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ACTUALITE SPORTSKouthia a été purement et simplement relaxé par le tribunal correctionnel de Dakar, ce mercredi. Il était poursuivi pour diffamation et injures par Amina Poté. La plaignante lui reprochait de l’avoir traitée de lesbienne dans des audio qui ont circulé sur le Net. Il s’agit […]
ACTUALITE justiceLa tournée africaine d’Antony Blinken, chef de la diplomatie américaine, s’achève à Luanda, la capitale de l’Angola. Cette visite s’inscrit dans la continuité des discussions bilatérales sur les relations États-Unis-Angola, couvrant notamment les domaines du climat et du commerce. Lors de son escale au Nigeria, […]
ACTUALITE INTERNATIONALRetour sur les faits d’un père qui viol sa fille pendant plusieurs années à Seguéla (Nord-ouest de la Côte d’Ivoire). Le nommé K.D, agent en service au Centre de santé urbain (CSU) de Massala, a été appréhendé, vendredi 20 mai 2022, par des éléments de […]
ACTUALITE SOCIETERetour sur les faits d’un père qui viol sa fille pendant plusieurs années à Seguéla (Nord-ouest de la Côte d’Ivoire).
Le nommé K.D, agent en service au Centre de santé urbain (CSU) de Massala, a été appréhendé, vendredi 20 mai 2022, par des éléments de la brigade de gendarmerie de Séguéla, accusé d’avoir entretenu, durant sept années, des rapports sexuels avec sa fille mineure aujourd’hui âgée de 15 ans.
Les faits
Selon des sources proches du dossier, la jeune fille aurait été violée depuis l’âge de huit ans par son géniteur qui, pour accomplir sa besogne, la droguait.
36% des filles ivoiriennes sont mariées ou en union avant 18 ans ; 38% des femmes entre 15 et 49 ans ont subi une excision.
Deux faits majeurs, en l’occurrence la chute drastique des résultats scolaires de l’adolescente qui fréquente l’un des lycées publics de la ville et la prise de conscience de celle-ci qui va se confier à sa mère, elle-même agent au centre social de Séguéla, vont faire éclater l’affaire au grand jour.
En attendant d’être déféré lundi pour viol devant le juge d’instruction de la section de tribunal de Séguéla, le sieur KD est gardé à vue dans les locaux de la brigade de gendarmerie…
Un centre de formation aux métiers portuaires est en gestation dans la zone du futur port de Ndayane. Par D. FAYE – Les mairies de Diass, Yène et Ndayane Popenguine ont décidé de mettre à la disposition du futur Port de Ndayane, une assiette foncière de […]
ACTUALITE SOCIETEUn centre de formation aux métiers portuaires est en gestation dans la zone du futur port de Ndayane.
Par D. FAYE – Les mairies de Diass, Yène et Ndayane Popenguine ont décidé de mettre à la disposition du futur Port de Ndayane, une assiette foncière de 5 ha pour abriter un centre de formation aux métiers portuaires. Le protocole d’accord a été signé hier par le Directeur général du Port autonome de Dakar (Pad), Aboubacar Sédikh Bèye, le maire de Ndayane Popenguine, Mansour Thiandoum, et les représentants des maires de Diass et de Yène.
Ce projet, selon un communiqué, sera piloté par la directrice du Centre de formation aux métiers portuaires et à la logistique (Cfmpl), qui a participé à la cérémonie de signature du protocole. Expliquant les différentes offres de formation du Cfmpl, Mme Awa Ndiaye Sagna a indiqué que depuis 2011, ledit centre a formé 1243 stagiaires, 5905 professionnels en renforcement de capacités, 801 travailleurs formés en 2018 en certificats de spécialité.
A ce propos, affirme le Dg du Port autonome de Dakar cité dans le communiqué, «la création d’emplois de qualité requiert la disponibilité de ressources humaines qualifiées et compétentes. La création d’un centre de formation à dimension internationale met en œuvre l’ambition du Président Macky Sall de donner une formation qualifiante à notre jeunesse et surtout pour les populations environnantes des 3 communes qui souhaitent prendre une part active dans l’exploitation du futur port». Et assure Aboubacary Sadikh Bèye, «le partenariat signé avec les 3 communes sera bénéfique et ira au-delà de la formation, parce qu’il permettra à la fois de doter la zone d’infrastructures modernes de dernière génération et de jeter les jalons de l’intercommunalité pour un territoire viable, porteur d’espoir et d’espérance pour les populations».
Les travailleurs de la Bicis sont inquiets. En effet, Bnp Paribas est en passe de vendre les actions qu’elle détient au sein de leur boîte. Mais, la manière dont l’opération est engagée, ne les rassure pas. La Bnp Paribas veut quitter la BICIS. Actionnaire majoritaire […]
ACTUALITE ECONOMIELes travailleurs de la Bicis sont inquiets. En effet, Bnp Paribas est en passe de vendre les actions qu’elle détient au sein de leur boîte. Mais, la manière dont l’opération est engagée, ne les rassure pas.
La Bnp Paribas veut quitter la BICIS. Actionnaire majoritaire de la banque, le groupe français s’active pour vendre les 55% de parts qu’il détient. Mais, cette opération inquiète le collège des délégués des travailleurs de la Bicis, préoccupés par le manque de lisibilité.
Ils soulignent que le nom du repreneur est «jusque-là un tabou.» De plus, ils dénoncent une «bunkerisation de l’information par les dirigeants d’un groupe comme Bnp Paribas, qui a toujours fait de transparence son credo».
En effet, les travailleurs, dont les délégués étaient face à la presse, ne comprennent pas que l’agenda de la cession, ainsi que les offres financières sur la table du vendeur ne soient toujours pas connus.
«Nous avons compris qu’au Sénégal les Dirigeants de Bnp Paribas ont choisi d’envelopper l’opération dans une opacité voulue et entretenue sur fond d’un manque de respect total à l’égard des vaillants travailleurs de la Bicis que nous sommes, contrairement à ce qui se passe en Côte d’ivoire. Sinon comment comprendre que les informations suivantes nous soient jusque-là cachées ?», se demandent-ils.
Et pourtant, expliquent-ils, la Bicis de la Côte d’ivoire subit actuellement le même sort. Bnp y est également en train de faire ses valises. Mais là-bas, indiquent-ils, «les informations sont plus clairement exprimées. Et L’Etat ivoirien qui n’est pas actionnaire de Bicis à indiqué ses souhaits pour ne pas dire ses préférences.»
Ils indiquent avoir saisi les responsables de leur banque, la Présidence de la République, la Bceao etc.
Pape Sow, cultivateur de son état, a été surpris, en pleine brousse, s’apprêtant à abuser sexuellement une mineure de 16 ans. Un couteau en main, rapporte le quotidien L’Observateur, il menaçait de tuer sa victime qui se débattait pour se défaire de son emprise. Cette […]
ACTUALITE SOCIETEPape Sow, cultivateur de son état, a été surpris, en pleine brousse, s’apprêtant à abuser sexuellement une mineure de 16 ans.
Un couteau en main, rapporte le quotidien L’Observateur, il menaçait de tuer sa victime qui se débattait pour se défaire de son emprise.
Cette affaire de mœurs, à l’origine des démêlés judiciaires de Pape Sow, remonte à mardi dernier.
Ce jour, aux environs de 18 heures, R. N. G., domiciliée au quartier Oncad de Mbour, se rendait aux champs de ses parents.
Ne se doutant de rien, elle emprunte alors une piste qui contourne le champs du cultivateur, situé à la lisière des habitations.
Toute activité cessante, Pape Sow, qui n’avait d’œil que pour la mineure depuis un certain temps, surgit dès qu’elle arrive à sa hauteur pour agir.
Faisant semblant de lui demander un service, pour mieux l’appâter, il tente de la violer sous la menace d’un couteau.
Elle ne doit son salut qu’à un passant alerté par ses cris de détresse. Sidéré par la scène, il prend Pape Sow au collet et à meute les autres cultivateurs.
Placé en garde à vue, le cultivateur a été déféré au parquet de Mbour pour menace de mort et viol sur une mineure de 16 ans.
À quelques jours du séjour du Khalife Général des mourides, Serigne Mountakha Mbacké (du 23 au 29 mai), dans la capitale sénégalaise, Dakar, les préparatifs vont bon train. Un tour effectué à la villa « Keur Serigne Touba » sise à Colobane, a permis de […]
ACTUALITE SOCIETEÀ quelques jours du séjour du Khalife Général des mourides, Serigne Mountakha Mbacké (du 23 au 29 mai), dans la capitale sénégalaise, Dakar, les préparatifs vont bon train. Un tour effectué à la villa « Keur Serigne Touba » sise à Colobane, a permis de se rendre compte de visu, de l’état d’avancement du dispositif exceptionnel d’accueil.
Construite du temps de feu Serigne Bassirou Mbacké, fils de Serigne Touba et père de l’actuel Khalife, ladite maison d’accueil connaît un coup de neuf entre le carrelage, la peinture et le nettoyage poussé des lieux. À Colobane, cette visite du Khalife est perçue à la fois comme un immense honneur et une bénédiction, mais aussi une lourde charge organisationnelle.
Idem à la mosquée Massalikul Jinaan qui, depuis son inauguration le 27 septembre 2019 par Serigne Mountakha Mbacké, n’avait plus reçu la visite du patriarche de Darou Minam. Comme il y a trois ans, le guide de la confrérie mouride prendra part à la prière du vendredi en présence de plusieurs autorités dont probablement celle du président Macky Sall.
Sur place (10.000 mètres carrés), tout est fin prêt, a fait savoir Abdou Khadr Fall, en qualité de permanent à la mosquée. D’ailleurs un CRD avait été récemment organisé en présence du gouverneur de Dakar pour un bon déroulement de l’évènement, a-t-il soutenu…
Du nouveau dans l’enquête sur la mort de Kiné Gaye à Pikine. ‘’L’Observateur’’ dans sa livraison de ce mercredi, révèle que la police a procédé hier, mardi, à la reconstitution des faits avec le suspect, Kasshim Ba, sur les lieux du crime. Ce dernier d’après […]
ACTUALITE SOCIETEDu nouveau dans l’enquête sur la mort de Kiné Gaye à Pikine. ‘’L’Observateur’’ dans sa livraison de ce mercredi, révèle que la police a procédé hier, mardi, à la reconstitution des faits avec le suspect, Kasshim Ba, sur les lieux du crime.
Ce dernier d’après le journal a entraîné sa mère dans sa chute. Elle a été interpellée et retenue dans les locaux par la Sûreté urbaine pour «nécessité d’enquête».
Après quelques mois d’accalmie, le secteur de l’éducation sera encore paralysé. Les enseignants d’enseignants qui pensent que le gouvernement n’a pas respecté les accords qu’il avait signés, ont décidé de passer à la vitesse supérieure. Ils ont dévoilé leur 11 ème plan d’action Ils décrètent […]
ACTUALITE SOCIETEAprès quelques mois d’accalmie, le secteur de l’éducation sera encore paralysé. Les enseignants d’enseignants qui pensent que le gouvernement n’a pas respecté les accords qu’il avait signés, ont décidé de passer à la vitesse supérieure. Ils ont dévoilé leur 11 ème plan d’action
Ils décrètent ce mercredi 25 mai un débrayage à partir de 9h suivi d’une Assemblée générale et d’une conférence de presse. Ensuite le vendredi 27, un autre débrayage est prévu à 9 heures, suivi d’une grève totale le samedi 28 mai.
Mais ce n’est pas tout, car le lundi 30 mai, un autre débrayage est prévu à partir de 9 heures. Le mardi 31 mai, les syndicalistes vont observer un débrayage à 9 heures. Les syndicats ont également décidé de boycotter les évaluations, les examens, les cellules pédagogiques et les des conseils de classes.
Encore des victimes dans un accident de la circulation et cette fois-ci, le drame s’est produit vers 18h, dans la commune de Thiomby, à hauteur de Gamboul, dans le département de Kaolack. Il s’agit d’une collision entre un bus et un véhicule particulier “Allô Dakar”. […]
ACTUALITE SOCIETEEncore des victimes dans un accident de la circulation et cette fois-ci, le drame s’est produit vers 18h, dans la commune de Thiomby, à hauteur de Gamboul, dans le département de Kaolack. Il s’agit d’une collision entre un bus et un véhicule particulier “Allô Dakar”. Le bilan provisoire est lourd. 4 personnes sont décédées sur le coup et le 5 ème a rendu l’âme au cours de son évacuation à l’hôpital régional de Kaolack. Les blessés ont été évacués à l’hopital par les sapeur-pompiers.
La région de Kédougou et le département de Mbour sont devenus des « plaques tournantes » du trafic des migrants et de la traite des personnes. C’est la révélation faite hier, par le substitut du procureur du tribunal de grande instance de Mbour, rapporte l’Aps. […]
ACTUALITE SOCIETELa région de Kédougou et le département de Mbour sont devenus des « plaques tournantes » du trafic des migrants et de la traite des personnes. C’est la révélation faite hier, par le substitut du procureur du tribunal de grande instance de Mbour, rapporte l’Aps. Lors d’un atelier à Saly Portudal, portant sur « La prise en charge du trafic des migrants et des infractions assimilées », François Diouf a expliqué, en effet, que ce sont les deux « zones de départ, de transit ou de destination » de ce fléau. Il souligne que la brigade de gendarmerie de Joal-Fadiouth et la brigade de recherche de Mbour ont procédé à une multitude de déferrements au parquet liés à des faits de trafic de migrants.
La jeune fille M. À. Samb n’a pas froid aux yeux. Élève en classe de Terminale, elle a réussi à duper une vingtaine de femmes et a bouffé leur 10.000.000 de francs. Conséquence : elle comparaissait, hier, au Tribunal des flagrants délits de Dakar pour […]
ACTUALITE SOCIETELa jeune fille M. À. Samb n’a pas froid aux yeux. Élève en classe de Terminale, elle a réussi à duper une vingtaine de femmes et a bouffé leur 10.000.000 de francs. Conséquence : elle comparaissait, hier, au Tribunal des flagrants délits de Dakar pour escroquerie.
Âgée seulement de 21 ans, l’élève en classe de Terminale, M. A. Samb dite Mame Diarra Sèye, flirte déjà avec les affres de l’incarcération. Ce, à cause de sa témérité excessive ; d’où, le sobriquet de « Bernard Madoff à la Sénégalaise » que lui a attribué Me Malick Mbengue, au Tribunal des flagrants délits de Dakar où elle comparaissait, hier. En effet, alors qu’elle n’avait pas encore atteint l’âge de la majorité, M. A. Samb a réussi à gruger beaucoup de femmes d’un montant de 10.000.000 de francs au total. Comment ?
Elle a fait, en 2019, une publication sur Facebook, par laquelle elle invitait les femmes à adhérer à son commerce en ligne, via WhatsApp. Ce qu’une vingtaine de femmes a fait. Après leur adhésion au projet, elle leur propose des produits pour la vente. Celles qui sont intéressées par un ou des produits font des captures d’écran et passent les commandes. Beaucoup d’adhérentes se sont manifestées et ont envoyé, au total, 10.000.000 de FCFA à M. A. Samb.
A charge à elle de contacter ses fournisseurs établis, selon ses dires, au Cameroun (un certain M. Eko) et en Chine. Pour convaincre ses clientes, elle leur a proposé la boule de cheveux naturels à 3.000 F Cfa contre 4.000 FCfa sur le marché local. Pour mieux ferrer les victimes, elle leur a dit qu’il s’agissait d’une promotion de fin d’année. Aussi, a-t-elle prétendu, sa grande-sœur vivait en Chine et qu’elle leur a trouvé des cheveux naturels de qualité. Pour mieux les rouler dans la farine, elle a partagé une vidéo attestant la qualité du produit dans le groupe WhatsApp. Les plaignantes sont tombées sous le charme de la marchandise. Mais le hic est que depuis janvier 2022, les parties civiles attendent toujours la livraison des produits commandés.
Elles ont alors porté plainte contre M. A. Samb. Pour l’arrêter, les enquêteurs ont d’abord interpellé sa sœur qui habite Les Maristes. Celle-ci a mis la pression sur leur mère qui a conduit sa fille (M. A. Samb) à la Gendarmerie.
Déférée le 16 mai, elle a comparu, hier, à la barre du Tribunal des flagrants délits pour escroquerie portant sur 10.000.000 de francs FCfa au préjudice d’une vingtaine de plaignantes. Sur ce montant, la dame M. Thiam a versé à la prévenue 7.700.000 F Cfa pour le compte de ses 16 clientes. Le reste a été remis par les autres parties civiles par divers montants.
Invitée à justifier son acte, la prévenue a reconnu les faits, soutenant n’avoir envoyé que 4,6 millions FCfa à ses fournisseurs. Dans leurs plaidoiries, les avocats des plaignantes n’ont pas douté de la constance des faits à l’égard de la prévenue. À leurs avis, « il y a mensonge sur le nom de la mise en cause, son lieu d’habitation (tantôt Dakar tantôt Touba). « C’est une personne dangereuse pour la société », ont-ils estimé. Pour le conseil de N. D. Thioub, il a réclamé un million de F Cfa. Son collègue assurant les intérêts de M. Thiam qui a remis 7.700.000 francs à la jeune fille a demandé 10.000.000 de francs F Cfa.
Me Malick Mbengue, avocat des 16 parties civiles, a sollicité le remboursement des montants versés par ses clientes et 300.000 FCfa pour chacune en guise de réparation. Pour sa part, la représentante du Parquet est d’avis que l’escroquerie est établie contre la prévenue. À l’en croire, l’usage de fausses qualités, de faux nom et de manœuvres frauduleuses ne fait l’objet d’aucun doute dénonçant « la témérité » de la prévenue. « Elle n’a présenté aucun remords à la barre », a regretté le Parquet, avant de requérir un an ferme à son encontre.
La défense a estimé que sa cliente M. A. Samb est victime de sa «naïveté et de son audace». Ce qui est objectif c’est qu’elle a reçu de l’argent et qu’elle a passé des commandes, a-t-elle soutenu, contestant les déclarations selon lesquelles la mise en cause a déjà fait l’objet d’une condamnation pénale dans le passé. Sa conviction est qu’«elle a voulu trop gagner en s’essayant au commerce mais elle a perdu ». Par conséquent, la robe noire a sollicité la relaxe au bénéfice du doute ; à défaut, disqualifier les faits d’escroquerie en abus de confiance. Le délibéré a été fixé au 30 mai prochain pour la production du certificat de scolarité de la prévenue.