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ACTUALITE INTERNATIONALDes tireurs d’élite du Secret Service présents au meeting où l’ex-président Donald Trump a été pris pour cible auraient déjà repéré l’auteur avant l’attaque, rapporte la chaîne de télévision CBS News. L’un des snipers se trouvait même à l’intérieur du bâtiment où Thomas Crooks est monté pour tenter de tuer Trump.
Au total, trois tireurs d’élite se trouvaient dans le bâtiment depuis lequel sont venus les coups de feu, selon un agent de police local ayant un accès direct à l’enquête: “L’un des snipers à l’intérieur a vu Crooks regarder le toit depuis l’extérieur et observer le bâtiment. Ensuite, il a disparu.”
Crooks est réapparu un peu plus tard, selon cette source: “Il s’est assis et a regardé son téléphone. L’un des tireurs d’élite a pris une photo de lui à ce moment-là. Crooks a ensuite sorti un télémètre. Le tireur d’élite a rapporté les faits à son poste de commandement. Puis Crooks a disparu à nouveau.”
De retour avec un sac à dosIl est revenu une troisième fois, et cette fois, il avait un sac sur le dos. De nouveau, le fait a été signalé au poste de commandement du Secret Service. Plusieurs tireurs d’élite ont également rapporté qu’il se dirigeait vers l’arrière du bâtiment. Les enquêteurs pensent qu’il a escaladé le toit en passant par une unité extérieure d’un système de climatisation.
“Quand des agents supplémentaires sont arrivés pour apporter leur assistance, il avait déjà escaladé le bâtiment et il se trouvait au-dessus et derrière les tireurs d’élite positionnés à l’intérieur”, toujours selon cette même source.
Un policier a tenté de l’empêcher de tirerDes images prises par des spectateurs et publiées hier montrent le tireur se mettre en position. Pendant ce temps, plusieurs personnes présentes interpellent la police et signalent quelque chose de suspect sur le toit.
Selon le témoignage de deux sources des autorités locales qui se sont entretenues avec l’agence de presse AP, un policier local est également monté sur le toit par un escalier. Lorsque Crooks l’a vu, il a braqué son fusil sur l’agent, qui a battu en retraite. Crooks en a profité pour prendre Trump pour cible. Immédiatement après, le tireur a été abattu.
Le toit sur lequel le tireur s’est positionné avait été défini comme un “point vulnérable à haute priorité” lors d’une inspection de sécurité sur le terrain la veille, selon NBC News.
On savait déjà que le tireur avait été repéré sur un toit du site une demi-heure avant de tirer. Selon la chaîne locale Channel 11, des sources policières ont confirmé qu’une photo de lui avait été prise à ce moment-là, et qu’un signalement avait suivi. Il n’est pas clair si Crooks portait déjà une arme. Un policier était parti l’intercepter, mais il ne l’a pas trouvé à l’endroit où il avait été photographié.
Si Trump a échappé par miracle à cette tentative d’assassinat, les balles perdues ont fait un mort, ainsi que deux blessés dans l’assistance.
L’affaire de la supposée corruption de deux juges du Conseil constitutionnel refait surface. Doudou Wade, ancien député et président du groupe parlementaire démocratie et libéral refuse que l’affaire meurt de sa belle mort. Il a réclamé la lumière dans « ce dossier qui avait mis le pays […]
ACTUALITE POLITIQUEL’affaire de la supposée corruption de deux juges du Conseil constitutionnel refait surface. Doudou Wade, ancien député et président du groupe parlementaire démocratie et libéral refuse que l’affaire meurt de sa belle mort. Il a réclamé la lumière dans « ce dossier qui avait mis le pays sens dessus dessous », lors d’un atelier d’échanges sur le système électoral à Saly, ce week-end.
Selon le quotidien Bès-bi qui donne l’information dans sa parution du mardi, le secrétaire général adjoint du Parti démocratique sénégalais (Pds) a exigé la lumière sur cette affaire qui est à l’origine de la décision de l’ancien président Macky Sall de reporter l’élection présidentielle .
Pour lui, « Il faut que ce problème soit résolu. On ne peut accuser des magistrats de corruption sans qu’on ne puisse mettre la lumière sur cela ». Doudou Wade a ajouté que si « cette corruption n’est pas avérée, que les accusateurs soient sanctionnés. Il faut qu’il y ait une décision », a-t-il-insisté.
Doudou Wade de plaider pour la révision de la loi sur l’immunité présidentielle. « Cette disposition selon laquelle le président de la République ne peut être poursuivi sauf en cas de haute trahison est à revoir », a-t-il lancé. Par ailleurs, il dit être réjoui du « jeu institutionnel » qui a abouti à l’élection de Bassirou Diomaye Diakhar Faye qui a été « très bien élu ».
Thierno Bocoum, l’ancien député et fondateur du mouvement AGIR a fait face à la presse cette après midi pour jeter un regard sur le pouvoir de Bassirou Diomaye, après 100 jours d’exercice. En passant sous la loupe le bilan économique des cent jours du régime […]
ACTUALITE POLITIQUEThierno Bocoum, l’ancien député et fondateur du mouvement AGIR a fait face à la presse cette après midi pour jeter un regard sur le pouvoir de Bassirou Diomaye, après 100 jours d’exercice. En passant sous la loupe le bilan économique des cent jours du régime de Bassirou Diomaye Faye, il n’en reste pas moins que l’ancien parlementaire n’y voit rien de rassurant. Car selon monsieur Bocoum, lorsque le régime s’installait, ils ont trouvé un accord de 169 milliards de FCFA. “Et au mois de juillet il doit toucher 230 milliards. L’Etat du Sénégal a décidé que d’ici 2025, qu’il y ait zéro subvention. Ils le feront de manière progressive. C’est très machiavélique car, ils vont commencer par les grandes entreprises et vont inévitablement créer un manque de compétitivité. Dans ce cas, les entreprises auront des difficultés à l’international”, a fait savoir le président du mouvement AGIR.
Outre ce point, Thierno Bocoum a abordé la relation entre Diomaye et son Premier ministre Ousmane Sonko. Diomaye avait laissé entendre lors de son entretien avec des journalistes qu’il encourageait son Premier ministre non pas à lorgner le fauteuil présidentiel mais à le regarder. Suffisant pour que le leader du mouvement AGIR flaire un “deal”. Et selon ses termes, “on est face à un président de la République qui ne met pas en avant un projet mais un deal. Son jeu avec son PM est trop flou. La Constitution est claire, c’est lui (Bassirou Diomaye Faye) qui a été élu et qui jouit de la légitimité et de la légalité. Ses prérogatives en tant que Président sont clairement définies et les prérogatives de son premier ministre sont claires. Donc, il ne saurait y avoir de copinage à la tête du pays ».
Pour le président de AGIR, il est à croire que Diomaye Faye est soumis à son Premier ministre. Dans tous les cas il a persisté sur le « deal » entre le Président et son PM et appelle l’opposition à être beaucoup plus regardant.
Après Bocoum, le leader de AGIR qui a pointé du doigt le Président de la république Bassirou Diomaye Faye qu’il accuse d’adopter une posture d’intérimaire dans la conduite des destinées de notre pays, c’est au tour de l’ancien ministre Seydou Gueye de contre-attaquer. Selon lui, »ce […]
ACTUALITE POLITIQUEAprès Bocoum, le leader de AGIR qui a pointé du doigt le Président de la république Bassirou Diomaye Faye qu’il accuse d’adopter une posture d’intérimaire dans la conduite des destinées de notre pays, c’est au tour de l’ancien ministre Seydou Gueye de contre-attaquer.
Selon lui, »ce furent 100 jours d’incompétence, de bavardages, de reniements, de tâtonnements et de confusion de rôle ». Il ajoute : « Sa sortie révèle une absence préoccupante de maitrise à minima du budget et ses règles d’exécution ».
Il ne s’agit pas d’argent frais logé dans les placards de la Présidence de la république, renseigne Seydou Guèye sur les colonnes de SourceA.
Le fils de l’ex-couple présidentiel s’est marié dans la plus grande confidentialité. Les Échos révèle quelques détails autour de l’événement dans son édition de ce mardi 16 juillet. Tahirou Sarr Le plus jeune des enfants de Macky Sall, Ibrahima, s’est marié ce lundi. Il […]
ACTUALITE ET PEOPLELe fils de l’ex-couple présidentiel s’est marié dans la plus grande confidentialité. Les Échos révèle quelques détails autour de l’événement dans son édition de ce mardi 16 juillet.
Tahirou Sarr
Le plus jeune des enfants de Macky Sall, Ibrahima, s’est marié ce lundi. Il a épousé la fille de Tahirou Sarr, homme d’affaires réputé proche de l’ex-couple présidentiel. La cérémonie a eu lieu à Yoff, chez le père de la mariée.
Macky Sall
Contrairement à ce qui a été annoncé, Macky Sall n’a pas effectué le déplacement pour le mariage de son fils. Il s’est fait représenter par Amadou Mame Diop, le président de l’Assemblée nationale, et d’autres figures de l’ancien régime (voir ci-après). L’ex-Première dame, elle, était de la partie. Elle a séjourné discrètement à Dakar pour assister au mariage. Marième Faye était accompagnée de sa fille.
Délégation
Macky Sall était représenté au mariage de son fils Ibrahima Sall par le président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop. Mais la deuxième institution du pays n’était pas seul, il avait à ses côtés d’autres figures de l’ancien régime : le maire de Dakar-Plateau, Alioune Ndoye, l’ancien ministre de la Santé Abdoulaye Diouf Sarr, l’ancien ministre de la Communication Moussa Bocar Thiam et Abdou Aziz Mbaye. Le président du Conseil économique, social et environnemental, Abdoulaye Daouda Diallo, était sur la liste. Mais, il était hors du Sénégal.
L’activiste Bah Diakhaté a été extrait, hier lundi, de sa cellule après une nouvelle plainte pour être conduit dans les locaux de la Sûreté urbaine de Dakar où il est encore placé en garde à vue. Les détails de son audition. Les choses se compliquent pour Bah […]
À La Une justiceL’activiste Bah Diakhaté a été extrait, hier lundi, de sa cellule après une nouvelle plainte pour être conduit dans les locaux de la Sûreté urbaine de Dakar où il est encore placé en garde à vue. Les détails de son audition.
Les choses se compliquent pour Bah Diakhaté. L’activiste républicain qui purge une peine de 3 mois de prison, voit une autre procédure s’abattre sur lui pour des faits d’injures. A moins de 20 jours de sa libération dans l’affaire qui l’opposait au Premier ministre Ousmane Sonko, dans laquelle il a été condamné à 3 mois ferme, l’activiste a été extrait de sa cellule de prison par les éléments de la Sûreté urbaine de Dakar qui l’ont conduit dans leurs locaux pour les besoins de l’enquête préliminaire, suite à la plainte déposée par l’avocat de Ousmane Sonko, Me Ousseynou Fall.
L’avocat avait déposé une plainte sur la table du procureur de la République contre l’activiste et membre de Benno Bokk Yaakar (Bby) pour injures publiques et diffamation. Les faits incriminés remontent à la veille de l’élection présidentielle. Dans un live sur les réseaux sociaux, le détenu aurait débité des insanités contre la robe noire. L’enquête déclenchée a conduit Bah Diakhaté à la Sûreté urbaine pour son interrogatoire par les hommes du Commissaire Bara Sangharé.
Mais selon les informations de L’Observateur, Bah Diakhaté n’a pas coopéré avec les enquêteurs. Il a refusé de répondre aux questions posées par les limiers, arguant que les faits incriminés ont été effacés par la Loi d’amnistie. Bah Diakhaté estime que les faits qui lui sont reprochés sont déjà amnistiés et que son arrestation est une violation de la Loi d’amnistie. Après ce refus d’obtempérer, l’activiste a, malgré tout, été placé en position de garde à vue.
Selon toujours des informations de L’Observateur, il sera peut-être présenté au procureur de la République, aujourd’hui mardi, si les enquêteurs décident de poursuivre la procédure. Mais son avocat, Me El Hadji Diouf, estime que le déféré au parquet serait une violation de la loi. Pour la robe noire, on ne peut pas poursuivre une personne pour des faits qui ont été amnistiés.
En attendant le dénouement de cette affaire, il reste à Bah Diakhaté de purger quelques jours de sa peine de 3 mois ferme dans l’affaire de diffusion de fausses nouvelles et d’offense envers une personne occupant une fonction comparable à celle du chef de l’État.
La Chambre du contentieux des sociétés commerciales, des ventes commerciales et des transports (SVCT) a rendu son verdict dans le litige entre la Sedima et la société Tassette Green Farm (TGF). La société de Babacar Ngom a été condamnée à verser 15 millions de FCFA […]
Non classéLa Chambre du contentieux des sociétés commerciales, des ventes commerciales et des transports (SVCT) a rendu son verdict dans le litige entre la Sedima et la société Tassette Green Farm (TGF). La société de Babacar Ngom a été condamnée à verser 15 millions de FCFA à TGF.
À l’origine, TGF réclamait 77 millions de FCFA à la Sedima. Cette demande concernait une commande de 54 000 poussins, censés être vaccinés contre l’Influenza Aviaire (H9) et la Boursite Infectieuse (Gumboro), pour une valeur de 26.460.000 FCFA, ainsi qu’un peu plus de 74 tonnes d’aliments de croissance d’une valeur de 42.279.990 FCFA. Malheureusement, de nombreux poussins ont contracté les maladies contre lesquelles ils devaient être protégés, entraînant une mortalité élevée. De plus, TGF a jugé les aliments commandés de mauvaise qualité.
Suite à cela, TGF a intenté une action en justice contre la Sedima, réclamant 67 939 038 FCFA pour les pertes subies, en plus de 10 millions de FCFA pour dommages et intérêts. En réponse, la Sedima a déposé une demande reconventionnelle, réclamant 50 millions de FCFA pour procédure abusive et vexatoire, ainsi que 5 millions de FCFA pour frais irrépétibles. Le tribunal a finalement rejeté les demandes de la Sedima et l’a déclarée responsable des préjudices subis par TGF, la condamnant à verser 15 millions de FCFA. Cependant, la Sedima a fait appel de cette décision, tout comme Tassette Green Farm, qui estime que le montant alloué est insuffisant pour couvrir les dommages subis.
À l’heure où ces lignes sont écrites, le présumé meurtrier d’Awa Cissé fait face au procureur de la République à Ziguinchor, rapportent nos confrères de RFM. Arrêté, il y a quelques jours, Daouda Diallo alias « Abdou Diallo » a fait l’objet d’un retour de parquet, vendredi […]
ACTUALITE SOCIETEÀ l’heure où ces lignes sont écrites, le présumé meurtrier d’Awa Cissé fait face au procureur de la République à Ziguinchor, rapportent nos confrères de RFM. Arrêté, il y a quelques jours, Daouda Diallo alias « Abdou Diallo » a fait l’objet d’un retour de parquet, vendredi dernier.
Rappelons que la dame Awa Cissé a été tuée dans la nuit du 28 au 29 juin dernier, à Kafountine, une localité du département de Bignona, dans son lit conjugal, devant ses enfants.
C’est comme dans un conte de fée. L’affaire a lieu au Lycée de Dodel de Podor. La candidate cherchait 20 points pour avoir son Bac en poche, renseigne le journal « Bes Bi » dans sa parution de ce lundi 15 juillet 2024. Âgée de […]
ACTUALITE SOCIETEC’est comme dans un conte de fée. L’affaire a lieu au Lycée de Dodel de Podor. La candidate cherchait 20 points pour avoir son Bac en poche, renseigne le journal « Bes Bi » dans sa parution de ce lundi 15 juillet 2024. Âgée de 20 ans, la nouvelle bachelière n’a pu faire que l’épreuve de philosophie car elle avait commencé à ressentir des douleurs.
Elle est vite évacuée à l’hôpital. La candidate S. S. Sarr a donné naissance par césarienne à l’hôpital de Ndioum. Elle a finalement décroché le bac avec sa note 16/20. L’élève de L’1 est devenue bachelière avec la seule épreuve de philosophie.
Une maman a frôlé le pire au quartier Santhie de la commune de Joal. Mercredi passé aux environs de 19h, Fatou Kiné Diagne a constaté l’absence de son poste téléviseur et d’autres matériaux de valeurs au moment de regarder le journal télévisé. Intriguée, la pauvre […]
ACTUALITE SOCIETEUne maman a frôlé le pire au quartier Santhie de la commune de Joal.
Mercredi passé aux environs de 19h, Fatou Kiné Diagne a constaté l’absence de son poste téléviseur et d’autres matériaux de valeurs au moment de regarder le journal télévisé. Intriguée, la pauvre dame va à la recherche de ses biens.
Dans ses moments de confusion, elle apprendra par l’intermédiaire d’un des amis de ses fils, que celui-ci a été aperçu avec un poste téléviseur en direction du quai de pêche. Cependant, malgré sa descente rapide sur les lieux, Fatou Kiné Diagne ne verra pas l’ombre de son fils.
Au retour de son fils, la maman ne tardera pas à demander à son fils la restitution de ses biens. Seulement, le jeune homme tirait tranquillement son joint de chanvre indien et faisait savoir à sa maman qu’il a vendu le poste téléviseur à une de ses connaissances pour assurer sa consommation quotidienne de chanvre indien. Suite à ses propos, la maman pique une colère noire et réclame la restitution immédiate de ses biens.
Mais, comme son acte scandaleux ne suffisait pas, Ablaye kâ saccage le ventilateur et le décodeur canal. Après cette action, la maman et son fils vont en venir aux mains. Une bagarre au cours de laquelle, le jeune homme bastonne sévèrement sa maman. Cette dernière va appeler les voisins au secours.
Cependant, avant même l’arrivée des riverains, le jeune homme jette violemment une grosse pierre en direction de sa mère, entraînant ainsi une grave blessure au genou à son géniteur. C’est finalement, les voisins qui vont l’acheminer au centre de santé de Joal.
La maman, après avoir repris ses esprits, décide aussitôt de porter plainte contre son fils à la brigade de gendarmerie de la localité. Interpellé le mis en cause reconnaît les faits et avoue n’avoir aucun regret suite à ses actes de barbarie perpétrés sur sa mère.
Trouvé en possession de chanvre indien au moment de son arrestation, le jeune homme soutient que c’est sa mère qui la provoque sans cesse et veut le renvoyer de la maison à cause de la consommation du chanvre indien. Au terme de sa durée légale de garde à vue, Ablaye Ka a été déféré au parquet de Mbour.