La Direction générale des élections (DGE) a reçu 45 listes pour les Législatives du 17 novembre. D’après Le Soleil, qui donne l’information, ces candidatures à la candidature pour les 165 sièges de députés seront examinées à partir de ce mardi. Au plus tard le 7 […]
À La Une POLITIQUELa route continue de faire des victimes. Un accident de la circulation s’est produit ce lundi tôt le matin à hauteur du village de Makabra Guèye, situé dans le département de Louga (nord-ouest). Selon la TFM (Télé Futurs Médias) qui donne l’information, l’accident a causé […]
ACTUALITE SOCIETEAu cours d’un match de football, opposant son équipe à une autre équipe d’un des villages de la commune de Sagatta, il n’a pas hésité à planter un coup de couteau à la figure de l’arbitre qui a sifflé un coup-franc contre son équipe. Les acteurs du […]
ACTUALITE SOCIETED.A., ressortissant français, a été envoyé en prison. Selon L’Observateur, le prévenu âgé de 56 ans, a été surpris en train de voler des pots de thon et de sardines pour un des superviseurs du supermarché «Auchan». Les faits remontent au jeudi dernier, rembobine le […]
ACTUALITE SOCIETED.A., ressortissant français, a été envoyé en prison. Selon L’Observateur, le prévenu âgé de 56 ans, a été surpris en train de voler des pots de thon et de sardines pour un des superviseurs du supermarché «Auchan».
Les faits remontent au jeudi dernier, rembobine le journal du Groupe futurs médias (GFM) : «Ce jour-là, aux environs de 13 heures, le quinquagénaire débarque dans la grande surface qui, à ce moment de la journée, refusait du monde. Il se faufile dans la foule de clients et se dirige vers les rayons des produits alimentaires. Après une ronde autour des marchandises, D.A., s’assure que personne ne l’observe, et s’empare subtilement de deux pots de thon et de sardines qu’il plonge dans les poches de son pantalon. »
Une fois son forfait accompli, il a voulu se diriger vers la sortie sans bourse délier. Ce que le voleur ignorait, signale le quotidien d’information, «c’est qu’en plus des caméras de surveillance, il était dans le viseur de l’un des superviseurs». Ce dernier du nom d’Aliou Sané n’a pas tardé à l’interpeller avant de le soumettre à une fouille.
Conduit à la Brigade de Saly, le quinquagénaire a tout avoué, confessant au passage «ses nombreux cas de vols de denrées alimentaires réussis dans d’autres supermarchés de Mbour et Saly Portudal», glisse la source.
Pour se justifier, renseigne L’Observateur, le ressortissant français a expliqué aux enquêteurs «qu’il était tenaillé par la faim », et insisté sur «sa situation de précarité par le fait que son travail de courtier dans l’immobilier ne marche plus comme avant».
Il a été déféré au terme de la durée légale de sa garde à vue au Parquet de Mbour pour vol.
L’information est devenue un ouf de soulagement pour les populations. En effet, le présumé meurtrier d’Awa Cissé énième victime d’agressions à Kafountine a été appréhendé par la gendarmerie. Selon nos sources, ce dernier a été entendu Ce Lundi vers les coups de 15 heures par des éléments […]
ACTUALITE SOCIETEL’information est devenue un ouf de soulagement pour les populations. En effet, le présumé meurtrier d’Awa Cissé énième victime d’agressions à Kafountine a été appréhendé par la gendarmerie. Selon nos sources, ce dernier a été entendu Ce Lundi vers les coups de 15 heures par des éléments de la section de recherches de Ziguinchor. Face aux enquêteurs le mis en cause a avoué ses actes . Pour rappel Awa Cissé, mère de trois enfants, a été tuée dans la nuit du 28 juin dernier en pleine nuit à Kafountine au quartier Nafacounda. Au total 11 plaintes ont été reçues par les hommes en bleus du détachement de la brigade de Diouloulou, des plaintes pour cas d’agressions perpétrées dans la nuit par un individu. la section de recherches de Ziguinchor s’est investie depuis lors et a fini par mettre la main sur le présumé coupable de ces agressions faites aux femmes. Ce dernier est actuellement placé en garde à vue à la section de recherche de Ziguinchor et sera incessamment déféré au parquet.
Abdou Latif Coulibaly a dressé un tableau sombre de la gestion du régime en place. Ce, après que celui-ci a cumulé 100 jours à la tête du pays. Sur les colonnes de Vox Populi, l’ancien secrétaire général du gouvernement a lâché sans ambages qu’après 100 […]
À La Une POLITIQUEAbdou Latif Coulibaly a dressé un tableau sombre de la gestion du régime en place. Ce, après que celui-ci a cumulé 100 jours à la tête du pays.
Sur les colonnes de Vox Populi, l’ancien secrétaire général du gouvernement a lâché sans ambages qu’après 100 jours à la tête du pays, le tandem Diomaye Faye et Ousmane Sonko se retrouve avec 200 faits contraires aux promesses qu’il avait faites aux Sénégalais.
Le journaliste a ajouté par ailleurs que s’il y a une dualité entre Diomaye et Sonko, il faut que l’un des deux laisse faire l’autre. Ils ne doivent rien se disputer . « Le PM doit comprendre qu’il n’est pas le président de la République, qu’il fasse ce qu’il a à faire et reste discret.«
Toutefois, l’ancien ministre d’indiquer par rapport au tandem que si le Président Diomaye accepte cette situation, ils pourront cheminer sans aucun souci et il semble que Diomaye est dans cette posture.
Une affaire de vol secoue Touba. D’après L’AS, C. Mbacké, le fils cadet d’un célèbre Imam dans le milieu mouride a disparu avec la caisse de la mosquée. Celle-ci contenait 2 millions de francs CFA, estime le journal. Le voleur, décrit comme « la brebis […]
ACTUALITE SOCIETEUne affaire de vol secoue Touba. D’après L’AS, C. Mbacké, le fils cadet d’un célèbre Imam dans le milieu mouride a disparu avec la caisse de la mosquée. Celle-ci contenait 2 millions de francs CFA, estime le journal.
Le voleur, décrit comme « la brebis galeuse de sa famille, et féru de l’alcool », est introuvable depuis lundi, poursuit la source.
D’après le quotidien d’information, « il a attendu que toute sa famille se rende à la journée de prières à la mémoire de feu Serigne Athekh Falilou Mbacké, fils de Serigne Mouhamadou Lamine Bara Mbacké et petit fils de Serigne Fallou Mbacké, décédé la semaine dernière, pour exécuter son plan ».
En quoi faisant ? « A l’abri des regards indiscrets, C. Mbacké a pénétré dans la chambre de son père. Une fois à l’intérieur, il force la porte de l’armoire ou l’Imam a l’habitude de ranger ses documents et argent. Là, il prend tout son temps pour tout fouiller avant de tomber sur une sacoche bleue dans laquelle son père gardait la caisse de la mosquée. Audacieusement, C. Mbacké renverse le contenu sur le lit avant de disparaître avec toute la somme », avance L’AS.
L’Imam, qui a constaté les dégâts dès son retour, a signalé le vol à ses pairs avant d’actionner la Justice malgré l’opposition de certains membres de la famille, conclut le journal.
Une agression spectaculaire s’est produite récemment sur la route de Lac Rose, devant un établissement Multiservice. Des malfaiteurs ont arraché le sac du gérant de l’entreprise, contenant une somme de plus de 14 millions de francs CFA, ainsi que dix téléphones portables, dont quatre Samsung […]
ACTUALITE SOCIETEUne agression spectaculaire s’est produite récemment sur la route de Lac Rose, devant un établissement Multiservice.
Des malfaiteurs ont arraché le sac du gérant de l’entreprise, contenant une somme de plus de 14 millions de francs CFA, ainsi que dix téléphones portables, dont quatre Samsung Galaxy Fold et six Tecno Camon 30. Les images capturées par une caméra de surveillance montrent que les agresseurs étaient à bord de motos. Une bande de quatre scootéristes, qui semblaient suivre la victime, a perpétré le braquage.
La scène, d’une violence inouïe, relance les débats sur l’insécurité grandissante dans cette zone. A noter que la police est activement à la recherche des suspects, mais jusqu’à présent, aucune arrestation n’a été signalée. Il faut dire que ce malheureux incident suscite de vives inquiétudes parmi les commerçants et les habitants de Lac Rose, qui appellent à un renforcement des mesures de sécurité pour éviter de tels actes à l’avenir.
En visite à Saint-Louis, le Premier ministre, Ousmane Sonko, a annoncé un audit des programmes liés à l’adaptation au changement climatique. «Nous avons instruit le ministre de l’Environnement pour savoir ce qui a été fait, les résultats obtenus, ce qui bloque et pourquoi. C’est important […]
ACTUALITE POLITIQUEEn visite à Saint-Louis, le Premier ministre, Ousmane Sonko, a annoncé un audit des programmes liés à l’adaptation au changement climatique. «Nous avons instruit le ministre de l’Environnement pour savoir ce qui a été fait, les résultats obtenus, ce qui bloque et pourquoi. C’est important de faire l’évaluation avant de se projeter sur les nouveaux programmes ou de réorienter ces programmes», justifie le chef du gouvernement alors que les esprits étaient captés par les propos du maire de la ville, Mansour Faye qui la veille de son arrivée, l’avait interpellé sur les priorités de sa localité, notamment le déblocage de certains projets de l’État qui y sont au point mort.
Comme pour dire à l’édile saint-louisien qu’il prêchait un converti, Ousmane Sonko a déclaré : «Nous connaissons les problèmes essentiels de cette ville. Saint-Louis nous a intéressés comme toutes les villes du Sénégal. Nous avons focalisé notre action politique sur une véritable maîtrise des problématiques de développement, citoyennes et sociales pour pouvoir y apporter des réponses.»
Dans un entretien paru ce lundi 8 juillet dans L’Observateur, Mansour Faye a porté la réplique au Premier ministre. «Il a évoqué la question du programme d’assainissement des dix villes et je voudrais lui rappeler que ce programme important a été initié et lancé par le Président Macky Sall en mars 2017 à Louga, a lancé le maire de Saint-Louis. Les travaux à Louga sont terminés et dans plusieurs autres villes. Tel n’est pas le cas pour Saint-Louis et surtout dans la zone de Pikine, c’est la raison pour laquelle j’avais essayé d’attirer son attention sur cette question cruciale pour, non seulement, les populations de Saint-Louis et surtout dans la zone de Pikine.»
À propos des audits annoncés, l’ancien ministre des Infrastructures juge «normal» le principe de la reddition des comptes. Ainsi, «invite»-t-il les nouvelles autorités «à tout déployer pour fouiller et fouiner [dans sa] gestion». «Je suis serein et quitte avec ma conscience», a-t-il défendu avant de s’emporter : «Toutes les accusations sont fausses. La gestion du fonds Covid, c’était faux, comme toute autre accusation. Je défie quiconque. Rien ne peut se faire contre moi dans le cadre de ma gestion et de mes responsabilités étatiques.»
Un adolescent de 14 ans, a piqué une crise au moment de traverser. Effondré subitement sur la chaussée, il a été écrabouillé par un camion semi-remorque. Un tragique accident est survenu, dimanche 7 juillet 2024, à Yeumbeul Sud à hauteur de la mosquée Layenne. Les faits ont […]
ACTUALITE SOCIETEUn adolescent de 14 ans, a piqué une crise au moment de traverser. Effondré subitement sur la chaussée, il a été écrabouillé par un camion semi-remorque.
Un tragique accident est survenu, dimanche 7 juillet 2024, à Yeumbeul Sud à hauteur de la mosquée Layenne. Les faits ont eu lieu à 13 heures. Sur l’un des trottoirs, un jeune du nom de Baba Ba attendait tranquillement le passage des véhicules pour traverser la chaussée. Il est âgé de 14 ans et est en proie assez souvent à des crises d’épilepsie.
Sur le bord de la chaussée, Baba attend un instant puis décide de s’élancer pour traverser. Le seul véhicule qui arrive lui paraît loin, il pense qu’il a donc le temps de traverser sans s’exposer. Hélas lorsqu’il arrive au milieu de la chaussée, sa vue s’embrouille, son corps tremble, ses jambes le lâchent.
Son épilepsie se manifeste au mauvais moment et au pire des endroits. Il chute lourdement sur la chaussée où son corps traversé par des secousses répétées et rythmées n’a pu être évité par un camion semi-remorque qui roulait à vitesse moyenne. Le chauffeur n’ayant remarqué ni le corps, encore moins les passants qui lui faisaient signe de la main pour l’alerter.
Le corps sans vie de l’adolescent a été acheminé à l’hôpital Principal de Dakar pour les besoins de l’autopsie, au moment où le conducteur du camion s’est vu notifier son placement en garde à vue pour homicide involontaire.
Les recommandations issues des assises sur la justice au Sénégal marquent une étape importante dans la réforme du système judiciaire du pays. L’autorisation de l’avortement médicalisé en cas de viol ou d’inceste suivi de grossesse, alignée avec le Protocole de Maputo, serait, selon les Assisards, […]
ACTUALITE SANTELes recommandations issues des assises sur la justice au Sénégal marquent une étape importante dans la réforme du système judiciaire du pays. L’autorisation de l’avortement médicalisé en cas de viol ou d’inceste suivi de grossesse, alignée avec le Protocole de Maputo, serait, selon les Assisards, une avancée significative en matière de droits des femmes et de santé reproductive.
L’appel à la révision du Code pénal, notamment de l’article 80 concernant les actes compromettant la sécurité publique, reflète une volonté de mieux encadrer et définir ces dispositions pour éviter les abus et garantir une justice équitable.
Harmoniser l’article 305 avec les engagements internationaux du Sénégal souligne l’importance de respecter les accords ratifiés et de protéger les droits des femmes dans des situations extrêmement difficiles.
Pour mémoire, Sénégal, l’avortement est interdit, même dans les situations les plus extrêmes : malformation ou danger pour la vie du fœtus, viol ou inceste subi par la mère. Une seule exception est tolérée lorsque la vie de la femme est gravement menacée.
Ces changements, s’ils sont mis en œuvre, pourraient améliorer la protection juridique et les droits des femmes au Sénégal, tout en renforçant la crédibilité du système judiciaire du pays.
Trois individus dont un entrepreneur ont été arrêtés par la gendarmerie de Sagatta. Selon L’Observateur qui donne l’information, ces individus seraient à la tête d’un vaste réseau. Leur spécialité selon le journal, c’est le vol de poteaux en béton et de câbles électriques. Selon une […]
ACTUALITE SOCIETETrois individus dont un entrepreneur ont été arrêtés par la gendarmerie de Sagatta. Selon L’Observateur qui donne l’information, ces individus seraient à la tête d’un vaste réseau. Leur spécialité selon le journal, c’est le vol de poteaux en béton et de câbles électriques.
Selon une plainte, 30 poteaux électriques dont le prix à l’unité coûte entre 92.000f et 115.000f qui ont été volés dans un dépôt du plaignant. Les hommes en bleu ont dès lors mis en place une stratégie pour surveiller les lieux.
C’est seulement deux mois après cette opération de vol fructueuse que les gendarmes ont mis la main sur des voleurs à bord de camion. C’était le 02 juillet aux environs de 23 heures que finalement B. Diop, électricien vivant à Kébémer et C. Diack, chauffeur de son état, ont été arrêtés.
Entendu, B. Diop a dénoncé son receleur N. Mbaye entrepreneur de son état qui est tombé dans un piège tendu par les enquêteurs de la gendarmerie.
Le rapport final des Assises de la Justice, récemment soumis au chef de l’État, propose plusieurs recommandations. Parmi elles, une révision du délit d’offense au chef de l’État pour mieux protéger les droits des citoyens. Les participants aux Assises ont souligné que l’article 254 du […]
ACTUALITE POLITIQUELe rapport final des Assises de la Justice, récemment soumis au chef de l’État, propose plusieurs recommandations. Parmi elles, une révision du délit d’offense au chef de l’État pour mieux protéger les droits des citoyens. Les participants aux Assises ont souligné que l’article 254 du Code pénal ne définit pas précisément l’infraction, se contentant de décrire les sanctions applicables.
L’offense au chef de l’État, en vigueur au Sénégal, est actuellement régie par l’article 254 du Code pénal. Cette infraction pénale est constituée par des propos ou des actes portant atteinte à l’honneur ou à la considération du Président de la République. Les moyens par lesquels cette offense peut être commise incluent la parole, l’écriture, l’image, le symbole ou tout autre moyen de communication publique, comme précisé dans l’article 248 du même code.
Les sanctions encourues pour cette infraction sont sévères : une peine d’emprisonnement allant de six mois à deux ans et une amende variant de 100 000 à 1 500 000 francs CFA. Ces dispositions visent à protéger la fonction présidentielle et l’institution qu’elle représente, le Président de la République étant perçu comme un symbole de l’État.
Cependant, le manque de précision dans la définition de cette infraction soulève des inquiétudes. Les participants aux Assises de la Justice estiment que cette imprécision peut être source d’abus, conduisant à des détentions arbitraires. Ils suggèrent que l’article 254 soit modifié ou supprimé pour éviter des sanctions disproportionnées et protéger les libertés individuelles.
L’application de cette loi au Sénégal a souvent été critiquée, notamment parce qu’elle est régulièrement utilisée contre des opposants politiques et des journalistes. De nombreux militants et chefs de partis politiques ont été emprisonnés sous cette accusation. Une disposition de la loi prévoit également des sanctions contre toute personne offensant une autorité émanant du chef de l’État, renforçant ainsi les critiques sur son usage.
Les Assises de la Justice recommandent donc une révision de cette loi pour clarifier ses éléments constitutifs et prévenir les abus, une démarche qui pourrait renforcer la protection des droits des citoyens et promouvoir une justice plus équitable.