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ACTUALITE AfriqueC’est à travers un communiqué sorti ce dimanche, que la coalition Yewwi Askan Wi (YAW), plus précisément la Commission nationale des investitures, a fait cas du changement de stratégie dans les investitures, en prélude de l’élection législative de juillet 2022. Contrairement aux locales lors desquelles […]
ACTUALITE POLITIQUEC’est à travers un communiqué sorti ce dimanche, que la coalition Yewwi Askan Wi (YAW), plus précisément la Commission nationale des investitures, a fait cas du changement de stratégie dans les investitures, en prélude de l’élection législative de juillet 2022. Contrairement aux locales lors desquelles c’est ladite structure qui avait choisi les candidats, cette fois-ci, cette lourde charge reviendra aux partis et mouvements politiques. Il a été ainsi demandé aux coordonnateurs départementaux et aux présidents de commissions départementales des investitures d’arrêter « immédiatement les assemblées générales d’investitures« .
Même si la commission dirigée par l’ancien ministre Habib Sy, évoque des contraintes de délais pour le dépôt des candidatures à la base ou encore un soucis d’alléger davantage le processus des investitures, il n’en demeure pas moins que les difficultés rencontrées lors des investitures des élections locales y sont pour quelque chose. Dans nombre de localités, comme dans la commune de Mermoz Sacré coeur entre Pastef et Taxawu Sénégal, la coalition était au bord de l’implosion à cause de ces investitures. Il en était ainsi à Bounkiling, ou encore à Diourbel, pour ne citer que ces localités.
Ainsi donc, YAW a décidé cette fois-ci de laisser les partis et mouvements politiques proposer leurs candidats investis au Conseil de médiation et d’arbitrage (CMA) qui devra statuer en dernier ressort.
Le combat de lutte entre Ama Baldé (écurie Falaye Baldé) et Modou Lô (écurie Rock Énergie) était programmé le dimanche 13 mars 2022. Mais c’est à moins de deux semaines des hostilités, que le Roi des arènes s’était blessé. Cette blessure était considérée par le […]
ACTUALITE SPORTSLe combat de lutte entre Ama Baldé (écurie Falaye Baldé) et Modou Lô (écurie Rock Énergie) était programmé le dimanche 13 mars 2022. Mais c’est à moins de deux semaines des hostilités, que le Roi des arènes s’était blessé.
Cette blessure était considérée par le camp de son adversaire Ama Baldé, comme « douteuse et cherchée ». C’est parce que c’est la première fois que Modou Lô signale une blessure d’avant-combat. Peu d’amateurs étaient convaincus de sa sincérité.
Jusqu’à présent, il entretient le flou autour de la tenue du combat dit royal. Et ce qui est bizarre dans tout ça, c’est qu’il mène tranquillement ses activités depuis près d’un mois.
C’est fort de ce constat que beaucoup d’acteurs de la lutte confient « que Modou Lô cherche soit à endormir Ama Baldé, soit à retarder la tenue de leur combat ». Seul Dieu sait !
Pire, Modou Lô est en train de faire douter ses fans. Il ne montre aucune garantie réelle pour lutter cette saison.
Des dirigeants de PetroNor dont la présidente intérimaire, Eyas Alhomouze seraient suspectés dans des enquêtes de corruption dans les contrats pétroliers sénégalais, informe Les Echos. Elle a remplacé le PDG qui a été arrêté par la justice norvégienne. Les enquêtes sont menées par l’autorité nationale […]
ACTUALITE ECONOMIEDes dirigeants de PetroNor dont la présidente intérimaire, Eyas Alhomouze seraient suspectés dans des enquêtes de corruption dans les contrats pétroliers sénégalais, informe Les Echos.
Elle a remplacé le PDG qui a été arrêté par la justice norvégienne. Les enquêtes sont menées par l’autorité nationale d’enquête et de poursuite des délits économiques en Norvège.
La justice américaine mène également sa propre enquête.
Après plusieurs dialogues avec Dakar pour trouver un accord sur le différend qui les oppose, depuis deux ans, sur les licences Rufisque Offshore Profond (ROP) et Sénégal Offshore Sud Profond (SOSP), la norvégienne PetroNor a annoncé qu’aucune avancée notable n’a été réalisée. La société a décidé de reprendre le processus d’arbitrage devant le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI).
En effet, en mai 2020, PetroNor et le Sénégal s’étaient entendus pour suspendre ledit arbitrage sur une période de six mois afin de parvenir à un résultat satisfaisant pour les deux parties, grâce à un règlement à l’amiable, mais sans succès.
Pour rappel, la compagnie qui contrôle ROP et SOSP à hauteur de 90%, revendique le titre de propriété des périmètres, après que les autorités sénégalaises ont révoqué ses droits sur place pour manquement présumé aux obligations d’exploration. Il faut savoir que ces blocs d’une superficie de 14 216 km2 font partie des plus importants en matière de prospectivité dans le pays.
Une autre femme perd la vie en donnant la vie à Louga, ce samedi 23 avril 2022. Mais, l’histoire de cette dame est différente du cas de Sokhna Astou, décédée à cause d’une négligence médicale. Penda Sall est décédée à cause d’une pénurie de sang. […]
ACTUALITE SOCIETEUne autre femme perd la vie en donnant la vie à Louga, ce samedi 23 avril 2022. Mais, l’histoire de cette dame est différente du cas de Sokhna Astou, décédée à cause d’une négligence médicale. Penda Sall est décédée à cause d’une pénurie de sang. En effet, après son accouchement dans un dispensaire de Louga, elle a eu des complications, puis hémorragie avant d’être admis dans une clinique de la place. Finalement, elle y a perdu la vie.
Penda Sall, âgée seulement de 20 ans, a accouché au Poste de Santé des « Ibadou Rahmane » sis au quartier Arthiéry de Louga. Après l’accouchement, elle a commencé à saigner et son état de santé été instable. Elle a été transférée d’urgence à la Clinique Al Amine. Malheureusement, elle a perdu beaucoup de sang car, dans cette même clinique, une seule poche de sang était disponible.
Des appels au don de sang du groupe B+ sont lancés. Parallèlement, l’hôpital régional de Saint-Louis qui disposait de la quantité et de la qualité nécessaires, est saisi. Quelques minutes après l’arrivée d’une ambulance avec les poches demandées et alors qu’une blouse blanche était en train de lui faire une perfusion, Penda Sall décède.
Elle a été inhumée samedi dernier. Elle laisse derrière elle son nouveau-né qui a survécu.
Les patients du pays vont encore vivre deux journées difficiles. Le Collectif des travailleurs de la santé et de l’action sociale (Ctsas) a décrété 48h de grève à partir de mardi, pour dénoncer le traitement partial des autorités dans l’affaire Astou Sokhna. Le désarroi et […]
ACTUALITE SANTELes patients du pays vont encore vivre deux journées difficiles. Le Collectif des travailleurs de la santé et de l’action sociale (Ctsas) a décrété 48h de grève à partir de mardi, pour dénoncer le traitement partial des autorités dans l’affaire Astou Sokhna.
Le désarroi et le calvaire vécus par les usagers des structures sanitaires du pays jeudi et vendredi derniers à cause de la grève, n’ont pas ébranlé les travailleurs de la santé. Ces derniers vont remettre ça à partir de mardi et ce, pour 48h. Dans un communiqué, le collectif à l’origine de ce mouvement d’humeur «dénonce avec véhémence le traitement partiel et partial pour satisfaire une clameur populaire à visée purement politicienne» dans l’affaire Astou Sokhna. Le collectif précise que le service minimum et les urgences seront respectés. Le mercredi 27 avril 2022, jour du procès des sages-femmes poursuivies pour non-assistance à personne en danger, les travailleurs de la santé se donnent «rendez-vous à Louga» pour la «mobilisation blanche». Dans leur document, ils informent que «tous les agents de santé seront en blouse blanche ou rose, les familles et sympathisants en tenue blanche». Le Collectif des travailleurs de la santé et de l’action sociale, qui reproche au gouvernement de n’avoir pris «aucune mesure correctrice permettant d’améliorer le système de santé conformément à l’esprit d’un audit de décès maternel», soutient que «l’enquête sur le décès de Mme Astou Sokhna se suffit de vagues conclusions d’un audit dévoyé de son objectif, en lieu et place du travail d’investigation devant commencer par établir la cause exacte de la mort par l’autopsie». Selon les syndicats membres de ce collectif, «cette démarche hâtive en l’absence de données scientifiques factuelles pour étayer ce dossier, ne présage en rien d’un procès sincère permettant la manifestation de la vérité». Prenant la défense des agents cités dans cette affaire, ils soulignent que «les propos «jugés discourtois par la famille de la patiente» qui sont à l’origine de toute cette cabale, n’ont jamais été tenus par la sage-femme de garde, ni aucun personnel qualifié». Et les membres de ce collectif s’interrogent : «Les réponses aux questions ci-dessous sont suffisamment éloquentes pour montrer la légèreté des accusations. Comment peut-on expliquer qu’une femme négligée ait pu bénéficier de l’examen de la gynécologue et des deux sages-femmes de garde et que toutes les prescriptions ont été respectées ? Comment expliquer qu’une personne négligée ait bénéficié d’un traitement par perfusion ? Depuis quand cela revient-il aux familles de poser le diagnostic de césarienne d’urgence ? Pourquoi le parquet feint d’ignorer que c’est la structure qui doit être poursuivie en cas d’erreurs médicales avérées et non les agents ?» D’après eux, «toutes ces insuffisances nous montrent qu’il y a une volonté manifeste de faire des sages-femmes de Louga des exemples, en mettant arbitrairement en prison ces femmes malgré leur droit à la présomption d’innocence, elles qui ont choisi d’assister courageusement des femmes enceintes, souvent au détriment de leur vie». Pour les travailleurs de la santé, «le parquet devrait faire preuve d’humanisme en les laissant chez elles jusqu’à la date du procès». Par ailleurs, expliquant les raisons de leur démarche, ils soutiennent qu’ils ont «voulu tirer la sonnette d’alarme sur ces conditions désastreuses de travail contraires à la dispensation des soins de qualité, contre le manque de considération des professionnels de santé et enfin pour une Justice équitable pour le personnel de la maternité de l’hôpital Asm de Louga, par cette mobilisation exceptionnelle». Mais, font-ils remarquer, «force est de constater que l’Etat du Sénégal n’a pas suffisamment pris en compte les exigences des acteurs de santé et des populations pour une meilleure prise en charge du secteur». Dans le document, le collectif a fait état des «conditions laborieuses d’exercice dans nos hôpitaux qui ont pour maux le déficit en ressources humaines de qualité, un plateau technique quasi-inexistant ainsi qu’un traitement misérable des travailleurs», tout en estimant que «le personnel de santé fait preuve d’une abnégation sans faille pour assurer une continuité des soins». Face à cette situation, les syndicats membres de ce collectif appellent «l’Etat du Sénégal à engager des réformes profondes de notre système de santé au grand intérêt de nos populations afin de sauver notre hôpital public». Et d’avertir : «L’évolution de la lutte dépendra de la rigueur et la responsabilité de l’Etat dans le traitement de ce dossier.»
Cette sortie de Me Oumar Youm ne va plaire certainement plaire au chef de l’Etat. Lors de la réunion départementale de BBY/Mbour, l’ex DICAP du Président de la république a déclaré que Macky Sall en est à son dernier mandat. « Patience, Macky est à […]
ACTUALITE POLITIQUECette sortie de Me Oumar Youm ne va plaire certainement plaire au chef de l’Etat.
Lors de la réunion départementale de BBY/Mbour, l’ex DICAP du Président de la république a déclaré que Macky Sall en est à son dernier mandat.
« Patience, Macky est à son dernier mandat », a-t-il martelé.
« Ce mandat qui s’achève en 2024, est le dernier de Macky Sall », a-t-il déclaré lors de la réunion qu’il a présidée dimanche à Mbour en perspective des Législatives.
Ainsi, le coordonnateur départemental de BBY a appelé à la sérénité, à la tranquillité d’esprit, à l’unité pour permettre au Président Macky Sall de terminer son deuxième et dernier mandat.
« Raison pour laquelle, il faudra tout faire pour lui permettre d’avoir une majorité confortable, et pour cela, l’unité s’impose », a-t-il ajouté.
Interpellé plus tard sur ses relations avec le président Macky Sall, en février dernier, M. Youm avait dit ceci après son installation à la mairie de Thiadiaye par le préfet :
« Pour ceux qui disent que je suis loin du président Macky Sall, je considère ça comme du bavardage ».
De 12 heures à l’heure de la rupture du jeûn, différents chefs religieux, imams et élèves d’écoles arabes ont prié et récité le coran pour la paix au Sénégal et dans le monde. Et, en même temps, pour la réussite du Président Macky SALL dans […]
ACTUALITE POLITIQUE SOCIETEDe 12 heures à l’heure de la rupture du jeûn, différents chefs religieux, imams et élèves d’écoles arabes ont prié et récité le coran pour la paix au Sénégal et dans le monde. Et, en même temps, pour la réussite du Président Macky SALL dans ses nobles initiatives pour un Sénégal émergent.Après la prière du « timiss » qui a suivi la rupture du jeûn, les nombreux convives ont eu droit à un repas copieux et varié. Et, pendant qu’ils se régalaient avec délectation, ils ont suivi les allocutions des responsables politiques présents. Ces derniers ont, comme déjà indiqué, réitéré leur ferme engagement de marcher à l’unisson dans l’optique d’accorder une majorité confortable à la grande coalition Benno Bokk Yaakar, au soir du 31 juillet.La cérémonie a été clôturée par la distribution de plus de vingt tonnes de riz à tous les villages de la commune et par d’autres formes d’appui aux couches indigentes de la population communale.En souhaitant un bon retour chez eux à ses invités, l’Administrateur du Fonds pour l’Habitat Social est largement revenu sur la principale motivation de son initiative d’organiser le Grand Ndogou du Signy. Une initiative qui s’inscrit dans la dynamique de contribuer à l’atteinte des objectifs sociaux du Plan Sénégal Émergent et à l’unification des forces politiques acquises au Président de la République, à l’échelle du département de Gossas.Rendez-vous a, enfin, été donné pour l’édition de l’année prochaine.
Un enfant âgé de 8 ans a échappé, hier, dimanche à un meurtre. L’affaire s’est produite au quartier Darou Salam de Thiès. Mahamed Lamine Aidara, puisque c’est lui qu’il s’agit, a été enlevé par un individu non identifié qui tentait de l’égorger, rapporte Source A. […]
ACTUALITE SOCIETEUn enfant âgé de 8 ans a échappé, hier, dimanche à un meurtre. L’affaire s’est produite au quartier Darou Salam de Thiès. Mahamed Lamine Aidara, puisque c’est lui qu’il s’agit, a été enlevé par un individu non identifié qui tentait de l’égorger, rapporte Source A.
Son bourreau a été surpris par les habitants. C’est ainsi qu’il a pris la fuite. Ayant subir plusieurs blessés sévères infligées par son agresseur, l’enfant a été admis aux urgences de l’hôpital Amadou Sakhir Ndiéguéne de Thiès, ou il a été opéré.
« Il avait demandé à l’enfant de le conduire chez une famille dans le quartier. L’enfant l’a suivi, il l’a amené dans un bâtiment en finition pour l’égorger. Surpris, il a pris la fuite », a raconté la famille de l’enfant, sur les ondes de Rfm. « Il voulait amener le bras de l’enfant qui est gravement blessé. Il est admis aux urgences de l’hôpital ou il a subi une intervention chirurgicale « , a ajouté la famille.
Un changement important dans le processus de désignation des candidats aux prochaines législatives de 31 juillet 2022 au sein de la coalition de l’opposition Yewwi Askan Wi. Dans une circulaire parvenue à PressAfrik, le président de la Commission nationale des investitures de ladite coalition, informe […]
ACTUALITE POLITIQUEUn changement important dans le processus de désignation des candidats aux prochaines législatives de 31 juillet 2022 au sein de la coalition de l’opposition Yewwi Askan Wi.
Dans une circulaire parvenue à PressAfrik, le président de la Commission nationale des investitures de ladite coalition, informe que « les coordonnateurs départementaux et les présidents de commissions départementales des investitures sont priés d’arrêter immédiatement les assemblées générales d’investitures; chaque parti ou mouvement politique procédera à ses propres investitures; les leaders et mouvements politiques présenteront leurs candidats investis au CMA (Conseil de médiation et d’arbitrage) qui statuera en dernier ressort ».
Pour prétexte, Yewwi Askan Wi avance les courts délais pour le dépôt des candidatures à la base et le souci d’alléger davantage le processus des investitures.
La vacance du poste de Premier ministre (PM) restauré dans la Constitution sénégalaise par le chef de l’État est une violation du Droit sénégalais. C’est une déclaration de la présidente du Mouvement Citoyen CAR LENEEN, à l’émission Grand Jury de ce dimanche 24 avril 2022. « […]
ACTUALITE POLITIQUELa vacance du poste de Premier ministre (PM) restauré dans la Constitution sénégalaise par le chef de l’État est une violation du Droit sénégalais. C’est une déclaration de la présidente du Mouvement Citoyen CAR LENEEN, à l’émission Grand Jury de ce dimanche 24 avril 2022. « Président Macky Sall, appliquez la Constitution en tant que Gardien de la Constitution« , a-t-elle lancé en direction du chef de l’État, tout en rappelant qu’il avait promis de le faire après les élections locales. Pour le professeur agrégée de Sciences Juridiques et Politiques, « il ne faut pas qu’il y ait ce vide juridique» .