Moustapha Mbacké alias Serigne Moustapha Bara Doli est convoqué à la Division de lutte contre la cybercriminalité ce mardi à 11 heures à Dakar. Sur instruction du procureur, la tête de liste départementale de la coalition Takku Wallu Sénégal et Samm Sa Kaddou doit être […]
ACTUALITE SOCIETELe président de l’Alliance avec le peuple (2AP/ SIGGI JOTNA), Abdoulaye Dièye se retire des élections législatives. Le leader politique dans la capitale du rail a évoqué des divergences au sein de l’inter-coalition Takku wallu-Jamm ak niarign et Samm sa kaddu. Il s’explique : «Après […]
ACTUALITE POLITIQUEUne vive altercation entre la ressortissante sénégalaise Aïssa Kamara et l’ancien président Macky Sall, accompagné de son épouse, a éclaté à bord d’un vol Royal Air Maroc reliant Casablanca à Paris. Les faits se sont déroulés le 7 octobre 2024, entraînant l’arrestation de Mme Kamara […]
ACTUALITE DiplomatieUne affaire rocambolesque secoue la police nationale. Neuf policiers ont en effet été arrêtés par leurs collègues de la Division des Investigations Criminelles (DIC). Selon une source, les agents en question avaient arrêté des Maliens qui détenaient 600 millions de francs CFA en liquide. Seulement, […]
ACTUALITE justiceUne affaire rocambolesque secoue la police nationale. Neuf policiers ont en effet été arrêtés par leurs collègues de la Division des Investigations Criminelles (DIC). Selon une source, les agents en question avaient arrêté des Maliens qui détenaient 600 millions de francs CFA en liquide. Seulement, au lieu de déclarer la totalité une fois dans les locaux du commissariat, ils n’ont déclaré que les 400 millions Fcfa après avoir soutiré 200 millions de la valise d’argent.
Ils auraient pu réussir leur coup sans laisser de traces. Seulement, un petit matériel les a grillés. Une caméra de surveillance. Les maliens l’avaient par dévers eux. Et elle aurait filmé la scène. L’enquête serait déjà bouclée et les limiers devraient être déférés aujourd’hui. Une nouvelle qui souffle un vent de tristesse dans les rangs des policiers car il est toujours difficile pour eux de mettre leurs collègues aux arrêts.
Ce mercredi matin, le tribunal départemental de Tivaouane a rendu son verdict concernant l’affaire des deux ressortissants chinois et de leur interprète sénégalais, Ibrahima Sory Traoré. Ils avaient été accusés d’avoir violenté un de leurs employés, Ibrahima Fall, afin de récupérer son salaire sous prétexte […]
ACTUALITE justiceCe mercredi matin, le tribunal départemental de Tivaouane a rendu son verdict concernant l’affaire des deux ressortissants chinois et de leur interprète sénégalais, Ibrahima Sory Traoré. Ils avaient été accusés d’avoir violenté un de leurs employés, Ibrahima Fall, afin de récupérer son salaire sous prétexte qu’il avait refusé de décharger des marchandises.
Les accusés, incarcérés depuis le 11 juin 2024, ont été condamnés à trois mois de prison ferme et doivent verser cinq millions de francs CFA de dommages et intérêts à Ibrahima Fall. Il leur reste moins de deux mois de détention avant de retrouver la liberté.
L’avocat de la partie civile avait initialement demandé 100 millions de francs CFA en compensation, tandis que le Ministère public avait requis six mois de prison ferme pour les deux prévenus et un an ferme pour celui qui avait mis son genou sur la tête de la victime.
Les condamnés, employés d’une entreprise chinoise exploitant une carrière à Darou Khoudoss près de Mboro, occupaient les postes de comptable, manager et interprète.
L’affaire des Industries Chimiques du Sénégal
L’affaire Ibrahima Fall des Industries Chimiques du Sénégal (ICS) à Taïba a pris une tournure importante avec la mise en détention provisoire de deux ressortissants chinois et d’un Sénégalais, accusés de torture. La confrontation avec le juge est prévue pour le 26 juin 2024. Ces accusations graves portent sur les mauvais traitements infligés aux employés sénégalais par des superviseurs étrangers.
Les ICS, autrefois perçues comme un pilier de l’industrie sénégalaise, sont actuellement au cœur de plusieurs controverses. Bien que l’entreprise ait réalisé des avancées en matière de responsabilité sociétale, telles que l’approvisionnement en eau pour des milliers de personnes et des investissements dans les infrastructures locales, elle fait face à des accusations de pollution environnementale et de mauvaises conditions de travail pour ses employés locaux.
La femme a perdu une dent lorsqu’elle a décidé de rompre les amarres avec son ancien petit-ami du nom de M. Bèye. Toute séparation de quelque nature qu’elle soit est douloureuse. A plus forte raison lorsque ladite séparation aussi brusque que brutale survient dans une relation […]
ACTUALITE SOCIETELa femme a perdu une dent lorsqu’elle a décidé de rompre les amarres avec son ancien petit-ami du nom de M. Bèye. Toute séparation de quelque nature qu’elle soit est douloureuse. A plus forte raison lorsque ladite séparation aussi brusque que brutale survient dans une relation sentimentale. Et l’ancien militaire nommé M. Bèye, adepte de l’usage de chanvre indien aussi, a vécu l’amère expérience dans son idylle avec la jeune femme répondant au nom de S. Mbacké, rapporte Les Echos.
Tout allait pourtant pour le mieux dans le meilleur des mondes entre les deux amants. Lesquels vivaient sur leur petit nuage et se la coulaient douce aussi. S. Mbacké vit en location dans un appartement, sis à la cité Aliou Sow dans la commune de Golf Sud. M. Bèye, ancien militaire, s’y rend très souvent et passe de bons moments avec la jeune femme.
Un jour, la jeune femme décide de couper les ponts avec son petit-ami d’ancien militaire. Elle attend alors la venue de celui-ci dans son appartement et lui crache la rupture à la figure. Bèye reste groggy devant l’initiative de rupture de la dame et refuse de se rendre à l’évidence. Il engage un autre sujet de discussion et joue la carte de la diversion, histoire de tenter de noyer le poisson. La dame campe sur sa position et réitère sa décision de se séparer de son petit-ami. Ce dernier s’emporte et monte sur ses grands chevaux. Il refuse de lâcher la jeune femme et jure sur tous ses saints de se venger.
Malgré tout, la jeune dame reste inflexible dans sa ferme volonté de rupture et décide ensuite d’engager un nouveau tournant dans sa vie sentimentale avec un autre. Furax, Bèye câble sa désormais ancienne amante et tente à nouveau de se remettre avec elle. Sans succès. Il lui crache du venin à la figure et déclare détenir ses images obscènes. Il l’invite à renouer le fil avec lui et menace de la vilipender par la publication des vidéos et autres images obscènes sur les réseaux sociaux. Tel un forcené, il fait irruption dans l’appartement de la dame et lui débite des énormités. Il la traite ensuite de tous les noms d’oiseaux.
Outré, S. Mbacké se braque et réplique aux insanités. Elle se défoule sur son ex et le somme de sortir illico-presto de son appartement. L’ancien soldat se jette sur la jeune femme et la bastonne. Dans sa furie, il lui casse une dent et lui occasionne des blessures. La dame rumine sa colère, file droit au commissariat d’arrondissement de Golf Sud et dépose une lettre plainte contre son ancien partenaire.
Cueilli à son domicile par un commando, M. Bèye sera soumis à une fouille corporelle par les agents de terrain, qui découvriront du chanvre indien en vrac et des joints de la même variété de drogue par devers-lui. Il sera ensuite embarqué dans le panier à salade, conduit au commissariat, puis placé en garde à vue. Il a été présenté, hier, devant le parquet du tribunal de grande instance de Guédiawaye. Il est poursuivi pour violences et voies de fait, injures publiques, violation de domicile et menace de publication de données à caractère personnel.
Après le Directeur général de la Loterie nationale sénégalaise (LONASE), Dr Toussaint Manga, celui du Port autonome de Dakar a décidé, lui aussi, de mettre fin aux conventions de partenariat avec la presse. Selon « Les Echos », Waly Diouf Bodian a envoyé aux entreprises de presse […]
ACTUALITE SOCIETEAprès le Directeur général de la Loterie nationale sénégalaise (LONASE), Dr Toussaint Manga, celui du Port autonome de Dakar a décidé, lui aussi, de mettre fin aux conventions de partenariat avec la presse. Selon « Les Echos », Waly Diouf Bodian a envoyé aux entreprises de presse une correspondance pour résilier les contrats qu’elles avaient signés avec la structure qu’il dirige.
Avant cette décision qui ne fera pas l’affaire de la presse, M. Bodian avait annoncé la suspension du renouvellement des contrats des travailleurs temporaires.
Plus de 1000 bâtiments recensés sur le territoire national, dont 600 à Dakar, menacent de s’effondrer. L’alerte est donnée par le ministre des Infrastructures. El Malick Ndiaye, repris par L’AS, présidait l’atelier de lancement d’un référentiel d’homologation des laboratoires qui vont désormais certifier les produits […]
ACTUALITE SOCIETEPlus de 1000 bâtiments recensés sur le territoire national, dont 600 à Dakar, menacent de s’effondrer. L’alerte est donnée par le ministre des Infrastructures. El Malick Ndiaye, repris par L’AS, présidait l’atelier de lancement d’un référentiel d’homologation des laboratoires qui vont désormais certifier les produits à utiliser dans les BTP (Bâtiment et travaux publics), mardi.
Le ministre pointe, entre autres causes, « le non-respect des normes minimales de construction, la mauvaise qualité des infrastructures, des bâtiments et des matériaux de construction ». « Nous ne tolérerons plus l’importation de produits qui ne remplissent pas les critères de qualité, notamment la longueur, le diamètre, etc., avertit-il. Aussi, nous allons faire pareil avec [les matériaux] de fabrication locale pour nous assurer que désormais, dans les constructions, les travaux publics, nous [aurons] des produits de qualité parce qu’il y va de la vie des Sénégalais. »
La tutelle, préconisant « une démarche qualité », appelle tous les acteurs du secteur à s’impliquer pour relever les défis. « On a beaucoup de projets et de programmes à venir comme les 300 000 logements. Il faut dès à présent nous assurer que la qualité sera au rendez-vous ainsi que le respect des normes », tranche le responsable du Pastef (parti au pouvoir).
Pour finir, El Malick Ndiaye assure que « le contrôle de qualité sera de rigueur à partir de maintenant », conformément aux directives du chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye.
Pour sa part, signale le journal, le directeur général du Laboratoire national de référence des bâtiments et des travaux publics (LNR-BTP), Pr Chérif Baldé, a insisté sur « les progrès réalisés », affirmant que « 17 laboratoires ont été agréés pour faire des études de sol » avant toute construction.
Le parc national du Niokolo-Koba a été officiellement retiré de la liste du patrimoine mondial en péril de l’UNESCO. Cette décision marque l’aboutissement de 17 années d’efforts pour réhabiliter le parc, comme l’a annoncé le ministre sénégalais de l’Environnement, Daouda Ngom. Le ministre a souligné […]
ACTUALITE environnementLe parc national du Niokolo-Koba a été officiellement retiré de la liste du patrimoine mondial en péril de l’UNESCO.
Cette décision marque l’aboutissement de 17 années d’efforts pour réhabiliter le parc, comme l’a annoncé le ministre sénégalais de l’Environnement, Daouda Ngom.
Le ministre a souligné que ce résultat renforcerait le tourisme et faciliterait l’accès au financement pour d’autres initiatives de conservation, notamment l’élaboration d’un nouveau plan de gestion pour le parc.
Le parc national du Niokolo-Koba, créé en 1954, est situé à environ 650 kilomètres à l’est de Dakar, dans la région de Tambacounda. Il s’étend sur près d’un million d’hectares et présente un paysage diversifié comprenant des forêt-galerie, de vastes zones humides, des savanes boisées, des collines rocheuses, des berges abruptes, des bambous géants et des forêts tropicales humides.
Le parc abrite plusieurs rivières, dont l’emblématique fleuve Gambie, qui entretient une riche variété de vie dans cet écosystème unique.
Mise en régie par l’Etat du Sénégal dans l’exécution des travaux du Building administratif, la société Bamba Ndiaye Sa accusé de confisquer la documentation technique du bâtiment a servi une réponse au Premier ministre Ousmane Sonko. Suite à la plainte de l’Etat et la requête sur l’affaire […]
ACTUALITE justiceMise en régie par l’Etat du Sénégal dans l’exécution des travaux du Building administratif, la société Bamba Ndiaye Sa accusé de confisquer la documentation technique du bâtiment a servi une réponse au Premier ministre Ousmane Sonko.
Suite à la plainte de l’Etat et la requête sur l’affaire du Building administratif, Bamba Ndiaye entendu à la Section de recherches, a réagi. Selon L’OBS, Bamba Ndiaye Sa attire l’attention de la Primature sur certains points :
«Monsieur le Premier ministre avait conditionné le délai de deux mois qu’il nous avait consenti, au paiement de nos factures, les tâches liées à la sécurité incendie ont toutes été exécutées, le niveau d’exécution du marché est de loin supérieur aux 90% qu’indique votre lettre, ce qui reste à exécuter n’étant que le remplacement d’un groupe électrogène et d’un transformateur, et la fourniture de deux cuisines et du matériel de sonorisation, autant de choses qui n’empêchent pas le fonctionnement du Building, pour que votre lettre puisse parler de sauvegarde de la continuité du service public. »
Il ajoute : « Rien de ce qui reste à fournir n’est constitutif d’une menace à la continuité du service public, ce qui, de notre avis, empêche une quelconque mise en œuvre des dispositions légales que vise votre lettre, surtout que la mise en demeure n’a pas intégré l’exigence du paiement préalable résultant des instructions de Monsieur le Premier ministre et de notre planning des travaux ».
Contestant la mise en régie, Bamba Ndiaye Sa écrit : «Nous pensons donc qu’il sied mieux que les parties s’entendent sur un délai raisonnable permettant la commande et la livraison du matériel à fournir, afin de finir ce marché de manière apaisée, surtout que la mise en régie que vous voulez appliquer vous exposera à devoir payer le ou les fournisseurs, sans aucune garantie d’être livré, en ce qu’il sont tous dans une relation d’exclusivité avec nous, les obligeant à ne pouvoir livrer à personne d’autre au Sénégal ».
Ameth Suzanne Camara a été placé en garde à vue dans les locaux du commissariat de Dakar après son interrogatoire. Trois chefs d’accusation pèsent sur Ameth Suzanne CamaraLe membre du réseau des enseignants de l’Apr est poursuivi pour offense au chef de l’Etat, acte de […]
À La Une justiceAmeth Suzanne Camara a été placé en garde à vue dans les locaux du commissariat de Dakar après son interrogatoire.
Trois chefs d’accusation pèsent sur Ameth Suzanne Camara
Le membre du réseau des enseignants de l’Apr est poursuivi pour offense au chef de l’Etat, acte de nature à jeter le discrédit sur une institution de la République et à inciter les citoyens à enfreindre les lois.
Ce qu’il a dit aux enquêteurs
Interrogé sur procès-verbal, M.Camara a reconnu être l’auteur des propos tenus, dans l’émission « Ultimatum » de Seneweb, à l’endroit du président Bassirou Diomaye Faye et du premier Ministre Ousmane Sonko .
Toutefois, il a précisé aux enquêteurs que son intention n’était pas d’offenser ou jeter du discrédit sur les hautes autorités de l’Etat ou inciter les citoyens à enfreindre les lois.
Le responsable républicain incriminé sera déféré, ce jeudi, au parquet sauf changement de dernière minute selon des sources de Seneweb.
Pour rappel, Ameth Suzanne Camara est soupçonné d’avoir offensé les hautes autorités de la République.
Le procureur de la République s’est auto-saisi de l’affaire en ordonnant au commissaire Bara Sangharé, le chef de la SU d’arrêter M. Camara.
Ameth Suzanne Camara vient d’être arrêté par les éléments de la Sûreté urbaine (SU) du commissariat central de Dakar, a appris Seneweb d’une source autorisée. L’arrestation de ce responsable de l’APR est consécutive à ses propos tenus hier dans l’émission « Ultimatum » de Seneweb. Il est […]
À La Une justiceAmeth Suzanne Camara vient d’être arrêté par les éléments de la Sûreté urbaine (SU) du commissariat central de Dakar, a appris Seneweb d’une source autorisée.
L’arrestation de ce responsable de l’APR est consécutive à ses propos tenus hier dans l’émission « Ultimatum » de Seneweb. Il est soupçonné d’avoir offensé les hautes autorités de la République.
Le procureur de la République s’est autosaisi de l’affaire en ordonnant au commissaire Bara Sangharé, le chef de la SU d’arrêter M. Camara. Il sera placé en garde à vue après son interrogatoire.
Une situation de détresse et d’urgence mobilise la commune de Thiaroye-sur-Mer et l’ONG Horizons sans Frontières. Plus de 70 migrants sénégalais, âgés de 19 à 35 ans et originaires de plusieurs localités du Sénégal, sont retenus en otage en Tunisie par des bandes armées. Ces […]
ACTUALITE SOCIETEUne situation de détresse et d’urgence mobilise la commune de Thiaroye-sur-Mer et l’ONG Horizons sans Frontières. Plus de 70 migrants sénégalais, âgés de 19 à 35 ans et originaires de plusieurs localités du Sénégal, sont retenus en otage en Tunisie par des bandes armées. Ces migrants, partis clandestinement de Yenne le 5 mai 2024, dans l’espoir de rejoindre l’Europe, se trouvent depuis près de trois mois à Gafsa où leurs vies sont menacées par leurs ravisseurs.
Lors d’une audience tenue aujourd’hui à l’Hôtel de Ville de Thiaroye-sur-Mer, le maire El Mamadou Ndiaye et Boubacar Sèye de l’ONG Horizons sans Frontières ont rencontré un collectif de familles touchées par cette tragédie. Les témoignages recueillis de diverses sources indiquent que les ravisseurs exigent constamment des rançons pour la libération des otages.
Face à leur désespoir, le maire a officiellement alerté les autorités étatiques par correspondance bordereau n°51 en date du 10 juillet 2024, appelant à une intervention rapide pour secourir les victimes.
Dans un élan de solidarité, la commune de Thiaroye-sur-Mer et Horizons sans Frontières lancent un appel solennel au président de la République et aux autorités compétentes pour une prise en charge urgente de cette crise. Ils exhortent également à la tenue d’assises sur l’émigration clandestine, un fléau qui décime la jeunesse sénégalaise depuis des décennies.