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ACTUALITE justiceCheikh Yerim Seck est convoqué à la division spéciale de la cybercriminalité ce mardi à 15 heures, informe le journalisme Madiambal Diagne. Les raisons de sa convocation ne sont pas dévoilées, mais toute porte à croire que c’est au sujet de ces dernières sorties dans […]
ACTUALITE justiceUn des auteurs de l’attaque spectaculaire survenue aux HLM, dont la vidéo a largement circulé sur les réseaux sociaux, a été incarcéré. Abdoulaye Fofana Fall, jugé ce lundi par le tribunal des flagrants délits, a été reconnu coupable de vol avec usage d’un véhicule et […]
ACTUALITE SOCIETECe 11 juillet 2024 à Ouagadougou, le président du Burkina Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a accusé les gouvernements de la France, de la Côte d’Ivoire et du Bénin de soutenir le terrorisme en Afrique de l’Ouest. Lors de son discours devant un palais des […]
ACTUALITE INTERNATIONALCe 11 juillet 2024 à Ouagadougou, le président du Burkina Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a accusé les gouvernements de la France, de la Côte d’Ivoire et du Bénin de soutenir le terrorisme en Afrique de l’Ouest. Lors de son discours devant un palais des sports rempli, il a exposé sa vision pour les cinq prochaines années à la tête du pays, confirmant ainsi la décision prise en mai dernier lors des « Assises nationales » de prolonger la transition de cinq ans.
Devant une foule enthousiaste, Ibrahim Traoré a affirmé détenir des preuves formelles de ses accusations. Il a expliqué ne rien avoir contre le peuple ivoirien, mais avoir un problème avec les dirigeants de la Côte d’Ivoire. « Nous n’avons rien contre le peuple ivoirien, mais nous avons quelque chose avec ceux qui dirigent la Côte d’Ivoire. Il y a bel et bien à Abidjan, un centre des opérations pour déstabiliser notre pays. »
Il a également mentionné que des preuves physiques seraient présentées dans les jours à venir pour démontrer que deux bases françaises au Bénin sont utilisées contre le Burkina Faso. « Nous vous montrerons des preuves physiques dans les jours prochains. Personne ne viendra nous dire qu’au Bénin il n’y a pas de bases françaises dirigées contre nous ! Nous avons les preuves : deux bases importantes. Et nous n’avons rien contre le peuple béninois, nous avons un problème avec ceux qui mènent la politique des dirigeants béninois. »
Il a localisé les bases en question près de Kandi et en direction de Poro, ajoutant que des pistes ont été réaménagées, des avions atterrissent et que des terroristes y sont équipés et formés. « Il y a deux bases, une vers Kandi et l’autre en allant vers Poro. Des pistes ont été réaménagées, des avions atterrissent, les gens équipent et forment les terroristes là-bas. Nous avons des enregistrements audios d’agents français au Bénin, ils montent les opérations avec eux, les aident à se soigner. Nous avons tous les détails sur eux. »
Ibrahim Traoré a insisté sur le fait que ces agents aident les terroristes à se soigner et à mener leurs opérations. « Ils montent les opérations avec eux pour les aider à se soigner. Ils font tout ce qu’il y a à faire là-bas. Nous avons tous les détails sur eux, et vous ne voulez pas qu’on le dise à notre peuple. Eh bien, nous allons le dire. S’ils ne le veulent pas, qu’ils arrêtent de se comporter ainsi. C’est simple, nous n’avons forcé personne à prendre son indépendance. Si vous décidez de rester dans votre situation, ne prenez pas vos pays pour en faire des bases arrière, car ce sont vos populations qui vont en souffrir par la suite, et ce n’est pas une bonne politique. Nous le disons par expérience. Je le répète toujours : le Burkina a été une base arrière pour déstabiliser certains pays, et ce n’est pas bien. Le Burkina a été, à un moment donné, une base arrière pour les terroristes, et voilà le prix que nous payons. Donc, pour prévenir, les peuples de ces pays dont je parle doivent parler à leurs dirigeants et leur demander d’arrêter cette politique, car cela ne les arrange pas du tout. »
La Brigade mobile des Douanes de Koumpentoum (est du Sénégal dans la région de Tambacounda), a effectué une importante saisie de 365,04 kg de cocaïne. Cette quantité est évaluée à une valeur de vingt-neuf milliards deux cent trois millions deux cent mille francs CFA (29.203.200.000 […]
ACTUALITE SOCIETELa Brigade mobile des Douanes de Koumpentoum (est du Sénégal dans la région de Tambacounda), a effectué une importante saisie de 365,04 kg de cocaïne. Cette quantité est évaluée à une valeur de vingt-neuf milliards deux cent trois millions deux cent mille francs CFA (29.203.200.000 FCFA). Cette saisie a eu lieu le mercredi 10 juillet.
Dans le cadre d’un contrôle, les soldats de l’économie ont immobilisé un camion pour procéder à un contrôle. Mais le chauffeur en a profité pour prendre la fuite, s’en est suivi une longue course-poursuite. Malgré tout, le fugitif a réussi à s’échapper et à s’éclipser dans la nature.
Selon des informations de Seneweb et reprises par les Echos, la marchandise a été soigneusement dissimulée dans des cavités spécialement aménagées. Ainsi, l’opération douanière a abouti à la saisie de 338 plaquettes de cocaïne sur un plateau venant de l’étranger.
Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, fera face à la presse ce samedi 13 juillet 2024 au palais présidentiel. À l’occasion de ses cent premiers jours au pouvoir. La rencontre lui permettra de répondre aux questions des journalistes et de communiquer directement avec […]
ACTUALITE POLITIQUELe Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, fera face à la presse ce samedi 13 juillet 2024 au palais présidentiel. À l’occasion de ses cent premiers jours au pouvoir. La rencontre lui permettra de répondre aux questions des journalistes et de communiquer directement avec la population sur l’état de la nation et ses perspectives.
Plusieurs sujets attendus notamment la bonne gouvernance, la baisse des prix de certains produits de première nécessité, la lutte contre la corruption et les missions d’audit.
Huit candidats au bac ont été condamnés à la prison ferme par le tribunal de grande instance de Louga, ce mercredi 10 juillet. Ils sont reconnus coupables de fraude à un examen. Le nommé Aliou Fall, alias M. T, désigné cerveau de la bande, a […]
ACTUALITE éducationHuit candidats au bac ont été condamnés à la prison ferme par le tribunal de grande instance de Louga, ce mercredi 10 juillet. Ils sont reconnus coupables de fraude à un examen. Le nommé Aliou Fall, alias M. T, désigné cerveau de la bande, a écopé un mois. Ses camarades, eux, ont pris chacun 15 jours. Cinq membres présumés de la bande sont en fuite. Un mandat d’arrêt a été lancé contre eux.
S’appuyant sur l’enquête de la gendarmerie, L’Observateur, qui donne l’information dans son édition de ce jeudi 11 juillet, a rejoué le film de la chute des tricheurs et détaillé leur mode opératoire. Le journal rapporte que ces derniers, au nombre de treize donc, selon les pandores, ont créé un groupe WhatsApp dénommé «Soupou Rk» et décidé de s’appuyer sur leurs téléphones portables pour tromper la vigilance des surveillants.
D’après le plan retenu, les garçons devaient dissimuler les appareils dans leurs parties intimes tandis que les filles avaient pour consigne de placer les leurs sous leur soutien-gorge. «Aucun surveillant ne s’évertuera à mettre sa main sur les parties intimes des candidats», avançaient-ils, selon L’Observateur.
Ensuite, poursuit le journal, le groupe de tricheurs s’est associé avec M. N, un étudiant en droit à l’Ucad. «Ce dernier utilise une application d’Intelligence artificielle dénommée ‘ChatOn’ pour traiter les sujets qu’il recevait des candidats qui les photographiaient avant de les envoyer directement dans le groupe ‘Soupou Rk’, révèle le quotidien du Groupe futurs médias. Après les avoir corrigés, l’étudiant passait par ce même canal [pour restituer le travail].»
C’est ainsi que les épreuves de philosophie, de français, d’anglais et d’espagnol ont été traitées pour les membres du groupe «Soupou Rk». L’Observateur rapporte que Aliou Fall, le cerveau désigné, a avoué avoir traité le sujet d’histoire via ChatOn tandis qu’un autre étudiant serait passé par Telegram pour faire parvenir l’épreuve d’anglais, selon les enquêteurs.
Le pot aux roses a été découvert au centre d’examen établi au nouveau lycée de Dahra Djolof par le superviseur des surveillants du jury 1050, le professeur d’arabe M. S. N. Ba. «L’enseignant, posté à une fenêtre, est tombé sur le candidat Ameth Ka, qui tentait de dissimuler son téléphone portable dans son pantalon. Pris la main dans le sac, son appareil a été confisqué et remis aux gendarmes de la brigade locale», rapporte L’Observateur.
L’enquête ouverte a conduit à l’arrestation de Aliou Fall. «L’exploitation de son téléphone portable a permis de découvrir qu’il était à la tête d’un vaste réseau de tricherie», souffle le journal, qui annonce six autres interpellations : Babacar Ndao, Isma Ba, Moussa Diop, Ndèye Maguette Guèye, Amadou Touré et Ndiémé Ndao. Ces deux derniers sont tombés au centre lycée Dr Daouda Sow, d’après L’Observateur.
Les gendarmes sont aux trousses des cinq membres du réseau qui ont pris la fuite.
La Cour des comptes a mis en lumière les pratiques financières de la Fédération sénégalaise de Football (FSF), convoquant des figures notables telles qu’Augustin Senghor, Abdoulaye Sow et Abdoulaye Fall pour examiner de près les finances de l’instance. Les discordes entre différents responsables de la […]
ACTUALITE SPORTSLa Cour des comptes a mis en lumière les pratiques financières de la Fédération sénégalaise de Football (FSF), convoquant des figures notables telles qu’Augustin Senghor, Abdoulaye Sow et Abdoulaye Fall pour examiner de près les finances de l’instance.
Les discordes entre différents responsables de la FSF n’ont pas échappé à l’attention de la Cour des comptes, qui surveille de près la gestion de la Fédération depuis un certain temps. Elle a entrepris une enquête approfondie sur la gestion des fonds de la FSF.
Le président Augustin Senghor, son vice-président Abdoulaye Sow et l’ancien président de la Commission des finances Abdoulaye Fall ont récemment été interrogés. Les enquêteurs cherchent à comprendre comment ont été utilisés les fonds alloués par l’État, ainsi que les dividendes des compétitions internationales, notamment la Coupe du monde Qatar 2022 et la Coupe d’Afrique des Nations Côte d’Ivoire 2023.
Les responsables de la FSF ont été auditionnés peu de temps après les matchs du Sénégal contre la RD Congo (1-1) et la Mauritanie (1-0), dans le cadre des qualifications pour la Coupe du monde 2026. Selon Dsports.sn, la Cour des comptes a demandé à Senghor et son équipe de fournir une liste complète comprenant toutes les données sur les subventions, les primes et les revenus perçus durant le Mondial 2022 et les récentes compétitions africaines.
Cette initiative est considérée par de nombreux observateurs comme positive et marque le début d’une nouvelle ère. Plusieurs présidents de clubs estiment que depuis deux décennies, les acteurs du football sénégalais se référaient à des rapports financiers rédigés par la FSF elle-même et approuvés lors d’assemblées générales sans justificatifs significatifs.
En d’autres termes, tous les comptes de la FSF seront minutieusement examinés pour s’assurer que les fonds publics sont utilisés de manière adéquate pour le développement global du football sénégalais. Il est pertinent de rappeler que le rapport de la Cour des comptes après le Mondial 2002 avait déjà provoqué un bouleversement majeur dans le football sénégalais.
Nous en savons un peu plus sur l’identité de l’imam sénégalais refoulé de la France par le ministre de l’Intérieur français Gérald Darmanin. Le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin, a annoncé hier mercredi l’interpellation d’un « imam radicalisé sénégalais qui est dans le département de l’Aube. Il sera […]
À La Une SOCIETENous en savons un peu plus sur l’identité de l’imam sénégalais refoulé de la France par le ministre de l’Intérieur français Gérald Darmanin.
Le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin, a annoncé hier mercredi l’interpellation d’un « imam radicalisé sénégalais qui est dans le département de l’Aube. Il sera rapatrié au Sénégal, avait précisé le locataire de Beauvau, sans pour autant mentionner l’identité de cet imam dont il considère qu’il n’a « rien à faire sur le territoire de la République ». Il a été rapatrié expressément à Dakar pour des prêches discriminatoires, notamment envers les femmes.
Identifié sous le nom de Ahmadou Kaba, l’ imam de 37 ans se nomme Ahmadou Kaba. Selon les informations de L’OBS, il ne passe pas inaperçu dans les mosquées de la ville de Troyes, mais aussi au sein de la forte communauté musulmane cosmopolite. Prêchant un islam qualifié de «radical et misogyne», l’imam Kaba a tissé sa notoriété sur les réseaux sociaux, où il est suivi par des milliers d’internautes.
Ce célèbre prêcheur est, à en croire la préfecture de l’Aube, «connu des services de l’État français qui ont fini par le fichier pour ses discours radicaux qui entraînaient des troubles dans les mosquées troyennes, des messages incitant à une pratique intolérante et rétrograde de l’Islam. L’imam prêcheur est aussi décrit comme proche des «frères musulmans).
Il fut éducateur sportif
Ancien éducateur sportif, Ahmadou Kaba a, indique l’autorité préfectorale, «été éconduit d’une première mosquée troyenne pour avoir voulu imposer sa vision radicale de l’islam. Il a ensuite recommencé dans une seconde, sans succès.» Un contenu contraire aux valeurs de la République et qui portait atteinte au principe d’égalité entre les hommes et les femmes.»
Le pire a été évité de justesse sur la plage de Gadaye, en banlieue dakaroise. Un jeune homme du nom de F. Y., lynché par une foule, a été extirpé des griffes de ses tortionnaires par la police locale avant l’intervention des sapeurs-pompiers. L’homme venait […]
ACTUALITE SOCIETELe pire a été évité de justesse sur la plage de Gadaye, en banlieue dakaroise. Un jeune homme du nom de F. Y., lynché par une foule, a été extirpé des griffes de ses tortionnaires par la police locale avant l’intervention des sapeurs-pompiers.
L’homme venait de poignarder le nommé A. Ndiaye. D’après le récit de L’Observateur, tout est parti d’une tentative maladroite de drague : « Profitant de la brise maritime, histoire d’échapper aux effets dévastateurs de la chaleur estivale, des jeunes filles débarquent sur la plage en tenues hyper sexy. Attiré, A. Ndiaye s’approche du groupe, et leur demande de lui refiler leur numéro. Les filles lui opposent un niet catégorique. »
Ce dernier, qui n’accepte pas d’être éconduit, se montre insistant. Mais, c’est toujours non du côté des filles. A. Ndiaye se met alors dans tous ses états, et débite des insanités. Les filles lui renvoient ses insultes.
« Le jeune homme fonce sur les adolescentes et les menace », rapporte le journal. F. Y., qui a assisté à toute la scène, s’interpose. Les deux hommes en viennent très vite aux mains, poursuit celui-ci :
« F. Y. se jette sur le jeune dragueur et le poignarde avec une arme blanche dans le ventre. » Une foule monstre se forme autour de la scène, et s’en prend à F. Y.
Avisés, les éléments du poste de police de Wakhinane Nimzatt dispersent la foule et font évacuer les deux protagonistes ensanglantés à l’hôpital le plus proche.
Après avoir subi des soins, ils ont été embarqués tous les deux et conduits au poste de police de la commune. Le groupe de filles a été également auditionné.
Au terme de l’enquête, seul F. Y., poursuivi pour violences et voies de fait occasionnées par des blessures apparentes avec usage d’arme blanche, a été déféré au Parquet du Tribunal de grande instance de Guédiawaye, conclut le quotidien d’information.
Pour une histoire d’argent avec son client A. Thiam, C. M. Diakhaté a déboité le bras de celui-ci. Son acte lui a valu sa comparution hier devant la barre des flagrants délits de Dakar pour coups et blessures volontaires. «Je regrette mon acte. Je trouve […]
ACTUALITE faits-divertsPour une histoire d’argent avec son client A. Thiam, C. M. Diakhaté a déboité le bras de celui-ci.
Son acte lui a valu sa comparution hier devant la barre des flagrants délits de Dakar pour coups et blessures volontaires. «Je regrette mon acte. Je trouve que cela n’en valait pas la peine». Tels sont les propos du prévenu, C. M. Diakhaté.
Agent commercial de profession, placé sous mandat de dépôt depuis le 28 juin dernier, le mis en cause est revenu sur les faits. Il renseigne qu’il gère un multiservice à Ouest Foire. Selon lui, le jour des faits, la partie civile était venue dans sa boutique pour faire un dépôt de 45 mille francs.
Il a sorti 4 billets de 10 000 francs et m’a demandé d’attendre pour me remettre un billet de 5 000 francs Cfa. Entre-temps, un autre client est venu faire une transaction et je la lui ai faite. Par la suite, il lui a demandé de me remettre les 5 000 francs CFA qui restaient après l’envoi.
C’est suite à cela qu’ils se sont disputés. A son tour, A. Thiam soutient qu’il lui a remis à deux reprises 20 mille francs et un billet de 5000 francs. Par la suite, il lui réclame 5 mille francs. Finalement, le tribunal a déclaré coupable C. M. Diakhaté pour coups et blessures volontaires et l’a condamné à 3 mois de sursis. Il devra payer 200 mille francs CFA à la partie civile à titre de dommages et intérêts.
Le bras de fer s’intensifie entre la Direction générale des Impôts et Domaines (DGID) et le groupe Summa, maître d’œuvre de l’Aéroport international Blaise Diagne (AIBD), du stade Abdoulaye-Wade, ainsi que du Centre international de conférence Abdou Diouf (CICAD) et de Dakar Arena, entre autres […]
ACTUALITE écomonieLe bras de fer s’intensifie entre la Direction générale des Impôts et Domaines (DGID) et le groupe Summa, maître d’œuvre de l’Aéroport international Blaise Diagne (AIBD), du stade Abdoulaye-Wade, ainsi que du Centre international de conférence Abdou Diouf (CICAD) et de Dakar Arena, entre autres grands projets d’infrastructures au Sénégal.
Selon Libération, le fisc, exécutant une décision de justice, a procédé à la saisie des biens de l’entreprise turque. Cette saisie comprend des camions, des engins, des centrales à béton, des pelles hydrauliques et mécaniques, des chargeurs, des bulldozers et des grues, dans le but de recouvrer plus de 23 milliards de francs CFA que Summa doit au Trésor public.
Le journal rapporte également que le groupe Summa a déposé un recours pour contester la vente des biens saisis.
Dakaractu vous informait de la mort d’un bébé de 08 mois retrouvé noyé dans un bassin à Darou Miname chez ses parents . Nous étions le 06 juillet 2024. Il était clair que l’enfant , au vu de son âge et de la hauteur du […]
ACTUALITE SOCIETEDakaractu vous informait de la mort d’un bébé de 08 mois retrouvé noyé dans un bassin à Darou Miname chez ses parents . Nous étions le 06 juillet 2024. Il était clair que l’enfant , au vu de son âge et de la hauteur du bassin ne pouvait pas , à lui seul, finir dans l’eau. C’est d’ailleurs ce qui avait motivé la mise en branle d’une enquête par la police en plus d’une autopsie. Le temps que le dossier soit transmis ou non au parquet , il faut d’abord signaler que la maman de Abdourahmane Ndiaye a parlé. Elle a avoué avoir été imprudente.
« J’ai voulu éviter à l’enfant d’être sous les rayons solaires ou d’être piqué par les fourmis . C’est pourquoi quand j’ai senti le besoin successivement d’aller dans les toilettes et ensuite dans la cuisine pour lui préparer à manger , je l’ai posé sur le rebord du bassin croyant qu’il était sans danger . C’est alors que l’enfant s’est agrippé, à mon insu , sur un récipient rempli d’eau qui traînait là-bas . C’est ce récipient qui l’a projeté dans le bassin. Quand je suis revenu, c’était trop tard . Et je ne me suis affolée . Je suis allée me réfugier dans ma chambre ». Les membres de la famille lui reprocheront de s’être tue pendant tout ce temps occasionnant des commentaires désobligeants . Affaire à suivre…