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ACTUALITE POLITIQUEInstitut Pasteur de Dakar a été victime de cambriolage. Deux Guinéens y ont dérobé six ordinateurs portables professionnels et leurs chargeurs, de même qu’une montre connectée de marque K60, une sacoche contenant des documents administratifs et un montant de 50.000 Fcfa. L’Institut Pasteur a été […]
ACTUALITE SANTEInstitut Pasteur de Dakar a été victime de cambriolage. Deux Guinéens y ont dérobé six ordinateurs portables professionnels et leurs chargeurs, de même qu’une montre connectée de marque K60, une sacoche contenant des documents administratifs et un montant de 50.000 Fcfa.
L’Institut Pasteur a été visité deux fois. Le premier cambriolage a eu lieu dans la nuit du 9 au 10 mars 2022 et le second dans celle du 27 au 28 avril dernier.
Les malfrats étaient entrés par effraction à partir de la fenêtre, en défonçant les grilles de protection, pour accéder dans la grande salle de l’IPD.
L’exploitation de la caméra de surveillance a permis d’identifier les deux malfrats, tous les deux de nationalité guinéenne.
Il s’agit des nommés Ismaila Diallo et Mamadou Oury Barry. Leur receleur nommé Thiaw est activement recherché par la police.
Âgé de 22 ans, M. Diouf a été condamné hier, à trois mois de prison ferme et à payer 150.000 francs, à titre de dommages et intérêts. Le prévenu avait brûlé son condisciple, A. K. Ndiaye, avec du café Touba bouillant. Aux Maristes, M. Diouf […]
ACTUALITE SOCIETEÂgé de 22 ans, M. Diouf a été condamné hier, à trois mois de prison ferme et à payer 150.000 francs, à titre de dommages et intérêts. Le prévenu avait brûlé son condisciple, A. K. Ndiaye, avec du café Touba bouillant.
Aux Maristes, M. Diouf et A. K. Ndiay multipliaient les bonnes actions durant le ramadan. Mais, la relation entre les deux « Baye Fall » n’était plus au beau fixe au cinquième jour du mois de piété.
Petite calebasse à la main, M. Diouf continuait à demander aux passants leur participation alors qu’on était à l’heure de la rupture. Ce que A. K. Ndiaye n’a pas apprécié. C’est alors qu’il a demandé à son condisciple de venir servir le « ndogou ».
Une consigne qui avait mis M. Diouf dans tous ses états. Après un échange houleux, les deux hommes ne s’adressaient plus la parole.
Mais, M. Diouf a déversé une cafetière remplie de café Touba chaud à son antagoniste le 24 avril dernier.
Ce dernier qui s’est retrouvé avec de graves blessures au dos, a saisi la justice pour coups et blessures volontaires ayant entraîné 15 jours d’incapacité temporaire de travail.
Comparaissant hier, devant le tribunal d’Instance de Dakar, le prévenu soulève l’excuse de provocation, alléguant que la partie civile ne cessait de lui lancer des quolibets. « Le jour des faits, il m’a injurié. Plus grave, il a dit que ma mère m’a abandonné à la naissance », fustige-t-il.
Peintre de son état et domicilié à Mbao, la partie civile a expliqué qu’il avait un chantier à la Patte d’Oie Builders. Le soir, il se rendait aux Maristes pour prêter main forte à ses condisciples.
« Le jour des faits, j’avais demandé à mon ami Kader de m’offrir du café Touba. À ma grande surprise, le prévenu s’est levé pour me traiter de tous les noms d’oiseaux. Ulcéré par mon attitude glaciale, il m’a versé au dos du café Touba chaud. Depuis, je n’ai pas travaillé », a déploré A. K. Ndiaye qui dit avoir dépensé 160.000 francs pour ses frais médicaux.
Rendant sa décision, le juge a condamné le prévenu à une peine de trois mois ferme et à payer 150.000 francs à la victime.
Un drame a eu lieu ce dimanche 8 mai dans un immeuble en construction sis au Point E. En effet, c’est vers les coups de 11 heures qu’un ouvrier burkinabè a chuté du 5ème étage. Il est décédé sur le coup. Ouvrier de nationalité burkinabè, […]
ACTUALITE SOCIETEOuvrier de nationalité burkinabè, Salia Ouattara qui était venu au Sénégal pour travailler ne va plus revoir sa famille. Il est décédé dimanche matin dans le chantier où il travaillait. Un chantier qui se trouve au Rond-Point Dabakh, sis au Point E. Agé de 21 ans, le jeune homme est tombé du 5 étage d’un immeuble en construction. Une chute qui lui a été fatale puisqu’il est mort sur le coup.
Alertés, les éléments du commissariat de Point E ont effectué un déplacement sur les lieux. Ils ont trouvé le corps sans vie gisant dans une marre de sang. Et après les constats d’usage, les sapeurs-pompiers ont acheminé le corps à l’hôpital Abass Ndao de Dakar.
Un des témoins des faits raconte qu’il était dans son véhicule lorsqu’il a entendu un bruit assourdissant. «J’ai vu un jeune homme couché dans une mare de sang, avec la tête fracassée et c’était horrible à voir», a-t-il dit. A l’en croire, après avoir appelé les sapeurs-pompiers, ils sont restés pendant au moins une heure de temps à attendre et c’est ainsi qu’ils ont appelé le Samu.
Le témoin a ainsi regretté la recrudescence de ce genre d’accident mortels dans les chantiers qui se situent au Point E ou à l’Amitié 2 et qui font au moins 10 à 11 étages. «Ce sont des ouvriers maliens, guinéens ou sénégalais qui travaillent dans des chantiers non sécurisés et qui perdent comme ça la vie, alors qu’on ne leur paye que 3000 francs par jour. C’est choquant !», s’est-il insurgé sur les ondes de iradio.
Selon lui, l’Etat doit aider les jeunes qui n’ont pas de travail et qui sont prêts à sacrifier leur vie pour des miettes. Il faut à ce propos rappeler que l’année dernière aussi un cas similaire avait eu lieu dans un chantier sis au Point E.
Il s’agit d’un jeune malien qui essayait de faire monter un monte-charge, remplie de briques au 7e étage. Mais malheureusement pour lui, l’appareil lui est tombé dessus accidentellement. La machine lui a fracassé la tête et il est mort sur le coup, de façon atroce. Et les exemples font florès.
Malgré le désistement de la partie civile, Mamadou Diallo qui l’a conduit, hier, à la barre du tribunal d’instance de Dakar, Samba Yade a tout de même écopé d’une peine de six (6) mois assortie du sursis. Celui-ci lui reprochait les faits de coups et […]
ACTUALITE SOCIETEMalgré le désistement de la partie civile, Mamadou Diallo qui l’a conduit, hier, à la barre du tribunal d’instance de Dakar, Samba Yade a tout de même écopé d’une peine de six (6) mois assortie du sursis. Celui-ci lui reprochait les faits de coups et blessures volontaires ayant entraîné une incapacité temporaire de travail de 15 jours.
Samba Yade n’a aucune cordialité dans la manière d’accueillir les hôtes. La manière dont il a traité Mamadou Diallo en est la parfaite illustration. Celui-ci qui a commis l’erreur d’aller leur rendre visite, lui et son compatriote Ghanéen, à leur lieu de travail est rentré chez lui avec la nuque et le front fracassés et enflés.
À l’origine de leur différend : un bol de Thieb. La victime qui l’a traduit à la barre u tribunal d’instance des flagrants délits de Dakar, hier, raconte être parti à leur lieu de travail pour voir son ami qui, d’ailleurs leur a servi d’interprète, au prétoire. Racontant sa mésaventure au juge, Mamadou Diallo renseigne avoir trouvé le bol contenant du riz à l’atelier quand il est arrivé.
Sans être invité, il s’empare du récipient pour apaiser sa faim. Mais c’était sans savoir que non seulement il ne goûtera pas à une cuillère du riz mais sera rudement bastionné pour avoir touché au bol. «Lorsque je l’ai pris pour me servir, le prévenu l’a arraché de mes mains et a commencé à parler dans une autre langue que je ne comprenais pas. C’est par la suite qu’il m’a donné des coups de poing avant de m’assener des coups de bâton sur la tête», narre le plaignant. Toutefois, ce dernier qui a été clément à l’égard du prévenu s’est désisté de sa constitution de partie civile.
«Comme celui qui nous sert d’interprète devant le juge est une connaissance de très longue date, je pardonne son compatriote qui le fréquente vu les liens que nous avons tissé», dit-il. Prévenu de coups et blessures volontaires ayant entraîné une incapacité temporaire de travail de 15 jours, le vendeur de savon Samba Yade a plaidé coupable. «C’est moi qui l’ai interdit de manger le bol de riz. C’est avec un bâton que je l’ai blessé à la tête. Je demande pardon. J’étais à cet endroit pour dormir tout simplement», reconnaît le prévenu demeurant à Grand-Yoff. Tout de même, Samba Yade, âgé de 45 ans, a demandé pardon à la partie civile.
L’interprète, lui, a soutenu que le prévenu est un compatriote Ghanéen qu’il a voulu aider en l’hébergeant mais, il ne le connaît pas. Il informe qu’il le voyait juste passer lorsqu’il partait pour vendre ses savons.
À la suite du représentant du ministère public qui a requis l’application de la loi pénale, le juge a condamné Samba Yade à une peine assortie du sursis de 6 mois. Le magistrat explique avoir été clément à l’endroit du prévenu parce que la partie civile s’est désisté.
Les investitures au sein de Wallu Sénégal ont provoqué des démissions de certains responsables politiques du Parti démocratique sénégalais. Après Cheikh Mbacké Doli, c’est autour de Mayoro Faye de calquer la porte. D’après Les Échos, qui donne l’information dans son édition de ce mardi, Mayoro […]
ACTUALITE POLITIQUELes investitures au sein de Wallu Sénégal ont provoqué des démissions de certains responsables politiques du Parti démocratique sénégalais. Après Cheikh Mbacké Doli, c’est autour de Mayoro Faye de calquer la porte.
D’après Les Échos, qui donne l’information dans son édition de ce mardi, Mayoro Faye a rendu le tablier pour dénoncer sa position à la 19e place de la liste nationale de Wallu pour les législatives du 31 juillet prochain. Il assimile cela à une trahison dont l’unique responsable est Karim Wade.
«Je tourne la page du Pds. Karim Wade m’a trahi, malgré tout ce que j’ai sacrifié pour lui», a-t-il dit dans les colonnes du journal.
Des individus mal intentionnés auraient coupé les câbles de la ligne communication du TER au niveau de la forêt classée de Mbao. Selon les agents du TER, qui ont donné l’information à Senego, l’Agence pour la promotion des investissements et des grands travaux (APIX) doit tenir une […]
ACTUALITE SOCIETEDes individus mal intentionnés auraient coupé les câbles de la ligne communication du TER au niveau de la forêt classée de Mbao.
Selon les agents du TER, qui ont donné l’information à Senego, l’Agence pour la promotion des investissements et des grands travaux (APIX) doit tenir une conférence de presse cet après-midi à la foret classée de Mbao, pour plus d’éclaircissements.
Nous y reviendrons !
Les populations de Kolia ont manifesté leur amertume à l’égard de la société d’exploitation Afrigold, en prenant d’assaut l’usine d’exploitation ce lundi 9 mai 2022. Ce bras de fer fait suite aux doléances et promesses faites aux jeunes et jusque là non tenues. Ces doléances […]
ACTUALITE SOCIETELes populations de Kolia ont manifesté leur amertume à l’égard de la société d’exploitation Afrigold, en prenant d’assaut l’usine d’exploitation ce lundi 9 mai 2022.
Ce bras de fer fait suite aux doléances et promesses faites aux jeunes et jusque là non tenues. Ces doléances ont été soumises en audience publique au mois de novembre 2021 à Saraya, en présence des autorités administratives et territoriales du département.
Un manque de volonté a été constaté par la société minière autour de quelques points de revendications, notamment : la réhabilitation du pont reliant Kolia et Franding, l’achèvement des travaux de la case de santé de 3 pièces, entamée en 2017, la réalisation d’un foyer des jeunes et l’amélioration des conditions de travail des employés, entre autres.
Ces derniers dénoncent les agissements de la société minière qui sont contraires à la législation, à savoir, le refus d’établir des contrats de travail avec les employés, le refus d’accorder des congés de travail aux employés, l’absence totale d’une couverture médicale des employés pour ne citer que cela. Ils exigent également la réhabilitation de la forêt, car une grande partie a été dégradée par l’entreprise.
Nous avons tenté d’avoir la version de la société, sans succès..
Du nouveau dans l’affaire du bébé qui a été déclaré mort, alors qu’il était encore vivant. Selon les informations de Rfm, c’est tôt, ce matin, que la dame Seynabou Dieng, l’aide-infirmière qui aurait outrepassé ses prérogatives et délivré un certificat de décès du bébé qui […]
ACTUALITE SOCIETEDu nouveau dans l’affaire du bébé qui a été déclaré mort, alors qu’il était encore vivant. Selon les informations de Rfm, c’est tôt, ce matin, que la dame Seynabou Dieng, l’aide-infirmière qui aurait outrepassé ses prérogatives et délivré un certificat de décès du bébé qui était encore en vie, a été cueillie chez elle par la police. Actuellement dans les locaux du commissariat central de Kaolack, elle attend son audition. Quant au père du bébé, il a été entendu à la police centrale de Kaolack. Selon des sources, le médecin traitant voulait étouffer l’affaire, en récupérant le certificat de décès des mains d’Al Hassan Sow, le père du bébé. C’est au niveau de la police, qu’il a été demandé au père d’aller récupérer le certificat de décès.Pour rappel, l’incident s’est produit dans la nuit du 6 mai, à l’hôpital régional El Hadj Ibrahima Niass de Kaolack.Pour sa part, le ministère de la Santé et de l’Action sociale n’a pas attendu les résultats de l’enquête ouverte sur cette affaire, pour prendre des mesures conservatoires. Ces mesures détaillées par Ousmane Dia, le directeur des Etablissements publics de santé, sur les ondes de la Rfm.« Nous nous sommes offusqués que ces situations se produisent dans des établissements publics de santé, d’autant plus que l’hôpital régional de Kaolack est une structure où nous avons l’habitude de voir les choses se faire conformément à la réglementation. Aujourd’hui, je pense qu’avec beaucoup de sérénité et comme nous l’a instruit Monsieur le Ministre de la Santé à la suite de la réunion d’urgence qui est tenue régulièrement chaque semaine, c’est de prendre les mesures conservatoires qui sont allées du blâme de la sage-femme à une demande d’explication. Et, en temps utile, des sanctions seront encore prises, parce qu’elle a fait fi de la procédure, soit par ignorance, soit par négligence et cela peut être source d’ennuis. Donc à partir de là, le ministère a instruit de prendre des mesures conservatoires, le temps que l’enquête se déroule. La demande d’explication est adressée au chef de service et à l’assistante-infirmière. Parce que le chef de service est le responsable du service et l’assistante-infirmière est la fautive ».
C’est le 12 mai prochain que le tribunal des flagrants délits de Diourbel va rendre son verdict dans l’affaire Awa Diagne poursuivie pour coups et blessures volontaires. Les faits ont eu lieu dans le département de Bambey. Après le décès de leur époux, rapporte le […]
ACTUALITE SOCIETEC’est le 12 mai prochain que le tribunal des flagrants délits de Diourbel va rendre son verdict dans l’affaire Awa Diagne poursuivie pour coups et blessures volontaires. Les faits ont eu lieu dans le département de Bambey.
Après le décès de leur époux, rapporte le quotidien L’AS dans sa parution de ce lundi, les deux coépouses Awa Diagne et Maty Diagne ont dû faire face à une succession extrêmement difficile.
Ne se supportant du tout, les deux coépouses ont étalé leurs différends lors de la cérémonie d’héritage. Il a fallu l’intervention des parents du défunt pour pousser les deux dames à se plier à la vérité des coutumes.
Mais, c’était sans compter avec l’animosité des deux coépouses qui, quelques jours après, se sont violemment affrontées. Le jour des faits, Maty Diagne ordonne à son fils Abdou Diagne de descendre ses poutres.
Alors que ce dernier s’exécute, Awa Diagne s’y oppose, indiquant que les poutres lui appartiennent. La dispute entre les deux dames débouche rapidement sur un violent affrontement.
Plus forte que son antagoniste, Awa Diagne renverse Maty Diagne qui, sous la violence du choc, se retrouve avec plusieurs fractures dont celle du bassin.
Maty Diagne porte plainte et Awa Diagne est aussitôt arrêtée et déférée devant le procureur de Diourbel qui l’envoie en prison.
Devant la barre vendredi, Awa Diagne a nié avoir eu la moindre altercation avec Maty Diagne et c’est plutôt avec son fils Abdou Diagne qu’elle a eu un différend parce que celui-ci le menaçait avec un gros marteau.
Quant au procureur de la République, il s’en est remis à la clairvoyance du tribunal. C’est ainsi que l’affaire a été mise en délibéré jusqu’au jeudi 12 mai prochain.
Un bus en provenance de Touba pour Dakar a complètement brûlé ce matin aux environs de 08 heures sur l’autoroute Ila Touba. Il avait à bord 80 personnes qui ont très vite sauté pour sauver leurs vies. Un passager explique que tout est allé très […]
ACTUALITE SOCIETEUn bus en provenance de Touba pour Dakar a complètement brûlé ce matin aux environs de 08 heures sur l’autoroute Ila Touba. Il avait à bord 80 personnes qui ont très vite sauté pour sauver leurs vies. Un passager explique que tout est allé très vite. « Nous avons juste entendu un grand bruit et ensuite des crépitements. Les étincelles ont jailli de partout et le chauffeur a demandé à tout le monde de vider les lieux. Quand les sapeurs pompiers sont arrivés, le véhicule était déjà complètement consumé par le feu ».