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ACTUALITE AfriqueLe collectif des candidats recalés de la liste définitive de l’élection présidentielle du 25 février 2024 ont été reçus mercredi 24 au soir au palais par le président de la république, Macky Sall. L’occasion de faire la liste de leurs doléances concernant le processus électoral. […]
ACTUALITE POLITIQUEMalgré tous les efforts et engagements des pouvoirs publics qui sont allés même jusqu’à augmenter de 10 milliards le budget alloué à la campagne agricole 2022-2023, celle-ci risque encore de connaître moult désagréments aux yeux de beaucoup de producteurs. Pour cause, la mise en place […]
ACTUALITE SOCIETEMalgré tous les efforts et engagements des pouvoirs publics qui sont allés même jusqu’à augmenter de 10 milliards le budget alloué à la campagne agricole 2022-2023, celle-ci risque encore de connaître moult désagréments aux yeux de beaucoup de producteurs. Pour cause, la mise en place des semences et intrants agricoles qui avance de manière timide, les couacs de la distribution avec la mévente de certains stocks d’engrais, la cherté du dit fertilisant des sols entre autres contribuent de manière sensible à hypothéquer la campagne de cette année. Suffisant pour pousser certains acteurs du monde rural à réclamer le retour des ICS dans le giron national.
DIOURBEL / RETARD DANS LA MISE EN PLACE DES ENGRAIS
Une mévente des stocks souvent notée
La mise en place des engrais accuse souvent du retard dans le monde rural. Les stocks d’engrais ne sont pas épuisés car il y a toujours des réserves d’engrais invendues.
Les producteurs agricoles ont du mal à trouver de l’engrais à temps. Conséquence : l’essentiel des stocks arrivés n’étaient pas totalement vendus aux producteurs agricoles. Pour Ibrahima Diouf Bagnakhé, le Président du syndicat Jappando de Diourbel, les opérateurs qui sont chargés de mettre à la disposition les stocks d’engrais n’ont pas souvent une grande assise financière pour pouvoir satisfaire leur commande. C’est ce qui explique souvent les retards notés dans la mise en place des engrais. Pour inverser la tendance, il faut que ces intrants agricoles soient disponibles à temps, explique-t-il. L’autre équation, c’est le manque de moyens financiers pour l’achat de l’engrais subventionné par l’Etat par les producteurs agricoles. « Cette période coïncide avec celle des vaches maigres. Ainsi, on assiste à une mévente de l’engrais. Les opérateurs privés qui ne trouvent d’acquéreurs sont obligés de revendre le reste des stocks aux commerçants. Ce qui constitue une perte pour l’Etat mais aussi pour les producteurs agricoles ».
Le Directeur régional du développement rural de Diourbel, Pierre Diouf, soutient pour sa part qu’on ne peut pas parler de manque d’engrais. « La distribution de l’engrais s’est terminée depuis l’année dernière. En ce qui concerne l’engrais 6 20 10 arachide, le quota de la région a été reçu à 75% de la prévision, soit 2069 tonnes dont 96% de ce quota a été vendu, soit 1980 tonnes vendues. En ce qui concerne l’engrais Mil, on a reçu 978 tonnes soit 71% du quota dont 71% sont vendus, soit 659 tonnes d’engrais mil. En ce qui concerne le triple l’engrais mil, 7311 tonnes ont été reçues, 728 sont vendues, soit 100% ». Et le Directeur régional du développement rural de Diourbel qui se prononçait la semaine dernière de poursuivre : « Pour l’urée, 915 tonnes ont été reçues et vendues soit 100%. S’il y a mévente, on ne peut pas parler de stocks indisponibles. Tous les prix aux producteurs agricoles ont été reconduits par cette présente campagne agricole 2022 2023 ». Toutefois, le sac d’engrais subventionné va connaître une légère hausse à cause de la crise mondiale.
ADAMA NDIAYE
KAOLACK/ MISE EN PLACE DES SEMENCES ET INTRANTS AGRICOLES
Les producteurs toujours dans l’impasse
Souvent attendue à pareils moments de l’année par la plupart des producteurs du pays, la campagne de mise en place des semences et intrants agricoles avance de manière timide dans la région de Kaolack et le centre du pays en général. Malgré les efforts fournis çà et là au niveau des Directions régionales de Développement rural (Drdr), en termes de distribution des attestations d’homologation suite à la mise en stocks déjà effectuée par les opérateurs et la délivrance progressive des notifications qui se poursuit encore tout au long de ces derniers jours. Ce qui, du coup, a permis la collecte de 114.000 tonnes d’arachide au niveau national.
Les producteurs, leurs organisations respectives et autres coopératives sont encore dans l’impasse. Autrement dit, ils s’inquiètent de plus en plus de la longue attente qu’ils sont en train d’observer pour rentrer en possession de ces produits. Même si dans la plupart des régions centre, les commissions de distribution sont déjà installées et les opérateurs en charge de l’acheminement des produits vers les paysans tous homologués, les semences qui doivent servir à cette prochaine campagne agricole ne sont pas parvenues.
Et partout dans le monde rural, beaucoup de questions sont posées. D’abord pour la qualité des graines, et ensuite le temps imparti aux bénéficiaires pour les décortiquer et pouvoir s’en servir. Une situation qui, du coup, agace pour autant les opérateurs qui veulent eux aussi démarrer sans retard leurs activités avant la date-butoir de démarrage des opérations fixée le 25 Mai prochain. Sauf que, du côté des opérateurs, on continue encore à réclamer le paiement de la dette des dernières créances contractées lors de la précédente saison dans la commercialisation arachidière cumulée aux opérations de distribution des semences et intrants, édition 2021/2022.
Pour les opérateurs, la vraie question à laquelle l’Etat doit d’urgence apporter une réponse plausible repose en effet sur le marché des intrants. Cette année, compte tenu de certains facteurs liés au Covid et la guerre en Ukraine, le prix accordé aux intrants connaît une flambée qui n’a jamais été connue des producteurs sénégalais. Selon le président régional des organismes privés et stockeurs du Sénégalais El Hadji Bou Goumbala, « cette cherté du prix de l’engrais a aujourd’hui poussé l’Etat à réduire les 150.000 tonnes qu’il avait prévues de mettre à la disposition des producteurs à 115.000 tonnes. L’urée qui coûtait 319.000 Frs la tonne revient aujourd’hui à l’Etat à 750.000 frs. Si c’est à l’étranger, le prix revient à 680.000 voire 700.000 Frs la tonne, soit le triple du prix fixé pendant ces dernières années ».
Le président régional des Ops poursuit par ailleurs : » quant aux différents types d’engrais (6/20/10, 15/10/10, 15/15/15, 10/10/20,), ce qui s’achetait sur le marché au prix de 175.000 Frs et qui concerne l’arachide est vendu aujourd’hui à 295.000 Frs », nous informe-t-il. Le président El Hadji Bou Goumbala, face à cette flambée difficile à maitriser, exhorte toutefois l’Etat à reprendre la gestion de l’usine des Industries Chimiques du Sénégal (Ics) ou, à défaut, reprendre son contrôle. Comme c’est d’ailleurs le cas avec la Sonacos. Surtout éviter de favoriser certains pays voisins au détriment des producteurs sénégalais. Et, conclut-il, « savoir avant tout que les Ics constituent un patrimoine national, une souveraineté qui fonde essentiellement le développement de la politique agricole du pays qu’on doit jalousement garder ».
Le carreleur Mbaye Faye et sa belle-sœur Aïda Tounkara séjournent, depuis la semaine dernière, à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Mbour. À en croire le quotidien L’Observateur qui donne l’information, leur incarcération fait suite à une rocambolesque histoire de viol sur la […]
ACTUALITE SOCIETELe carreleur Mbaye Faye et sa belle-sœur Aïda Tounkara séjournent, depuis la semaine dernière, à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Mbour.
À en croire le quotidien L’Observateur qui donne l’information, leur incarcération fait suite à une rocambolesque histoire de viol sur la fille mineure C. D.
Une affaire qui met au devant de la scène le carreleur, accusé d’enlèvement, de séquestration et de viols, avec la complicité de sa belle-sœur.
Selon les sources du journal, les faits incriminés continuent de faire grand bruit au quartier Oncad de Mbour où ils ont eu lieu. C’était le dimanche 15 mai dernier, aux environs de 18 heures.
Sur ces entrefaitres, la Brigade de gendarmerie de Mbour a été saisie par les parents de la fille qui est aussi conduite en consultation gynécologique à l’hôpital de Mbour.
Les conclusions des blouses blanches sont sans équivoque : « présence de plusieurs lésions sur les parties intimes de la fille mineure de 15 ans ». D’autant qu’elle était très mal-en-point.
Au terme de la durée légale de leur garde à vue, le carreleur Mbaye Faye et sa belle-sœur Aïda Tounkara ont été purement et simplement déférés au parquet du Tribunal de Mbour.
Triste nouvelle pour le monde de la lutte! Le lutteur à rendu l’âme ce mardi, suite à un malaise à l’entrainement. Le lutteur Akon tire sa révérence! le pensionnaire de l’écurie Sakkou Kham Kham de Birahim Ndiaye est décédé suite à un malaise à l’entrainement. […]
ACTUALITE SOCIETETriste nouvelle pour le monde de la lutte! Le lutteur à rendu l’âme ce mardi, suite à un malaise à l’entrainement.
Le lutteur Akon tire sa révérence! le pensionnaire de l’écurie Sakkou Kham Kham de Birahim Ndiaye est décédé suite à un malaise à l’entrainement. L’enterrement est prévu ce mardi.
Recruté par la société 2D, spécialisée dans le transport d’hydrocarbures et partenaire de la Senelec, le chauffeur, Talla G., et ses acolytes ont été pris en flagrant délit de vol de carburant le 12 mai dernier. Ils ont été interpellés derrière les entrepôts de Patisen […]
ACTUALITE SOCIETERecruté par la société 2D, spécialisée dans le transport d’hydrocarbures et partenaire de la Senelec, le chauffeur, Talla G., et ses acolytes ont été pris en flagrant délit de vol de carburant le 12 mai dernier. Ils ont été interpellés derrière les entrepôts de Patisen (Bel-Air) par les éléments de la brigade de Recherches qui ont été avisés par une tierce personne. Sur place, les pandores ont trouvé les mis en cause en train de vider un camion-citerne contenant du carburant dans trois fûts de 200 litres et un fût de 1000 litres. Mais, Talla G. avait pris la fuite quand les hommes en bleu l’ont sommé de déplacer le camion. Au même moment, Omar W. avait tenté d’acheter le silence des enquêteurs en leur proposant divers montants. C’est dans ces circonstances qu’il a été mis à la disposition des éléments au commissariat de Bel-Air en même que Dame G. et Ibrahima S, explique-t-on dans Rewmi .
Cueilli quelques heures plus tard et soumis au feu roulant des questions, Talla G. informe qu’il avait été chargé de transporter 40.000 litres de carburant au dépôt de la centrale de Bel-Air. Arrivé à hauteur de Yarakh Capa, Fallou N., agent de dépotage à la Senelec, l’a contacté l’informant ainsi que le déchargement aura finalement lieu au dépôt du Cap des Biches à Rufisque. Mais, quelques minutes plus tard, Fallou l’a rappelé pour lui demander de soustraire dans le réservoir de son camion 1600 litres et de l’écouler dans le marché noir. Il ajoute que son complice lui avait assuré qu’il allait associer au deal le contrôleur du dépôt du Cap des Biches, As- sane F. C’est alors qu’il a appelé un certain Baba- car pour lui proposer le butin. « J’ai garé mon véhicule pour permettre à Babacar, accompagné de Dame G., Omar. W et Ibrahima S. de récupérer le gasoil. Quand les enquêteurs en tenue civile nous ont surpris, Babacar a pris la tangente. À la demande de l’un des policiers, je lui ai donné toutes les pièces du véhicule. C’est ainsi que je suis parti au dépôt du Cap des Biches pour dépoter mon camion. Je me suis rendu ensuite à la banque pour percevoir mon salaire. C’est à mon retour que j’ai croisé vos éléments à bord de leur véhicule, lesquels m’ont arrêté et conduit dans les locaux de votre service », a avancé le trentenaire qui précise que les 435.000 francs retrouvés par devers lui, ne proviennent pas de son activité délictuelle. Car, il n’avait pas encore fixé le prix de vente du gasoil. « Les 250.000 francs représentent mon salaire, les 150.000 francs, un prêt et les 35.000 francs, mon argent de poche », a-t-il confié
Les receleurs bottent en touche…
Né en 1981, Galass N. a confirmé avoir commandité le vol à 7h du matin. A l’en croire, Talla avait réussi à céder le butin, avant son arrestation. « Il m’en avait informé lors d’un entretien téléphonique à 17h. J’avais demandé au contrôleur As- sane F. de le protéger et ce dernier a accepté. Je ne connais pas les receleurs, Dame, Omar et Ibrahima », dit-il. Assane F., 30 ans, a révélé que Talla lui avait promis une commission de 30.000 francs. A leur tour, Dame G., Ibrahima S. et Omar W. ont réfuté les faits, arguant qu’ils se trouvaient au mauvais endroit au mauvais moment. Malgré cela, ils ont été déférés au parquet et placés sous mandat de dépôt ainsi que leurs trois comparses. Les véhicules de marque Bmw et Chery de Gal- las et Talla ont été également mis sous scellés. Visés pour association de malfaiteurs, vol, complicité dudit chef, recel, blanchiment de capitaux et tentative de corruption, les prévenus seront jugés à l’audience des flagrants délits de Dakar le 25 mai prochain.
Barthélemy Dias appréciera lui aussi que Ousmane Sonko dise publiquement l’avoir remis à sa place, en lui précisant «qu’il n’est pas un leader et qu’il a à obtempérer aux décisions prises par les leaders de la coalition Yaw». Cette phrase a été faite lors de […]
ACTUALITE POLITIQUEBarthélemy Dias appréciera lui aussi que Ousmane Sonko dise publiquement l’avoir remis à sa place, en lui précisant «qu’il n’est pas un leader et qu’il a à obtempérer aux décisions prises par les leaders de la coalition Yaw». Cette phrase a été faite lors de sa première sortie sur les listes, après les conférences tous azimuts de certains leaders de YAW, montrant toute leur frustration.
Curieusement, entre Ousmane SONKO et le mensonge c’est une longue histoire. Aujourd’hui, il a véhiculé dans les réseaux sociaux qu’il va faire une déclaration depuis Ziguinchor. D’ailleurs, c’est la raison pour laquelle, il n’a pas pris part à la conférence Yewwi Askan Wi organisée par […]
ACTUALITE POLITIQUECurieusement, entre Ousmane SONKO et le mensonge c’est une longue histoire. Aujourd’hui, il a véhiculé dans les réseaux sociaux qu’il va faire une déclaration depuis Ziguinchor. D’ailleurs, c’est la raison pour laquelle, il n’a pas pris part à la conférence Yewwi Askan Wi organisée par Khalifa SALL, Habib SY, Déthie FALL.
Ousmane Sonko a certes tenu une déclaration. Mais la vérité c’est qu’il l’a enregistrée en direct à 22h55mn chez lui à la Cité Keur Gorgui. Le leader de Pastef a encore menti à ses militants.
C’est dans sa cuisine à la Cité Keur Gorgui qu’il a fait son discours. D’ailleurs nous connaissons les raisons de son absence à la conférence de Yewwi. Ousmane SONKO avait encore un énième problème avec sa femme Anna Diamanka à cause des révélations faites par Madiambal DIAGNE dans sa chronique de ce lundi. Le journaliste a parlé des vidéos nues d’Ousmane SONKO avec des filles. Voila pourquoi, Sonko est resté chez lui pour arranger ses problèmes avec sa femme déçue par ces nouvelles révélations sur son époux accusé de viol par Adji SARR. C’est ce mardi qu’Ousmane SONKO se rendra à Ziguinchor. Curieusement, ce monsieur ne changera jamais.
L’insécurité est la chose la plus partagée au Sénégal, parce qu’elle est présente dans tout le pays, surtout en banlieue. Elle est devenue quasi générale pour s’être installée dans tout le pays. En moins d’un mois, huit crimes ont été dénombrés, dont trois en moins […]
ACTUALITE SOCIETEL’insécurité est la chose la plus partagée au Sénégal, parce qu’elle est présente dans tout le pays, surtout en banlieue. Elle est devenue quasi générale pour s’être installée dans tout le pays. En moins d’un mois, huit crimes ont été dénombrés, dont trois en moins de soixante-douze heures. Le mutisme sidérant du ministre de l’Intérieur, Antoine Félix Abdoulaye Diome, inquiète plus d’un. Tribune
Maintenant, tuer une personne gratuitement est devenue la chose la plus facile depuis quelques temps au Sénégal. Il ne se passe pas un jour sans qu’un cas d’agression ou de crime ne soit dénombré. Ne serait ce que dans le courant du mois de mai, près d’une dizaine de crimes a été notée.
D’abord à DjeddahThiaroye-Kao où la mort d’un chauffeur de l’Ucg, poignardé par un «bongoman», a déclenché une violente réaction des populations qui ont saccagé la maison du présumé meurtrier et blessé un policier. Grièvement blessé et traqué par la police, le bongoman s’est finalement retrouvé à l’hôpital A. Le Dantec. Il a été placé en garde à vue au commissariat de police de Thiaroye.
À Guinaw Rail Sud, c’est un élève de 6e B, meilleur élève du Sénégal, du nom de Mor Sène Diagne, qui a été poignardé. Il est malheureusement décédé des suites de ses blessures. Mor Sène Diagne qui était élève au Cem Apix de Guinaw Rail Sud, aurait été tué par son ami et élève qui est classe de Cm1. Sa famille et ses proches sont depuis plongés dans une profonde consternation.
À Bargny, A. Ndiaye, une fillette âgée de 8 ans, a été retrouvée morte dans un bâtiment en chantier au quartier kit Barrage, alors que ses parents la recherchaient peu avant la rupture du jeûne.
Selon les premiers éléments de l’enquête de la police, la petite a été tuée. Pire, elle aurait même subi un viol avant d’être assassinée. Identifiée du nom d’Anta Ndiaye, âgée de 7 ans, cette fillette aurait été violée puis étranglée à mort d’après les premiers éléments de l’enquête.
Un jeune homme du nom d’Omar Diop a été tué au cours d’une agression au niveau de la Vdn 3, située à Wakhinane Nimzatt, dans le département de Guédiawaye. La victime qui conduisait tranquillement son véhicule, est tombée en panne. Alors qu’il attendait d’être dépanné, des agresseurs l’ont trouvé sur place pour lui arracher ses biens.
Le vendredi dernier, c’est une femme gérante de multiservices de transfert d’argent, du nom de F. Kiné Gaye, qui a été égorgée sur son lieu de travail (voir ailleurs). Le lendemain samedi, à Ouakam, une bagarre entre deux individus a viré au drame. Après avoir poignardé mortellement son belligérant, le meurtrier a pris la fuite. Le même jour, à Ouagou Niayes, une personne aurait été tuée.
Tribune
L’expert électoral et Directeur général du Cabinet d’expertise électorale (Ceelect), Ndiaga Sylla, adoube le Président Fondateur de Afrikajom Center, un Think tank qui a invité le Conseil constitutionnel à déclarer recevables toutes les listes déposées en vue des prochaines élections législatives du 31 juillet pour […]
ACTUALITE POLITIQUEL’expert électoral et Directeur général du Cabinet d’expertise électorale (Ceelect), Ndiaga Sylla, adoube le Président Fondateur de Afrikajom Center, un Think tank qui a invité le Conseil constitutionnel à déclarer recevables toutes les listes déposées en vue des prochaines élections législatives du 31 juillet pour « maintenir la paix sociale ».
Ndiaga Sylla a, en effet, prôné une souplesse dans le traitement des cas de manquements à la loi électorale notés lors du dépôt des dossiers de candidatures par les différentes coalitions, y compris celle de la majoritaire au pouvoir, Benno Bokk Yakaar au pouvoir et celle de Yewwi Askan Wi (opposition) ainsi que les autres coalitions déjà recalées.
Interpellé par notre confrère Baye Oumar Guèye sur la menace de forclusion qui pèse sur la plupart des coalitions de partis politiques du fait des erreurs notées dans leurs dossiers de candidatures, Ndiaga Sylla a jugé « inacceptables » les démarches actuelles de part et d’autre du camp du pouvoir et celui de l’opposition visant à empêcher un adversaire de participer à ces élections au niveau du dépôt des candidatures. Et d’estimer dans la foulée que le « droit fondamental de suffrages doit prévaloir ».
Ainsi, rappelant le retard accusé par certaines listes qui ont déposé leurs dossiers de candidatures au-delà du délai de rigueur fixé sans que la Cena, chargée de veiller au respect des textes électoraux, ne demande leur forclusion, Ndiaga Sylla déclarera : « Nous sommes en matière électorale et, il faut faire preuve de souplesse. Donc, ma conviction est que nous devons faire en sorte que les erreurs mineures soient tolérées pour que le Sénégal puisse aller de l’avant parce qu’il reviendra, le jour du scrutin, aux citoyens électeurs de choisir librement à travers un processus électoral transparent. Et, en ce moment, c’est la démocratie qui va gagner », a-t-il souligné avant de faire remarquer.
« On ne devrait pas, aujourd’hui, créer les conditions pour empêcher, au niveau du dépôt des candidatures, à un adversaire de participer à ces élections. Cela n’est pas acceptable ».
Tous les moyens sont bons pour le retour dans la course à l’élection législative du 31 juillet 2022. La Grande coalition Gueum Sa Bopp semble le comprendre pour être passé à un niveau supérieur, après le recours déposé au Conseil constitutionnel. Dans un communiqué rendu […]
ACTUALITE POLITIQUETous les moyens sont bons pour le retour dans la course à l’élection législative du 31 juillet 2022. La Grande coalition Gueum Sa Bopp semble le comprendre pour être passé à un niveau supérieur, après le recours déposé au Conseil constitutionnel. Dans un communiqué rendu public ce jour, lundi 23 mai 2022, Bougane Gueye et compagnie informent avoir saisit les représentations diplomatiques ( France, Usa, Allemagne, l’ Union européenne et l’ Usaid.
Ladite coalition indique avoir exposé aux représentations diplomatiques toutes les incongruités et incohérences de la Direction générale des élections (DGE) ayant abouti à l’invalidation de leurs listes de parrainage et le dépôt des recours au niveau du conseil constitutionnel. Mieux, ils disent avoir fourni les preuves « qui attestent du complot pour écarter des candidatures sérieuses ayant fait leurs preuves lors des derniers locales. »
« La coalition Gueum Sa Bopp demande aux représentations diplomatiques d’user de leur influence pour rappeler à l’ordre le Président Macky Sall afin d’éviter les tensions électorales sources d’instabilité« , invitent Bougane Gueye et ses camarades.
A l’instar de la coalition Aar Sénégal, Gueum Sa Bopp exige aussi du Conseil constitutionnel la lecture du droit dans sa plénitude.
« La loi est générale et impersonnelle. Aux acteurs politiques il leur est redit, que nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude. La coalition Gueum Sa Bopp n’acceptera pas de compromissions (Pas de combine Beuré) sur le dos du peuple sénégalais », préviennent-ils.
En marge d’une visite qu’il a effectuée à la cité Batrain qui a été frappée par un violent incendie, le ministre de l’Intérieur, Antoine Diome a profité de l’occasion pour annoncer l’ouverture d’un nouveau numéro vert (123) afin d’alerter les forces de l’ordre et de sécurité […]
ACTUALITE POLITIQUEEn marge d’une visite qu’il a effectuée à la cité Batrain qui a été frappée par un violent incendie, le ministre de l’Intérieur, Antoine Diome a profité de l’occasion pour annoncer l’ouverture d’un nouveau numéro vert (123) afin d’alerter les forces de l’ordre et de sécurité en cas de nécessité.
«C’est l’occasion pour moi d’annoncer qu’au-delà du numéro de la gendarmerie qu’est le 800 00 2020, les citoyens sénégalais auront désormais à disposition un nouveau numéro plus facile à retenir qu’est le 123. J’invite toutes les populations de Dakar et des autres régions du pays, à chaque fois qu’elles voient quelque chose qui nécessite d’appeler des secours ou que les forces de défense et de sécurité soient présentes, qu’elles le fassent immédiatement. Avec la police nous avons le 17 qui est fonctionnel. Et enfin avec les pompiers il y a le 18», a plaidé le ministre.