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ACTUALITE AfriqueTout le personnel de santé présent lors du décès de Astou Sokhna est suspendu « à titre de mesures conservatoires ». L’information est donnée par la RFM. Cette suspension, rapportent nos confrères, va durer le temps de l’enquête.Cette durée peut aller jusqu’à 10 jours. Il […]
ACTUALITE SANTE SOCIETETout le personnel de santé présent lors du décès de Astou Sokhna est suspendu « à titre de mesures conservatoires ». L’information est donnée par la RFM. Cette suspension, rapportent nos confrères, va durer le temps de l’enquête.
Cette durée peut aller jusqu’à 10 jours. Il s’agit des aides-soignants et de l’infirmière. Nos confrères affirment qu’au moment où ces lignes sont écrites, le gynécologue est en train d’être auditionné.
Pour rappel, le ministre de la Santé, Abdoulaye Diouf Sarr, a reçu hier tard dans la soirée les rapports des missions dépêchées à l’hôpital de Louga.
Horreur au quartier Ndamatou de Touba où la dame F. Mbaye a administré 17 coups de couteau à sa coépouse S. Diouf, pour une affaire liée aux préparatifs du « ndogou ». En riposte, la victime a également mordu la « ñarèle » au cours cette rude bagarre, selon […]
ACTUALITE SOCIETEHorreur au quartier Ndamatou de Touba où la dame F. Mbaye a administré 17 coups de couteau à sa coépouse S. Diouf, pour une affaire liée aux préparatifs du « ndogou ». En riposte, la victime a également mordu la « ñarèle » au cours cette rude bagarre, selon des informations exclusives de Seneweb. Déférées lundi dernier par la police de Ndamatou, ces deux coépouses ont été envoyées en prison le même jour par le procureur de Diourbel. Seneweb revient sur le film de l’horreur !
Le quartier Ndamatou de Touba a été le théâtre d’une scène d’horreur qui a failli virer au drame. Une bagarre sanglante a opposé deux coépouses occasionnant des blessures réciproques.
En effet, à l’approche de l’heure de la rupture du jeûne, la première épouse (« awoo »), S. Diouf, avait étalé une nappe dans l’enceinte du domicile conjugal. Mais la deuxième épouse (« ñarèle ») F. Mbaye a marché dessus avec ses chaussures pour y installer son lit en bambou, d’après des sources de Seneweb proches du parquet.
Irritée par cet acte « provocateur », la « awoo » a intimé l’ordre à sa coépouse de ne plus passer sur la nappe avec ses chaussures. F. Mbaye lui aurait répondu par le mépris. Il s’en est suivi un échange de propos aigre-doux entre elles. Puis la deuxième épouse s’est introduite dans sa chambre avant de ressortir avec un couteau.La « ñarèle » assène plusieurs coups de couteau à la « awoo »
Selon nos sources proches du parquet, la « ñarèle » a surpris sa coépouse au moment où elle prenait son « ndogou », pour lui asséner plusieurs coups de couteau dans le dos.
La « awoo » mord la « ñarèle » à la joue et à l’oreille
En riposte, la première épouse a mordu sa belligérante au niveau de sa joue droite et de son oreille. Elles seront ensuite séparées par le voisinage qui a accouru.
17 points de suture sur le corps de la « awoo »
Se vidant de son sang, la « awoo » a été évacuée à l’hôpital pour sa prise en charge médicale. Après traitement et examen, S. Diouf dispose d’un certificat médical attestant une incapacité temporaire de travail (Itt) de 21 jours. Également, 17 points de suture ont été dénombrés sur son corps, d’après le document médical versé dans le dossier.
Blessée également au niveau de sa joue droite et de son oreille, la « ñarèle » F.Mbaye dispose aussi d’un certificat médical attestant une Itt de 07 jours.
Ainsi, l’affaire a fini par atterrir sur la table du chef de service du commissariat de Ndamatou. Après l’enquête diligentée par les hommes du commissaire Thiobane, les deux coépouses ont été déférées pour coups et blessures volontaires (Cbv) au parquet de Diourbel, depuis le lundi dernier.
Les deux coépouses envoyées en prison par le procureur
Aux dernières nouvelles, le procureur de la République près le tribunal de grande instance de Diourbel les a placées, le même jour, sous mandat de dépôt
Alors qu’on n’a pas encore fini de parler sur l’affaire Astou Sokhna, la femme enceinte décédée à l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga, voilà un autre fait qui risque encore de faire du bruit. Il s’agit d’un aide-infirmier qui a violé une patiente en filmant […]
ACTUALITE SANTE SOCIETEAlors qu’on n’a pas encore fini de parler sur l’affaire Astou Sokhna, la femme enceinte décédée à l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga, voilà un autre fait qui risque encore de faire du bruit.
Il s’agit d’un aide-infirmier qui a violé une patiente en filmant la scène. Le scandale s’est produit à la clinique Suma Assistance. Selon ‘’Les Echos’’ qui donne la nouvelle dans sa parution de ce mercredi, M. Traoré, puisque c’est de lui qu’il s’agit a introduit son doigt dans les parties intimes de la dame, venue faire une consultation, pendant près d’une minute.
Inculpé et placé sous mandat de dépôt pour viol et collecte de données à caractère personnel, le mis en cause a reconnu les faits, c’est-à-dire les attouchements et l’enregistrement vidéo. Il sera déféré au parquet.
Le journal renseigne que la victime présumée, M. S., est la fille d’un chef d’entreprise réputé. Elle s’était rendue à Suma Assistance pour une consultation. Seule avec M. S dans la salle de consultation, M. Traoré lui a alors demandé de soulever sa robe. La dame s’exécute.
George Orwell, dans son roman 1984, avait parfaitement mis en lumière les fondements d’une société totalitaire. Il avait, précisément, montré que leur particularité n’était pas, comme on le répète souvent, le manque de transparence, mais au contraire un trop plein de transparence, l’abolition de toute […]
ACTUALITE SOCIETEGeorge Orwell, dans son roman 1984, avait parfaitement mis en lumière les fondements d’une société totalitaire. Il avait, précisément, montré que leur particularité n’était pas, comme on le répète souvent, le manque de transparence, mais au contraire un trop plein de transparence, l’abolition de toute frontière entre vie privée et vie publique face à un État qui contrôle tout, voit tout, sait tout. “Big Brother is watching you”. Par la magie des “télécrans”, installés dans tous les domiciles de l’Oceania, rien n’échappe à l’État, même les plus minimes froncements de sourcils. L’État, dans le roman d’Orwell, était au courant du menu de votre petit déjeuner, à la femme avec qui vous couchiez le soir…
Toutefois, même dans sa plus folle imagination, Orwell n’aurait pu anticiper, 73 ans après la parution de son chef-d’oeuvre, que l’État n’ait plus besoin de mettre en branle le monstre totalitaire pour surveiller les moindres faits et gestes des citoyens. Désormais ceux-ci s’en chargent eux-mêmes, ils sont leurs propres espions, ils cassent eux-mêmes les murs de la vie privée. Par la magie des smartphones et des réseaux sociaux, les hommes se mettent en scène, et partagent ou plutôt exhibent tout leur quotidien : dernier costume ou robe achetée, nouvelle montre de luxe, nouvelle conquête, leurs trois repas quotidiens. Ils mettent en scène leur humeur, peine, joie…Et ils en viennent tout naturellement à filmer leurs ébats sexuels. Au Sénégal, il ne se passe plus un jour sans qu’une affaire de sextape ne défraie la chronique. Hier, Seneweb en a relaté deux impliquant des personnages publics : dans l’une, un responsable politique de l’Alliance Pour la République (APR), dans l’autre le Chef de cabinet de Diène Farba Sarr à la délégation Générale à la Promotion des Pôles Urbains (DGPU).
Mais, au-delà de ces deux histoires emblématiques, les “cas”, comme l’appellent les jeunes, foisonnent. Des milliers d’anonymes sont concernés, et voient du jour au lendemain leur réputation ternie et leur vie détruite. Le prix à payer pour avoir transformé nos vies en reality show.
Tendance, du reste, bien analysée par l’écrivain français, Raphaël Enthoven dans son essai “Little brother”. “Asservies par la multiplication d’écrans, nos personnalités deviennent doubles ou se perdent parfois dans le narcissisme à outrance. Le selfie est une procédure de surveillance de soi par soi. On a remplacé le bonheur ou la tristesse par son spectacle”, écrit-il.
En effet, se mettre en spectacle est la valeur cardinale de notre époque. Après tout, le destin de Kim Kardashian a de quoi faire rêver. L’américaine pèse 3,2 milliards de dollars. Beaucoup oublient que c’est par la diffusion d’une sextape, qu’elle a volontairement orchestré, que son ascension fulgurante a démarré. Pas sûr, néanmoins qu’au pays de Jamra, cette stratégie soit bankable…
17,4 heures d’activité non productive, c’est en moyenne ce que le Sénégalais passe dans une journée de 24 heures. Seulement 4 heures sont consacrées à la production. Voilà ce qu’il faut retenir de l’Enquête nationale sur l’emploi du temps au Sénégal. L’Agence nationale de la […]
ACTUALITE SOCIETE17,4 heures d’activité non productive, c’est en moyenne ce que le Sénégalais passe dans une journée de 24 heures. Seulement 4 heures sont consacrées à la production. Voilà ce qu’il faut retenir de l’Enquête nationale sur l’emploi du temps au Sénégal. L’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd) a publié les résultats de cette étude hier.
«Un Sénégalais passe 17,4 heures dans des activités non productives et 4 dans des activités productives.» C’est la principale information de l’enquête sur l’emploi du temps que l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd) a présentée hier. Dans le pré rapport, il est noté que la femme passe «1,6 heure dans les emplois et activités connexes, alors que les hommes sont à 3 heures».
Dans l’ensemble, précise le document, le temps moyen que les Sénégalais passent dans une catégorie d’activités varie avec l’âge. Lorsqu’il s’agit d’une activité productive, selon le Système de comptabilité nationale (Scn), le temps moyen passé dans ces activités augmente entre 15 et 54 ans et diminue au-delà (55 ans ou plus). Ainsi, il passe de «2,8 heures chez les 15-24 ans à 5,2 heures chez les 35-54 ans, puis de 4,4 heures chez les 55-64 ans à 2,9 heures chez les 65 ans ou plus. La même tendance est observée chez les hommes et chez les femmes. Cependant, le temps moyen que les hommes sénégalais accordent aux activités productives en une journée dépasse celui des femmes sénégalaises à tous les niveaux d’âge».
Utilisation du temps et productivité par statut d’occupation professionnelle
Les salariés accordent en moyenne 7,2 heures aux activités productives, selon le Scn, contrairement aux sans-emplois qui n’utilisent que 36 minutes de leur journée pour ces activités, renseigne le document.
Concernant les activités productives hors Scn, «un constat contraire est observé. En effet, les sans-emplois y consacrent en moyenne 3,4 heures de leur journée, tandis que les salariés y passent moins de 2 heures. S’agissant des activités non productives, les Sénégalais y passent plus de 15 heures de temps, quel que soit leur statut d’occupation professionnelle. Suivant le sexe, on constate que les femmes et les hommes sans emploi accordent peu de temps aux activités productives, selon le Scn, respectivement 35 minutes (0,6 heure) et 38 minutes (0,63 heure)». L’étude sur l’emploi du temps au Sénégal précise qu’une situation similaire est constatée chez les femmes et les hommes salariés, qui consacrent plus de six heures à ces activités (6,1 heures et 7,7 heures respectivement). Toutefois, s’agissant des travailleurs indépendants, «ceux de sexe masculin passent plus de 2 heures que les femmes dans les activités productives (7,2 contre 4,5 heures). Chez les autres personnes en emploi, l’écart est de plus de 3 heures».
Temps moyen d’activités rémunérées et non rémunérées
«Les Sénégalais passent en moyenne 3 heures dans les activités rémunérées, contre 3,6 heures dans les activités non rémunérées», constate le document. Qui a détaillé ceci : «Comparés aux femmes qui passent 2 heures dans les activités rémunérées, les hommes y consacrent 2 fois plus de temps (4,2 heures). Concernant les activités non rémunérées, les femmes y passent 2,5 fois plus de temps que les hommes. Autrement dit, les femmes consacrent 5 heures par jour aux activités non rémunérées contre 2 heures pour les hommes. Par ailleurs, les femmes consacrent 21% de leur temps à des activités non rémunérées, contre 8% à des activités rémunérées. Chez les hommes, ces proportions sont de 18% pour les activités rémunérées et de 9% pour les activités non rémunérées.»
La Commission de protection des données personnelles (CDP) a enregistré un signalement bien étrange. Selon le journal Les Échos de ce mercredi, les services d’Awa Ndiaye, la présidente, ont reçu une plainte de P. M. S., qui leur signale l’existence d’une structure basée au Sénégal […]
ACTUALITE SOCIETELa Commission de protection des données personnelles (CDP) a enregistré un signalement bien étrange. Selon le journal Les Échos de ce mercredi, les services d’Awa Ndiaye, la présidente, ont reçu une plainte de P. M. S., qui leur signale l’existence d’une structure basée au Sénégal et spécialisée dans le recrutement de jeunes dans la pornographie.
Aucun détail n’est donné sur l’adresse de la structure ni sur la nature exacte de ses activités. Les Echos s’est contenté d’ajouter que la CDP, conformément à la loi sur les données personnelles, a transmis le dossier au procureur de la République et à la Division spéciale de la cybersécurité (DSC) de la police.
L’affaire Astou Sokhna cache un autre scandale. L’hôpital Amadou Sakhir Mbaye ne dispose pas de locaux adaptés pour abriter le service pédiatrie. D’après le journal Libération de ce mercredi, cette unité squatte «un coin du ‘Bloc Médecine’» de l’établissement de santé. Et pourquoi ? Le […]
ACTUALITE SANTE SOCIETEL’affaire Astou Sokhna cache un autre scandale. L’hôpital Amadou Sakhir Mbaye ne dispose pas de locaux adaptés pour abriter le service pédiatrie.
D’après le journal Libération de ce mercredi, cette unité squatte «un coin du ‘Bloc Médecine’» de l’établissement de santé.
Et pourquoi ? Le chantier de construction de la pédiatrie est à l’arrêt depuis plusieurs mois. «L’entrepreneur a subitement disparu dans la nature», informe la même source.
Cette révélation risque de fragiliser davantage la position du directeur de l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye, Dr Amadou Guèye Diouf.
Ce dernier est déjà confronté à une enquête de police, suite à la plainte de l’époux d’Astou Sokhna, et à un audit du ministère de la Santé et de l’Action sociale.
En plus, il devra sans doute s’expliquer sur la suspension de la construction de la pédiatrie, «malgré les milliards investis», d’après Libération.
Accusé d’avoir détourné et engrossé l’élève mineure de 17 ans A. Camara, le chauffeur de son état M. Sow, qui a fait face hier aux juges du Tribunal d’instance de Dakar, risque deux (2) ans de prison dont six (6) mois ferme. Au cours des […]
ACTUALITE SOCIETEAccusé d’avoir détourné et engrossé l’élève mineure de 17 ans A. Camara, le chauffeur de son état M. Sow, qui a fait face hier aux juges du Tribunal d’instance de Dakar, risque deux (2) ans de prison dont six (6) mois ferme.
Au cours des débats d’audience, il est ressorti que les parents de la fille avaient l’habitude de louer les services de M. Sow. C’est sur ces entrefaites se sont rencontrés et feront, au fil du temps, une plus ample connaissance.
« Quand M. Sow m’a fait part de son désir d’épouser ma fille, je lui ai dit que c’est impossible. Car elle est non seulement une élève, mais elle est encore mineure. Mais, il a continué à la voir en cachette jusqu’à l’engrosser », dira la mère de A. Camara à la barre.
Après avoir bien savonné les tourtereaux, le procureur de la République a requis une peine de deux (2) ans de prison contre le prévenu qui s’en est finalement sorti avec six (6) mois ferme. Alors que la défense avait plaidé pour une application bienveillante de la Loi pénale.
L’affaire a ému beaucoup de Sénégalais. Elle a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux. La mort d’Astou Sokhna, cette dame enceinte de 34 ans qui aurait rendu l’âme à l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga, après avoir souffert pendant près de 20 heures […]
ACTUALITE SOCIETEL’affaire a ému beaucoup de Sénégalais. Elle a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux. La mort d’Astou Sokhna, cette dame enceinte de 34 ans qui aurait rendu l’âme à l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga, après avoir souffert pendant près de 20 heures sans assistance, occupe encore les discussions.
L’époux de la victime, Modou Mboup, a porté plainte pour négligence et non-assistance à personne en danger. Il a été longuement auditionné hier, lundi, au commissariat central de Louga
Libération renseigne dans son édition du jour que c’est la deuxième fois que le mari éploré vit un drame au niveau de l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga. En 2019, rapporte le journal, Astou Sokhna avait mis au monde un bébé prématuré, né au bout de sept mois de grossesse.
L’enfant vivra une semaine avant d’être déclaré décédé en pédiatrie. «On ne nous a jamais dit ce qui s’y était passé», regrette Modou Mboup, repris par Libération.
La direction de l’hôpital balaie les accusations de négligence. Une mission d’inspection du ministère de la Santé et de l’Action sociale est attendue ce mardi à Louga pour tirer cette affaire au clair. Vendredi prochain, une marche pacifique sera organisée à Louga pour réclamer justice pour Astou Sokhna.