Un camion citerne rempli de gasoil en partance pour le Mali a raté un virage, dimanche 21 janvier aux environs de midi sur la RN7 à hauteur de Badon, localité située dans la commune de Tomboronkoto (Arrondissement de Bandafassi, département de Kédougou). Cette sortie de […]
ACTUALITE SOCIETEL’OM continue de négocier la prolongation de Pape Gueye en coulisse. L’ancien havrais qui joue actuellement la Can avec le Sénégal auraient quelques conditions avant de signer un nouveau contrat. Suspendu jusqu’en décembre pour une affaire de transfert litigieux à Watford en 2019, Pape Gueye […]
ACTUALITE SPORTSVictime d’un malaise après la victoire contre le Cameroun (3-1), Aliou Cissé a reçu, ce samedi, la visite de ses joueurs à l’hôpital de Yamoussoukro. Selon les informations de Canal + Sport Afrique, son état de santé s’améliore alors que des examens complémentaires sont encore […]
ACTUALITE SPORTSDu nouveau dans l’enquête sur la mort de Kiné Gaye à Pikine. ‘’L’Observateur’’ dans sa livraison de ce mercredi, révèle que la police a procédé hier, mardi, à la reconstitution des faits avec le suspect, Kasshim Ba, sur les lieux du crime. Ce dernier d’après […]
ACTUALITE SOCIETEDu nouveau dans l’enquête sur la mort de Kiné Gaye à Pikine. ‘’L’Observateur’’ dans sa livraison de ce mercredi, révèle que la police a procédé hier, mardi, à la reconstitution des faits avec le suspect, Kasshim Ba, sur les lieux du crime.
Ce dernier d’après le journal a entraîné sa mère dans sa chute. Elle a été interpellée et retenue dans les locaux par la Sûreté urbaine pour «nécessité d’enquête».
Après quelques mois d’accalmie, le secteur de l’éducation sera encore paralysé. Les enseignants d’enseignants qui pensent que le gouvernement n’a pas respecté les accords qu’il avait signés, ont décidé de passer à la vitesse supérieure. Ils ont dévoilé leur 11 ème plan d’action Ils décrètent […]
ACTUALITE SOCIETEAprès quelques mois d’accalmie, le secteur de l’éducation sera encore paralysé. Les enseignants d’enseignants qui pensent que le gouvernement n’a pas respecté les accords qu’il avait signés, ont décidé de passer à la vitesse supérieure. Ils ont dévoilé leur 11 ème plan d’action
Ils décrètent ce mercredi 25 mai un débrayage à partir de 9h suivi d’une Assemblée générale et d’une conférence de presse. Ensuite le vendredi 27, un autre débrayage est prévu à 9 heures, suivi d’une grève totale le samedi 28 mai.
Mais ce n’est pas tout, car le lundi 30 mai, un autre débrayage est prévu à partir de 9 heures. Le mardi 31 mai, les syndicalistes vont observer un débrayage à 9 heures. Les syndicats ont également décidé de boycotter les évaluations, les examens, les cellules pédagogiques et les des conseils de classes.
Encore des victimes dans un accident de la circulation et cette fois-ci, le drame s’est produit vers 18h, dans la commune de Thiomby, à hauteur de Gamboul, dans le département de Kaolack. Il s’agit d’une collision entre un bus et un véhicule particulier “Allô Dakar”. […]
ACTUALITE SOCIETEEncore des victimes dans un accident de la circulation et cette fois-ci, le drame s’est produit vers 18h, dans la commune de Thiomby, à hauteur de Gamboul, dans le département de Kaolack. Il s’agit d’une collision entre un bus et un véhicule particulier “Allô Dakar”. Le bilan provisoire est lourd. 4 personnes sont décédées sur le coup et le 5 ème a rendu l’âme au cours de son évacuation à l’hôpital régional de Kaolack. Les blessés ont été évacués à l’hopital par les sapeur-pompiers.
La région de Kédougou et le département de Mbour sont devenus des « plaques tournantes » du trafic des migrants et de la traite des personnes. C’est la révélation faite hier, par le substitut du procureur du tribunal de grande instance de Mbour, rapporte l’Aps. […]
ACTUALITE SOCIETELa région de Kédougou et le département de Mbour sont devenus des « plaques tournantes » du trafic des migrants et de la traite des personnes. C’est la révélation faite hier, par le substitut du procureur du tribunal de grande instance de Mbour, rapporte l’Aps. Lors d’un atelier à Saly Portudal, portant sur « La prise en charge du trafic des migrants et des infractions assimilées », François Diouf a expliqué, en effet, que ce sont les deux « zones de départ, de transit ou de destination » de ce fléau. Il souligne que la brigade de gendarmerie de Joal-Fadiouth et la brigade de recherche de Mbour ont procédé à une multitude de déferrements au parquet liés à des faits de trafic de migrants.
La jeune fille M. À. Samb n’a pas froid aux yeux. Élève en classe de Terminale, elle a réussi à duper une vingtaine de femmes et a bouffé leur 10.000.000 de francs. Conséquence : elle comparaissait, hier, au Tribunal des flagrants délits de Dakar pour […]
ACTUALITE SOCIETELa jeune fille M. À. Samb n’a pas froid aux yeux. Élève en classe de Terminale, elle a réussi à duper une vingtaine de femmes et a bouffé leur 10.000.000 de francs. Conséquence : elle comparaissait, hier, au Tribunal des flagrants délits de Dakar pour escroquerie.
Âgée seulement de 21 ans, l’élève en classe de Terminale, M. A. Samb dite Mame Diarra Sèye, flirte déjà avec les affres de l’incarcération. Ce, à cause de sa témérité excessive ; d’où, le sobriquet de « Bernard Madoff à la Sénégalaise » que lui a attribué Me Malick Mbengue, au Tribunal des flagrants délits de Dakar où elle comparaissait, hier. En effet, alors qu’elle n’avait pas encore atteint l’âge de la majorité, M. A. Samb a réussi à gruger beaucoup de femmes d’un montant de 10.000.000 de francs au total. Comment ?
Elle a fait, en 2019, une publication sur Facebook, par laquelle elle invitait les femmes à adhérer à son commerce en ligne, via WhatsApp. Ce qu’une vingtaine de femmes a fait. Après leur adhésion au projet, elle leur propose des produits pour la vente. Celles qui sont intéressées par un ou des produits font des captures d’écran et passent les commandes. Beaucoup d’adhérentes se sont manifestées et ont envoyé, au total, 10.000.000 de FCFA à M. A. Samb.
A charge à elle de contacter ses fournisseurs établis, selon ses dires, au Cameroun (un certain M. Eko) et en Chine. Pour convaincre ses clientes, elle leur a proposé la boule de cheveux naturels à 3.000 F Cfa contre 4.000 FCfa sur le marché local. Pour mieux ferrer les victimes, elle leur a dit qu’il s’agissait d’une promotion de fin d’année. Aussi, a-t-elle prétendu, sa grande-sœur vivait en Chine et qu’elle leur a trouvé des cheveux naturels de qualité. Pour mieux les rouler dans la farine, elle a partagé une vidéo attestant la qualité du produit dans le groupe WhatsApp. Les plaignantes sont tombées sous le charme de la marchandise. Mais le hic est que depuis janvier 2022, les parties civiles attendent toujours la livraison des produits commandés.
Elles ont alors porté plainte contre M. A. Samb. Pour l’arrêter, les enquêteurs ont d’abord interpellé sa sœur qui habite Les Maristes. Celle-ci a mis la pression sur leur mère qui a conduit sa fille (M. A. Samb) à la Gendarmerie.
Déférée le 16 mai, elle a comparu, hier, à la barre du Tribunal des flagrants délits pour escroquerie portant sur 10.000.000 de francs FCfa au préjudice d’une vingtaine de plaignantes. Sur ce montant, la dame M. Thiam a versé à la prévenue 7.700.000 F Cfa pour le compte de ses 16 clientes. Le reste a été remis par les autres parties civiles par divers montants.
Invitée à justifier son acte, la prévenue a reconnu les faits, soutenant n’avoir envoyé que 4,6 millions FCfa à ses fournisseurs. Dans leurs plaidoiries, les avocats des plaignantes n’ont pas douté de la constance des faits à l’égard de la prévenue. À leurs avis, « il y a mensonge sur le nom de la mise en cause, son lieu d’habitation (tantôt Dakar tantôt Touba). « C’est une personne dangereuse pour la société », ont-ils estimé. Pour le conseil de N. D. Thioub, il a réclamé un million de F Cfa. Son collègue assurant les intérêts de M. Thiam qui a remis 7.700.000 francs à la jeune fille a demandé 10.000.000 de francs F Cfa.
Me Malick Mbengue, avocat des 16 parties civiles, a sollicité le remboursement des montants versés par ses clientes et 300.000 FCfa pour chacune en guise de réparation. Pour sa part, la représentante du Parquet est d’avis que l’escroquerie est établie contre la prévenue. À l’en croire, l’usage de fausses qualités, de faux nom et de manœuvres frauduleuses ne fait l’objet d’aucun doute dénonçant « la témérité » de la prévenue. « Elle n’a présenté aucun remords à la barre », a regretté le Parquet, avant de requérir un an ferme à son encontre.
La défense a estimé que sa cliente M. A. Samb est victime de sa «naïveté et de son audace». Ce qui est objectif c’est qu’elle a reçu de l’argent et qu’elle a passé des commandes, a-t-elle soutenu, contestant les déclarations selon lesquelles la mise en cause a déjà fait l’objet d’une condamnation pénale dans le passé. Sa conviction est qu’«elle a voulu trop gagner en s’essayant au commerce mais elle a perdu ». Par conséquent, la robe noire a sollicité la relaxe au bénéfice du doute ; à défaut, disqualifier les faits d’escroquerie en abus de confiance. Le délibéré a été fixé au 30 mai prochain pour la production du certificat de scolarité de la prévenue.
Malgré tous les efforts et engagements des pouvoirs publics qui sont allés même jusqu’à augmenter de 10 milliards le budget alloué à la campagne agricole 2022-2023, celle-ci risque encore de connaître moult désagréments aux yeux de beaucoup de producteurs. Pour cause, la mise en place […]
ACTUALITE SOCIETEMalgré tous les efforts et engagements des pouvoirs publics qui sont allés même jusqu’à augmenter de 10 milliards le budget alloué à la campagne agricole 2022-2023, celle-ci risque encore de connaître moult désagréments aux yeux de beaucoup de producteurs. Pour cause, la mise en place des semences et intrants agricoles qui avance de manière timide, les couacs de la distribution avec la mévente de certains stocks d’engrais, la cherté du dit fertilisant des sols entre autres contribuent de manière sensible à hypothéquer la campagne de cette année. Suffisant pour pousser certains acteurs du monde rural à réclamer le retour des ICS dans le giron national.
DIOURBEL / RETARD DANS LA MISE EN PLACE DES ENGRAIS
Une mévente des stocks souvent notée
La mise en place des engrais accuse souvent du retard dans le monde rural. Les stocks d’engrais ne sont pas épuisés car il y a toujours des réserves d’engrais invendues.
Les producteurs agricoles ont du mal à trouver de l’engrais à temps. Conséquence : l’essentiel des stocks arrivés n’étaient pas totalement vendus aux producteurs agricoles. Pour Ibrahima Diouf Bagnakhé, le Président du syndicat Jappando de Diourbel, les opérateurs qui sont chargés de mettre à la disposition les stocks d’engrais n’ont pas souvent une grande assise financière pour pouvoir satisfaire leur commande. C’est ce qui explique souvent les retards notés dans la mise en place des engrais. Pour inverser la tendance, il faut que ces intrants agricoles soient disponibles à temps, explique-t-il. L’autre équation, c’est le manque de moyens financiers pour l’achat de l’engrais subventionné par l’Etat par les producteurs agricoles. « Cette période coïncide avec celle des vaches maigres. Ainsi, on assiste à une mévente de l’engrais. Les opérateurs privés qui ne trouvent d’acquéreurs sont obligés de revendre le reste des stocks aux commerçants. Ce qui constitue une perte pour l’Etat mais aussi pour les producteurs agricoles ».
Le Directeur régional du développement rural de Diourbel, Pierre Diouf, soutient pour sa part qu’on ne peut pas parler de manque d’engrais. « La distribution de l’engrais s’est terminée depuis l’année dernière. En ce qui concerne l’engrais 6 20 10 arachide, le quota de la région a été reçu à 75% de la prévision, soit 2069 tonnes dont 96% de ce quota a été vendu, soit 1980 tonnes vendues. En ce qui concerne l’engrais Mil, on a reçu 978 tonnes soit 71% du quota dont 71% sont vendus, soit 659 tonnes d’engrais mil. En ce qui concerne le triple l’engrais mil, 7311 tonnes ont été reçues, 728 sont vendues, soit 100% ». Et le Directeur régional du développement rural de Diourbel qui se prononçait la semaine dernière de poursuivre : « Pour l’urée, 915 tonnes ont été reçues et vendues soit 100%. S’il y a mévente, on ne peut pas parler de stocks indisponibles. Tous les prix aux producteurs agricoles ont été reconduits par cette présente campagne agricole 2022 2023 ». Toutefois, le sac d’engrais subventionné va connaître une légère hausse à cause de la crise mondiale.
ADAMA NDIAYE
KAOLACK/ MISE EN PLACE DES SEMENCES ET INTRANTS AGRICOLES
Les producteurs toujours dans l’impasse
Souvent attendue à pareils moments de l’année par la plupart des producteurs du pays, la campagne de mise en place des semences et intrants agricoles avance de manière timide dans la région de Kaolack et le centre du pays en général. Malgré les efforts fournis çà et là au niveau des Directions régionales de Développement rural (Drdr), en termes de distribution des attestations d’homologation suite à la mise en stocks déjà effectuée par les opérateurs et la délivrance progressive des notifications qui se poursuit encore tout au long de ces derniers jours. Ce qui, du coup, a permis la collecte de 114.000 tonnes d’arachide au niveau national.
Les producteurs, leurs organisations respectives et autres coopératives sont encore dans l’impasse. Autrement dit, ils s’inquiètent de plus en plus de la longue attente qu’ils sont en train d’observer pour rentrer en possession de ces produits. Même si dans la plupart des régions centre, les commissions de distribution sont déjà installées et les opérateurs en charge de l’acheminement des produits vers les paysans tous homologués, les semences qui doivent servir à cette prochaine campagne agricole ne sont pas parvenues.
Et partout dans le monde rural, beaucoup de questions sont posées. D’abord pour la qualité des graines, et ensuite le temps imparti aux bénéficiaires pour les décortiquer et pouvoir s’en servir. Une situation qui, du coup, agace pour autant les opérateurs qui veulent eux aussi démarrer sans retard leurs activités avant la date-butoir de démarrage des opérations fixée le 25 Mai prochain. Sauf que, du côté des opérateurs, on continue encore à réclamer le paiement de la dette des dernières créances contractées lors de la précédente saison dans la commercialisation arachidière cumulée aux opérations de distribution des semences et intrants, édition 2021/2022.
Pour les opérateurs, la vraie question à laquelle l’Etat doit d’urgence apporter une réponse plausible repose en effet sur le marché des intrants. Cette année, compte tenu de certains facteurs liés au Covid et la guerre en Ukraine, le prix accordé aux intrants connaît une flambée qui n’a jamais été connue des producteurs sénégalais. Selon le président régional des organismes privés et stockeurs du Sénégalais El Hadji Bou Goumbala, « cette cherté du prix de l’engrais a aujourd’hui poussé l’Etat à réduire les 150.000 tonnes qu’il avait prévues de mettre à la disposition des producteurs à 115.000 tonnes. L’urée qui coûtait 319.000 Frs la tonne revient aujourd’hui à l’Etat à 750.000 frs. Si c’est à l’étranger, le prix revient à 680.000 voire 700.000 Frs la tonne, soit le triple du prix fixé pendant ces dernières années ».
Le président régional des Ops poursuit par ailleurs : » quant aux différents types d’engrais (6/20/10, 15/10/10, 15/15/15, 10/10/20,), ce qui s’achetait sur le marché au prix de 175.000 Frs et qui concerne l’arachide est vendu aujourd’hui à 295.000 Frs », nous informe-t-il. Le président El Hadji Bou Goumbala, face à cette flambée difficile à maitriser, exhorte toutefois l’Etat à reprendre la gestion de l’usine des Industries Chimiques du Sénégal (Ics) ou, à défaut, reprendre son contrôle. Comme c’est d’ailleurs le cas avec la Sonacos. Surtout éviter de favoriser certains pays voisins au détriment des producteurs sénégalais. Et, conclut-il, « savoir avant tout que les Ics constituent un patrimoine national, une souveraineté qui fonde essentiellement le développement de la politique agricole du pays qu’on doit jalousement garder ».
Le carreleur Mbaye Faye et sa belle-sœur Aïda Tounkara séjournent, depuis la semaine dernière, à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Mbour. À en croire le quotidien L’Observateur qui donne l’information, leur incarcération fait suite à une rocambolesque histoire de viol sur la […]
ACTUALITE SOCIETELe carreleur Mbaye Faye et sa belle-sœur Aïda Tounkara séjournent, depuis la semaine dernière, à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Mbour.
À en croire le quotidien L’Observateur qui donne l’information, leur incarcération fait suite à une rocambolesque histoire de viol sur la fille mineure C. D.
Une affaire qui met au devant de la scène le carreleur, accusé d’enlèvement, de séquestration et de viols, avec la complicité de sa belle-sœur.
Selon les sources du journal, les faits incriminés continuent de faire grand bruit au quartier Oncad de Mbour où ils ont eu lieu. C’était le dimanche 15 mai dernier, aux environs de 18 heures.
Sur ces entrefaitres, la Brigade de gendarmerie de Mbour a été saisie par les parents de la fille qui est aussi conduite en consultation gynécologique à l’hôpital de Mbour.
Les conclusions des blouses blanches sont sans équivoque : « présence de plusieurs lésions sur les parties intimes de la fille mineure de 15 ans ». D’autant qu’elle était très mal-en-point.
Au terme de la durée légale de leur garde à vue, le carreleur Mbaye Faye et sa belle-sœur Aïda Tounkara ont été purement et simplement déférés au parquet du Tribunal de Mbour.
Triste nouvelle pour le monde de la lutte! Le lutteur à rendu l’âme ce mardi, suite à un malaise à l’entrainement. Le lutteur Akon tire sa révérence! le pensionnaire de l’écurie Sakkou Kham Kham de Birahim Ndiaye est décédé suite à un malaise à l’entrainement. […]
ACTUALITE SOCIETETriste nouvelle pour le monde de la lutte! Le lutteur à rendu l’âme ce mardi, suite à un malaise à l’entrainement.
Le lutteur Akon tire sa révérence! le pensionnaire de l’écurie Sakkou Kham Kham de Birahim Ndiaye est décédé suite à un malaise à l’entrainement. L’enterrement est prévu ce mardi.
Recruté par la société 2D, spécialisée dans le transport d’hydrocarbures et partenaire de la Senelec, le chauffeur, Talla G., et ses acolytes ont été pris en flagrant délit de vol de carburant le 12 mai dernier. Ils ont été interpellés derrière les entrepôts de Patisen […]
ACTUALITE SOCIETERecruté par la société 2D, spécialisée dans le transport d’hydrocarbures et partenaire de la Senelec, le chauffeur, Talla G., et ses acolytes ont été pris en flagrant délit de vol de carburant le 12 mai dernier. Ils ont été interpellés derrière les entrepôts de Patisen (Bel-Air) par les éléments de la brigade de Recherches qui ont été avisés par une tierce personne. Sur place, les pandores ont trouvé les mis en cause en train de vider un camion-citerne contenant du carburant dans trois fûts de 200 litres et un fût de 1000 litres. Mais, Talla G. avait pris la fuite quand les hommes en bleu l’ont sommé de déplacer le camion. Au même moment, Omar W. avait tenté d’acheter le silence des enquêteurs en leur proposant divers montants. C’est dans ces circonstances qu’il a été mis à la disposition des éléments au commissariat de Bel-Air en même que Dame G. et Ibrahima S, explique-t-on dans Rewmi .
Cueilli quelques heures plus tard et soumis au feu roulant des questions, Talla G. informe qu’il avait été chargé de transporter 40.000 litres de carburant au dépôt de la centrale de Bel-Air. Arrivé à hauteur de Yarakh Capa, Fallou N., agent de dépotage à la Senelec, l’a contacté l’informant ainsi que le déchargement aura finalement lieu au dépôt du Cap des Biches à Rufisque. Mais, quelques minutes plus tard, Fallou l’a rappelé pour lui demander de soustraire dans le réservoir de son camion 1600 litres et de l’écouler dans le marché noir. Il ajoute que son complice lui avait assuré qu’il allait associer au deal le contrôleur du dépôt du Cap des Biches, As- sane F. C’est alors qu’il a appelé un certain Baba- car pour lui proposer le butin. « J’ai garé mon véhicule pour permettre à Babacar, accompagné de Dame G., Omar. W et Ibrahima S. de récupérer le gasoil. Quand les enquêteurs en tenue civile nous ont surpris, Babacar a pris la tangente. À la demande de l’un des policiers, je lui ai donné toutes les pièces du véhicule. C’est ainsi que je suis parti au dépôt du Cap des Biches pour dépoter mon camion. Je me suis rendu ensuite à la banque pour percevoir mon salaire. C’est à mon retour que j’ai croisé vos éléments à bord de leur véhicule, lesquels m’ont arrêté et conduit dans les locaux de votre service », a avancé le trentenaire qui précise que les 435.000 francs retrouvés par devers lui, ne proviennent pas de son activité délictuelle. Car, il n’avait pas encore fixé le prix de vente du gasoil. « Les 250.000 francs représentent mon salaire, les 150.000 francs, un prêt et les 35.000 francs, mon argent de poche », a-t-il confié
Les receleurs bottent en touche…
Né en 1981, Galass N. a confirmé avoir commandité le vol à 7h du matin. A l’en croire, Talla avait réussi à céder le butin, avant son arrestation. « Il m’en avait informé lors d’un entretien téléphonique à 17h. J’avais demandé au contrôleur As- sane F. de le protéger et ce dernier a accepté. Je ne connais pas les receleurs, Dame, Omar et Ibrahima », dit-il. Assane F., 30 ans, a révélé que Talla lui avait promis une commission de 30.000 francs. A leur tour, Dame G., Ibrahima S. et Omar W. ont réfuté les faits, arguant qu’ils se trouvaient au mauvais endroit au mauvais moment. Malgré cela, ils ont été déférés au parquet et placés sous mandat de dépôt ainsi que leurs trois comparses. Les véhicules de marque Bmw et Chery de Gal- las et Talla ont été également mis sous scellés. Visés pour association de malfaiteurs, vol, complicité dudit chef, recel, blanchiment de capitaux et tentative de corruption, les prévenus seront jugés à l’audience des flagrants délits de Dakar le 25 mai prochain.
Barthélemy Dias appréciera lui aussi que Ousmane Sonko dise publiquement l’avoir remis à sa place, en lui précisant «qu’il n’est pas un leader et qu’il a à obtempérer aux décisions prises par les leaders de la coalition Yaw». Cette phrase a été faite lors de […]
ACTUALITE POLITIQUEBarthélemy Dias appréciera lui aussi que Ousmane Sonko dise publiquement l’avoir remis à sa place, en lui précisant «qu’il n’est pas un leader et qu’il a à obtempérer aux décisions prises par les leaders de la coalition Yaw». Cette phrase a été faite lors de sa première sortie sur les listes, après les conférences tous azimuts de certains leaders de YAW, montrant toute leur frustration.