La tournée africaine d’Antony Blinken, chef de la diplomatie américaine, s’achève à Luanda, la capitale de l’Angola. Cette visite s’inscrit dans la continuité des discussions bilatérales sur les relations États-Unis-Angola, couvrant notamment les domaines du climat et du commerce. Lors de son escale au Nigeria, […]
ACTUALITE INTERNATIONALUn accident de la route fait un mort au monument de la renaissance. Une voiture de type 4×4 de la marque Range Rover a atterri sous le pont à hauteur du célèbre édifice de Ouakam. Les faits se sont déroulés aux environs de 6 h […]
ACTUALITE SOCIETELa présidence de la République de Guinée évoque une promotion à titre exceptionnel pour le désormais ancien colonel Mamadi Doumbouya a été élevé mardi (23.01.2024) au grade de général de corps d’armée. Mardi 23 janvier, il a reçu les commandants de toutes les unités du […]
ACTUALITE AfriqueSur invitation de SEM Vladimir Poutine, Président de la Fédération de Russie, SEM Macky Sall, Président de la République du Sénégal et Président en exercice de l’Union africaine, se rend en Russie ce 2 juin 2022, accompagné de Monsieur Moussa Faki Mahamat, Président de la […]
ACTUALITE POLITIQUELe Président Sall s’entretiendra demain, 3 juin, à Sotchi, avec le Président Poutine. Cette visite qui fait suite à la réunion du Bureau élargi de l’Union africaine le 10 mai 2022, s’inscrit dans le cadre des efforts que mène la Présidence en exercice de l’Union pour contribuer à l’accalmie dans la guerre en Ukraine, et à la libération des stocks de céréales et de fertilisants dont le blocage affecte particulièrement les pays africains.
Dans le même esprit, l’Union africaine a accepté la demande du Président Volodymyr Zelensky d’adresser un message à l’Organisation par visioconférence dont la date et les modalités seront convenues d’un commun accord.
Après sa visite à Sotchi, le Président Sall se rendra à Accra pour prendre part, le 4 juin, au Sommet extraordinaire de la CEDEAO sur la situation au Mali, en Guinée et au Burkina Faso.
Du fond de sa cellule, lors de sa détention préventive, El Hadji Thiam Niass a amèrement regretté d’avoir invectivé la dame Binta Diouf. Militant du Pastef, il a eu la témérité de contacter la dame Bineta Diouf qui s’est présentée comme la tante de Adji […]
ACTUALITE SOCIETEDu fond de sa cellule, lors de sa détention préventive, El Hadji Thiam Niass a amèrement regretté d’avoir invectivé la dame Binta Diouf. Militant du Pastef, il a eu la témérité de contacter la dame Bineta Diouf qui s’est présentée comme la tante de Adji Sarr pour lui proférer des menaces de mort.
Craignant que celui-ci ne joigne l’acte à la parole, elle s’est rendue à la police pour le dénoncer. En effet, tout est partie de la sortie de la dame le jour de l’audition dans le bureau du juge instructeur de Adji Sarr et de son ancienne patronne dans le cadre de l’affaire Sweet-beauty.
Affaire dans laquelle le leader du parti Pastef est accusé de viol par la masseuse Adji Sarr. La dame Bineta Diouf qui était venue soutenir sa nièce s’est attirée la foudre de beaucoup de partisans de Ousmane Sonko, particulièrement El Hadji Thiam Niass. Ce dernier qui a eu le numéro de la dame par l’entremise d’une amie de son épouse l’a contactée avant de la menacer de mort.
L’affaire étant évoquée ce mercredi à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar. El Hadji Thiam Niass vendeur de friperie a contesté le chef qui lui est reproché. D’après lui, même s’il n’a pas apprécié la sortie de Bineta Diouf qui jetait des invectives à son leader, il s’est procuré son numéro uniquement pour la mettre en garde.
«Je ne la connais pas. J’ignore même son adresse. Je voulais juste lui rendre service et l’inviter à être prudente en ce qui concerne cette affaire. J’avoue qu’elle a raison d’avoir peur mais je n’ai jamais eu l’intention de lui faire du mal», a-t-il déclaré avant de se confondre en excuses.
Le maître des poursuites ayant requis une application de la loi, les avocats de la défense ont sollicité la relaxe pure et simple de leur client. Selon Me Abdoulaye Tall et Me Khoureychi Ba, l’infraction de menaces de mort n’est pas constante. Même s’ils reconnaissent que leur client a commis une erreur en envoyant un message à Bineta Diouf. Même si, disent-ils, c’était pour la mettre en garde.
Après en avoir délibéré, le tribunal a reconnu El Hadji Thiam Niass coupable du chef qui lui est reproché. Il a écopé d’une peine de six (6) mois assortie du sursis.
Incroyable ! Un accident spectaculaire a eu lieu sur l’autoroute à péage en sortant de Dakar, après l’aire de Dalifort, Un camion gros porteur a, en effet, dérapé pour échouer dans une maison en bas du péage. Mais d’après « Bes bi », il y a eu […]
ACTUALITE SOCIETEIncroyable ! Un accident spectaculaire a eu lieu sur l’autoroute à péage en sortant de Dakar, après l’aire de Dalifort,
Un camion gros porteur a, en effet, dérapé pour échouer dans une maison en bas du péage.
Mais d’après « Bes bi », il y a eu plus de peur que de mal puisque le camion a arrêté sa course folle devant les chambres de la villa.
Ayant servi 22 longues années à la buanderie de Fann, Moussa Fall sait pertinemment combien la santé est sacrée. Pourtant cela ne l’a pas empêché de jouer avec. En plus de prodiguer des soins aux malades admis en réanimation, Moussa Fall est allé plus loin […]
ACTUALITE SOCIETEAyant servi 22 longues années à la buanderie de Fann, Moussa Fall sait pertinemment combien la santé est sacrée. Pourtant cela ne l’a pas empêché de jouer avec. En plus de prodiguer des soins aux malades admis en réanimation, Moussa Fall est allé plus loin en consultant chez lui, à Liberté VI, des malades. Conséquence : il comparaissait, ce mardi, au tribunal des flagrants délits de Dakar pour répondre du délit d’exercice illégal de la médecine.
Marié et père de famille, Moussa Fall a été arrêté dans son domicile à Liberté 6 extension, suite à une dénonciation anonyme. Selon l’information reçue par les éléments de la division des investigations criminelles (Dic), Moussa Fall traitait des patients dans son domicile. Pour en avoir le cœur net, les flics ont décidé de piéger le susnommé en y envoyant un individu supposé malade. L’information a été confirmée par l’émissaire des agents de la Dic qui ont débarqué chez Moussa Fall. Une perquisition leur a permis de découvrir divers kits médicaux destinés aux traitements de malades, dont des tubes de prélèvement, des pansements, des seringues et des perfusions.
Arrêté et conduit au commissariat, le mis en cause est passé aux aveux. Agent au service buanderie de l’hôpital Fann depuis 22 ans, il renseigne qu’il lui arrive parfois de donner des soins à des patients en réanimation. À l’en croire, avec tout le temps qu’il a passé dans cet hôpital, il a acquis beaucoup de connaissances en matière d’infirmerie. Il informe également qu’il a aussi offert son aide en Orl.
Des faits qu’il a également reconnus lors de son face à face avec le procureur. Toutefois, lors de son audition, il a tenté de diluer sa responsabilité en jurant n’avoir jamais tenu un cabinet médical clandestin chez lui.
«Les kits saisis chez moi m’ont été remis par les patients que j’ai eu à aider lors de leur passage à l’hôpital. N’ayant plus besoin de ces ordonnances, ils me les ont offerts pour d’autres patients qui n’auront pas les moyens», a-t-il déclaré.
Sur les soins qu’il a eus à prodiguer à des patients au sein de l’hôpital, il renseigne qu’il les a faits sur la demande des médecins. «J’ai même voulu faire une formation en infirmerie cette année. Mais je suis allé m’inscrire en retard. Et comme je risque de ne pas pouvoir faire l’examen, j’ai différé mon inscription», soutient-il tout en reconnaissant qu’il a eu tort d’exercer un métier réglementé, sans qualification.
A la suite du représentant du ministère public qui a requis 2 ans d’emprisonnement avec sursis contre lui, les avocats de la défense ont sollicité une application bienveillante de la loi pénale.
Étant dispensé de peine ferme, il est convoqué au bureau du juge des peines le jeudi 9 juin pour connaître la nature du travail au service de l’intérêt public qu’il doit faire pendant 100 jours, en guise de peine.
La lutte contre le trafic de stupéfiants durant l’année 2021 a produit des résultats assez satisfaisants. La plupart des saisies opérées concernent le chanvre indien. Et la région de Thiès arrive en tête avec 929,1 kg de chanvre saisi. Elle est suivie de la région […]
ACTUALITE SOCIETELa lutte contre le trafic de stupéfiants durant l’année 2021 a produit des résultats assez satisfaisants. La plupart des saisies opérées concernent le chanvre indien. Et la région de Thiès arrive en tête avec 929,1 kg de chanvre saisi. Elle est suivie de la région de Kolda (377 kg), Dakar (186,877 kg), Sédhiou (144,6 kg) et Diourbel (128,5 kg).
Au total, 2.236,104 kg de chanvre indien ont été saisis à travers le territoire national. Il faut par ailleurs noter que des drogues comme la cocaïne, l’héroïne, le haschich ont aussi été saisies.
Le rapport de la police indique en outre que 542 individus notamment des Sénégalais (478) ont été interpellé dans le cadre de la croisade contre le trafic de drogue.
Le trafic de chanvre indien connait donc « une hausse depuis plus d’une décennie » d’après le rapport 2021 de la police. Cette hausse est justifiée par le « développement de la culture de la variété dite « verte » ou « Karones », la pluralité des zones de culture : zones dites « rouge » dans certaines parties du Sud du pays avec comme points de débarquement du littoral dakarois (Rufisque, Yarakh, Mbao, Guédiawaye), la Petite côte (Mbour), iles « Karones » et enfin le contournement des postes de contrôle situés sur les axes routiers.
Pour remédier à ce phénomène, des dispositions ont été prises au niveau des frontières notamment.
Ndeye Gueye a adressé un message à Nabou Dash. L’animatrice lui a surtout conseillé de soigner ses propos parce qu’elle n’est plus n’importe qui dans ce pays. Elle n’a pas manqué de lancer des piques à Nabou qui a révélé qu’un ministre lui aurait proposé […]
ACTUALITE SOCIETENdeye Gueye a adressé un message à Nabou Dash. L’animatrice lui a surtout conseillé de soigner ses propos parce qu’elle n’est plus n’importe qui dans ce pays.
Elle n’a pas manqué de lancer des piques à Nabou qui a révélé qu’un ministre lui aurait proposé un “takk souf” (mariage secret)…
Pour la première fois, Ousmane Sonko et Yewwi saisissent la balle au rebond de l’interdiction de leur manif par le préfet pour « vérifier une info » et reporter leur manifestation le mercredi prochain. Sonko et les opposants radicaux n’ont jamais accepté l’interdiction de leur […]
ACTUALITE POLITIQUEPour la première fois, Ousmane Sonko et Yewwi saisissent la balle au rebond de l’interdiction de leur manif par le préfet pour « vérifier une info » et reporter leur manifestation le mercredi prochain. Sonko et les opposants radicaux n’ont jamais accepté l’interdiction de leur manif par le préfet. Pourquoi l’acceptent-ils aujourd’hui ? Selon nos sources, Sonko et ses alliés ont eu peur de la menace qui planait sur leur manif…
La direction générale des élections vient de déclarer irrecevable la liste proportionnelle des titulaires de Yewwi dirigée par Sonko, aux Législatives. Des titulaires qui seront remplacés par leurs suppléants pour combattre une liste titulaire de Benno Bokk Yaakaar conduite par des ténors comme l’ancien premier ministre, Mimi Touré et les ministres Amadou Ba et Abdoulaye Diouf Sarr. Une situation que dénonce les responsables de Yewwi qui y voient la main invisible de l’Etat et crient au complot. Ils ont appelé à une vaste manifestation demain vendredi pour dénoncer l’invalidation de leur liste. Un rassemblement qui risquait de révéler des surprises
La coalition Yewwi Askan wi a déposé lundi dernier, auprès du préfet une demande d’occupation du domaine public pour les besoins d’une manifestation. Le mandataire national de YAW, Déthié Fall, le leader de Taxawu Sénégal, Khalifa Sall et Cheikh Tidiane Youm du PUR ont déposé une demande pour manifester le vendredi 03 juin de 15h à 19h à la place de la Nation. Les responsables de Yewwi comptaient sensibiliser leurs militants et sympathisants sur le « complot » autour de l’irrecevabilité de leur liste nationale. Sonko et ses alliés Khalifa Sall, Déthié Fall, Habib Sy voulaient rassembler 200.000 manifestants…Une épreuve de force pour montrer leur poids politique.
Ousmane Sonko et ses amis qui voulaient rassembler 200.000 manifestants à la Place de la Nation (ancienne place de l’Obélisque) à Colobane, ont été sauvé par l’interdiction du Préfet de Dakar. Car leur manifestation était menacée par leurs alliés, les activistes et les rappeurs.
La manifestation du vendredi, si elle avait lieu, allait se faire sans les alliés qui ont déjà « vomi » la coalition Yewwi Askan Wi et traité certains responsables d’avoir trahi leur chartre. Selon certaines sources, l’appel de Yewwi avait été déjà rejeté par l’AG/Jotna de maître Moussa Diop, le Parti Nouvelle Génération de Mamadou Lamine Thiam, l’Appel 3J de Aminata Lo Dieng, Bess du Ñak de Serigne Mansour Sy, CREDI du professeur Hamidou Dathe, FPRS de Djibril Diop, FSD-BJ de Cheikh Bamba Dieye, SET de Moustapha Mamba Guirassy, PARE SUXXALI SENEGAL de Abdou Karim Fall.
Ces partis politiques ne sont pas les seuls à rejeter l’appel de Sonko et Yewwi. Il y a le refus catégorique de plusieurs activistes, lanceurs d’alerte et rappeurs qui suivaient le leader du parti Les Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (PASTEF) comme des moutons de panurge. Aujourd’hui, ils s’estiment trahis par Ousmane Sonko qui était le porte étendard de l’anti système. Selon eux, Sonko a pactisé avec le système en s’alliant avec des socialistes (Khalifa Sall) et libéraux (Abdoulaye Wade).
Les jeunes qui avaient aussi suivi bêtement Ousmane Sonko au mois de mars 2021 sont aujourd’hui réticents car ils ne veulent plus être du bétail politique du leader du Pastef qui fait appel à eux chaque fois que ses intérêts politiques sont menacés. Depuis les évènements de mars qui ont fait 14 morts, les jeunes sénégalais ne veulent plus être des chairs à canon de certains leaders de l’opposition qui écartent leurs propres enfants des champs de batailles politiques. Sonko et ses alliés auront du mal à rassembler les 200.000 manifestants visés.
Toit porte à croire que la Manif du vendredi prochain était vouée à l’échec. Sonko et le Yewwi Askan Wi se voient amputés de plusieurs partis politiques, des activistes et des rappeurs, des jeunes et surtout des syndicats d’enseignants qui viennent de voir le gouvernement accepter toutes leurs revendications avec un appui remarqué du chef de l’Etat Macky Sall qui a « forcé » la main au ministre des Finances et du Budget. Il y a aussi les syndicats du secteur de la santé qui ont appelé à la cessation des grèves après la réussite des négociations avec le gouvernement.
Qui allait donc être dans la rue avec Ousmane Sonko, Khalifa Sall, Déthié Fall, Habib Sy ? Seuls les partis Taxawu de Khalifa Sall et Pastef de Sonko ont des bases politiques avec des militants. Déthié Fall et Habib Sy ont des partis « cabines téléphoniques » qui ne peuvent par réunir 1000 personnes. Ousmane Sonko jouait sa carrière politique avec cette manifestation. Si la manif échouait, sa popularité aurait un sacré coup et il aurait été dévalué. L’état pourrait alors accélérer le procès Adji Sarr pour l’éliminer définitivement de la scène politique.
Le procès des activistes Kilifeu, Simon Kouka et Thierno Amadou Diallo, dans l’affaire du trafic présumé de visa s’ouvre ce jeudi au tribunal correctionnel de Dakar. Les mis en cause sont poursuivis pour « escroquerie, association de malfaiteurs, corruption et tentative de faux dans un document administratif ». […]
ACTUALITE SOCIETELe procès des activistes Kilifeu, Simon Kouka et Thierno Amadou Diallo, dans l’affaire du trafic présumé de visa s’ouvre ce jeudi au tribunal correctionnel de Dakar. Les mis en cause sont poursuivis pour « escroquerie, association de malfaiteurs, corruption et tentative de faux dans un document administratif ».
A noter que les trois vont comparaître libres. Etant donné qu’ils ont obtenu une liberté provisoire.
Pour rappel, le rappeur Kilifeu a été éclaboussé par des vidéos prises par Thierno Diallo, un de ses « amis » proches avec qui il traitait. Il a été filmé à son insu à plusieurs reprises par le même individu. Ce dernier a été arrêté pour cambriolage du domicile d’un célèbre homme d’affaires aux Almadies (quartier chic de Dakar).
Après Kilifeu, le rappeur Simon a été arrêté pour avoir été cité par Thierno Diallo, l’homme à l’origine de l’affaire. Ce dernier a confié aux enquêteurs avoir versé la somme de 2 millions de Fcfa à Simon en échange de son passeport français.
Du nouveau dans l’affaire de l’incendie de la Compagnie de gendarmerie de Fatick. Le drame a eu lieu dans la nuit du 12 au 13 février dernier. L’enquête ordonnée par le Haut commandant de la Gendarmerie nationale mouille le maréchal des logis-chef Mayib Mbow. D’après […]
ACTUALITE SOCIETEDu nouveau dans l’affaire de l’incendie de la Compagnie de gendarmerie de Fatick. Le drame a eu lieu dans la nuit du 12 au 13 février dernier. L’enquête ordonnée par le Haut commandant de la Gendarmerie nationale mouille le maréchal des logis-chef Mayib Mbow.
D’après « Libération », qui rouvre ce dossier dans son édition de ce jeudi, ce dernier avait commandé 200 carnets d’amendes forfaitaires à 1500 francs Cfa l’unité. Il attribuera les documents aux brigades placées sous son autorité. Mais, les investigations révèlent que l’argent récolté en contrepartie de la distribution des amendes, n’a jamais été versé au Trésor public.
Soupçonné d’avoir détourné les fonds en question, Mayib Mbow est détaché de la compagnie de Fatick et affecté ailleurs.
« Libération » renseigne que pour dissimuler son forfait, il commande de faux carnets d’amendes forfaitaires, pour remplacer ceux déjà écoulés. La lieutenante Ndèye Faly Bâ, nouveau commandant de la compagnie de Fatick, pose son veto. Sachant qu’il est cerné, d’après le journal, le gendarme détourne près de 14,3 millions de francs Cfa, met le feu au secrétariat de la compagnie, certainement pour effacer les traces de son forfait, avant de prendre la fuite.
Mayib Mbow est en ce moment activement recherché. Il est sous le coup d’un mandat d’arrêt international, pour «incendie volontaire d’édifices publics, faux et usage de faux, contrefaçon de quittance de l’État, détournement de deniers publics, destruction volontaire d’édifices et de pièces comptables».
L’arrêt cardiaque est l’aboutissement d’un processus silencieux. Bien avant qu’il ne survienne, notre corps émet des signaux annonciateurs de l’arrêt de fonctionnement du cœur. Revue des signaux qui doivent nous alerter et nous pousser à aller se faire consulter par un médecin. L’arrêt cardiaque est brusque. […]
ACTUALITE SANTEL’arrêt cardiaque est l’aboutissement d’un processus silencieux. Bien avant qu’il ne survienne, notre corps émet des signaux annonciateurs de l’arrêt de fonctionnement du cœur. Revue des signaux qui doivent nous alerter et nous pousser à aller se faire consulter par un médecin. L’arrêt cardiaque est brusque. Bien avant, le système émet des signaux d’alerte. Les signes annonciateurs se succèdent. Mais peu de personnes peuvent faire une lecture des signaux. Aujourd’hui, la prévalence est sur une course ascendante. Environ 60. 000 cas de crise cardiaque sont recensés chaque année dans le monde. Des études menées par des scientifiques ont démontré que notre corps émet des signes d’alerte avant qu’un arrêt cardiaque ne survienne. Et toujours selon ces études, une seule crise cardiaque sur quatre survient sans signes au préalable. Une forte fatigue et une forte pression dans la poitrine
Si vous vous sentez parfois fatigué, il n’y a aucune raison de s’inquiéter. Ces choses arrivent, surtout lorsqu’on n’a pas beaucoup dormi. La fatigue peut être aussi ressentie après un exercice physique intense. Tout cela relève de l’ordre normal des choses. Toutefois, si vous êtes excessivement fatigué au point que certaines activités simples (par exemple faire les courses) vous épuisent, ou que vous êtes à bout de souffle lorsque vous empruntez trois escaliers, il y a matière à s’inquiéter. La fatigue peut découler d’une situation de stress lorsque le cœur ne reçoit pas l’afflux sanguin adéquat. Ce symptôme peut être le signe d’un infarctus du myocarde (crise cardiaque).L’un des signes les plus fréquents d’une crise cardiaque, c’est la sensation de forte pression au niveau de la poitrine. Cette sensation s’accompagne généralement d’accélération du rythme cardiaque, de douleurs à la poitrine, dans le dos, la mâchoire, le cou, le bras, ou la partie supérieure de l’abdomen.