Selon l’enquête de la Sûreté urbaine de Dakar, il est accusé d’avoir orchestré, avec la complicité de figures influentes de l’administration sénégalaise, un détournement de plusieurs centaines de millions de francs CFA, à partir de fausses transactions immobilières, relaient nos confrères. Les faits reprochés remontent […]
ACTUALITE justiceLes personnes arrêtées dans le cadre de l’enquête sur les violences électorales survenues à Saint-Louis lundi 11 novembre devraient être fixées sur leur sort ce jeudi. Les 81 mis en cause seront en effet déférés au parquet ce jour, annonce Libération dans son édition de […]
À La Une POLITIQUEAnnoncée depuis l’élection de Bassirou Diomaye Faye, la publication des médias reconnus par l’Etat va se faire incessamment. Selon un communiqué du ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique reçu à Seneweb, la publication se fera au plus tard le 30 novembre. Après […]
ACTUALITE médiaDes méthodes jugées cavalières ! C’est ce que critique Doudou Diagne Diecko, selon le journal Les Echos, au sujet de la gestion de Khady Diène Gaye, responsable au département des Sports, de la Culture et de la Jeunesse. Sans consulter les parties prenantes, celle-ci a désigné […]
ACTUALITE SPORTSDes méthodes jugées cavalières ! C’est ce que critique Doudou Diagne Diecko, selon le journal Les Echos, au sujet de la gestion de Khady Diène Gaye, responsable au département des Sports, de la Culture et de la Jeunesse. Sans consulter les parties prenantes, celle-ci a désigné seule les conseillers du Comité national de gestion de la lutte (CNG), publiant directement sa liste. Cette décision unilatérale a provoqué un mécontentement généralisé.
Face à cette situation, Doudou Diagne Diécko président de l’Association des amateurs de lutte, a réagi en soumettant une lettre de démission à Khady Diène Gaye. « Je soussigné, M. Doudou Diagne Diecko, président de l’Amicale des amateurs de lutte du Sénégal, vous présente ma démission en tant que conseiller du nouveau bureau du Comité national de gestion de la lutte (CNG) », a-t-il écrit, rendant sa décision effective immédiatement.
À Fatick, la lutte contre le trafic de migrants a franchi une étape décisive avec l’arrestation de deux agents recruteurs, El. S. Sarr et D. Thiaré, récemment déférés au parquet par la Division de lutte contre le trafic de migrants et pratiques assimilées (DNLT). Comme […]
ACTUALITE SOCIETEÀ Fatick, la lutte contre le trafic de migrants a franchi une étape décisive avec l’arrestation de deux agents recruteurs, El. S. Sarr et D. Thiaré, récemment déférés au parquet par la Division de lutte contre le trafic de migrants et pratiques assimilées (DNLT). Comme le rapporte L’Enquête, ces individus ont été placés sous mandat de dépôt pour association de malfaiteurs et trafic de migrants.
Les investigations ont débuté avec l’arrestation des frères G. Ba et A. Ba, en début octobre, pour des accusations similaires. Lors de leur audition, ils ont désigné El. S. Sarr comme le cerveau de leur réseau, incitant les enquêteurs à passer à l’action. Grâce à des renseignements, les agents de la DNLT ont localisé Sarr à Dakar, entraînant son interpellation ainsi que celle de son complice D. Thiaré.
Les aveux de D. Thiaré ont rapidement éclairé les enquêteurs sur l’ampleur de l’opération. Il a admis avoir été mandaté pour encaisser l’argent d’un candidat à l’émigration par Sarr et a révélé l’existence d’autres acteurs impliqués dans cette activité criminelle. Selon ses déclarations, il a également joué un rôle actif en recrutant des candidats et en négociant l’acquisition d’une pirogue pour le voyage clandestin.
Les agents ont saisi la somme de 2,4 millions de francs CFA, dissimulée dans une chambre à Keur Massar, que Sarr a confirmée être destinée à l’achat de matériel pour le trafic. Malgré ses aveux, il a tenté de nier avoir encaissé de l’argent de candidats, ce qui n’a pas convaincu les enquêteurs.
Ce coup de filet à Fatick met en lumière les enjeux du trafic de migrants, une problématique préoccupante qui continue de sévir dans la région, soulignant l’importance des efforts des autorités pour démanteler ces réseaux criminels, comme le souligne L’Enquête.
Ahmet Ndoye sera jugé ce lundi 4 novembre. Le chroniqueur de la Sen Tv a été placé sous mandat de dépôt le 29 octobre pour défaut de permis de conduire et faux et usage de faux. Il ne sera pas seul à s’expliquer devant la […]
ACTUALITE justiceAhmet Ndoye sera jugé ce lundi 4 novembre. Le chroniqueur de la Sen Tv a été placé sous mandat de dépôt le 29 octobre pour défaut de permis de conduire et faux et usage de faux.
Il ne sera pas seul à s’expliquer devant la justice pour cette affaire. Un policier nommé A. Sow sera aussi à la barre. En détention préventive, cet agent du commissariat de la Médina («4e») est poursuivi pour faux et usage de faux et complicité.
A. Sow aurait remis à Ahmet Ndoye l’attestation qui lui vaut ses déboires judiciaires. Arrêté pour défaut de permis, ce dernier avait déclaré que son permis a été saisi à la suite d’un contrôle routier effectué par un élément de la police de Médina, qui lui a remis le document en question.
Lorsque l’affaire a été éclaté, le chef du commissariat du «4e», mise au centre du dossier, a mené sa petite enquête interne pour que jaillisse la lumière et restaurer l’image mise en mal de l’institution. Celle-ci a révélé que A. Sow a remis la fausse attestation.
D’après L’Observateur, qui revient dans son édition de ce lundi sur son audition par son supérieur hiérarchique direct, le mis en cause a d’abord tenté de nier toute implication dans cette affaire avant de passer à table. «Je vais dire la vérité. C’est moi qui ai délivré l’attestation», a-t-il confessé, selon le quotidien du Groupe futurs médias.
Mais A. Sow a précisé qu’il n’a pas remis le document directement à Ahmet Ndoye. Il est passé par un ami du chroniqueur, un de ses voisins à Rufisque, qui l’a contacté alors qu’il était chez lui. En établissant l’attestation depuis son domicile, rapporte le journal, le policier n’a renseigné ni le nom du bénéficiaire ni le numéro de son permis de conduire. Il revenait au destinataire final de s’en charger.
Ce qui fut fait. «L’analyse de l’attestation a montré une différence notoire entre les écritures initiales de l’agent et celles mentionnant le nom et le numéro de permis», révèlent les «interlocuteurs» de L’Observateur.
Après quelques jours d’arrêt de rigueur, A. Sow a été extrait de cellule et présenté au procureur de la République, vendredi dernier. Inculpé pour faux et usage de faux et complicité, le policier a été placé sous mandat de dépôt et conduit à Rebeuss. Il sera jugé ce lundi. Ahmet Ndoye, aussi.
Le démarrage de la campagne électorale en vue des élections législatives du 17 novembre prochain est émaillé de violences. Et lors de son dernier discours à la Nation, le Président de la République avait demandé à toute la classe politique nationale d’œuvrer dans la sérénité, […]
À La Une POLITIQUELe démarrage de la campagne électorale en vue des élections législatives du 17 novembre prochain est émaillé de violences. Et lors de son dernier discours à la Nation, le Président de la République avait demandé à toute la classe politique nationale d’œuvrer dans la sérénité, la paix et le fair-play. Malheureusement ces recommandations n’ont pas été entendues.
De retour de son voyage en Turquie, le Premier sénégalais est encore revenu sur sur les violences politiques. « J’ai instruit le ministre de la Justice d’ouvrir une enquête pour faire toute la lumière sans parti pris, sans précipitation et sans faiblesse »
Arrêté le 23 octobre, Dr. Alioune Badara Mbacké est accusé de violences physiques et de menaces envers son ex-épouse, Dieynaba Sangharé Ndiaye. Selon l’enquête, quatre hommes de main présumés auraient assisté le Dr. Mbacké dans l’agression en séquestrant et frappant Mme Ndiaye, entraînant une incapacité […]
ACTUALITE SOCIETEArrêté le 23 octobre, Dr. Alioune Badara Mbacké est accusé de violences physiques et de menaces envers son ex-épouse, Dieynaba Sangharé Ndiaye. Selon l’enquête, quatre hommes de main présumés auraient assisté le Dr. Mbacké dans l’agression en séquestrant et frappant Mme Ndiaye, entraînant une incapacité temporaire de travail (ITT) de dix jours pour celle-ci. Les chefs d’accusation incluent coups et blessures volontaires, menaces, enlèvement, voies de fait et non-assistance à personne en danger.
Dieynaba Sangharé Ndiaye est elle-même emprisonnée, ayant écopé de trois mois ferme pour avoir diffusé des vidéos intimes de son ex-mari. En plus de sa peine, elle doit verser 4 millions de FCFA en dédommagement à Dr. Mbacké. Elle est actuellement détenue à la Maison d’arrêt des femmes (MAF) de Liberté 6.
Un accident mortel s’est produit hier mercredi vers 19 heures sur la route Touba-Dahra à hauteur du village de Khataly. Une fille du nom de Rama Diallo, âgée de huit ans et élève en classe de Ci à l’école élémentaire de Khataly, a été mortellement […]
ACTUALITE SOCIETEUn accident mortel s’est produit hier mercredi vers 19 heures sur la route Touba-Dahra à hauteur du village de Khataly.
Une fille du nom de Rama Diallo, âgée de huit ans et élève en classe de Ci à l’école élémentaire de Khataly, a été mortellement fauchée hier par un minicar immatriculé MT 4229 en provenance de Dakar pour Agnams.
La victime, qui tentait de traverser la chaussée pour acheter du pain dans une boutique, a été mortellement fauchée par le véhicule de transport.
Après le choc, le chauffeur a pris la fuite pour éviter la vindicte populaire des habitants de la localité. Ces derniers très en colère ont exprimé leur mécontentement et réclamé des ralentisseurs à hauteur du village pour limiter les accidents.
La dépouille de la fille a été déposée à la morgue du centre de santé Elisabeth Diouf de Dahra par les sapeurs- pompiers. Le virage de Khataly est accidentogène .Chaque année, on enregistre plusieurs cas d’accidents souvent mortels.
Aux dernières nouvelles, le chauffeur fugitif s’est finalement rendu à la brigade de gendarmerie de Dahra où il est placé en garde à vue pour homicide involontaire.
Du nouveau dans l’affaire de l’incendie du siège de Taxawu Sénégal à Dakar. Selon Source A, les enquêteurs poursuivent activement leurs investigations. Dans ce cadre, l’audition de Abass Fall avait été programmée pour lundi dernier, mais les gendarmes n’ont pas encore pu localiser le chef […]
ACTUALITE POLITIQUEDu nouveau dans l’affaire de l’incendie du siège de Taxawu Sénégal à Dakar. Selon Source A, les enquêteurs poursuivent activement leurs investigations. Dans ce cadre, l’audition de Abass Fall avait été programmée pour lundi dernier, mais les gendarmes n’ont pas encore pu localiser le chef de file de Pastef dans la capitale, malgré leurs tentatives de le contacter.
En attendant, toujours selon nos confrères, deux arrestations ont déjà eu lieu dans ce dossier, confié à la Section de recherches. Ces interpellations ont été effectuées dans le cadre des nécessités de l’enquête. D’après Source A, c’est à la suite d’une instruction du parquet que les enquêteurs de la Section de recherches ont entamé leurs investigations.
Le procureur, vraisemblablement saisi par le ministère de la Justice après l’incendie du siège de Taxawu Sénégal, a annoncé l’ouverture d’une enquête. Pour justifier ces mesures, les services d’Ousmane Diagne ont évoqué certains actes et propos de nature à présenter un caractère criminel.
Après sa libération, Bougane Gueye Dany s’est rendu chez Sidiki Kaba pour le remercier de son soutien pendant sa détention. Il a également exprimé sa gratitude envers Mamadou Kassé, ancien Directeur général de la Sicap et responsable de l’Alliance pour la République à Tambacounda. Le […]
À La Une POLITIQUEAprès sa libération, Bougane Gueye Dany s’est rendu chez Sidiki Kaba pour le remercier de son soutien pendant sa détention. Il a également exprimé sa gratitude envers Mamadou Kassé, ancien Directeur général de la Sicap et responsable de l’Alliance pour la République à Tambacounda.
Le leader de Gueum Sa Bopp affirme être fermement engagé dans son combat pour le Sénégal, malgré les sacrifices que cela implique pour sa liberté. Bougane se dit « victime d’une injustice qui ne dit pas son nom ». « Vous avez vu ce qui s’est passé au tribunal aujourd’hui. Le Procureur a tenté de me charger, mais les gendarmes, au contraire, m’ont déchargé », a déclaré le candidat de la liste nationale de la Coalition « Samm Sa Kaddu ». Il appelle à l’union des forces pour le bien du Sénégal.
Un corps sans vie a été découvert sur la plage de Malika, rejeté par les vagues. Cette information a été rapportée par People 221 ce mercredi 30 octobre 2024. Les forces de police et les sapeurs-pompiers sont actuellement sur place pour procéder aux constatations d’usage […]
ACTUALITE SOCIETEUn corps sans vie a été découvert sur la plage de Malika, rejeté par les vagues. Cette information a été rapportée par People 221 ce mercredi 30 octobre 2024. Les forces de police et les sapeurs-pompiers sont actuellement sur place pour procéder aux constatations d’usage et à l’évacuation du corps.
Il est à noter que cette plage est officiellement interdite à la baignade, mais elle connaît néanmoins plusieurs cas de noyade chaque année. Plus d’informations seront fournies ultérieurement sur cette affaire.
Une salle d’audience comble a vibré au rythme de la défense passionnée de Bougane Gueye Dany, face à un procureur déterminé. Le leader du mouvement Gueum Sa Bopp, reconnu pour sa combativité, a captivé l’audience alors que les échanges entre les deux parties se sont […]
ACTUALITE SOCIETEUne salle d’audience comble a vibré au rythme de la défense passionnée de Bougane Gueye Dany, face à un procureur déterminé. Le leader du mouvement Gueum Sa Bopp, reconnu pour sa combativité, a captivé l’audience alors que les échanges entre les deux parties se sont intensifiés, nécessitant plusieurs interruptions pour apaiser les esprits échauffés.
Un moment clé de cette séance a été le témoignage d’un gendarme présent au premier barrage de sécurité le jour de l’incident. Ce dernier a affirmé : « Au premier barrage, nous n’avions reçu aucun ordre d’arrêter le cortège de Bougane Gueye ». Il a également précisé que le leader n’avait « tenu aucun propos déplacé à l’endroit des forces de l’ordre ». Ces déclarations ont provoqué des réactions immédiates dans la salle, jetant un doute sur le récent communiqué de la gendarmerie nationale, qui avait présenté Bougane Guèye Dany de manière défavorable.
La tension palpable dans l’audience témoigne de l’importance de ce procès, non seulement pour Bougane, mais aussi pour l’avenir de la politique sénégalaise, où les opinions sont divisées et les passions exacerbées. Les déclarations du gendarme pourraient jouer un rôle crucial dans l’issue de cette affaire, ajoutant une dimension supplémentaire aux débats déjà intenses.