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ACTUALITE SPORTSAlors que la CAN 2023 devait se dérouler dans la foulée de la Coupe du monde, cette dernière pourrait être reportée.
Vers un report de la CAN ? Selon les informations de Sport News Africa, l’hypothèse prendrait forme. Censée débuter le 23 juin 2023, les représentants de la CAF auraient entamé des discussions pour reporter l’événement. Une réunion aurait eu lieu à Doha en marge du tirage au sort du Mondial, « réunion à l’initiative de nations qualifiées pour le Mondial 2022, qui ont expressément fait la demande dans le sens du report des éliminatoires ».
En effet, certains matchs de ces éliminatoires sont prévus en juin et septembre (4 en juin, 2 en septembre). Or, les nations qualifiées pour le Mondial aimerait profiter de ces plages internationales pour se préparer au rendez-vous qatari. Pire, la Tunisie aurait menacé de boycotter la CAN 2023 si la CAF ne changeait pas son calendrier.
Trois solutions seraient ainsi examinées : garder les choses en l’état, un report de la CAN en janvier 2024 (mais cela entraînerait un nouveau bras de fer avec les clubs européens), ou alors « une solution mixte avec un bouclage des éliminatoires au mois de mars 2023, ce qui laisserait la compétition pour le mois de juin 2023 ». Reste à savoir ce qui sera finalement décidé.
Pour résumer
Alors que la CAN 2023 devait se dérouler dans la foulée de la Coupe du monde, cette dernière pourrait être reportée. En effet, les nations africaines qualifiées pour la Coupe du monde voudrait profiter des mois de juin et septembre pour se préparer à l’événement.
Les députés ont adopté, le 5 avril dernier, en séance plénière le projet de loi organique n°29/2021 modifiant la loi organique n° 2017-09 du 17 janvier 2017, qui abroge et remplace la loi organique n° 2008-35 du 08 Août 2008 sur la cour suprême. Cette […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETELes députés ont adopté, le 5 avril dernier, en séance plénière le projet de loi organique n°29/2021 modifiant la loi organique n° 2017-09 du 17 janvier 2017, qui abroge et remplace la loi organique n° 2008-35 du 08 Août 2008 sur la cour suprême.
Cette modification apporte un certain nombre de changements dans le mode de fonctionnement de cette haute juridiction.
Répertoriés dans douze points, ces changements présentés sous forme d’innovations majeures concernent également la procédure de «rabat d’arrêt» avec une nouvelle écriture consacrant l’affirmation de son caractère non suspensif du rabat d’arrêt ».
Ce qui remet au goût du jour l’affaire de la caisse d’avance de la ville de Dakar, fait remarquer Sud Quotidien
En termes plus clairs, après avoir refusé à l’ex-maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall, le caractère suspensif de la confirmation de sa condamnation par la chambre criminelle de la Cour suprême le 3 janvier 2019 à la suite d’un rabat d’arrêt introduit par ses avocats, l’Etat semble faire aujourd’hui un rétropédalage en introduisant dans la modification adoptée par les députés cette nouvelle écriture du rabat d’arrêt.
Pour rappel, après le rejet de leurs pourvois par la chambre criminelle de la Cour suprême le 3 janvier 2019, les avocats de l’ancien député-maire de la ville de Dakar, Khalifa Ababacar Sall par ailleurs candidat à l’élection présidentielle du 26 février 2019, avaient recouru à cette procédure présentée par plusieurs juristes à l’époque comme un recours suspensif de toutes les décisions antérieures.
On se rappelle également l’affaire de l’immunité parlementaire refusée à l’époque à Khalifa Ababacar Sall. Investi tête de liste nationale de la coalition Taxawu Sénégal alors qu’il était encore en prison, Khalifa Ababacar Sall a été élu député au soir des législatives de 2017. Cependant, sous prétexte que les faits qui lui sont reprochés sont antérieurs à son élection à l’Assemblée nationale, les autorités en place lui avaient dans un premier temps refusé l’immunité parlementaire pourtant consacrée par le règlement intérieur de l’Assemblée nationale.
Le journal croit savoir que l’Etat semble s’inscrire dans une démarche de correction des erreurs procédurales commises dans le cadre de cette affaire de la caisse d’avance de la ville de Dakar après avoir obtenu la disqualification de l’ex-maire de Dakar.
La République entachée et mise à mal après la publication des audios impliquant l’ancien Directeur des Domaines, Mamour Diallo, membre de la mouvance présidentielle. Ce n’est pas l’avis de Me Ousmane Seye qui soutient plutôt que ces enregistrements n’ont pas grand intérêt. A l’en croire, […]
ACTUALITE INTERNATIONAL POLITIQUE SOCIETELa République entachée et mise à mal après la publication des audios impliquant l’ancien Directeur des Domaines, Mamour Diallo, membre de la mouvance présidentielle.
Ce n’est pas l’avis de Me Ousmane Seye qui soutient plutôt que ces enregistrements n’ont pas grand intérêt. A l’en croire, ils n’ont aucune incidence sur le procès, s’il a lieu.
« D’une manière générale, les audios, ce n’est pas une preuve tangible devant le tribunal, mais c’est des faits qui peuvent influencer l’opinion. Et, vous savez que la justice est rendue au nom du peuple sénégalais. La conséquence est que, des fois, quand les juges rendent leur verdict, l’opinion ne se retrouve pas dans ce verdict parce que l’opinion est déjà influencée. Les modes de preuves sont déterminés par la loi. En matière pénale, les moyens de preuve, ce sont les pièces, les témoignages et après, il y a l’intime conviction du juge », déclare-t-il dans une interview accordée au quotidien Vox Populi. Selon la robe noire, « il faut que les pièces, les déclarations des témoins soient débattues publiquement en audience, sauf décision du juge qui peut ordonner le huis clos dans certaines conditions ».
Une théorie de Me Seye, très proche du pouvoir, battue en brèche par des observateurs qui trouvent que ces enregistrements peuvent attester d’une « subornation de témoin ». Pour Me Papa Djibril Kane, « quiconque, soit au cours d’une procédure et en tout état de cause, soit en toute matière en vue d’une demande ou d’une défense en justice, aura usé de promesse, offres ou présents, de pression, menaces, voie de fait, manœuvres ou artifices pour déterminer autrui à faire délivrer une déposition, une déclaration ou une attestation mensongère » risque un emprisonnement d’un à trois ans de prison et d’une amende de 50 à 500 000 FCFA.
Blaise Compaoré, en exil depuis 2014 en Côte d’Ivoire, a été condamné ce mercredi par contumace à la prison à perpétuité pour sa participation à l’assassinat de son prédécesseur Thomas Sankara, tué avec douze de ses compagnons lors d’un coup d’État en 1987. Le tribunal […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEBlaise Compaoré, en exil depuis 2014 en Côte d’Ivoire, a été condamné ce mercredi par contumace à la prison à perpétuité pour sa participation à l’assassinat de son prédécesseur Thomas Sankara, tué avec douze de ses compagnons lors d’un coup d’État en 1987. Le tribunal militaire de Ouagadougou a également condamné à la perpétuité le commandant de sa garde Hyacinthe Kafando, en fuite depuis 2016, et le général Gilbert Diendéré, un des chefs de l’armée lors du putsch de 1987.
Je me demande, quelquefois, si quelque part dans le monde, les gens ne se gaussent pas du ridicule de certains de nos débats, polémiques, controverses. Entre Koukandé se prenant pour Moïse, ou le dragon de Guédiawaye, Il y a vraiment matière à nous tourner en […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEJe me demande, quelquefois, si quelque part dans le monde, les gens ne se gaussent pas du ridicule de certains de nos débats, polémiques, controverses. Entre Koukandé se prenant pour Moïse, ou le dragon de Guédiawaye, Il y a vraiment matière à nous tourner en dérision, tant nous sommes passés maîtres dans l’art de monter en épingle, de nous entre déchirer, de nous passionner pour des choses qui ne devraient même être source de débats ou de confrontations.
L’affaire, ou plutôt le feuilleton voire le sketch Ahmed Aidara nous a de nouveau plongé dans l’insignifiance de notre triste débat public. Voilà un homme qui a été élu maire de la quatrième plus grande ville du Sénégal. Un tel honneur vous oblige. Cette mission, un homme politique sensé l’aurait prise à bras le corps, ne serait-ce que par respect, égard et considération, pour ces milliers d’électeurs qui ont porté leur choix sur sa personne pour mener les destinées de leur municipalité. Mais apparemment le bon sens est une vertu qui ne figure pas dans la palette du sieur Ahmed Aidara. Car au-delà des questions d’éthique, de déontologie, d’impartialité, et tutti quanti, le principal problème que met en lumière cette affaire, c’est que le maire de Guédiawaye ne mesure pas l’importance de sa charge, ignore le sens du service public et semble méconnaître que le fonction de maire est un métier à plein temps.
Rappelons, quand même qu’en France, l’ex Premier ministre, Édouard Philippe a quitté le gouvernement qu’il dirigeait- on ne parle pas ici d’une revue de presse matinale- pour se consacrer entièrement à la mairie du Havre. Mais la Normandie est sans doute un lieu beaucoup trop exotique pour Ahmed Aidara. Servons-lui un exemple qui lui parlera plus. Son ancien collègue, Ndoye Bane, élu maire de Pire, a mis fin à ses prestations médiatiques juste après son installation. « Je suis venu vous annoncer que je ne fais plus partie de Xalass (Ndlr : son émission sur la TFM). Mon nouveau poste ne me permet plus de continuer cette émission », avait-il déclaré.
Youssou Ndour durant son bref intermède ministériel entre avril et septembre 2012 avait mis entre parenthèses sa carrière musicale. On peut multiplier les exemples ad nauseam…
Retenons juste qu’en définitive durant toute cette farce qui nous a tenu en haleine, Ahmed Aidara était à côté de la plaque. Il aurait dû, de sa propre initiative, mettre entre parenthèses sa carrière médiatique sans attendre les réprimandes du CNRA, du CORED, et du SYNPICS. Et avant que ses employeurs, visiblement embarrassés, ne l’acculent vers la sortie. N’en déplaise à ses partisans, puisqu’au Sénégal on défend tout et n’importe quoi pourvu qu’on passe pour un “courageux” et un “rebelle” face à la “dictature” monstrueuse du Président de la République.
Cet homme, qui a réalisé l’un des exploits les plus remarquables des dernières élections municipales en faisant tomber le frère du chef de l’Etat de son piédestal, a donné raison, en quelques semaines, à ses nombreux détracteurs qui estimaient qu’il n’avait pas l’étoffe pour diriger une mairie d’une telle envergure.
Mais, il a encore cinq ans pour se racheter et montrer que les populations de Guédiawaye ont élu un vrai maire.
La nouvelle vient de tomber. Il s’agit de la démission de Akhmed Aidara au Groupe Dmedia. En effet l’actuel maire de ville de guediawaye a fendu un communiqué pour annoncer son départ. » Je viens par cette présente vous informer de ma démission du groupe […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETELa nouvelle vient de tomber. Il s’agit de la démission de Akhmed Aidara au Groupe Dmedia. En effet l’actuel maire de ville de guediawaye a fendu un communiqué pour annoncer son départ.
» Je viens par cette présente vous informer de ma démission du groupe Dmédia pour des raisons de convenance personnelle. Je vous remercie vivement pour la franche collaboration et les liens étroits et fraternels qui ont toujours marqué nos relations professionnelles et sociales » , renseigne la note .
Pour rappel son bras de fer avec le CNRA a déja envoyé 430 de ses collègues en chômage technique. Pour d’aucun cette démarche constituée de l’égoïsme mais heureusement qu’il soit revenu à de meilleurs sentiments.