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ACTUALITE SOCIETEUn programme d’investissement prioritaire de 600 milliards de francs CFA sera consacré à la région de Kédougou sur la période 2024-2026, a annoncé le président de la République, Macky Sall. ‘’Le programme d’investissement prioritaire qui a été décliné par le gouvernement et que je valide […]
ACTUALITE POLITIQUELa Sûreté urbaine (SU) a arrêté Ndiaga Sarr et Aliou Faye. Le premier est très actif dans le milieu de la lutte tandis que le second est un adjudant de la police. Le duo est au centre d’une affaire d’escroquerie et de charlatanisme. D’après Libération, […]
ACTUALITE SOCIETE151 cas d’infection liés à des chocolats ont été détectés dans 11 pays Onze pays, principalement européens, ont désormais signalé des cas d’intoxication alimentaire à la salmonelle, liés aux populaires produits en chocolat «Kinder » fabriqués en Belgique, touchant en particulier les enfants de moins […]
ACTUALITE SOCIETE151 cas d’infection liés à des chocolats ont été détectés dans 11 pays Onze pays, principalement européens, ont désormais signalé des cas d’intoxication alimentaire à la salmonelle, liés aux populaires produits en chocolat «Kinder » fabriqués en Belgique, touchant en particulier les enfants de moins de 10 ans, a indiqué l’Organisation mondiale de la santé. L’Organisation mondiale de la santé a déclaré mercredi que plus de 150 cas suspects de salmonellose ont été recensés – de la Belgique aux Etats-Unis – après que les autorités réglementaires britanniques ont signalé un groupe de cas de salmonelle (S.) Typhimurium il y a un mois, ce qui a entraîné un rappel mondial. Les enfants de moins de 10 ans ont été les plus touchés – ils représentent environ 89 % des cas – et les données disponibles indiquent que neuf patients ont été hospitalisés. Il n’y a pas eu de décès. « Le risque de propagation dans la région européenne de l’Oms et dans le monde est considéré comme modéré jusqu’à ce que des informations soient disponibles sur le rappel complet des produits », a déclaré l’agence des Nations unies dans un communiqué. Le séquençage génétique de la bactérie salmonelle qui a déclenché l’alerte alimentaire a montré que l’agent pathogène était originaire de Belgique. Au moins 113 pays en Europe et dans le monde ont reçu des produits Kinder pendant la période de risque, a déclaré l’Oms, ajoutant que des bactéries de salmonelle correspondant aux cas d’infection humaine actuels ont été trouvées en décembre et janvier derniers, dans des réservoirs de babeurre d’une usine dirigée par les chocolatiers Ferrero, dans la ville belge d’Arlon. Selon les médias, la fermeture temporaire de l’usine a été ordonnée au début du mois. Dans une déclaration, l’Oms a indiqué que la souche de salmonelle en cause est résistante à six types d’antibiotiques. Le communiqué de l’Oms indique qu’au 25 avril, « un total de 151 cas génétiquement apparentés de S. Typhimurium suspectés d’être liés à la consommation des produits chocolatés impliqués ont été signalés dans 11 pays » : Belgique (26), France (25), Allemagne (10), Irlande (15), Luxembourg (1 cas), Pays-Bas (2), Norvège (1 cas), Espagne (1 cas), Suède (4), Royaume-Uni (65) et Etats-Unis d’Amérique (1 cas).
Le bureau municipal de la Commune de Merina Dakkhar vient d’être dissout par la Cour d’Appel de Thiès. Cette décision de justice intervient après un recours porté par le frère Talla Ndiaye. un coup dur pour le maire Aymerou Gningue qui devra voir son bureau […]
ACTUALITE POLITIQUELe bureau municipal de la Commune de Merina Dakkhar vient d’être dissout par la Cour d’Appel de Thiès. Cette décision de justice intervient après un recours porté par le frère Talla Ndiaye. un coup dur pour le maire Aymerou Gningue qui devra voir son bureau chamboulé.
L’avocat de la partie civile, Me Ousseynou Gaye, n’est pas satisfait de la démarche du procureur de Louga dans le traitement de l’affaire Astou Sokhna. Il estime que le dossier ne devait pas être jugé en flagrants délits et que la gynécologue, qui était en […]
ACTUALITE SOCIETEL’avocat de la partie civile, Me Ousseynou Gaye, n’est pas satisfait de la démarche du procureur de Louga dans le traitement de l’affaire Astou Sokhna. Il estime que le dossier ne devait pas être jugé en flagrants délits et que la gynécologue, qui était en service le jour de la disparition de la victime à l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye, aurait dû être inculpée (pour homicide) au même titre que les six sages-femmes poursuivies pour non-assistance à personne en danger.
«Le procureur a fait un mauvais règlement et on ne va pas lui faciliter la tâche», prévient Me Ousseynou Gaye, repris dans les colonnes du journal Le Quotidien de ce vendredi. Il ajoute : «Il n’est pas exclu qu’on fasse une autopsie, qu’on fasse l’exhumation parce qu’on veut comprendre de quoi cette dame est décédée.»
L’avocat de la famille de Astou Sokhna ne comprend pas «que la gynécologue qui est d’astreinte, c’est-à-dire qui devrait rester à l’hôpital, se barre. Et puis elle vient, constate le décès, et se barre à nouveau. Et elle dicte le certificat de genre de mort en disant à la sage-femme de mettre mort naturelle. Ce que cette dernière a reconnu. Elle met le cachet et c’est sur la base d’un certificat de décès sans signature qu’on a enterré cette bonne dame».
Me Gaye estime que la responsabilité de la gynécologue est «d’une évidence flagrante qui fait qu’on ne peut pas la laisser» en dehors de la procédure. Il compte porter plainte contre elle avant le 5 mai prochain, date d’ouverture du procès des six sages-femmes inculpées dans le cadre de cette affaire.
Cette action de la partie civile place l’Etat au centre de la procédure, selon Me Ousseynou Gaye. «C’est normal d’installer l’Etat parce que cette bonne dame ne travaille pas dans la rue ni dans une structure privée, plaide l’avocat. (…) C’est la structure hospitalière (Amadou Sakhir Mbaye) qui sera installée dans la procédure pour répondre des conséquences financières de leurs actes.»
La ville de Diourbel (centre) pourrait être confrontée à une pénurie de poulets pendant la Korité, la fête de l’Aïd-el-fitr, en raison d’une rupture notée dans la production d’œufs et de poussins depuis quelques mois, a alerté le président de l’Association pour le développement de […]
ACTUALITE ECONOMIELa ville de Diourbel (centre) pourrait être confrontée à une pénurie de poulets pendant la Korité, la fête de l’Aïd-el-fitr, en raison d’une rupture notée dans la production d’œufs et de poussins depuis quelques mois, a alerté le président de l’Association pour le développement de l’aviculture de Diourbel, Sidy Bara Thiam.
« La rupture dans la production de poussins est une réalité. Avant cela, il y a eu une rupture dans la production d’œufs depuis plusieurs mois. J’ai fait des commandes depuis plus de trois mois que je n’ai toujours pas reçues », a-t-il dit dans un entretien avec l’APS.
Selon Sidy Bara Thiam, la même situation prévaut dans le département et dans l’ensemble de la région de Diourbel et dans une certaine mesure à travers tout le Sénégal.
Il signale que des propriétaires de couvoirs dont il est un client assidu, reportent les commandes au motif que « les poussins ou les œufs manquent ». « Certains nous disent que leur taux de réussite est en baisse », ajoute l’aviculteur.
Compte tenu de cette donne, il prévient que l’approvisionnement du marché de Diourbel en poulets durant la Korité sera difficile, dans la mesure où la demande est supérieure à l’offre.
« La production ne suffit pas parce que Diourbel est très proche de Touba, et il y a de nombreux événements religieux qui sont organisés » dans cette cité religieuse en particulier. « La demande est très forte dans la zone. Avec le manque de poussins, le poulet risque de manquer », a-t-il expliqué.
A la rareté du poulet s’ajoute le fait que les aviculteurs doivent faire avec des coûts de production qui sont selon lui constamment en hausse.
« L’aliment de volaille coûte très cher. Le sac de 50 kg est passé de 14.500 FCFA à 17.700 FCFA », alors même que « tous les constituants (maïs, sorgho, tourteaux d’arachide, farine de poisson etc.) de l’aliment sont produits au Sénégal », s’étonne-t-il.
Du fait de cette situation, le prix du poulet pourrait connaître une hausse, d’autant que la caisse de poussins coûte actuellement 40.000 FCFA, contre 25.000 FCFA il y a quelques temps.
Sidy Bara Thiam pense que « les gros producteurs ne feront rien pour baisser les prix des aliments et autres intrants ». « Certains (…) vendent les œufs de consommation, les œufs féconds pour la production de poussins […], l’aliment. En plus de cela, ils élèvent le poulet de chair qu’ils vendent également. Ils ont alors tous les atouts de leur côté », dit-il.
Il estime que l’Etat doit accompagner les acteurs locaux, pour qu’ils soient autonomes et compétitifs face aux grands producteurs.
« Les aviculteurs de la région de Diourbel sont confrontés à d’énormes difficultés dans la filière, liées à la cherté des aliments et au manque de poussins. Et ils ne bénéficient pas de certaines opportunités, notamment avec les vaccins contre les maladies [qui] sont récurrentes », a-t-il fait remarquer.
Il sollicite la création d’un poulailler communautaire, sous la forme d’un incubateur pour les jeunes qui veulent s’investir dans la filière.
« En 2014, Mame Mbaye Niang, ministre de la Jeunesse avait annoncé la création d’un poulailler communal. Cette structure pourrait aider les jeunes intéressés par l’aviculture à bénéficier de formations et d’autres pourraient y pratiquer une activité avec une rémunération », a-t-il relevé.
Selon lui, les acteurs attendent de l’Etat qu’il régule le secteur.
« On veut un accompagnement pour les vaccins, des formations de renforcement de capacités. Pour que l’on puisse être compétitif, il nous faut des renforcements de capacité, parce que les choses évoluent sur le conditionnement et les normes d’abattage », a-t-il souligné.
Il a également souligné la nécessité de professionnaliser la filière pour que les jeunes puissent avoir l’opportunité de participer à des rencontres dans la sous-région et bénéficier d’autres expériences.
« Diourbel doit disposer d’un couvoir et sans cela, il y a aura toujours des ruptures de poussins et par conséquence une pénurie de poulets. Il faut aussi que les autorités locales accompagnent le milieu de l’aviculture », a-t-il insisté.
Les candidats aux législatives du 31 juillet prochain devront déposer leur candidature entre le 6 et le 8 mai prochain. Ces dates ne sont pas une nouveauté, elles sont déjà fixées par le Code électoral en ses articles L248 et L283. Le texte précise que […]
ACTUALITE POLITIQUELes candidats aux législatives du 31 juillet prochain devront déposer leur candidature entre le 6 et le 8 mai prochain. Ces dates ne sont pas une nouveauté, elles sont déjà fixées par le Code électoral en ses articles L248 et L283.
Le texte précise que les dossiers doivent être enregistrés 85 jours au plus et 83 jours au moins avant le jour du scrutin.
Au-delà, renseigne le directeur de la Formation et de la Communication de la direction des Élections, Biram Sène, repris par Le Soleil de ce vendredi, aucun retrait ou substitution n’est possible, sauf pour les cas d’inéligibilité d’un candidat et de pièces périmées ou comportant des erreurs matérielles.
Le président Macky Sall est un digne produit de l’école libérale. Cet ancien élève de Me Abdoulaye Wade était parti pour surclasser son maître. En dix ans, il a réussi à imprimer sa marque au Sénégal. Tout comme le Pape du Sopi, l’actuel locataire du […]
ACTUALITE POLITIQUELe président Macky Sall est un digne produit de l’école libérale. Cet ancien élève de Me Abdoulaye Wade était parti pour surclasser son maître. En dix ans, il a réussi à imprimer sa marque au Sénégal. Tout comme le Pape du Sopi, l’actuel locataire du Palais a réussi à faire émerger de nombreuses infrastructures. Et en bon commandant en chef, Macky garde le contrôle sur tout. Malgré tous ses efforts, le chef de l’Etat peine à prendre le contrôle de deux choses.
Le contrôle total sur tout, c’est ce que le président Macky Sall aurait bien voulu. Hélas, le destin en a voulu autrement. Après dix ans de règne, le locataire du Palais vit les années les plus mouvementées de son second mandat. Et si Macky Sall est dans cette position, c’est parce que tous les efforts qu’il fait sont torpillés par des personnes cachées derrière leur clavier. Dans le monde virtuel, le patron de Benno n’est pas le bienvenu.
Dans un de ses précédents articles, la rédaction de Xibaaru démontrait comment le chef de l’Etat peinait à réguler les réseaux sociaux. Depuis lors, la situation s’est empirée et le constat est effrayant. Quand on fait un tour sur le net, on pourrait être amené à dire que le Sénégal, dans son ensemble, est contre le président Sall. Tellement les attaques dont il est victime sont virulentes. Les internautes pour la plupart ont une aversion de leur président et le présentent comme le diable du pays…
Et certaines personnes ont réussi à « exclure » le côté positif de la gouvernance de Macky Sall sur les réseaux sociaux. Au moment où ses soutiens ont complètement fui la toile, le chef de l’Etat doit faire face à un danger qui échappe complètement à son contrôle. Et ce danger n’est rien d’autre que la personne de Ousmane Sonko. Le leader du parti des Patriotes pour le Travail, l’Ethique et la Fraternité (PASTEF) représente la nouvelle menace qui plane sur le « Macky ».
En effet, le président avait réussi une chose extraordinaire : « réduire l’opposition à sa plus simple expression ». Il a mis à l’écart ses plus grands opposants à l’instar de Karim Wade, l’exilé du Qatar, Khalifa Sall, perdu par la caisse d’avance. Macky Sall s’est entouré d’une armée de transhumants commandée par Idrissa Seck. A l’Assemblée nationale, le chef de l’Etat et sa coalition règnent en maître. Et tout cela, Macky l’a réussi en dix ans de règne. Mais aucun plan n’est infaillible.
Le député accusé de viol a réussi à chambouler tous les plans de Macky Sall. Après la trahison de Idrissa Seck, il est devenu le leader de l’opposition. Casquette qu’il porte à merveille. Il est, ensuite, devenu un élément incontournable dans la coalition Yewwi Askan Wi. Au sein de l’opposition, rares sont les leaders qui ne se sont pas alignés dernière Sonko. Des grands noms de l’opposition sont devenus des « serviteurs » du présumé bourreau d’Adji Sarr. Et cela fait peur jusqu’au Palais. Malheureusement pour le pouvoir il lui sera impossible de freiner Sonko.
Le leader de Pastef a réussi là où Macky Sall peine à émerger. A savoir se faire accepter par les jeunes. Et le Président Ousmane Sonko (PROS) a tout misé sur les jeunes, devenus son fer de lance. D’ailleurs, ils ont démontré à maintes reprises qu’ils étaient prêts à tout pour leur « PROS ». Alors le locataire du Palais a un véritable adversaire qui ne rêve que de lui arracher son fauteuil…même par la force.
Le génie politique du Chef de l’Etat lui a permis de faire des miracles au Sénégal. Mais Macky Sall qui a mis à terre Khalifa Sall, exilé Karim Wade et envoyé à la retraite les dinosaures politiques, ne pouvait pas se douter qu’un petit inspecteur des impôts et domaines allait devenir son plus grand problème. Cette perte de contrôle sur les réseaux et le cas Ousmane Sonko font partie des signes de fin de règne d’un lion qui dort.
Venu à Touba sur invitation de sa petite amie, fille d’une célèbre chanteuse, M. Seck a fini son séjour à la prison centrale de Diourbel. Et pour cause ! Ce père de famille a été arrêté par les éléments du commissariat urbain de Mbacké pour […]
ACTUALITE SOCIETEVenu à Touba sur invitation de sa petite amie, fille d’une célèbre chanteuse, M. Seck a fini son séjour à la prison centrale de Diourbel. Et pour cause ! Ce père de famille a été arrêté par les éléments du commissariat urbain de Mbacké pour un trafic de faux billets en euros, selon des informations exclusives de Seneweb. Sa dulcinée a été longuement entendue dans cette affaire. Mais cette fille, qui était danseuse dans l’orchestre de sa mère, a été disculpée au terme de l’enquête. Détails !
Une belle prise a été effectuée par les policiers de Mbacké qui ont mis la main sur de faux billets en euros d’une valeur de plus de 3 millions de francs Cfa sur deux individus.
Cet exploit a été réussi par les hommes du commissaire Ibrahima Diallo, suite à l’interpellation d’O. Gadiaga. Ce dernier avait réussi à échanger 700 euros non-authentiques en francs Cfa, dans un multiservice de Mbacké.
Mis aux arrêts et fouillé dans les locaux du commissariat urbain, le jeune homme de 25 ans était porteur de 38 faux billets de 100 euros et 39 faux billets de 50 euros, selon des sources de Seneweb.
Interrogé sommairement, le domicilié au quartier khaïra 2 de Touba a tenté de se laver à grande eau. Ainsi, il a imputé la paternité des faux billets à M. Seck, domicilié à Dakar et de passage à Touba.
« M. Seck m’avait ordonné de lui faire échanger ces coupures en francs Cfa. Mais j’ignorais que les billets ne sont pas authentiques. J’ai connu le sieur Seck par le biais de sa petite amie (fille d’une chanteuse) », a déclaré O. Gadiaga visé pour détention et mise en circulation de faux billets de banque.
Sans tarder, mission a été donnée aux limiers de la brigade de recherches d’interpeller M. Seck. Dans son premier interrogatoire, le monogame et père de deux enfants a tenté de nier son implication dans cette affaire. Mais il a accusé O. Gadiaga, voisin de quartier de sa copine, de lui avoir volé plus de deux millions de francs Cfa.
« Je m’inscris en faux contre les propos d’O. Gadiaga. Je ne lui ai jamais remis de faux billets. J’étais de passage à Touba pour assister au ‘ndogou’ organisé par ma copine », a-t-il tenté de faire croire aux enquêteurs.
Dans le cadre de l’enquête, sa petite amie a été aussi convoquée, puis soumise à un interrogatoire. Cette fille d’une célèbre chanteuse a plaidé son innocence.
« J’ai connu M. Seck à travers le réseau social Tik Tok. Lors de nos échanges, il m’a déclaré qu’il me suivait depuis le temps où je dansais dans l’orchestre de ma mère chanteuse […]. M. Seck m’avait déclaré sa flamme et j’avais décliné sa demande avant de revenir sur ma décision, cinq mois plus tard », a expliqué la fille qui a déménagé récemment à Touba.
D’après nos sources, les tourtereaux filaient le parfait amour à distance. Mais sur invitation de sa dulcinée, M. Seck a laissé sa femme et ses deux enfants à Dakar pour venir couper le jeûne à Touba.
« J’ai rencontré M. Seck pour la première fois lors de son passage à Touba, au cours duquel il a passé la nuit à la maison. Mais il m’a fait savoir qu’O. Gadiaga avait volé son argent. Je l’ai suggéré d’aller à la police. Mais il n’avait pas jugé nécessaire de porter plainte », a confié la petite amie du faussaire.
La perquisition effectuée au domicile de la fille n’a pas été fructueuse. Elle a été alors disculpée au terme de l’enquête.
D’après des sources de Seneweb, l’exploitation du téléphone portable de M. Seck a permis aux enquêteurs de découvrir des photos dans lesquelles il détenait des billets en coupures de 100 et de 50 euros et une enveloppe identique à celle retrouvée sur O. Gadiaga lors de son interpellation.
Mis devant le fait accompli lors de son deuxième interrogatoire, Seck a fini par passer à table.
Selon ce faussaire, un Marocain lui avait offert lesdits faux billets en euros à Casablanca. »J’avais dissimulé les faux billets dans le coffre-fort de mon véhicule, à mon retour au Sénégal. Mais O. Gadiaga les a volés lors de ma visite chez ma copine à Touba », confesse-t-il.
C’est ainsi que M. Seck et son acolyte ont été présentés au procureur de Diourbel, la semaine dernière.
Durant ces 100 jours d’exploitation commerciale, le Train Express régional (Ter) a transporté cinq (5) millions de passagers et a généré trois (3) milliards de FCFA comme recette. Ces chiffres ont été livrés par le ministre des Transports, Mansour Faye, ce jeudi, en marge d’une […]
ACTUALITE ECONOMIEDurant ces 100 jours d’exploitation commerciale, le Train Express régional (Ter) a transporté cinq (5) millions de passagers et a généré trois (3) milliards de FCFA comme recette. Ces chiffres ont été livrés par le ministre des Transports, Mansour Faye, ce jeudi, en marge d’une conférence de presse du Gouvernement.
« Le TER a eu 100 jours d’exploitation commerciale le 27 avril 2022. Si on met de côté les trois semaines de gratuité, c’est à dire le jour de l’inauguration du Ter le 27 décembre jusqu’au 17 janvier nous pouvons dire que 5 millions de passagers ont été transportés. En moyenne c’est 50.000 passagers transportés par jour. En terme de recettes, 3 milliards FCfa ont été générés par le TER », soutient le ministre des Transports.
Selon Mansour Faye, ces chiffres traduisent la « satisfaction des usagers » qui ont vu leur « quotidien changé en termes de gain de temps et aussi en terme d’économie. »
Rapportant les éléments obtenus de l’Apix, le ministre Mansour Faye rend compte que sur les 15 trains disponibles, 12 sont mis en circulation. Ainsi il annonce que les trois qui restent seront mis en circulation dans les meilleurs délais.
Le ministre promet que le nombre de trains va monter d’autant plus qu’il y a « une forte affluence ». Ainsi des mesures supplémentaires seront mises en place. Des gares seront aménagées pour soulager les usagers qui trouvent du mal à garer leur véhicule. Pour toutes préoccupations, « une réponse sera apportée dans les meilleurs délais ».
Nouvelles révélations dans l’affaire de l’assassinat de Anta Ndiaye, fille de 8 ans retrouvée morte dans un bâtiment en chantier à Bargny. Né le 2 janvier 2005, Mamadou Bâ dit «Memeu », est un jeune tailleur. Il a tué Anta Ndiaye devant T. Mboup qui portait un bébé […]
ACTUALITE SOCIETENouvelles révélations dans l’affaire de l’assassinat de Anta Ndiaye, fille de 8 ans retrouvée morte dans un bâtiment en chantier à Bargny.
Né le 2 janvier 2005, Mamadou Bâ dit «Memeu », est un jeune tailleur. Il a tué Anta Ndiaye devant T. Mboup qui portait un bébé sur le dos.
Les premiers constats de la Police attestent que la fille a été tuée de manière violente.
A preuve, indique Libération, du sang coulait encore de son nez alors que des traces de blessures étaient visibles sur son cou et au niveau au de sa nuque.
Il voulait voir T. Mboup, une cousine de la défunte Anta Ndiaye pour lui parler de sa petite amie, Maguette, qui avait décidé de rompre sa relation avec lui.
T. Mboup raconte : « En allant acheter du charbon avec Anta, je l’ai retrouvé dans le bâtiment. Il parlait, je l’écoutais. Anta, qui ne savait même de quoi on parlait, le regardait. D’un coup, il lui a demandé pourquoi il le regardait avant de sauter sur elle et de l’étrangler.
Les enquêteurs ont remonté au tueur grâce au bonnet du bébé tombé sur la scène du crime. Le bébé est celui d’une dame nommée A. Lô. Cette dernière avait confié l’enfant à sa sœur T. Mboup.
Cueillie, elle révèle aux enquêteurs qu’Anta Ndiaye a été tuée devant par « Memeu ».