M. S., jeune boutiquier, écope du sursis. Attrait à la barre du Tribunal d’instance de Thiès pour coups et blessures volontaires, il a été jugé ce lundi, à la suite d’une violente altercation qui l’a opposé au plaignant, A. N., livreur de profession. Repris par […]
ACTUALITE SOCIETEDiéguy Diop, ancienne Directrice de la Promotion de l’économie sociale et solidaire, est convoquée ce mardi à 11 heures devant les enquêteurs de la Division des investigations (Dic) criminelles. Cette convocation entre dans le cadre de son différend avec son ancien ministre de tutelle, Alioune […]
ACTUALITE justiceL’ancienne protectrice d’Adji Sarr s’est montrée devant la Kaaba. Gabrielle Kane affirme qu’elle ne répondra plus à ses détracteurs. La militante féministe et présidente de l’Association d’appui et de protection des femmes victimes de violations de leurs droits (APROFEV) a, selon ses dires, pardonné à […]
ACTUALITE SOCIETEPour répondre au refus (jusque-là) d’Ousmane Sonko de se consacrer à la déclaration de politique générale devant l’Assemblée nationale, le groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar (BBY) a décidé de riposter. Leurs membres ont annoncé l’intention de proposer une loi pour supprimer la possibilité donnée au […]
ACTUALITE POLITIQUEPour répondre au refus (jusque-là) d’Ousmane Sonko de se consacrer à la déclaration de politique générale devant l’Assemblée nationale, le groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar (BBY) a décidé de riposter. Leurs membres ont annoncé l’intention de proposer une loi pour supprimer la possibilité donnée au président de la République de dissoudre l’Assemblée nationale.
Mais pour y arriver, les 83 députés BBY devront convaincre 16 autres de les rejoindre pour avoir la majorité absolue. Cependant, ils ne pourront pas compter sur le soutien des parlementaires de Taxawu Sénégal. Le parti de Khalifa Sall, en la voix de son député Sanou Dione, ne souhaite pas rejoindre l’initiative que compte lancer BBY pour éviter tout conflit à l’Assemblée.
« Notre position est de privilégier l’apaisement au sein de l’Assemblée nationale. Nous préférons en discuter calmement, une fois que la polémique relative à la mise à jour du règlement intérieur et au discours de politique générale du Premier ministre sera close. Présenter une telle proposition de loi constitutionnelle, visant à abolir la capacité du président à dissoudre l’Assemblée nationale, constituerait une nouvelle source de conflit, à nos yeux superflue », a-t-il fait savoir sur Jeune Afrique.
Ceci n’empêche cependant pas les parlementaires de Benno de rester optimistes. « Nous sommes déjà 83 députés de Benno Bokk Yakaar et nous sommes optimistes sur le fait que nous pourrions être rejoints par d’autres », a indiqué Adji Mbergane Kanouté. Comment comptent-ils convaincre les autres députés de rejoindre leur initiative ? La vice-présidente du groupe parlementaire BBY ne s’avance pas, pour le moment.
Le présumé planificateur de la tuerie de Boffa-Bayotte, le journaliste René Capin Bassène, l’ancien postier et non moins chargé de mission du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC), Omar Ampoî Bodian et le chef rebelle de la branche armée du mouvement séparatiste « Atika […]
ACTUALITE SOCIETELe présumé planificateur de la tuerie de Boffa-Bayotte, le journaliste René Capin Bassène, l’ancien postier et non moins chargé de mission du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC), Omar Ampoî Bodian et le chef rebelle de la branche armée du mouvement séparatiste « Atika », César Atoute Badiate, vont en fin voir le bout du tunnel. Ils seront jugés devant la Cour d’appel du Tribunal de grande instance (Tgi) de Ziguinchor (sud) le 24 juillet 2024 prochain.
L’Observateur qui donne l’information dans sa parution de ce mardi, rappelle que les prévenus, René Capin Bassène, Omar Ampoî Bodian qui séjournent depuis lors à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Ziguinchor, tout comme Alioune Badara Sané et Abdoulaye Diédhiou qui étaient condamnés à six mois de prison alors qu’ils avaient fini de purger une peine de quatre années, ont bel et bien « reçu leur convocation qui a été paraphée par le Procureur général ».
La Cour d’appel de la Chambre criminelle de Ziguinchor avait rejeté, en juillet 2023, la demande de mise en liberté provisoire introduite par Me Ciré Clédor Ly, avocat de René Capin Bassène et de Omar Ampoî Bodian.
Ces deux derniers ainsi que le chef rebelle Césare Atoute Badiate qui, lui, avait été jugé par contumace, ont été condamnés à la réclusion criminelle à perpétuité par la justice sénégalaise, le 13 juin 2022. Ils étaient tous poursuivis pour 14 chefs d’inculpation dont « association de malfaiteurs, participation à un mouvement insurrectionnel et complicité d’assassinat ».
Pour rappel, le 6 janvier 2018, 14 coupeurs de bois avaient été sauvagement tués dans la forêt classée de la Casamance, précisément à Boffa Bayotte. Un massacre qui avait choqué à l’époque tout le pays, notamment les populations de la région du Sud.
Deux (2) autres accusés dans ce dossier avaient écopé d’une peine de six (6) mois de prison avec sursis pour détention d’armes sans autorisation. Dix (10) autres mis en cause avaient bénéficié d’un acquittement après plus de cinq (5) ans de détention.
Le policier du nom de Paul Tine, en service au Commissariat de Kaffrine (centre-ouest) se serait suicidée hier mardi 09 juillet, en se tirant une balle dans la tête. Alertés par la femme du défunt, ses collègues qui ont effectué le déplacement sur les lieux, […]
ACTUALITE SOCIETELe policier du nom de Paul Tine, en service au Commissariat de Kaffrine (centre-ouest) se serait suicidée hier mardi 09 juillet, en se tirant une balle dans la tête. Alertés par la femme du défunt, ses collègues qui ont effectué le déplacement sur les lieux, ont découvert son corps sans vie dans sa salle de bain.
Originaire du village de koudiadiène (Thiès), le policier Paul Tine s’est servi de son arme de service pour passer à l’acte. La victime avait entamé une discussion téléphonique avec sa femme, après quelques échanges, le policier ne répondait plus aux messages de sa femme. C’est ainsi qu’elle a tenté de le joindre, sans succès. Inquiète l’épouse a appelé vers 16 h le Commissariat pour demander aux collègues de Paul Tine de s’enquérir de la situation. Sans attendre, les policiers se sont déplacés au domicile du sieur Tine. Sur place, aucun signe de présence humaine, les limiers ont découvert le corps sans vie de la victime gisant dans une mare de sang. Apparemment, Tine se serait suicidé dans sa salle de bain à l’aide de son pistolet de service, nous fait savoir L’Observateur.
Informé, Baba Fall, le Commissaire de Kaffrine, s’est rendu automatiquement sur les lieux pour procéder de lui-même au constat d’usage. Par ailleurs, les circonstances et le mobile du suicide restent inconnus.
Une enquête est ouverte pour en savoir plus davantage sur les faits. Le policier laisse derrière lui plusieurs enfants et son épouse. Un homme dont le professionnalisme et sa modestie sont connus de tous affirment ses collègues.
Une vaste opération d’audit est en cours au Sénégal, touchant plus de 70 directions, agences et fonds publics. Cette mission d’inspection de grande envergure est menée par l’Inspection générale de l’État (IGE), comme le rappelle Le Témoin. Afin de mener à bien ces contrôles approfondis, […]
ACTUALITE écomonieUne vaste opération d’audit est en cours au Sénégal, touchant plus de 70 directions, agences et fonds publics. Cette mission d’inspection de grande envergure est menée par l’Inspection générale de l’État (IGE), comme le rappelle Le Témoin.
Afin de mener à bien ces contrôles approfondis, le président de la République, Bassirou Faye, a mobilisé plus de 30 inspecteurs de l’IGE, révèle le journal. Ces auditeurs sont assistés dans leurs tâches par de nombreux experts financiers, bancaires et fiscalistes chevronnés.
Lors de cet audit, les anciens ministres, Dage (directeurs des affaires générales et de l’équipement), conseillers techniques, comptables et autres personnalités visées devront fournir les pièces justificatives pour la reddition des comptes, précise la même source.
La cavale du présumé meurtrier d’Awa Cissé, femme enceinte froidement tuée dans sa chambre, n’aura duré que 11 jours. D. Diallo, localisé dans un village touristique de Kafountine, a été embarqué, lors d’une descente musclée des éléments de la Section de recherches (SR) de la […]
ACTUALITE SOCIETELa cavale du présumé meurtrier d’Awa Cissé, femme enceinte froidement tuée dans sa chambre, n’aura duré que 11 jours. D. Diallo, localisé dans un village touristique de Kafountine, a été embarqué, lors d’une descente musclée des éléments de la Section de recherches (SR) de la Gendarmerie de Ziguinchor, en charge du dossier.
Libération, qui donne l’information, précise que le suspect, un orpailleur venu de Kédougou, a été conduit sur la scène de crime pour la reconstitution des faits. Lors de l’opération qui s’est déroulée ce mardi, souffle la source, « des visites ont été faites aussi dans les maisons d’autres victimes présumées » du mis en cause.
Au nombre de 10, toutes ces femmes ont été victimes d’agressions, renseigne le journal.
Invité de la Grande interview Europe 1-CNews au micro de Laurence Ferrari, Gérald Darmanin a annoncé ce mercredi l’expulsion d’un imam sénégalais radicalisé. Le ministre de l’Intérieur a précisé que cet homme a été arrêté ce matin même. « Ce matin encore, nous avons pu arrêter, […]
À La Une INTERNATIONALInvité de la Grande interview Europe 1-CNews au micro de Laurence Ferrari, Gérald Darmanin a annoncé ce mercredi l’expulsion d’un imam sénégalais radicalisé. Le ministre de l’Intérieur a précisé que cet homme a été arrêté ce matin même.
« Ce matin encore, nous avons pu arrêter, et il sera expulsé aujourd’hui, un imam sénégalais radicalisé qui se trouve dans le département de l’Aube ». Lors de la Grande interview Europe 1-CNews, Gérald Darmanin a confirmé l’arrestation et l’expulsion imminente de cet imam radicalisé. L’interpellation a eu lieu ce matin et l’expulsion est prévue dans la journée, a souligné le ministre. Cette rapidité est rendue possible grâce à la loi immigration et séparatisme défendue par Gérald Darmanin.
« Nous pouvons expulser des imams radicalisés en 24 heures. C’est cela, l’efficacité pour la protection des Français ». Bien que Gérald Darmanin n’ait pas fourni plus de détails sur le profil de cet imam, il a mentionné que celui-ci « prône dans ses sermons que les femmes doivent rester à la maison et que les musulmans ne doivent pas se mélanger aux non-musulmans ». Pour le ministre, « ces individus n’ont pas leur place sur le territoire de la République ». Et il a conclu : « Voir le nouveau Front populaire affirmer que dès leur arrivée, ils vont abolir ces lois, c’est extrêmement dangereux pour notre pays ».
L’affaire suscite moult commentaires à Colobane Saloum. Dans cette localité nichée dans la région de Fatick, un berger du nom d’Ablaye Ka aurait disparu avec le troupeau de son patron. L’entrepreneur et acteur politique Ibrahima Goumbala avait confié la gestion de sa bergerie à Ablaye […]
ACTUALITE SOCIETEL’affaire suscite moult commentaires à Colobane Saloum. Dans cette localité nichée dans la région de Fatick, un berger du nom d’Ablaye Ka aurait disparu avec le troupeau de son patron. L’entrepreneur et acteur politique Ibrahima Goumbala avait confié la gestion de sa bergerie à Ablaye Ka. Ce dernier a alors informé son employeur qu’il allait transhumer avec le bétail. Et depuis, le berger reste introuvable et injoignable depuis qu’il a quitté Colobane Saloum.
Soupçonnant Ablaye Ka d’avoir volé ses 19 bœufs avec la complicité de sa famille, M. Goumbala a porté plainte à la brigade de gendarmerie de la localité.
L’enquête se poursuit pour élucider cette affaire.
Le Directeur de l’Office du Baccalauréat, porte à la connaissance des candidats autorisés à subir les épreuves du second groupe du BAC secondaire général que « lesdites épreuves démarrent le Mercredi 10 juillet 2024 à partir de 7h 30mn ». Document
ACTUALITE éducationLe Directeur de l’Office du Baccalauréat, porte à la connaissance des candidats autorisés à subir les épreuves du second groupe du BAC secondaire général que « lesdites épreuves démarrent le Mercredi 10 juillet 2024 à partir de 7h 30mn ».
Document
Depuis quelques jours, un produit controversé en provenance de la Casamance (sud) fait parler de lui. Appelé « Tababa », « Boro », « Nokoss », « Khandjénou » ou encore « Garab », ce mélange de substances, initialement utilisé pour des raisons médicales, notamment […]
ACTUALITE SOCIETEDepuis quelques jours, un produit controversé en provenance de la Casamance (sud) fait parler de lui. Appelé « Tababa », « Boro », « Nokoss », « Khandjénou » ou encore « Garab », ce mélange de substances, initialement utilisé pour des raisons médicales, notamment dans le traitement de la stérilité, est désormais détourné par certaines femmes en stimulant sexuel. Cependant, l’usage de ce produit entraîne de graves conséquences sanitaires et sociales.
Le Tababa, décrit comme un « donneur de plaisir sexuel », cause des ravages au sein des communautés de la Casamance, alerte le quotidien Bess Bi. Ce stimulant est à l’origine de nombreux divorces dans le sud, les femmes devenant accros à cette substance au détriment de leurs relations conjugales. Des agents communautaires alertent également sur les risques de cancer du col de l’utérus liés à son utilisation.
Fatou Cissé, présidente de l’association « Badjenou Gokh » de Ziguinchor, a récemment levé le voile sur cette situation alarmante. Selon elle, le Tababa, composé de substances nocives telles que le « khémé », le yamba, et même de la cocaïne, est en train de ruiner la vie de nombreuses femmes en Casamance. Cette drogue, qu’elle qualifie de « deuxième mari », procure un plaisir sexuel qui rend les femmes dépendantes au point de ne plus avoir besoin de leurs époux.
Le phénomène ne se limite plus à la Casamance. Le Tababa est désormais vendu et utilisé partout au Sénégal. À Dakar, le sachet de cette poudre aphrodisiaque coûte jusqu’à 200 francs, tandis qu’il est vendu à moindre coût dans les villages casamançais. Mamy Bayo, une autre voix de la région, explique que « le Tababa était à l’origine utilisé pour traiter divers maux, allant de la stérilité aux douleurs dentaires. Cependant, son usage comme stimulant sexuel est devenu courant, entraînant des effets secondaires graves comme des irritations vaginales, des cervicites, et même des risques de fistules lors des accouchements difficiles. »
La fabrication du Tababa reste floue, mais le danger est clair : une fois commencé, il est presque impossible de s’en passer. Selon les informations recueillies par le journal, près de 80 % des femmes en Casamance utilisent ce produit, malgré les risques. Certains hommes l’utilisent également pour traiter l’hydrocèle, ajoutant une couche supplémentaire à cette problématique de santé publique.
Du nouveau dans l’affaire du détournement de 1,8 milliard de francs CFA à la Caisse de sécurité sociale (CSS). Deux cadres de la boîte, T. Bop et M. Sow, respectivement, délégataire comptable à l’agence de Plateau et caissier à l’agence Wiltord de Colobane, ont été […]
ACTUALITE SOCIETEDu nouveau dans l’affaire du détournement de 1,8 milliard de francs CFA à la Caisse de sécurité sociale (CSS). Deux cadres de la boîte, T. Bop et M. Sow, respectivement, délégataire comptable à l’agence de Plateau et caissier à l’agence Wiltord de Colobane, ont été arrêtés par les enquêteurs de la Section de recherches (SR), chargés du dossier.
Après le mode opératoire, Libération révèle que l’un des mis en cause, en l’occurrence Bop, a été dénoncé par sa première femme. Selon le journal, celle-ci n’a pas apprécié qu’il ait pris une seconde épouse.
C’est ainsi, souffle la source, qu’elle a exhibé « les chèques signés frauduleusement par son mari avec imitation des signatures du chef d’agence de Plateau ».
Par ailleurs, rapporte Libération, « un des mis en cause a, dans ses aveux, affirmé que 500 millions de francs CFA, du montant visé, auraient servi à la campagne de Benno Bokk Yakaar (BBY) lors de l’élection présidentielle».