavale a été de courte durée. Après avoir poignardé à mort, dans la nuit de mardi à mercredi, la jeune femme de 28 ans, répondant au nom de Nd. Codou S., le présumé meurtrier a décidé de se réfugier sur la Petite-Côte, précisément dans la commune de Mbour. Arrivé sur place, l’homme, âgé d’une quarantaine d’années, portant toujours les mêmes vêtements que lors de sa rencontre avec la défunte, s’est dirigé vers le quartier populeux de Tefess, dans l’espoir d’échapper à la vigilance des forces de l’ordre chargées d’élucider l’affaire.
Pour éviter de se faire repérer, le suspect a vendu presque toutes ses affaires personnelles, y compris son téléphone portable, qu’il a cédé à un jeune homme du quartier Tefess. Il s’est ensuite fondu dans la communauté des pêcheurs locaux. Cependant, cette tentative maladroite de fuite allait causer sa perte. Les enquêteurs de la brigade de recherches de Faidherbe, en collaboration avec leurs collègues de Saly Portudal, ont rapidement réussi à géolocaliser son téléphone portable, désormais entre les mains de son nouvel acquéreur.
Une fois la géolocalisation effectuée, les forces de l’ordre ont pris contact avec le jeune homme en lui faisant croire que le téléphone provenait d’un vol. Celui-ci a immédiatement coopéré, informant les enquêteurs qu’il avait acheté le téléphone à un tiers, qu’il a identifié comme étant assis parmi les pêcheurs de Tefess. Une descente sur les lieux a alors permis aux gendarmes d’appréhender le propriétaire du téléphone, le présumé meurtrier.
Conduit dans un premier temps à la brigade de recherches de la gendarmerie de Saly Portudal, le suspect s’est livré à des aveux surprenants concernant la mort de Ndeye Codou S.Selon ses déclarations, lors de la nuit fatidique, il avait convenu avec la travailleuse de nuit d’avoir deux rapports sexuels et lui avait versé le montant convenu. Après le premier rapport, la victime aurait refusé catégoriquement d’enchaîner avec le second, prétextant qu’elle était fatiguée. Ce refus a provoqué la colère de son client.
Il a avoué aux enquêteurs qu’une violente dispute s’en est suivie, aboutissant à une bagarre au cours de laquelle il a poignardé la jeune femme, la laissant mourir sous ses yeux. Après son crime, le suspect a pris la fuite vers Mbour, où il a finalement été arrêté.
Le Haut Commandant du Port, Ibrahima Diaw, est sorti de sa réserve pour apporter des éclaircissements après le chavirement du bateau « Princesse Jessica », accosté au port de Dakar depuis quelque temps, qui a coulé avec trois personnes à bord. Ibrahima Diaw est revenu […]
ACTUALITE SOCIETELe Haut Commandant du Port, Ibrahima Diaw, est sorti de sa réserve pour apporter des éclaircissements après le chavirement du bateau « Princesse Jessica », accosté au port de Dakar depuis quelque temps, qui a coulé avec trois personnes à bord.
Ibrahima Diaw est revenu sur les véritables causes de l’incident qui a emporté la « Princesse Jessica ». Selon lui, l’incident a eu lieu dans la nuit du 15 au 16 octobre 2024.
Il a expliqué que le navire a été heurté par un autre cargo plus grand. De ce fait, la « Princesse Jessica », qui ne pouvait pas résister, a subi des voies d’eau (entrée d’eau imprévue dans le navire à la suite d’une ouverture dans la coque sous la ligne de flottaison, NdlR) et a coulé à quai.
Le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye effectue effectue une visite à Kédougou, ce vendredi et jeudi prochains. Il va constater de visu l’ampleur du débordement du fleuve Sénégal et les conséquences qui en ont découlées au détriment des populations riveraines.. «Je voudrais, avant tout propos, […]
À La Une SOCIETELe président Bassirou Diomaye Diakhar Faye effectue effectue une visite à Kédougou, ce vendredi et jeudi prochains. Il va constater de visu l’ampleur du débordement du fleuve Sénégal et les conséquences qui en ont découlées au détriment des populations riveraines..
«Je voudrais, avant tout propos, exprimer ma compassion et ma solidarité aux populations riveraines du fleuve Sénégal qui ont été durement frappées par les inondations dues aux crues du fleuve éponyme.
Mes chers compatriotes, je me rendrai dans la région de Kédougou pour apporter mon réconfort aux populations éplorées les 18 et 19 octobre 2024 », a-t-il annoncé.
Toutefois, le chef de l’État a indiqué que la ministre de la famille et des solidarités, accompagnée du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, sera également au chevet des populations qui ont été touchées par les inondations, renseigne iRadio.