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À La Une POLITIQUELes deux redoutables gangsters qui écumaient les commerçants dans la commune de Wakhinane Nimzatt sont finalement tombés. Dimanche dernier, vers 9h du matin, C. T. Guèye arrive devant un magasin à bord de sa moto et gare l’engin devant le lieu de commerce, sis au marché Boubess […]
ACTUALITE SOCIETELes deux redoutables gangsters qui écumaient les commerçants dans la commune de Wakhinane Nimzatt sont finalement tombés.
Dimanche dernier, vers 9h du matin, C. T. Guèye arrive devant un magasin à bord de sa moto et gare l’engin devant le lieu de commerce, sis au marché Boubess de Guédiawaye. Il sécurise les deux roues par un système de verrouillage du guidon, s’engouffre ensuite dans le magasin et s’affaire à l’intérieur.
Deux individus nommés K.G. et B.S. débarquent, constatent la quiétude des lieux et s’approchent sur la pointe des pieds de la moto. Ignorant l’œil de la caméra de surveillance du magasin en mode balayage sur eux.
D’un geste vif, les deux malfrats cassent le guidon de la moto, enfourchent en vitesse l’engin et disparaissent en trombe. Après sa course dans les rayons de vente, Guèye sort du magasin et constate la disparition mystérieuse de son engin à deux roues.
Il panique, tourne sur lui-même et fouille du regard les parages. Sans succès. Il retourne dans le magasin et alerte les occupants de sa mésaventure. Il soupçonne un coup fourré des brigands et file droit dans les locaux du poste de police de Wakhinane Nimzatt.
Saisi d’une lettre plainte de la victime, le chef de service du poste de police ouvre une enquête préliminaire et dépêche ses éléments de la brigade de recherche dans le magasin en question. Ils sacrifient au rituel de constatation des faits, fouillent les quatre coins du lieu de commerce et tombent sur la caméra de surveillance.
Ils passent au peigne fin les différentes séquences de ladite caméra et tombent sur la vidéo qui montre les deux gangsters en train de casser le guidon de l’engin et de l’emporter à vive allure. Ils identifient ensuite clairement les voleurs et mettent sous scellés la vidéo. Une chasse à l’homme est vite lancée contre les deux présumés voleurs de moto.
Vendredi 26 juillet dernier, vers 23h, les agents de terrain du poste de police de la commune effectuent une patrouille de sécurisation dans leur secteur de compétence. Soudain, ils se retrouvent nez à nez avec les deux voleurs de moto, qui identifient les flics opérant en civil et détalent comme des lapins.
Après une course-poursuite dans les labyrinthes, les policiers rattrapent les malfrats et les soumettent à une fouille corporelle de routine. Ils leur passent les menottes et les conduisent manu militari au poste de police.
Livrés aux enquêteurs, K.G. et B.S. versent dans les dénégations à tout va et crient à une méprise sur eux. Cependant, ils ignorent sans doute avoir été filmés au moment du vol de la moto par la caméra de surveillance scotchée à la devanture du magasin.
Ainsi, les policiers exhibent la séquence du vol et les présentent aux deux délinquants. Qui se reconnaissent sur l’image, baissent la tête et ravalent leurs dénégations véhémentes. Ils ont été déférés devant le parquet du tribunal de grande instance de Guédiawaye. Ils sont poursuivis pour vol en réunion commis avec usage de moyen de locomotion (moto).
C’est fut un grand conclave au sein de Taxawu Sénégal, la semaine dernière, pour aborder les questions politiques de l’heure. Le bilan de la participation à l’élection présidentielle de mars 2024 et les perspectives ont été abordés. Une occasion saisie par les membres de la […]
ACTUALITE POLITIQUEC’est fut un grand conclave au sein de Taxawu Sénégal, la semaine dernière, pour aborder les questions politiques de l’heure. Le bilan de la participation à l’élection présidentielle de mars 2024 et les perspectives ont été abordés. Une occasion saisie par les membres de la coalition pour faire les remontrances nécessaires à Khalifa Sall avec ses discussions avec le Parti socialiste.
Dans ses réponses, qui ont duré une vingtaine de minutes, note Les Echos, Khalifa Sall a reconnu être en discussion avec le Parti socialiste, tout comme le sont d’autres avec les socialistes. Selon lui, les discussions n’ont pas commencé à la veille de l’élection présidentielle. C’était bien avant, en 2022. Et que les gens le sachent ou pas, il a révélé que le Parti socialiste est en discussion avec tout le monde actuellement. Donc, il ne voit pas de problème fondamentalement.
Pour la suite de sa mission politique, le leader de Taxawu Sénégal compte rester dans l’opposition. D’ailleurs, les prochaines élections législatives seront bien engagées et il s’agira pour l’ancien maire de Dakar, de discuter avec tout le monde pour aboutir à une large coalition avec les partis et autres mouvements politiques et d’autres composantes qui voudront travailler avec lui. Un point de vue qu’il ne partage pas avec tous ses militants. Certains ont manifesté leur souhait de le voir abandonner l’opposition pour se rapprocher des tenants du régime actuel. Une option visiblement mise de côté. À noter que lors de cette réunion, aucun des ténors présents n’a pris la parole pour donner son avis…
Un commerçant basé à Dakar, a été jugé par le tribunal de grande instance de Mbour pour « vol de poteaux électriques ». Le mis en cause a été surpris le 12 juillet 2024 à Saly, en train de charger 50 poteaux électriques dans un camion de […]
ACTUALITE SOCIETEUn commerçant basé à Dakar, a été jugé par le tribunal de grande instance de Mbour pour « vol de poteaux électriques ».
Le mis en cause a été surpris le 12 juillet 2024 à Saly, en train de charger 50 poteaux électriques dans un camion de location, qu’il a ensuite vendus. Lors d’une seconde tentative de vol de 25 poteaux, il a été interpellé par un agent de sécurité.
Lors de l’interpellation, B. D. a affirmé à l’agent qu’il agissait sur ordre d’un certain Mohamed, et qu’il ignorait que les poteaux n’appartenaient pas à celui-ci.
Selon l’agent de la société propriétaire des poteaux, chaque poteau coûte 400 000 F CFA. Me Mouhamed Fadel Fall, avocat de la société SCL Énergies Solutions a demandé au tribunal de condamner le prévenu et a réclamé la somme de 20 millions de F CFA pour la société en dommages et intérêts.
Le procureur a requis deux (2) ans de prison ferme. Le tribunal rendra son verdict le 8 août prochain.
Maimouna Ndour Faye est dans une situation chaotique. La journaliste, après la décision du juge des référés concernant son différend avec un homme d’affaires, risque de perdre la 7TV. « Si la décision reste définitive, les véritables propriétaires vont pouvoir récupérer leurs outils de production », a […]
ACTUALITE médiaMaimouna Ndour Faye est dans une situation chaotique. La journaliste, après la décision du juge des référés concernant son différend avec un homme d’affaires, risque de perdre la 7TV.
« Si la décision reste définitive, les véritables propriétaires vont pouvoir récupérer leurs outils de production », a déclaré le juriste Kamara sur Seneweb.
Il précise que c’est une décision rendue en premier ressort. Maimouna Ndour Faye peut faire appel, ou déposer un pourvoi en cassation.
Il informe que rien qu’avec cette décision, les véritables propriétaires peuvent demander l’exécution. En termes plus clairs, la 7TV risque de changer de propriétaire à défaut qu’un arrangement soit trouvé…
https://www.facebook.com/100085041414680/videos/1284750459165203
Un violent accident s’est produit dans la nuit de jeudi à vendredi, impliquant des motos Jakarta et une voiture « War Gaindé » de marque Peugeot 307. La collision, survenue à hauteur de Louga, a causé la mort d’un jeune de 16 ans sur le coup et […]
ACTUALITE SOCIETEUn violent accident s’est produit dans la nuit de jeudi à vendredi, impliquant des motos Jakarta et une voiture « War Gaindé » de marque Peugeot 307. La collision, survenue à hauteur de Louga, a causé la mort d’un jeune de 16 ans sur le coup et a laissé un autre blessé grave.
Les jeunes conducteurs de motos ont pris le départ à 4 kilomètres de Louga, plus précisément à Ibra Marame, pour une course entre jeunes, rapporte la radio ZIK FM.
Les habitants de Louga déplorent ces courses improvisées souvent organisées par des jeunes, parfois âgés de moins de 15 ans, qui se terminent fréquemment par des accidents graves voire mortels.
Albourakh Évents vient de ficeler le combat Ama Baldé / Franc. D’après Source A, qui donne l’information, le duel devrait avoir lieu au mois de février prochain. Le journal confie que le tombeur de Bombardier, qui avait déjà refusé une offre de 40 millions de […]
ACTUALITE SPORTSAlbourakh Évents vient de ficeler le combat Ama Baldé / Franc. D’après Source A, qui donne l’information, le duel devrait avoir lieu au mois de février prochain.
Le journal confie que le tombeur de Bombardier, qui avait déjà refusé une offre de 40 millions de francs CFA, empoche un cachet compris entre 45 et 50 millions pour en découdre avec le fils de Falaye Baldé.
L’affiche va raviver la rivalité entre Pikine et les Parcelles Assainies. Au-delà, il s’agira pour le pensionnaire de l’Académie Jambar Wrestling
dit « Domou Parcelles » de conserver son invincibilité avec 13 victoires en autant de sorties. Au moment où « Seuleu bou ndaw »
devra confirmer après sa victoire acquise contre le « 3e Tigre de Fass », Gris Bordeaux.
Une directrice d’école privée, qui voulait acquérir un bus scolaire, se fait plumer de plus de 10 millions FCFA. Mariétou Diop et sa «partenaire», Colline Coly, directrice d’un établissement scolaire privé de la place avaient convenu d’une transaction portant acquisition d’un bus de transport d’élèves, pour le […]
ACTUALITE SOCIETEUne directrice d’école privée, qui voulait acquérir un bus scolaire, se fait plumer de plus de 10 millions FCFA.
Mariétou Diop et sa «partenaire», Colline Coly, directrice d’un établissement scolaire privé de la place avaient convenu d’une transaction portant acquisition d’un bus de transport d’élèves, pour le compte de l’école de C. Coly.
La transaction, pourtant bien ficelée, a fini en chapeau de roues devant dame justice. Un montant de plus de 10 millions a été brandi par la plaignante, C. Coly pour chiffrer le préjudice subi dans cette opération d’acquisition de bus scolaire.
L’affaire a été enrôlée hier jeudi, devant le tribunal des flagrants délits de Dakar. Jugée pour le délit d’escroquerie portant 10 850 000 FCfa, la prévenue, Mariétou Diop n’a pas nié les faits.
«J’ai reçu effectivement ce montant, courant 2022. Je m’étais engagée à acheter un bus de 30 places. J’ai exécuté la commande comme convenu, mais à l’arrivée, nous avons été confrontés à des problèmes de papiers», a avoué la prévenue, Mme Diop, reprise par L’OBS.
Elle précise : «J’avais acquis un premier bus pour Colline Coly. Il s’est avéré par la suite que ce bus avait un problème de «boîte». Pour pallier cette situation, je me suis engagée à mettre à sa disposition un autre bus de 55 places d’un coût de 22 millions de FCFA».
Pour preuves à ses allégations, la prévenue dira que les images des véhicules en question sont stockées dans son téléphone.
S’exprimant à son tour, la plaignante, Colline Coly s’est épanchée sur les circonstances de la transaction. «J’ai connu Mariétou Diop par mon chauffeur. Elle devait me vendre un véhicule 4×4 à 6 millions et un bus de 30 places à 12 millions. Mais après négociation, nous sommes tombés d’accord sur la somme de 10 millions», a expliqué la plaignante.
«J’ai voulu acquérir un bus de transport d’élèves, parce que celui que nous avions tombait souvent en panne. L’école avait donc décidé de changer de bus depuis mars 2023. Le montant de 10 850 000 FCfa était un acompte, le reliquat devait être complété, une fois les deux véhicules livrés », détaille la Directrice d’école.
Seulement, poursuit-elle, «à chaque fois, Mariétou me donnait des rendez-vous qu’elle n’a jamais respectés.»
Le parquet a requis un an de prison. Au terme des débats, le tribunal a condamné Mariétou Diop à 6 mois de prison, assortie de 12 millions FCFA pour toute cause de préjudices confondus.
L’exploitation de l’or est perturbée dans la région de Kédougou. Les délégués de Sabodala Gold Operations ont observé un arrêt de travail, hier, à 20 heures sur les différents sites de production. Le collège des délégués réclame l’application de l’accord d’établissement signé en 2016 entre […]
ACTUALITE SOCIETEL’exploitation de l’or est perturbée dans la région de Kédougou. Les délégués de Sabodala Gold Operations ont observé un arrêt de travail, hier, à 20 heures sur les différents sites de production. Le collège des délégués réclame l’application de l’accord d’établissement signé en 2016 entre la Direction de l’entreprise et les employés.
Selon les syndicalistes, c’est l’article 8.2 qui est à l’origine du désaccord. L’article prévoit un forfait d’heures supplémentaires pour les cadres qui travaillent dans les départements de production sur une fourchette de 12 heures au maximum.
« Ces forfaits d’heures supplémentaires n’ont jamais été payés aux cadres. Donc, en lieu et place de ces heures supplémentaires, on nous payait une gratuité qui nous était défavorable. Ce qu’on avait dénoncé depuis 2018. En plus de cela, le forfait des heures supplémentaires des ouvriers n’a pas été calculé selon le code du travail du Sénégal », développe El Malick Gningue, porte-parole des délégués.
Toutefois, le collège reconnaît la bonne volonté de la Direction de SGO. La Direction avait commencé à intégrer la prime de production et l’augmentation annuelle dans l’assiette de calcul.
Du reste, le collège dénonce le refus de la direction d’intégrer l’indemnité compensatrice des avantages en natures dans leurs valeurs nominales depuis 2022. A ce sujet, le collège des délégués a saisi l’inspection du travail et de la sécurité sociale de Kédougou qui leur a donné un avis technique favorable pour l’intégration des avantages en nature dans l’assiette de calcul des HS. C’est la raison pour laquelle, après plusieurs tentatives de conciliations avortées, le collège des délégués a décrété un mot d’ordre de grève illimité pour le respect de l’accord d’entreprise.
Seneweb a tenté de recueillir la version de la Direction. Celle-ci a promis d’apporter des éléments de réponse sur cet accord d’entreprise, objet de ce mouvement d’humeur au sein de SGO.
En poste depuis juillet 2022, Alioune Badara Fall vient d’être viré de la Direction générale de Air Sénégal par le conseil d’administration de la compagnie qui s’est réuni hier. La compagnie nationale Air Sénégal s’est séparé hier de son directeur général Alioune Badara Fall. Tidiane Ndiaye occupe […]
À La Une SOCIETEEn poste depuis juillet 2022, Alioune Badara Fall vient d’être viré de la Direction générale de Air Sénégal par le conseil d’administration de la compagnie qui s’est réuni hier.
La compagnie nationale Air Sénégal s’est séparé hier de son directeur général Alioune Badara Fall. Tidiane Ndiaye occupe désormais le poste de DG de Air Sénégal.
D’après les informations de L’OBS, les consultations pour le choix du successeur de Alioune Badara Fall avaient démarré depuis plus de deux mois.
Il est vrai qu’entre multiplication des retards, annulations de vols et réel défaut de communication, Air Sénégal enregistrait un nombre record de critiques ces derniers temps. Sans surprise, celles-ci se cristallisaient en particulier sur le désormais ex-directeur général.
La caissière A. Ba, âgée de 25 ans, a été jugée hier, par le Tribunal des flagrants délits de Dakar pour abus de confiance portant sur la somme de 2,5 millions FCFA au préjudice de son employeur, Ibrahima Diégo Diallo. Chômeuse depuis quelques années, A. Ba n’a […]
ACTUALITE SOCIETELa caissière A. Ba, âgée de 25 ans, a été jugée hier, par le Tribunal des flagrants délits de Dakar pour abus de confiance portant sur la somme de 2,5 millions FCFA au préjudice de son employeur, Ibrahima Diégo Diallo.
Chômeuse depuis quelques années, A. Ba n’a pas saisi la perche que son compatriote Guinéen Ibrahima. Diégo Diallo lui a tendue. Après avoir parcouru en vain toutes les directions de Dakar à la recherche de travail dans son domaine, Diégo lui propose un poste de caissière dans son «Multiservice».
Travail qu’elle a accepté en attendant d’avoir mieux. Seulement, après 4 mois d’exercice, A. Ba vide la caisse : 1,7 million FCFA de recettes et 800 mille FCFA de fonds de secours. La caissière se dit être victime de charlatanisme. Excuse qui n’a pas convaincu son patron encore moins le Tribunal des flagrants délits de Dakar. La jeune fille a été obligée de servir un engagement de restitution. Ce qui lui a valu une condamnation de 6 mois assortie de sursis.
A la barre hier, rapporte L’OBS, la prévenue A. Ba n’a servi aucune preuve pouvant étayer ses allégations. Elle s’est juste contentée de se faire passer pour la victime. Si on s’en fie à son récit, 3 Ivoiriens, dont 2 garçons et une femme, se sont présentés à son multiservice sise à Dieuppeul/Dérklé. Ils lui ont demandé de faire un transfert de 2,5 millions sur un numéro international, via le moyen de transfert d’argent Wave.
Elle s’exécute machinalement sans se poser de questions. Dès que le transfert a réussi, les 3 malfrats lui ont tourné le dos sans lui donner l’argent. Elle était comme hypnotisée et se sentait incapable d’ouvrir la bouche. C’est quelques minutes après leur départ qu’elle a pu sortir de sa léthargie.
Mais la partie civile, Ibrahima Diégo Diallo doute de sa bonne foi. A l’en croire, la caissière a été dans l’impossibilité de lui montrer la traçabilité de la transaction frauduleuse, dont elle dit être victime. «Sa famille a mobilisé 700 mille FCfa. Je réclame le restant chiffré à 1,8 million FCFA», a tranché la partie civile.
Le procureur de la République a requis l’application de la loi. Par le biais de sa famille, A. Diallo a versé au Tribunal un engagement de restitution de la somme due. Selon l’accord signé, elle devra verser chaque mois 100 000 FCFA. La caissière s’en est finalement sortie avec une condamnation de 6 mois assortie de sursis.