A. L. S. n’a pas pu retenir ses pulsions et le marchand de profession risque gros pour cela. Il a été déféré au Parquet pour viol commis sur une mineure de moins de 15 ans. Selon l’accusation, reprise par Les Échos, il aurait «guetté» l’absence […]
ACTUALITE SOCIETELe Sénégal doit patienter jusqu’en juin 2025 pour une possible résolution de son programme de prêt avec le FMI. Cette attente découle d’un audit commandé par le gouvernement, lequel a révélé des niveaux de dettes et de déficits plus élevés que ceux déclarés sous Macky […]
À La Une ECONOMIEAprès trois mois de détention, la danseuse Nabou Lèye, interpellée dans le cadre de l’enquête sur le double meurtre d’Aziz Ba dit « Aziz Dabala » et Boubacar Gano alias « Waly », a bénéficié d’une libération provisoire jeudi dernier. D’après nos confrères du journal Enquête, des incohérences lors […]
ACTUALITE SOCIETELa reddition des comptes s’emballe. « Plus de 1000 milliards de francs CFA auraient été découverts dans un seul compte bancaire par les nouvelles autorités. » La révélation a été faite par Ousmane Sonko lors du meeting d’ouverture de la campagne de sa coalition pour les législatives, […]
ACTUALITE POLITIQUELa reddition des comptes s’emballe. « Plus de 1000 milliards de francs CFA auraient été découverts dans un seul compte bancaire par les nouvelles autorités. »
La révélation a été faite par Ousmane Sonko lors du meeting d’ouverture de la campagne de sa coalition pour les législatives, ce dimanche à Thiès.
Le journal rapporte que le Premier ministre et tête de liste de la coalition PASTEF n’a pas souhaité donner ni le nom de la personne concernée ni les conditions dans lesquelles cette découverte a été réalisée.
Ameth Ndoye sera présenté devant le procureur de la République ce lundi 28 octobre. Le chroniqueur de Sen TV a été arrêté jeudi dernier par des agents de la brigade de recherches de Faidherbe pour défaut de permis de conduire et usage de faux. Depuis […]
ACTUALITE justiceAmeth Ndoye sera présenté devant le procureur de la République ce lundi 28 octobre. Le chroniqueur de Sen TV a été arrêté jeudi dernier par des agents de la brigade de recherches de Faidherbe pour défaut de permis de conduire et usage de faux. Depuis son arrestation, Ameth Ndoye est détenu à la prison de Sébikotane. Suite à ces accusations, il fait également l’objet d’une plainte déposée par le propriétaire du permis mentionné sur l’attestation.
Il convient de rappeler qu’Ameth Ndoye a été interpellé lors de la cérémonie de lancement du C221, organisée par Cheikh Yerim Seck, le jeudi 24 octobre 2024.
Ce lundi 28 octobre 2024, le journal Les Echos rapporte une violente attaque contre le convoi d’Abass Fall, acteur politique influent, à Mermoz – Sacré-Cœur. Cet incident aurait entraîné des blessures parmi les militants d’Abass Fall, ainsi que des agressions physiques et des dégradations de véhicules. Face […]
À La Une POLITIQUECe lundi 28 octobre 2024, le journal Les Echos rapporte une violente attaque contre le convoi d’Abass Fall, acteur politique influent, à Mermoz – Sacré-Cœur. Cet incident aurait entraîné des blessures parmi les militants d’Abass Fall, ainsi que des agressions physiques et des dégradations de véhicules.
Face à cette attaque, Abass Fall n’a pas tardé à réagir en promettant une « riposte foudroyante ». Dans une vidéo diffusée par Madiambal Diagne, Abass Fall appelle ses militants à se préparer pour une réponse armée. Il les encourage à « s’armer de couteaux et de toutes sortes d’armes », affirmant que l’immunité accordée en période de campagne est la raison pour laquelle ils ont été ciblés.
Abass Fall, manifestement indigné, exprime sa colère en ces termes : « Demain, armez-vous […] Nous allons riposter. On est en campagne, ils savent qu’il y a l’immunité, c’est pourquoi ils nous ont attaqués. Demain, on va se préparer en conséquence, ce que nous allons faire, nous le ferons. Je vais dire ça, je ne peux être avec des femmes qu’on les violente et que je me taise. »
Les déclarations d’Abass Fall suscitent de vives réactions, amplifiant l’inquiétude autour de la violence électorale. De nombreuses voix appellent à la retenue et à la pacification comme l’a pourtant rappelé le président Bassirou Diomaye Faye, vendredi dernier.
Quelques jours seulement après l’arrestation du leader du mouvement Geum sa bopp, Bougane Guèye Dany la coalition Samm sa Kaddu a saisi les Nations Unies pour exiger la libération de leur allié. Selon Barthélémy Dias et Cie, cette arrestation est « une grave atteinte aux libertés individuelles et […]
ACTUALITE POLITIQUEQuelques jours seulement après l’arrestation du leader du mouvement Geum sa bopp, Bougane Guèye Dany la coalition Samm sa Kaddu a saisi les Nations Unies pour exiger la libération de leur allié.
Selon Barthélémy Dias et Cie, cette arrestation est « une grave atteinte aux libertés individuelles et à la démocratie ». Ils annoncent «la saisine du groupe de travail des Nations Unies sur les arrestations et détentions arbitraires au Sénégal ».
«Il est inacceptable qu’un citoyen dont le seul but était d’apporter aide et solidarité à ses concitoyens en détresse, soit privé de liberté. Nous fustigeons le non-respect de la présomption d’innocence du président Bougane GUEYE par les autorités politiques et la Gendarmerie, ainsi que sa persécution pour ses positions politiques depuis sa décision de ne pas soutenir le PASTEF au premier tour de l’élection présidentielle de mars 2024. Nous rappelons que la Gendarmerie nationale a exécuté une commande politique de SONKO et a enlevé le président Bougane GUEYE qui est actuellement un otage politique », lit-on dans la note.
Tirant sur le régime de Diomaye, Samm Sa Kaddu «exige sa libération immédiate et sans condition afin qu’il puisse poursuivre sa mission auprès des populations sinistrées ».
Prison de Tambacounda : Bougane Guèye Dani refuse de s’alimenter par méfiance Depuis le 19 octobre, Bougane Guèye Dani, président du mouvement Geum Sa Bopp et candidat aux élections législatives du 17 novembre prochain, est incarcéré pour « refus d’obtempérer, rébellion et outrage à agent […]
ACTUALITE POLITIQUEPrison de Tambacounda : Bougane Guèye Dani refuse de s’alimenter par méfiance
Depuis le 19 octobre, Bougane Guèye Dani, président du mouvement Geum Sa Bopp et candidat aux élections législatives du 17 novembre prochain, est incarcéré pour « refus d’obtempérer, rébellion et outrage à agent ». Depuis lundi, il refuse de s’alimenter, invoquant une méfiance profonde envers les autorités sénégalaises, qu’il tient responsables de son emprisonnement.Son Chef de protocole rapporte que Bougane Guèye Dani craint pour sa sécurité et rejette toute alimentation provenant des autorités carcérales. Son arrestation fait suite à une mission humanitaire qu’il menait aux côtés de figures politiques telles que Thierno Bocoum, Pape Djibril Fall et Anta Babacar Ngom, pour soutenir les populations de Bakel.Sa détention suscite une vague de réactions. Des voix influentes de la société civile, comme Alioune Tine, Seydi Gassama et Babacar Ba, appellent à sa libération immédiate. Parallèlement, le mouvement «Geum Sa Bopp,les Jambaars » dénoncent cette incarcération auprès des partenaires diplomatiques et des organismes internationaux de défense des droits humains, dénonçant ce qu’ils considèrent comme une violation flagrante de ses droits.Des guides religieux tentent actuellement d’apaiser les tensions croissantes suscitées par cette affaire, notamment autour des conditions de détention du leader politique, qui partagerait une cellule avec 48 autres détenus. Bougane Guèye Dani comparaîtra devant le juge le 30 octobre, un rendez-vous crucial pour ses soutiens qui espèrent voir lever une détention perçue comme une manœuvre d’intimidation.
Princesssenegal
Le tribunal des flagrants délits de Dakar a récemment rendu son verdict dans une affaire de drogue à Yarakh qui a suscité l’émoi. Aby Diouf, mère de famille, a été condamnée à 15 jours de prison ferme pour avoir administré une infusion de yamba à […]
ACTUALITE SOCIETELe tribunal des flagrants délits de Dakar a récemment rendu son verdict dans une affaire de drogue à Yarakh qui a suscité l’émoi. Aby Diouf, mère de famille, a été condamnée à 15 jours de prison ferme pour avoir administré une infusion de yamba à son fils de quatre ans, atteint d’asthme, en espérant soulager ses crises.
Comme le rapporte Les Échos, la jeune femme a été interpellée après que des gendarmes ont fait une descente dans son domicile, alertés par des soupçons de trafic de drogue.Lors de cette intervention, les gendarmes ont découvert 1,9 kg de chanvre indien dans le jardin de la maison et des résidus de drogue dans la chambre de Moustapha Senghor, un autre occupant du domicile. Ce dernier, arrêté en même temps qu’Aby, a écopé de deux mois de prison ferme pour détention et usage de chanvre indien. Sa sœur, Astou Senghor, qui se trouvait sur place, a quant à elle été relaxée par le tribunal.Face aux accusations, Aby Diouf a affirmé que cette infusion à base de yamba lui avait été conseillée pour soulager les symptômes de son fils de 4 ans. Cependant, cette décision a conduit à sa condamnation pour administration de drogue à un mineur, tandis que le procureur avait initialement requis deux ans de prison contre elle. Le tribunal a finalement pris en compte son statut de mère dans la réduction de sa peine.Quant à Moustapha Senghor, il a admis être consommateur de chanvre indien, sans pour autant être impliqué dans le trafic de drogue supposé. Le journal « Les Échos » rappelle que les réels propriétaires de la drogue saisie dans le jardin, identifiés comme Khadim et Abo, ont pris la fuite lors de l’intervention, laissant les trois accusés répondre des charges devant la justice.
La détention de Jérôme Bandiaky, alias « Sniper », entraîne de lourdes conséquences pour sa famille. En effet, comme rapporté par Les Echos, le juge d’instruction a ordonné l’expulsion de sa famille de l’appartement de fonction situé en centre-ville, qu’elle occupait encore jusqu’à récemment. Hier, une notification officielle […]
ACTUALITE justiceLa détention de Jérôme Bandiaky, alias « Sniper », entraîne de lourdes conséquences pour sa famille. En effet, comme rapporté par Les Echos, le juge d’instruction a ordonné l’expulsion de sa famille de l’appartement de fonction situé en centre-ville, qu’elle occupait encore jusqu’à récemment. Hier, une notification officielle a été remise à son épouse, lui demandant de quitter les lieux.
Selon Les Echos, Jérôme Babdiaki fait face à plusieurs accusations, notamment pour usurpation de fonction et escroquerie au détriment de l’État. Le parquet de la République soutient que c’est en vertu de sa fausse fonction que « Sniper » occupait illégalement cet appartement. Ainsi, la justice a décidé de reprendre possession du logement de fonction, désormais jugé comme occupé indûment par sa famille. D’après les informations de Les Echos, l’expulsion est effective dès réception de la notification.
Inculpé en septembre dernier, Jérôme Bandiaky est poursuivi pour détention illégale d’armes et de munitions, escroquerie à l’encontre de l’État et usurpation de fonction, selon Les Echos. Il a été placé sous mandat de dépôt depuis cette inculpation, bien qu’il continue de nier la plupart des accusations, à l’exception de la possession d’une arme. Selon lui, l’appartement de fonction et même son passeport diplomatique lui avaient été attribués par les autorités d’alors, du temps où il travaillait en tant que garde rapproché pour d’importants responsables de l’État. Il déclare que ce sont ces mêmes autorités qui l’ont placé dans cette résidence et qui lui ont accordé ses avantages.
Cependant, Les Echos précise que le parquet maintient sa décision de poursuivre Jérôme Bandiaky pour tous les chefs d’inculpation retenus. Quant à ses avocats, ils assurent que les charges portées contre leur client ne sont pas fondées et que l’instruction en cours permettra de clarifier la situation.
La pression sur le tandem «Diomaye Faye – Ousmane Sonko» s’intensifie . Furieux après la nomination de Samba Ndiaye, ancien maire de Ndofane, au poste de président du Conseil d’administration (PCA) de la SN/HLM, les militants du Pastef ont lancé une pétition pour réclamer son […]
À La Une POLITIQUELa pression sur le tandem «Diomaye Faye – Ousmane Sonko» s’intensifie . Furieux après la nomination de Samba Ndiaye, ancien maire de Ndofane, au poste de président du Conseil d’administration (PCA) de la SN/HLM, les militants du Pastef ont lancé une pétition pour réclamer son limogeage. Vox populi, qui donne l’information, confie que l’initiative a obtenu des milliers de signatures en un temps record, passant de «plus de 3000 vers 16h, 18219 à 21 h 45 et plus de 23 000 avant 01 h 30 [du matin]», pour «montrer la vitesse à laquelle les Pastéfiens signent la pétition», souligne le journal.
«Pour être en phase avec le Projet, qui sur son chemin a fait consentir beaucoup de sacrifices aux militants, nous demandons la lutte contre la transhumance et l’annulation de la nomination de Samba Ndiaye. Notre projet repose sur des principes, des valeurs communes et surtout sur un changement radical systémique de la façon de gouverner notre pays», martèle Mahtar Penda Seck, initiateur de la pétition, repris par la source.
Parmi les signataires, Abass Fall exige «le départ immédiat d’un voyou», estimant que «les mains de Samba Ndiaye sont tâchés de sang de [leurs] martyrs». «Bravo à tous les patriotes pour la veille permanente», encourage-t-il ses camarades de parti.
Un jeune nommé A. S. a été placé sous mandat de dépôt à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Louga pour coups et blessures volontaires ayant entraîné une Itt (Incapacité temporaire de travail) de dix jours. Le mis en cause est accusé de […]
ACTUALITE SOCIETEUn jeune nommé A. S. a été placé sous mandat de dépôt à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Louga pour coups et blessures volontaires ayant entraîné une Itt (Incapacité temporaire de travail) de dix jours. Le mis en cause est accusé de s’être introduit nuitamment dans la chambre d’une femme mariée qui serait sa copine. Malheureusement pour lui, il tombe nez à nez sur l’époux de cette dernière, S. B., qui est son ami. Pour pouvoir s’échapper, il aurait porté de violents coups de coupe-coupe au mari présumé cocu.
Selon L’Observateur, qui rapporte cette histoire, les faits se seraient déroulés la semaine dernière, vers 22 heures, à Torodio, un village de Thiamène, une commune du département de Louga. «D. S. entretenait une relation amoureuse avec ma femme, a déclaré S. B, lors de son audition à la gendarmerie de Coki où il a déposé plainte. Je l’avais mis en garde, mais il s’est entêté. La nuit des faits, il m’a trouvé dans ma chambre en compagnie de ma femme. Je voulais le raisonner, mais il s’est mis à m’administrer des coups de coupe-coupe. Je l’ai formellement identifié. Je ne peux me tromper sur sa personne, car nous sommes voisins.»
S’il reconnait s’être rendu au domicile du plaignant la nuit des faits présumés, D. S. conteste avoir pénétré dans sa chambre conjugale. «Il s’est trompé sur ma personne parce qu’il faisait nuit et l’obscurité régnait dans le village», s’est-il défendu. En attendant de faire face à un juge.
L’affaire Dieynaba Sangharé Ndiaye, qui a secoué les réseaux sociaux et mobilisé l’opinion publique, a connu un rebondissement hier mercredi, avec l’arrestation de son époux, le Dr Alioune Badara Mbacké, médecin-chef du district sanitaire de Matam (nord est). Ce dernier, ainsi que son chauffeur et […]
ACTUALITE SOCIETEL’affaire Dieynaba Sangharé Ndiaye, qui a secoué les réseaux sociaux et mobilisé l’opinion publique, a connu un rebondissement hier mercredi, avec l’arrestation de son époux, le Dr Alioune Badara Mbacké, médecin-chef du district sanitaire de Matam (nord est). Ce dernier, ainsi que son chauffeur et son vigile, ont été placés en garde à vue suite à une plainte déposée par sa femme pour violences conjugales.
Les faits remontent à plusieurs mois. Selon la présumée victime, c’est une découverte d’infidélité qui a déclenché l’incident. Alors qu’elle utilisait le téléphone de son mari, elle a découvert des preuves de trahison. En voulant le confronter, elle raconte avoir été rouée de coups d’une violence inouïe. « Il m’a frappée au visage, sur le nez, et à la tête, sans s’arrêter malgré le sang qui coulait », a-t-elle déclaré. L’Observateur qui a relayé l’information, indique « ces agressions ont laissé des blessures physiques, confirmées par un certificat médical faisant état d’une incapacité temporaire de travail (ITT) de 10 jours. »
Portée par des mouvements féministes et des citoyens « outrés », cette affaire est rapidement devenue virale, poussant la police à intervenir. Sur instruction du procureur du Tribunal de grande instance de Matam, le Dr Mbacké, son chauffeur et son vigile ont été interpellés. Les trois hommes doivent être présentés au procureur ce jeudi.
L’arrestation du médecin intervient après une longue attente de justice pour Dieynaba Sangharé Ndiaye. Mariée depuis seulement trois mois, elle avait déposé sa plainte en avril dernier après des mois de violences et d’humiliations. Malgré ses accusations, la procédure avait tardé à avancer. Pire, son mari avait contre-attaqué en la poursuivant pour « collecte de données à caractère personnelle », retournant ainsi la situation en sa faveur. Jugée en flagrant délit, Mme Ndiaye avait écopé de trois mois de prison ferme et à payer 4 millions de FCFA en guise de dommages te intérêts.