Après une première audition devant la Division des investigations criminelles (Dic) la semaine passée, Dieguy Diop, figure de l’Alliance pour la République (Apr), doit à nouveau se présenter devant les enquêteurs ce jeudi 10 octobre. L’information a été révélée par l’intéressée elle-même lors d’une intervention […]
À La Une justiceP. M. Guèye et O. Ndiaye seront fixés sur leur sort le 15 octobre. Ils ont été jugés pour vol mardi dernier devant leur tribunal de grande instance de Mbour. Ils sont accusés d’avoir cambriolé le domicile d’un couple français, A. Sagna et son époux […]
ACTUALITE SOCIETELes 26 joueurs sélectionnés pour affronter le Malawi sont tous en mesure de participer à la rencontre, à l’exception d’Abdallah Sima. Dr. Fedhior a fait le point sur la situation médicale de l’équipe. L’attaquant Abdallah Sima est absent lors des deux premières séances d’entraînement de […]
ACTUALITE SPORTSLe Tribunal des flagrants délits de Dakar a statué hier mercredi sur une affaire d’offre, de cession, de détention et d’usage de chanvre indien impliquant un vieil homme et son fils. O.Diop, le fils, aurait offert du chanvre indien à son père A.Diop et à […]
ACTUALITE SOCIETELe Tribunal des flagrants délits de Dakar a statué hier mercredi sur une affaire d’offre, de cession, de détention et d’usage de chanvre indien impliquant un vieil homme et son fils. O.Diop, le fils, aurait offert du chanvre indien à son père A.Diop et à ses amis. Invités par le jeune homme, A.Diop, A.Diallo et M.Mbengue se sont tous retrouvés dans sa chambre pour fumer du yamba a-t-on appris à la page 6 de L’Observateur. Ces faits leur ont valu d’être placés en détention. Reconnu coupable, O.Diop a été condamné à 3 mois d’emprisonnement.
Son père et ses amis ont quant à eux écopé d’une peine d’1 mois ferme. La semaine dernière, la police de Bargny a effectué une descente chez les Diop. Sur place, les forces de l’ordre ont trouvé O.Diop, A.Diop, A.Diallo et Matar Mbengue en train de fumer du chanvre indien dans la chambre d’Ousseynou. Après perquisition, les policiers ont saisi 12 cornets de chanvre indien. Ousseynou a reconnu être le propriétaire de la drogue, expliquant qu’il s’agissait du reliquat d’un kilo qu’il avait acheté 100 000 FCFA et qu’il comptait revendre. Ses co-prévenus l’ont également désigné comme le fournisseur du quartier. Cependant, à l’audience, les prévenus ont changé de version. Ils ont affirmé s’être réunis dans la chambre d’Ousseynou pour prendre du thé. Ousseynou a déclaré n’avoir en sa possession que cinq cornets destinés à sa consommation personnelle. Son père a nié être au courant de ce qui se tramait dans la chambre, affirmant n’avoir aucune autorité sur son fils majeur. A.Diallo a également soutenu qu’Ousseynou était comme son propre fils et qu’il ne se permettrait jamais de faire des deals avec lui. Malgré ces dénégations, le procureur a requis 2 ans ferme contre O.Diop et un an ferme contre A.Diop, A.Diallo et M.Mbengue. Finalement, le tribunal a condamné O.Diop à trois mois ferme et son père et ses amis à un mois d’emprisonnement.
Le Président Diomaye Faye a récemment ordonné à l’Inspection générale d’État (IGE) de réaliser un audit de plus de 70 directions, agences et fonds publics. L’objectif est de détecter d’éventuelles anomalies dans la gestion et d’en identifier les responsables. « Les missions d’audit devraient être […]
ACTUALITE POLITIQUELe Président Diomaye Faye a récemment ordonné à l’Inspection générale d’État (IGE) de réaliser un audit de plus de 70 directions, agences et fonds publics. L’objectif est de détecter d’éventuelles anomalies dans la gestion et d’en identifier les responsables.
« Les missions d’audit devraient être complètes dans les jours à venir. Les rapports de ces enquêteurs réputés s’ajouteront à ceux de la Cour des comptes et de l’OFNAC [Office national de lutte contre la fraude et la corruption] », rapporte Le Témoin dans son édition de ce jeudi.
Le journal précise que tous les rapports seront bientôt envoyés au procureur de la République. Une précision importante du quotidien : les dossiers ne seront pas remis à Abdou Karim Diop, l’actuel procureur, mais à son successeur. « Les autorités attendent simplement la réunion du Conseil supérieur de la magistrature (CSM), lors de laquelle de nouveaux chefs de juridiction et procureurs seront nommés, pour transmettre les rapports des organes de contrôle à la justice », indique Le Témoin.
Le quotidien va plus loin en annonçant l’imminence de « convocations » et d’« arrestations » visant des personnalités de l’ancien régime, affirmant « qu’il existe des dossiers contenant des crimes financiers flagrants où le juge d’instruction n’aura même pas besoin d’ouvrir une enquête judiciaire ». Dans cette optique, Le Témoin révèle que le ministère de la Justice a alloué un budget pour « la rénovation de certaines cellules des prisons de Rebeuss et du Cap Manuel afin de les préparer à accueillir de nouveaux détenus, ce qui semble tout à fait normal étant donné que l’Administration pénitentiaire se prépare à gérer des prisonniers hors du commun ».
Un mandat d’arrêt international a été lancé contre El Hadj Dia, leader du parti politique APR, en lien avec les détournements de crédits accordés par le Crédit Mutuel du Sénégal au Fongip. Cette information a été relayée par le journal Source A, mettant en lumière […]
ACTUALITE SOCIETEUn mandat d’arrêt international a été lancé contre El Hadj Dia, leader du parti politique APR, en lien avec les détournements de crédits accordés par le Crédit Mutuel du Sénégal au Fongip. Cette information a été relayée par le journal Source A, mettant en lumière une affaire de détournement impliquant des crédits destinés au Fongip.
El Hadj Dia, qui occupait récemment le poste de coordinateur départemental de « Benno Bokk Yakaar » à Ziguinchor, a été destitué de ses fonctions avant d’être nommé ambassadeur itinérant par le Président Macky Sall. Il était également accusé de détournements de fonds au Crous de Bambey.
L’enquête menée par la Gendarmerie, citée par Source A, a mis en évidence les détournements commis par certains membres de l’Alliance pour la République (APR). À ce jour, quatre personnes ont été arrêtées, notamment N. Kane, O. Camara, P. Faye Ndiaye ainsi que le chef d’agence du Crédit Mutuel de Bambey.
Les informations recueillies indiquent que les montants alloués par le Crédit Mutuel aux bénéficiaires pouvaient dépasser plusieurs millions de francs CFA, alors que seulement 200 000 francs CFA étaient réellement remis aux destinataires. El Hadj Dia, figure centrale de cette affaire, est désormais visé par un mandat d’arrêt international.
Un accident entre deux motos a eu lieu hier à Linguère, Jakarta. Un mort et deux blessés graves sont à déplorer. Parmi les blessés graves, rapporte la RFM, se trouve une dame qui a été évacuée à l’hôpital Cheikhoul Khadim de Touba. L’autre blessé a […]
ACTUALITE SOCIETEUn accident entre deux motos a eu lieu hier à Linguère, Jakarta. Un mort et deux blessés graves sont à déplorer.
Parmi les blessés graves, rapporte la RFM, se trouve une dame qui a été évacuée à l’hôpital Cheikhoul Khadim de Touba. L’autre blessé a été admis aux urgences à l’hôpital Maguette Lo.
À titre de rappel, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a demandé, lors du Conseil des ministres du mercredi 31 juillet, au Premier ministre Ousmane Sonko de convoquer une réunion interministérielle pour évaluer les mesures de prévention et de sécurité routières en préparation des événements religieux à venir, le Magal et le Maouloud.
Rachelle Sleylati va comparaître ce jeudi 1er août aux côtés de son père, André Sleylati et de son fiancé, Alex Nfoury. Les Échos, qui donne l’information, rappelle que le dossier transmis à la première chambre correctionnelle du Tribunal de grande instance de Dakar après instruction […]
ACTUALITE justiceRachelle Sleylati va comparaître ce jeudi 1er août aux côtés de son père, André Sleylati et de son fiancé, Alex Nfoury. Les Échos, qui donne l’information, rappelle que le dossier transmis à la première chambre correctionnelle du Tribunal de grande instance de Dakar après instruction concerne l’affaire Batiplus. Celle-ci avait fait les choix gras de la presse en 2020. Les mis en cause sont tous sous contrôle judiciaire.
Pour rappel, tout est parti d’une plainte de Batiplus contre sa caissière accusée d’avoir pompé une importante somme d’argent d’un coffre-fort de la société qui estime le préjudice subi à 4 milliards de francs CFA. Rachelle Sleylati inculpée et placée sous mandat de dépôt, sera suivie par son fiancé et ses parents. Le Doyen des juges d’instruction de l’époque, feu Samba Sall, avait écarté la maman Marie Joseph Sleylati, de même que Christian Samra, ex-Dg de Batiplus et auteur de la plainte.
Durant la procédure d’instruction, rembobine la source, deux immeubles appartenant aux parents de la mise en cause, soupçonnés d’avoir été achetés à partir de l’argent détournés, ont été saisis : Il s’agit du TF 697 d’une superficie de 309 m2 sis à Ngor Almadies, et l’autre situé au Point E d’une superficie de 281 m2.
Dans son ordonnance de renvoi, le juge avait aussi ordonné « la restitution des montants saisis et confiés à la Caisse des dépôts et consignations (CDC), qui s’élèvent à 650 millions », complète le quotidien d’information.
La maison d’arrêt et de correction de Diourbel a enregistré hier un décès. . Il s’agit d’un vieil homme de 70 ans , en détention depuis près d’un an , qui s’est subitement affalé avant de perdre connaissance pour ensuite perdre l’âme. Les premiers secours […]
ACTUALITE SOCIETELa maison d’arrêt et de correction de Diourbel a enregistré hier un décès. . Il s’agit d’un vieil homme de 70 ans , en détention depuis près d’un an , qui s’est subitement affalé avant de perdre connaissance pour ensuite perdre l’âme. Les premiers secours n’ont pu ramener la victime en vie. Les derniers développements laissent entendre que la famille du regretté disparu espère qu’une autopsie soit faite. Du côté des autorités , c’est d’ailleurs ce qui est recommandé même si la thèse de la mort naturelle est sans ambiguïté. Du côté du forum du justiciable , on s’est plutôt offusqué de la longue durée des détentions.
Grande a été notre surprise en apprenant ce mercredi, à l’issue du conseil des ministres, le limogeage du Dr Cheikh Dieng, désormais ex-directeur de l’office national de l’assainissement du Sénégal (ONAS). Fallait-il s’y attendre réellement? Une question ayant comme réponse, la négation au regard du […]
ACTUALITE POLITIQUEGrande a été notre surprise en apprenant ce mercredi, à l’issue du conseil des ministres, le limogeage du Dr Cheikh Dieng, désormais ex-directeur de l’office national de l’assainissement du Sénégal (ONAS). Fallait-il s’y attendre réellement? Une question ayant comme réponse, la négation au regard du départ de l’actuel gouvernement qui a tenu à fonder sa démarche sur le slogan triptyque: « Jub Jubel Jubënti ». À l’étonnement général, tout le monde s’est demandé : « qu’est-ce qui a pu pousser Bassirou Diomaye Faye à éjecter l’ancien maire de Djiddah Thiaroye Kao qui a fini par s’allier à Sonko et Diomaye lors de la dernière présidentielle »? Qu’est ce qui doit être à l’origine de ce « désamour » prématuré qui, pourtant était bien parti ?
Pour l’heure, aucune indication ne confirme cette brusque décision qui crée le tollé sur les réseaux sociaux et étonne plus d’un. Toutefois, il faut se rappeler que, dans un passé récent, juste à l’arrivée du Dr Cheikh Dieng, les travailleurs de l’Onas ont arboré les brassards rouges pour fustiger la façon dont leur nouveau DG procédait aux audits en augmentant les charges de travail avec des gens qui n’auraient aucune qualification relative aux métiers de l’Onas. Ces agents dénonçaient entre autres même, le clientélisme politique. Selon une source de Dakaractu, l’ancien libéral serait impliqué dans une affaire de voiture reçu d’un privé.
Mais est-ce que son limogeage serait-il en rapport seulement avec ce dossier? Mystère et boule de gomme.
Lors de son déplacement à Saint-Louis, le premier ministre Ousmane Sonko avait demandé au directeur général d’alors ( Cheikh Dieng, démis de ses fonctions), de lui fait un rapport détaillé sur l’exécution financière du projet d’assainissement de certains quartiers dans l’ancienne capitale et dont le montant tournerait autour de 60 milliards.
Expert en environnement, Dr Cheikh Dieng a été désigné directeur général de l’Onas le 25 avril dernier en remplacement de Mamadou Mamour Diallo. Il a été purement et simplement remplacé ce mercredi à ce poste et n’est aussi, pas appelé à d’autres fonctions. Son alliance avec l’actuel régime est-elle compromise? Wait and see.
L’Association des femmes magistrates du Sénégal (Afms) rejette toute idée d’ouvrir le Conseil supérieur de la magistrature ( Csm ) à d’autres corps, mais n’émet aucune position tranchée sur le maintien ou non du chef de l’Etat à la tête de ce conseil. Les femmes magistrates l’ont […]
À La Une justiceL’Association des femmes magistrates du Sénégal (Afms) rejette toute idée d’ouvrir le Conseil supérieur de la magistrature ( Csm ) à d’autres corps, mais n’émet aucune position tranchée sur le maintien ou non du chef de l’Etat à la tête de ce conseil.
Les femmes magistrates l’ont fait savoir hier, lors de leur réunion de débriefing suite à la participation aux Assises de la Justice.
L’occasion a été saisie pour revenir sur les propositions concernant le Conseil supérieur de la magistrature(Cms) et la Haute autorité de la Justice, mais surtout sur la présence ou non, dans ce Conseil, du président de la République et des profils autres que des magistrats, principal sujet de controverse.
Si les femmes magistrates ont insisté sur ces deux points, c’est parce qu’ils font encore couler beaucoup d’encre du fait d’un manque de consensus. Les opinions divergent, même au sein de la magistrature. Certains souhaitant le retrait du président de la République de cet organe, tandis que d’autres comme l’Ums plaident pour son maintien. L’Afms, elle, n’a pas un avis tranché sur la question.
Rester ou partir ? Aucune des deux options ne gênerait l’indépendance de la Justice, selon Marie Odile Thiakane Ndiaye. Le maintien du chef de l’Etat est, de son avis, plutôt un atout pour la bonne marche de la magistrature et favorise le dialogue entre les pouvoirs.
«Nous n’avons pas trop de souci à ce niveau. Nous nous sommes dit qu’il pouvait rester ou partir. Cela ne nuira en rien à la bonne marche de la magistrature. Mais nous insistons sur le fait que le Conseil supérieur de la magistrature est une occasion pour le président de la République et les magistrats de parler des problèmes qui se posent dans la magistrature. Ce sont deux pouvoirs qui doivent dialoguer. Il n’y a pas d’autre intérêt que celui de la Nation et nous devons tous concourir à cela», souligne-t-elle, reprises par L’OBS.
Sur l’ouverture du Conseil supérieur de la magistrature à des acteurs divers, l’Association des femmes magistrates reste intransigeante que l’Ums. «Nous ne soutenons pas l’ouverture du Conseil supérieur de la magistrature à des tiers, poursuit la présidente de la cour d’Appel de Dakar. Nous ne voyons même pas l’utilité ni l’impact que cela peut avoir sur l’indépendance de la Justice. Pourquoi faire sortir un président de la République pour intégrer des corps qui, par exemple, font de la politique et ne sont pas soumis à une obligation de réserve ? C’est incohérent.»
Loin d’être un bras de fer, cette position serait dictée par une prise de conscience que les affaires de chaque corps professionnel doivent être gérées par ses membres et non par des personnes extérieures. Ce, d’autant que le Conseil n’intervient pas dans le cadre de l’orientation de la Justice ou du contrôle citoyen, mais c’est un organe de discipline et de gestion de carrière.
«Quel peut être l’apport de ces tiers dans cet organe de discipline et de gestion de la carrière des magistrats ? Je ne sais pas. Je ne vois pas l’importance de cette proposition. Les éléments extérieurs à ce corps n’ont rien à faire dans cet organe», ajoute la présidente qui appuie en revanche l’idée d’un organe de contrôle citoyen, le Haut conseil de la Justice qui a été préconisé dans les conclusions des Assises de la Justice. Une institution constitutionnelle au sein de laquelle acteurs et usagers vont désormais assurer un contrôle du bon fonctionnement du système judiciaire.
Les temps ne sont plus aussi favorables au sein du groupe E-Media Invest. Abdoulaye Sylla a déposé une plainte auprès du procureur de la République près le Tribunal de grande instance de Dakar, révèle Source A. Le plaignant remet en cause « la manière dont […]
ACTUALITE médiaLes temps ne sont plus aussi favorables au sein du groupe E-Media Invest. Abdoulaye Sylla a déposé une plainte auprès du procureur de la République près le Tribunal de grande instance de Dakar, révèle Source A.
Le plaignant remet en cause « la manière dont la société a été gérée par Mamoudou Ibra Kane (ancien directeur général du groupe de presse) et son successeur Alassane Samba Diop », rapporte le journal. Les deux journalistes sont poursuivis pour « abus de biens sociaux », informe le journal, avant d’ajouter : « Le principal reproche fait à Mamoudou Ibra Kane et Alassane Samba Diop, entre autres, est d’avoir poursuivi l’exploitation malgré la perte de plus de la moitié du capital social et des infractions prévues par l’article 111 de l’acte uniforme sur le droit comptable, pour ne pas avoir dressé l’inventaire et établi les états financiers annuels, ainsi que la banqueroute prévue par l’article 228 alinéa 4 et l’article 213 alinéa 5 pour ne pas avoir tenu la comptabilité. »
Joint par Source A, Alassane Samba Diop (actuel directeur général de la société) affirme : « Que celui qui nous accuse prouve que nous avons abusé de biens sociaux. » Mamadou Ibra Kane était injoignable, souligne le journal. Le patron de Ecotra, repris par Source A, s’offusque également du fait que le top management du groupe « n’ait pas déclaré l’état de cessation de paiement de la société dans le délai de trois mois », préférant ne pas présenter « les comptes à l’approbation de l’Assemblée générale des associés », dissimulant « la situation de la société pour aboutir à une perte cumulée de près de 4 milliards de francs CFA, dont environ 2 milliards » au préjudice du requérant.
Et pire, informe la source, Abdoulaye Sylla reproche aux deux patrons de presse « d’avoir usé de subterfuges pour se sucrer », pointant du doigt « des opérations nébuleuses des deux journalistes qui auraient constitué un compte courant de plus de 800 millions au profit de E-Media Rédacteurs, dont ils sont propriétaires avec Boubacar Diallo et Mamadou Ndiaye ».
L’humoriste Samba Ka a été élargi de prison. Après une condamnation à deux ans de prison ferme pour cambriolage, le célèbre tik-tokeur a purgé plus de la moitié de sa peine. A cet effet, ce berger domicilié à Affé Djolof a été gracié lors de […]
ACTUALITE SOCIETEL’humoriste Samba Ka a été élargi de prison. Après une condamnation à deux ans de prison ferme pour cambriolage, le célèbre tik-tokeur a purgé plus de la moitié de sa peine.
A cet effet, ce berger domicilié à Affé Djolof a été gracié lors de la Tabaski par le président de la République Bassirou Diomaye Faye, apprend-t-on d’une source autorisée. Samba Ka alias « rang rang » est désormais libre.
Pour rappel, S.Ka a été filmé par une vidéo de surveillance au moment où il commettait un cambriolage à Linguère. Il a été arrêté par les policiers du commissariat urbain de cette localité.
Confondu par les images d’une vidéo de surveillance, il s’était mis à table lors de son second interrogatoire. L’auteur de « rang rang rang » a invoqué ses difficultés financières pour justifier son acte, devant les enquêteurs .
» Je suis devenu célèbre grâce au réseau social Tik-Tok. Tout le monde pense que je suis devenu riche grâce à mon statut de célébrité. Malheureusement, je suis confronté à des difficultés financières. Les membres de ma famille dépendent de moi, alors que je n’ai rien », déclarait-il sur procès-verbal.
Samba Ka était auparavant impliqué dans un cambriolage à Touba.
Avec Seneweb