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Le drame s’est produit sur l’espace public aménagée par la commune au quartier Farba à Yeumbeul Sud.

Le jeune Ahmadou Bamba Ndiaye, jeune peintre est mort électrocuté. Il jouait au football avec ses amis sur le terrain de basket, avant d’être électrocuté par un fil relié au poste de courant laissé ouvert.

Agé de 21 ans, la victime originaire de Touba, a perdu la vie après avoir été électrocuté par un fil de poteau électrique relié au poste de courant non couvert et abandonné sur la place publique du quartier Farba.

Il faisait 14H, quand le jeune Ahmadou Bamba Ndiaye qui jouait aux « petits camps » avec ses amis sur le terrain de basket éclairé la nuit par un lampadaire fixé au poteau de courant, est rejeté, en le touchant légèrement, loin sur le sol pavé, relate L’OBS.

Ses camarades de jeux qui ont accouru pour le sauver, ont vite été déconcertés par l’odeur du courant électrique et ont crié au secours. En attente des sapeurs-pompiers retardés, les populations riveraines ont vite organisé le transport de la jeune victime au poste de santé, à quelques mètres de la commune où la décision est prise pour une meilleure prise en charge, de le transférer à l’hôpital de Pikine.

Certains témoignent même avoir à maintes reprises alerté la Senelec et la mairie sur des épisodes d’électrocution ratés de justesse de personnes qui se sont approchées des poteaux électriques. Ils témoignent que des jeunes de la commune branchent le fil électrique sur le compteur pour jouer au basket la nuit, avant de le laisser ballant en partant tôt le matin.

Interpellés sur la situation, la Senelec et les services de la mairie dirigés par Bara Gaye se renvoient la balle.

Un ouvrier décède dans des conditions tragiques. Le drame s’est produit à Sicap Mbao Extension, dans la banlieue de Dakar. La victime, âgée de 35 ans, est morte foudroyée par une puissante décharge électrique, rapporte Les Echos.

Le journal déroule le film du drame : « Chargé de peindre une maison dans la localité, le jeune homme installe un dispositif avec son équipe à l’extérieur. Il monte sur l’échafaud et commence à s’activer. Il s’affaire autour de quatre pans du mur de la concession, puis arrive à hauteur du balcon de la maison ; un endroit où un réfrigérateur est installé.[…]. » Il sera électrocuté alors qu’il tentait de déplacer l’appareil électroménager. Ses collègues s’empressent de fouiller la maison à la recherche de l’interrupteur pour couper l’électricité. Le peintre avait déjà rendu l’âme. Alertés, les sapeurs-pompiers ont déposé le corps à la morgue de l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff, ex-Cto,  pour les besoins de l’autopsie.

La facturation d’eau effectuée par la Sen’Eau est une vraie nébuleuse comme l’atteste le rapport d’audit sur le contrat d’affermage liant l’Etat du Sénégal à la filiale de la multinationale Suez.

Interpellé sur la cherté des factures d’eau par les députés le mercredi 8 décembre 2021, lors du vote du budget pour l’exercice 2022 de son ministère, l’ex ministre de l’Eau et de l’Assainissement, Serigne Mbaye Thiam, avait annoncé que la Société nationale des Eaux du Sénégal (Sones) a recruté un cabinet d’audit pour apporter la lumière sur la cherté des factures dénoncées par les usagers.

Libération révèle qu’une mission d’audit a examiné le contrat d’affermage liant l’État du Sénégal à la Sen’Eau. Le document  fait état « d’une vraie nébuleuse ». En effet, les auditeurs ont fait plusieurs constats à savoir, le non-respect du nombre de jours de facturation réglementaire qui dépasse les 60 jours pour [56%] des clients privés.

Autres anomalies : « La compromission des index relevés à partir des smartphones lors du déversement de ces données sur l’application Aar-Sen’Eau. » Les auditeurs ont aussi pointé « l’inexistence de contrôles bloquants empêchant plus de deux factures successives par estimation durant l’année pour un même client » ainsi que « des délais de réclamations relativement longs dépassant parfois 3 mois ». 

Ce n’est pas tout.  « Des défaillances » sur « des types de compteurs comme Baylan, Zenner et Itron » ont été notés.. Plus grave, le commissaire aux comptes de Sen’Eau a émis des réserves sur la facturation.

« En raison des faiblesses relevées sur les contrôles généraux informatiques relatifs au système de gestion de la clientèle et de l’impossibilité d’obtenir des réponses à notre demande de confirmation portant sur les volumes, nous n’avons été en mesure de déterminer si des ajustements du chiffre d’affaires comptabilisé auraient été nécessaires », souligne l’audit.

Du nouveau dans l’enquête  menée par la Brigade de gendarmerie de Saly Portudal concernant la pirogue retrouvée avec plus d’une trentaine morts. Selon le journal L’Observateur, deux nouvelles personnes ont été arrêtées, en plus de K. Ndoye, présumé complice du convoyeur A. Seck, alias « Nay », qui est toujours en fuite.

Les deux individus arrêtés ont été identifiés comme N. Ndiaye et C. Gaye. Ils étaient activement recherchés pour leur implication présumée dans des voyages clandestins organisés sur la Petite Côte (Mbour). Avant leur arrestation, ils avaient réussi à échapper aux autorités.

Lors de son interrogatoire, N. Ndiaye a avoué avoir soutenu le convoyeur en recherchant des clients, notamment des jeunes et des familles entières du quartier de Téfess à Mbour. Les deux suspects ont également révélé avoir contribué à des modifications sur la pirogue, précisant qu’ils n’étaient pas les seuls complices de A. Seck, alias « Nay ».

N. Ndiaye a indiqué la cachette présumée de « Nay », affirmant que ce dernier se cacherait en Gambie.