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Portée disparue depuis dimanche dernier, Maman Aïcha Ndong, âgée de 15 ans, a finalement été retrouvée sans vie, son corps en état de décomposition dans un canal à Bargny.

Le père de la victime a indiqué que le corps de sa fille a été transporté à l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff ( anciennement CTO ) pour une autopsie,

dans le but de déterminer les causes de son décès.

Il a partagé des souvenirs émouvants de sa fille, décrivant Maman Aïcha comme une élève brillante. « Je n’avais pas la force de voir son corps. Pour moi, elle était comme ma mère. Maman Aïcha avait 15 ans et était une élève très studieuse, toujours parmi les trois premiers de sa classe. J’avais pour principe de ne jamais enseigner une classe où se trouvait mon enfant. Mais elle m’avait expressément demandé d’être son enseignant lorsqu’elle est passée en classe supérieure, et elle avait prouvé ses capacités avec d’excellentes notes, » a-t-il confié.

Le père a également évoqué le respect que sa fille témoignait envers sa mère et lui-même. Pendant les vacances, c’est elle qui prenait en charge la préparation des repas, y compris le dimanche avant sa disparition, où elle avait encore cuisiné, se souvient-il.

Après la découverte du corps, les enquêteurs ont arrêté l’une des amies de la victime, suspectée d’être impliquée dans cette affaire. Selon des témoins, cette amie avait accompagné Maman Aïcha Ndong à une boutique la nuit pour acheter du lait caillé, mais elle est ensuite rentrée seule, sans la jeune fille disparue. Toutefois, la suspecte a nié ces faits, affirmant qu’elle n’était pas partie à la boutique avec Maman Aïcha Ndong.

Le corps sans vie d’un enfant a été retrouvé par les pêcheurs locaux de Thioubalel deux jours après le chavirement d’une pirogue survenu lundi dans ce village de la commune de Nabadji Civol. Source A, qui donne l’information, rappelle que cinq personnes étaient portées disparues suite au drame. Un des corps a été repêché vers les coups de 17 heures, ce mardi, poursuit le journal. La même source précise que quatre corps demeurent introuvables. Il s’agit de trois mineurs et d’un adulte, complète le quotidien d’information. 

Huit passagers, dont une femme, un père de famille et son fils, ont pu être sauvés.

Le Juge des référés de la Cour suprême a ordonné la suspension de l’exécution des décisions prises par le ministre du Travail infirmant la décision de l’inspecteur du Travail et de la sécurité sociale ordonnant l’autorisation de licenciement de Mansour Diallo, Papa Doudou Tounkara et Alioune Seck, qui sont tous des délégués du personnel au niveau de la CBAO.

Pour la Direction générale de la banque, c’est une nouvelle victoire après plusieurs mois de bras de fer. Il faut savoir que le ministre du Travail avait enjoint à la banque de reprendre les trois délégués du personnel.

La direction générale de la CBAO avait saisi l’Inspection du travail pour obtenir l’autorisation de licencier trois délégués du personnel, leaders des mouvements d’humeur qui ont secoué la banque ces dernières années. Les travailleurs visés se nomment Mansour Diallo, Alioune Seck et Pape Doudou Tounkara.

Mais le ministre de tutelle a cassé la décision prise par l’inspecteur du travail et a demandé la réintégration des virés. Mansour Diallo, Alioune Seck et Papa Doudou Tounkara, ces trois délégués du personnel devraient donc logiquement réintégrer la CBAO.

Un talibé de 10 ans a trouvé la mort dans des conditions effroyables, vendredi dernier à Thiaroye Kao. Ce jour-là, vers 22 heures, l’enfant dormait sous un camion à ordures en stationnement. «Ignorant la présence du môme […], le chauffeur démarre et passe sur celui-ci. Lequel sera sur le coup écrabouillé sous les pneus du gros porteur», rapporte Les Échos, décrivant l’horreur.

Le conducteur du véhicule sera alerté plusieurs mètres plus loin «par des témoins oculaires de la scène», signale le journal. Qui ajoute qu’il a été conduit à la police de Thiaroye où il a été placé en garde à vue avant d’être présenté au parquet pour «homicide involontaire par accident de la circulation routière».

Sauf renvoi de son procès, le chanteur Sidy Diop sera jugé, ce lundi 26 août, devant le tribunal des flagrants délits de Dakar pour défaut de permis de conduire et d’assurance.

Pour rappel, l’artiste a été arrêté par les gendarmes de la Brigade territoriale de Hann lors d’un contrôle de routine alors qu’il conduisait sa voiture sans permis ni assurance. 

Déféré mardi dernier, Sidy Diop a été placé sous mandat de dépôt le même jour.