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ACTUALITE SOCIETEUne onzième personne est décédée à la suite d’une frappe russe mardi sur Kharkiv, grande ville de l’Est de l’Ukraine, ont annoncé vendredi les services du procureur régional. « Malgré les efforts des médecins, une femme de 61 ans est décédée à l’hôpital la nuit […]
ACTUALITE INTERNATIONALLa dépouille mortelle d’une enfant enveloppé dans un sac d’écolier a été déterré sur la plage de Cambérène, ce lundi 30 mai 2022 à hauteur du nouveau pont de Diamalaye. Le corps était enveloppé dans un sac d’écolier portant des inscriptions de fille. La Police […]
ACTUALITE SOCIETELa dépouille mortelle d’une enfant enveloppé dans un sac d’écolier a été déterré sur la plage de Cambérène, ce lundi 30 mai 2022 à hauteur du nouveau pont de Diamalaye. Le corps était enveloppé dans un sac d’écolier portant des inscriptions de fille. La Police scientifique sur les lieux a pris les empreintes et procédé aux constats d’usage.
Les policiers chargés de l’enquête tiennent leur premier suspect. Il s’agit d’«un homme d’un certain âge». Plusieurs témoins affirment l’avoir aperçu enterrant un sac d’écolier sur la plage. Ces derniers, signale la même source, feront la découverte macabre quelques instants après le départ du mystérieux individu
Le corps a été emporté l’hôpital pour autopsie
A 80 ans (il est né le 12 décembre 1941 à Mbour), son engagement pour la conservation du patrimoine et de la mémoire de l’esclavage n’a pris aucune ride. Juriste, diplomate, auteur, acteur culturel- il a plusieurs cordes à son arc-, Doudou Diène reste toujours […]
ACTUALITE SOCIETEA 80 ans (il est né le 12 décembre 1941 à Mbour), son engagement pour la conservation du patrimoine et de la mémoire de l’esclavage n’a pris aucune ride. Juriste, diplomate, auteur, acteur culturel- il a plusieurs cordes à son arc-, Doudou Diène reste toujours d’attaque et avec la même vivacité. Croisé à Paris lors de la semaine africaine de l’Unesco, il a accordé un entretien exclusif à Seneweb. La valorisation du patrimoine africain, la déconstruction de la vision eurocentrée sur le patrimoine africain, la réhabilitation de la maison des esclaves, l’ancien délégué du Sénégal à l’Unesco, cette figure de proue de l’inter culturalité, livre ses profondes convictions.
Monsieur Diène, vous êtes auteur et acteur engagé de la valorisation du patrimoine culturel africain. Pouvez-vous nous faire un petit résumé de votre parcours à l’Unesco et le combat que vous menez depuis des décennies ?
Mon parcours peut être résumé simplement. J’ai été sous-directeur général ici à l’Unesco et directeur du dialogue interculturel. J’ai lancé la route de l’esclave, la route de la soie, les grandes routes interculturelles et le dialogue interreligieux. Mais pour revenir à votre question de fond qui est le patrimoine, j’ai une vision extrêmement critique du concept de patrimoine. D’abord il faut revenir sur le concept de patrimoine. Quand vous dites patrimoine, de quoi parlez-vous ? Le concept de patrimoine permet de voir comment les différents peuples du monde voient le monde et quelle est leur identité.
Quand l’occidental te parle de son patrimoine, il te parle d’abord à partir de son point de vue eurocentré. C’est-à-dire à partir de son concept de civilisation qu’il a construit au moment où l’occident voulait s’emparer des richesses du monde et la légitimer idéologiquement par la mission de civilisation qui n’était qu’un prétexte idéologique de domination et d’exploitation. C’est dans cette mission de civilisation, qui structure toute l’opération de domination de l’occident, que la notion de patrimoine à l’occidentale a été élaborée. Avec deux réductions : réduire le patrimoine à la pierre et réduire le patrimoine au passé. Ces deux concept-là ne sont pas conformes à la dynamique et à la complexité de la culture africaine.
La troisième caractéristique de l’occident c’est de réduire le patrimoine à l’esthétique, c’est-à-dire à la forme, aux expressions. Hors ce sur quoi, moi et d’autres, nous travaillons, c’est de revenir sur le concept mère, fondateur du patrimoine c’est-à-dire le concept de culture.
“Il faut résister à cette déshumanisation à laquelle le marché veut nous amener actuellement”
L’occident perçoit la culture dans sa dimension seulement esthétique et l’élabore comme expression occidentale, comme modèle qu’il doit partager dans le monde. Tout le travail qu’on a fait à l’Unesco avec monsieur Mbow (Amadou Moctar Mbow) et avec d’autres quand nous avons élaboré l’histoire générale de l’Afrique, les grandes conventions sur la culture populaire, c’est revisiter la notion de culture et donc de patrimoine. Dans la notion de culture qui est conforme à la culture africaine, il y a trois piliers : l’esthétique, l’éthique et le spirituel. L’esthétique c’est ce que tu vois, ce que tu manges, ce que tu touches. L’occident réduit la culture à cette dimension là et c’est à cela qu’il a réduit la culture africaine. Ce qui veut dire qu’il aime les masques tout en étant raciste. Donc nous avons amené derrière l’esthétique, l’éthique qui est les valeurs humaines. Et derrière ces valeurs humaines, il y a les peuples. On ne peut pas parler seulement de la dimension esthétique qui n’inclut pas les peuples. C’est l’éthique qui les amène, donc les valeurs humaines. Et la troisième dimension de la culture c’est le spirituel.
Il faut revenir à ces trois dimensions. L’urgence de le faire c’est que nous vivons dans un contexte de néolibéralisme économique où c’est le marché qui domine. Le marché nous régule tous et réduit tout en instrument et en produit : notre culture, notre religion, notre manière de vivre… Tout est réduit au marché qui s’achète et se vend et nous déshumanise. Pour revisiter cela et casser cette notion de culture, il faut revenir à cette complexité : l’esthétique, l’éthique et le spirituel. Il faut résister à cette déshumanisation à laquelle le marché veut nous amener actuellement.
Nos gouvernants et l’Unesco n’ont-ils pas une responsabilité à ce niveau ?
Effectivement ! C’est en cela que l’Unesco a une responsabilité fondamentale. C’est sur cette base que quand j’ai participé au processus de création du Musée des civilisations noires dans le processus de préfiguration, j’ai eu un discours critique sur trois concepts. Tout le monde était là-bas : Souleymane Bachir Diagne, feu mon ami Iba Der entre autres. On a élaboré, avec Hamady Bocoum (Directeur du musée des Civilisations noires), tout le processus. Mais dans mon intervention, j’avais signalé que d’abord le concept de musée, est un concept occidental.
C’est l’occident qui, dans son processus de construction de son identité, s’est posé comme modèle mondial, a estimé que la création des peuples était des objets qu’on devrait enfermer dans des lieux et qu’on devait voir. Mais, ils n’ont jamais conçu la culture comme une source d’enrichissement critique et d’humanisation réciproque. Donc le concept de musée a été créé précisément avec cette vision occidentale. C’est-à-dire de prendre des objets et de se limiter à leur signification esthétique et de les enfermer pour simplement être vu.
C’est la raison pour laquelle des occidentaux aiment les masques Dogons, Sénoufos ou bien Yorubas tout en étant racistes. C’est la raison pour laquelle quand, jeune délégué sénégalais, j’ai lancé la première résolution ici (à l’Unesco) en 1974 sur la restitution des biens culturels, je ne parle pas des arts… les biens culturels c’est un concept plus riche que le concept d’art qui est concept occidental. Dans le concept de biens culturels il y a l’art mais il y a aussi les valeurs
Comment restituer les valeurs ?
Quand j’ai présenté la résolution pour la restitution des biens culturels, les délégués occidentaux m’ont dit : mais Monsieur Diène, nous avons sauvé vos masques et nous les avons préservés dans nos musées. Je leur ai dit messieurs les ambassadeurs nous vous remercions, mais c’est là le malentendu culturel entre vous occidentaux et nous. C’est sur ce malentendu que vous avez essayé de nous dominer. Parce que tout simplement vous avez le masque Dogon au musée de l’homme, que vous avez volé dans des conditions militaires de domination. Vous aimez le masque Dogon (côté esthétique, Ndrl) mais vous oubliez que le masque Dogon est l’expression d’une spiritualité, d’une cosmogonie, d’une vision de l’univers.
Chez les Dogons le masque est une expression spirituelle et mystique très profonde. Le masque de Hama dans la culture Dogon représente l’univers. Les Dogon ont une connaissance de l’astronomie qui fait que la Nasa a actuellement une hypothèse Dogon. Parce que tous les astres qui sont en train d’être découverts par les scientifiques de la Nasa sont dans la mémoire Dogon. Les Dogons disent que nous venons d’un astre qui s’appelle Pô tolo. Le Pô Tolo c’est le nom de la graine la plus petite de l’univers. Marcel Griaule en parle dans son livre Dieu d’eau : entretiens avec Ogotemmêli (publié en 1948, Ndlr).
Il est extrêmement important quand nous parlons de patrimoine et que l’Unesco en parle, de revenir au patrimoine dans sa complexité. C’est-à-dire tout ce que les peuples ont produit de matériels qu’on peut toucher et qu’on peut voir, qui vont de la pierre à la cuisine. Mais il faut introduire les valeurs éthiques qui font la sacralité du masque et celles qui font le Ceebu Jën. Tout a des valeurs et derrière ces valeurs il y a les peuples. Mais aussi le spirituel : les croyances à la transcendance. Depuis la création de l’univers le spirituel, c’est l’art le plus profond et le plus durable. Il faut toujours retenir que la forme extérieure n’est que l’expression de valeurs extrêmement profondes. C’est ce lien que l’occident a perdu et que le marché a recyclé et c’est à cela que nous devons résister.
Le tourisme doit être revisité de manière critique parce que le touriste qui vient chez nous n’a pas de contact avec nos peuples et n’a qu’une perception esthétique de nos œuvres qu’il prend en photo. Il vient avec des préjugés et repart avec des préjugés. Il faut aller vers le tourisme non pas culturel mais interculturel.
Vous beaucoup travaillé sur la revalorisation de l’esclavage à travers la route de l’esclave. Pouvez-vous revenir sur cela ?
En fait, j’ai lancé la route de l’esclave en 1994 ici à l’Unesco. Je reviens de Colombie où j’ai rencontré les descendants d’esclaves. Ils ont survécu quatre siècles, ils n’avaient pas de droits. Le code noir les définissait comme des biens meubles. C’est la définition de l’animal dans le code civil français. C’est sur cette base que l’esclavage a été construit. Le noir a été exclu de l’humanité. Mais ce qui a sauvé les esclaves, ce n’est pas seulement la résistance physique parce que l’esclave a toujours résisté. De la capture dans les champs de bataille au parcours jusqu’à la côte, dans les parcages à Gorée ou ailleurs, dans les négriers où ils étaient enchaînés et beaucoup mouraient, dans les champs de coton…ce qui les a sauvé, c’est la résistance culturelle.
“Nous africains, qui sommes à l’Unesco, avons la responsabilité de bousculer la vision occidentale du patrimoine”
Parce que l’esclave a compris très vite que le maître était raciste et il a compris que le racisme rendait aveugle. Celui qui est raciste ne te voit pas. Il a de toi une construction et t’infériorise. Les esclaves, depuis le 16e siècle, n’ont fait que regarder le maître parce que le dominé regarde toujours le dominateur pour le comprendre. Ils ont compris que le maître était faible et vulnérable à cause de son racisme. Et ils ont utilisé leur valeurs, leurs rites, leur culture que le maître ignorait ou méprisait pour reconquérir leur identité et la garder le soir par la musique, le vaudou etc. Pendant quatre siècles récupérer leur humanité et à la fin, comme la révolte de Saint Domingue en 1791, vaincre l’esclavage. Donc pour en revenir à la notion de patrimoine, l’esclave a gardé sa mémoire. Non pas sa mémoire formelle, musicale et autres, mais ce qu’il y a derrière comme la mystique.
Donc, nous africains qui sommes à l’Unesco avons la responsabilité de bousculer la vision occidentale du patrimoine.
Est-ce que l’Afrique est en train de le faire ?
Oui ! L’Afrique commence à le faire. Nous les africains qui avons vécu cette histoire, nous le faisons et nous sommes en train de littéralement faire bouger les lignes.
Maintenant que faudrait-il faire pour conserver le patrimoine africain ?
D’abord la notion de patrimoine telle que les africains la pratiquent, reflète la vision occidentale. J’ai participé à la rédaction de la convention internationale, je venais d’arriver comme jeune délégué de mon pays en 1972 et nous avions du patrimoine une conception beaucoup plus complexe. Non pas occidentale. Il faut que nous africains arrivons à faire comprendre à celui qui visite le musée du Quai Branly et prend une photo d’un masque Dogon que le balayeur qu’il a rencontré à l’entrée est Dogon.
“La nouvelle maison des esclaves sera inaugurée en septembre”
Vous avez organisé une levée de fonds pour la restauration de la maison des esclaves de Gorée. Comment se fait-il que l’initiative ne vient pas de l’Etat du Sénégal ?
De Senghor à aujourd’hui, aucun gouvernement n’a déboursé le moindre sou pour restituer la maison des esclaves de Gorée. L’argent laissé par les visiteurs (la visite est payante) va directement dans le budget du ministère de la culture. Alors que le bureau du conservateur- qui est mort dans la pauvreté- était délabré et la toiture menaçait de s’effondrer. C’est un scandale.
Quand j’ai lancé la route de l’esclave, on a poussé pour mettre la maison des esclaves dans la liste des patrimoines de l’Unesco. Dans la coalition des sites de conscience que je préside, on a inclus la maison des esclaves dans la liste. Feu Boubacar Joseph Ndiaye était d’ailleurs membre de cette coalition. On a obtenu 1 million de dollars de la Fondation Ford pour la réhabiliter. Je suis allé au Sénégal, le gouvernement sénégalais a accepté de donner 800 000 dollars. On a mis trois ans avec un comité d’architectes, un comité scientifique présidé par l’ancien recteur de l’université. On a terminé la réhabilitation. On a obtenu que la maison qui est face le gouvernement nous la donne, on l’a transformé en centre mondial de l’esclavage : un centre d’exposition, de conférence. On va inaugurer tout ça en Septembre.
Les supporters de Liverpool ont réagi à l’annonce du départ de leur attaquant vedette Sadio Mané, après avoir appris qu’il allait partir cet été. Les Reds veulent que l’international sénégalais reste, après six saisons réussies à Merseyside avec Liverpool. L’enfant de Bambali fera une annonce […]
ACTUALITE SPORTSLes supporters de Liverpool ont réagi à l’annonce du départ de leur attaquant vedette Sadio Mané, après avoir appris qu’il allait partir cet été. Les Reds veulent que l’international sénégalais reste, après six saisons réussies à Merseyside avec Liverpool. L’enfant de Bambali fera une annonce dans les prochaines heures.
Les fans de Liverpool implorent l’attaquant sénégalais, Sadio Mané, de rester après avoir appris qu’il allait partir lors de la fenêtre de transfert estivale, rapporte la presse anglaise visitée par senego.
Mané dont le contrat avec l’équipe de Jurgen Klopp expire en 2023 est dans le collimateur des géants allemands du Bayern Munich et pourrait être transféré en Bundesliga la saison prochaine.
Mais plusieurs fans ont réagi à la nouvelle et espèrent qu’il en décidera autrement.
Sadio Mané est la première recrue du manager Jurgen Klopp à Liverpool, et a passé six saisons avec les Reds, remportant la Premier League, la Ligue des champions de l’UEFA et la FA Cup.
La star sénégalaise semble avoir joué son dernier match pour le club en finale de la Ligue des champions de l’UEFA perdue contre le Real Madrid.
L’attaquant sénégalais a rejoint Liverpool en provenance de Southampton et a été une figure clé du club aux côtés de l’attaquant égyptien Mohamed Salah.
Le joueur de 30 ans, vainqueur de la Can 2021 devrait informer les Reds qu’il souhaite quitter le club cet été pour chercher un nouveau défi.
Trente-neuf pêcheurs sénégalais sont en détention depuis une semaine en Guinée. D’après Les Echos, qui donne l’information dans son édition de ce mardi, ils pêchaient dans les eaux guinéennes alors qu’ils ne disposaient pas de licence. Leur matériel a été confisqué, selon le journal. Qui […]
ACTUALITE SOCIETETrente-neuf pêcheurs sénégalais sont en détention depuis une semaine en Guinée. D’après Les Echos, qui donne l’information dans son édition de ce mardi, ils pêchaient dans les eaux guinéennes alors qu’ils ne disposaient pas de licence.
Leur matériel a été confisqué, selon le journal. Qui signale que les autorités guinéennes demandent aux mis en cause de payer pour chaque pirogue saisie la somme de 3 millions de francs CFA.
Les Echos rapporte que les collègues des pêcheurs arrêtés, qui pointent les conditions de détention de ces derniers, font part de leur inquiétude. Ils invitent les autorités sénégalaises à faire preuve de diligence dans le traitement du dossier.
La même source indique que des négociations sont en cours pour une baisse des amendes individuelles infligées aux pêcheurs sénégalais.
Le prix de la licence de pêche en Guinée est de 475 000 francs CFA, selon Les Echos.
Champion d’Afrique en titre, le Sénégal souhaite rééditer l’exploit en 2023 en Côte d’Ivoire. Mais cette ambition passe par une qualification à cette prochaine compétition. Pour ce faire, les Lions du Sénégal vont affronter les écureuils du Bénin, ce samedi 4 juin, à Diamniadio pour […]
ACTUALITE SOCIETE SPORTSChampion d’Afrique en titre, le Sénégal souhaite rééditer l’exploit en 2023 en Côte d’Ivoire. Mais cette ambition passe par une qualification à cette prochaine compétition. Pour ce faire, les Lions du Sénégal vont affronter les écureuils du Bénin, ce samedi 4 juin, à Diamniadio pour le compte de la première journée des éliminatoires de la Can 2023.
Dans cette quête, les hommes d’Aliou Cissé pourront compter sur leurs fervents supporters. A cet effet, la Fédération de football professionnel a ouvert la billetterie en vue de cette rencontre. Les prix vont de 150 000 frs pour le VIP centrale à 2000 pour la tribune rouge. Autant dire qu’il y en a pour toutes les bourses.
Les personnes désireuses d’acheter des tickets devront patienter jusqu’à mardi (10h) avant de se ruer vers les différents points de vente ouverts pour l’occasion à savoir : Stade Demba Diop, Stade Iba Mar Diop, stade Lat Dior, pour ne citer que ceux-là.
Le procès Imam Ndao et Cie, prévu ce matin devant la barre de la chambre criminelle de la cour d’appel de Dakar, vient d’être renvoyé jusqu’au 27 juin prochain. Motif évoqué reste l’absence d’un des avocats de la défense. Rappelons que Imam Ndao n’a rien […]
ACTUALITE SOCIETELe procès Imam Ndao et Cie, prévu ce matin devant la barre de la chambre criminelle de la cour d’appel de Dakar, vient d’être renvoyé jusqu’au 27 juin prochain.
Motif évoqué reste l’absence d’un des avocats de la défense. Rappelons que Imam Ndao n’a rien à craindre. Le juge et le procureur général ont demandé sa comparution en tant que témoin «pour éclairer le tribunal».
Imam Ndao et ses co-accusés étaient poursuivis pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, apologie du terrorisme, blanchiment de capitaux. Et, il a été relaxé des principaux chefs d’accusation. Les autres ont été condamnés à des peines allant jusqu’à vingt ans de prison.
Les habitants de la cité Sabé de Diamgueun Sicap Mbao sont sur le pied de guerre. Ils s’opposent à la spoliation de leur unique aire de jeu. Ils se sont rassemblés pour interpeller les autorités. « Nous sommes ici pour attirer l’attention du Président Macky Sall […]
ACTUALITE SOCIETELes habitants de la cité Sabé de Diamgueun Sicap Mbao sont sur le pied de guerre. Ils s’opposent à la spoliation de leur unique aire de jeu. Ils se sont rassemblés pour interpeller les autorités.
« Nous sommes ici pour attirer l’attention du Président Macky Sall concernant cette pharmacie publique parce qu’elle est érigée sur le tuyau d’action du Lac de Guère qui désert toute la région du Cap Vert. Si ce tuyau explose, ce qui s’est passé à Keur Momar Sarr va se reproduire ici. C’est la raison pour laquelle nous la population de Diamgueun s’est érigé en bouclier pour la délocalisation de cette pharmacie »
C’est une mauvaise nouvelle pour les avocats de Ousmane Sonko. Ces derniers avaient adressé un courrier au Doyen des juges pour demander l’audition de l’ancien capitaine de gendarmerie Seydina Oumar Touré sur l’affaire Sweet Beauty dans laquelle le leader de Pastef est accusé de viols […]
ACTUALITE SOCIETEC’est une mauvaise nouvelle pour les avocats de Ousmane Sonko. Ces derniers avaient adressé un courrier au Doyen des juges pour demander l’audition de l’ancien capitaine de gendarmerie Seydina Oumar Touré sur l’affaire Sweet Beauty dans laquelle le leader de Pastef est accusé de viols et menaces de mort par Adji Sarr.
Mais, informe ‘’Libération’’ dans sa parution de ce lundi, le parquet de Dakar s’est opposé à leur requête. D’après le journal, le parquet estime qu’une déposition du «capitaine Touré» ne serait pas crédible, soulignant qu’il a été radié de la gendarmerie pour «faute contre l’honneur, la probité et les devoirs généraux du militaire». Le dernier mot revient au Doyen des juges.
Fouiné le parcours professionnel et politique du leader de Gueum Sa Bopp, Bougane Guèye Dany renvoie souvent à un sentiment d’un particulier de déjà vu ailleurs: Mais loin d’être du copier-coller, c’est la voie du destin qui semble se dessiner pour deux hommes dont le […]
ACTUALITE POLITIQUEFouiné le parcours professionnel et politique du leader de Gueum Sa Bopp, Bougane Guèye Dany renvoie souvent à un sentiment d’un particulier de déjà vu ailleurs: Mais loin d’être du copier-coller, c’est la voie du destin qui semble se dessiner pour deux hommes dont le combat politique est « Notre nation d’abord ! ». Oui ! Non seulement le slogan « Gueum sa Bopp ou la foi en soi » de la Coalition rime avec la vision politique de Donald Trump pour les Etats-Unis, mais son « démarquage » de la politique Macky Sall renvoie à celle de Trump contre Bush-family et Obama. Mais en plus, partis de rien pour être des hommes d’affaires très connus, une question légitime surgit : « Et si Bougane Guèye Dany était l’autre Donald Trump du continent africain ? » Portraits croisés…
Donald Trump, un homme d’affaires, féru des médias
Donald Trump, né le 14 juin 1946, à New York, est le 45e président des États-Unis, en fonction du 20 janvier 2017 au 20 janvier 2021. Mais avant tout il est un homme d’affaires, mais aussi grand animateur de télévision, avant d’être homme d’Etat, mais aussi milliardaire très connu. Il
Fils du promoteur immobilier Fred Trump, il travaille dans l’entreprise de son père pendant ses études à la Wharton School. En 1971, il prend la direction de l’entreprise familiale, qu’il renomme The Trump Organization ; il se constitue dès lors un empire immobilier et une notoriété grâce à des bâtiments prestigieux qui portent généralement son nom. Mais Wikipédia qui dresse son portrait souligne aussi qu’il est une célébrité médiatique dès les années 1980, impliqué dans le secteur du divertissement télévisuel il est l’animateur de l’émission de téléréalité The Apprentice de 2004 à 2015.
Il entre en politique dans les années 1980, s’affiliant alternativement au Parti démocrate, au Parti républicain et au Parti de la réforme, dont il brigue un temps l’investiture pour l’élection présidentielle de 2000. Opposé au président George W. Bush, dont il désavoue la décision de mener la guerre d’Irak à partir de 2004, il est à nouveau affilié au Parti républicain à partir de 2012. Il critique alors la politique du président Barack Obama, et reprend à son compte les rumeurs sur sa citoyenneté pendant plusieurs années.
Sa candidature aux primaires présidentielles républicaines de 2016 suscite de vives polémiques en raison de sa personnalité et de son discours. Il remporte cependant la désignation du parti malgré l’hostilité de l’appareil républicain. Il mène dès lors une campagne présidentielle atypique en s’appuyant sur une équipe et des moyens financiers réduits et en développant un usage intensif des réseaux sociaux. Se présentant comme un adversaire de Madame Hilary Clinton pour devenir le président le plus âgé de l’histoire américaine, le premier à n’avoir jamais exercé précédemment de fonction politique ou militaire, ainsi que le cinquième à avoir gagné l’élection présidentielle américaine tout en étant devancé dans le vote populaire.
Bougane Guèye Dany, un milliardaire parti de rien
Un article datant de Juin 2011, jeuneafrique.com revient sur un évènement marquant du patron de Dak’Cor jubile. Bougane Guèye, 34 ans, a décroché début juin le contrat de communication de la compagnie aérienne Emirates pour le Sénégal, la Gambie, le Mali et la Guinée. À la clé, plusieurs centaines de millions de francs CFA de recettes pour son agence.
Mais ce succès n’est pas réellement une surprise. Depuis trois ans, cet homme à la carrure de lutteur est entré dans le cercle fermé des patrons d’agences qui comptent à Dakar. Le groupe Danone, la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest ou encore Western Union font partie de ses clients.
Selon d’autres confrères, Bougane Guèye Dany, originaire de Saint-Louis (nord du Sénégal), un self made man, est de la trempe des hommes d’affaires à succès. Après un passage dans plusieurs organes de presse, il a forgé son destin dans la transpiration et l’intelligence et monte sur le podium des jeunes leaders les plus influents et écoutes du monde médiatique.
Licencié par le groupe de presse Wal Fadjri en raison de son activité syndicale en 2002, Bougane Guèye lance son agence quelques mois après, avec 1 500 euros de capital. Huit ans plus tard, son groupe réalise un chiffre d’affaires d’environ 9 millions d’euros et emploie 162 personnes. D’abord actif dans le domaine du conseil en communication, l’ancien journaliste n’a cessé de développer de nouvelles activités.
Il possède aujourd’hui une myriade de sociétés allant de la production d’études qualitatives à la gestion de panneaux publicitaires, en passant par l’édition de magazines ou la radio Zik FM.
Mais depuis 2019, comme en cascade, des séries d’actions tombent sur son busines comme une tentative d’asphyxie financière. Oui, depuis qu’il affiche sa détermination à faire « déguerpir » Macky Sall, des déboires s’enchainent à une vitesse jamais vécue par un acteur politique. Mais Bougane Guèye Dany reste stoïque, avec un Business qui résiste étonnamment ) ces aléas. Quel est son secret ?
Fibre nationaliste au cœur d’une stratégie payante
Ses concurrents, Bougane Guèye les voit comme des dinosaures, vestiges de l’emprise des Occidentaux sur les affaires du continent. Lui incarne une rupture, une réussite 100 % africaine. Il n’hésite d’ailleurs pas à jouer sur la fibre nationaliste pour inviter les entreprises sénégalaises à lui faire confiance.
En 2018, il a lancé le mouvement citoyen « Gueum sa Bopp », il anime l’esprit « self made man » dans un pays à majorité composé de jeunes. Il sillonne le pays à la rencontre des populations pour s’enquérir des problèmes que vivent ces dernières au quotidien, retrace un autre confrère.
Après cette expérience, Bougane Gueye Dany déclare sa candidature aux élections présidentielles de février 2019. Un pari audacieux qui illustre le courage de ce jeune leader à descendre dans l’arène politique. Une candidature appréciée à sa juste valeur. L’ascension du jeune africain sur la scène politique s’est traduite par une médiatisation forte qui le place aujourd’hui, incontestablement, au devant de l’échiquier politique du pays.
Aujourd’hui à l’image de Barack Obama, Macky Sall en est à son second, donc dernier mandat, selon la constitution sénégalaise. Et coïncidence du destin, avec les législatives de juillet 2022 parsemées d’embûches pour l’opposition, il positionne Aminata Mimi Touré comme sa « Hilary Clinton » pour lui succéder au fauteuil présidentiel, après « un Mbourok Soow » au goût amer d’un Idrissa Seck qui a trahi ses votants pour rejoindre le « Macky ».
Malgré les multiples tentatives de musèlement, Bougane Guèye Dany, le leader de Gueum Sa Bopp, à l’inverse de Trump pourrait bien devenir le plus jeune président du Sénégal.
Car nul doute n’est permis de douter que le rêve suprême du régime de Macky est de liquider politiquement l’autre rival de Bougane, Ousmane Sonko… Mais avec le calvaire des Sénégalais dont Macky mesure un peu la portée en dégageant 54 milliards FCFA en appui aux ménages, comme sous Wade son prédécesseur, l’autre slogan qui se déclenche chez les Sénégalais est aujourd’hui « Tout ! Sauf Macky ! Macky Doyna seuk !»Donald Trump, un homme d’affaires, féru des médias
Donald Trump, né le 14 juin 1946, à New York, est le 45e président des États-Unis, en fonction du 20 janvier 2017 au 20 janvier 2021. Mais avant tout il est un homme d’affaires, mais aussi grand animateur de télévision, avant d’être homme d’Etat, mais aussi milliardaire très connu. Il
Fils du promoteur immobilier Fred Trump, il travaille dans l’entreprise de son père pendant ses études à la Wharton School. En 1971, il prend la direction de l’entreprise familiale, qu’il renomme The Trump Organization ; il se constitue dès lors un empire immobilier et une notoriété grâce à des bâtiments prestigieux qui portent généralement son nom. Mais Wikipédia qui dresse son portrait souligne aussi qu’il est une célébrité médiatique dès les années 1980, impliqué dans le secteur du divertissement télévisuel il est l’animateur de l’émission de téléréalité The Apprentice de 2004 à 2015.
Il entre en politique dans les années 1980, s’affiliant alternativement au Parti démocrate, au Parti républicain et au Parti de la réforme, dont il brigue un temps l’investiture pour l’élection présidentielle de 2000. Opposé au président George W. Bush, dont il désavoue la décision de mener la guerre d’Irak à partir de 2004, il est à nouveau affilié au Parti républicain à partir de 2012. Il critique alors la politique du président Barack Obama, et reprend à son compte les rumeurs sur sa citoyenneté pendant plusieurs années.
Sa candidature aux primaires présidentielles républicaines de 2016 suscite de vives polémiques en raison de sa personnalité et de son discours. Il remporte cependant la désignation du parti malgré l’hostilité de l’appareil républicain. Il mène dès lors une campagne présidentielle atypique en s’appuyant sur une équipe et des moyens financiers réduits et en développant un usage intensif des réseaux sociaux. Se présentant comme un adversaire de Madame Hilary Clinton pour devenir le président le plus âgé de l’histoire américaine, le premier à n’avoir jamais exercé précédemment de fonction politique ou militaire, ainsi que le cinquième à avoir gagné l’élection présidentielle américaine tout en étant devancé dans le vote populaire.
Bougane Guèye Dany, un milliardaire parti de rien
Un article datant de Juin 2011, jeuneafrique.com revient sur un évènement marquant du patron de Dak’Cor jubile. Bougane Guèye, 34 ans, a décroché début juin le contrat de communication de la compagnie aérienne Emirates pour le Sénégal, la Gambie, le Mali et la Guinée. À la clé, plusieurs centaines de millions de francs CFA de recettes pour son agence.
Mais ce succès n’est pas réellement une surprise. Depuis trois ans, cet homme à la carrure de lutteur est entré dans le cercle fermé des patrons d’agences qui comptent à Dakar. Le groupe Danone, la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest ou encore Western Union font partie de ses clients.
Selon d’autres confrères, Bougane Guèye Dany, originaire de Saint-Louis (nord du Sénégal), un self made man, est de la trempe des hommes d’affaires à succès. Après un passage dans plusieurs organes de presse, il a forgé son destin dans la transpiration et l’intelligence et monte sur le podium des jeunes leaders les plus influents et écoutes du monde médiatique.
Licencié par le groupe de presse Wal Fadjri en raison de son activité syndicale en 2002, Bougane Guèye lance son agence quelques mois après, avec 1 500 euros de capital. Huit ans plus tard, son groupe réalise un chiffre d’affaires d’environ 9 millions d’euros et emploie 162 personnes. D’abord actif dans le domaine du conseil en communication, l’ancien journaliste n’a cessé de développer de nouvelles activités.
Il possède aujourd’hui une myriade de sociétés allant de la production d’études qualitatives à la gestion de panneaux publicitaires, en passant par l’édition de magazines ou la radio Zik FM.
Mais depuis 2019, comme en cascade, des séries d’actions tombent sur son busines comme une tentative d’asphyxie financière. Oui, depuis qu’il affiche sa détermination à faire « déguerpir » Macky Sall, des déboires s’enchainent à une vitesse jamais vécue par un acteur politique. Mais Bougane Guèye Dany reste stoïque, avec un Business qui résiste étonnamment ) ces aléas. Quel est son secret ?
Fibre nationaliste au cœur d’une stratégie payante
Ses concurrents, Bougane Guèye les voit comme des dinosaures, vestiges de l’emprise des Occidentaux sur les affaires du continent. Lui incarne une rupture, une réussite 100 % africaine. Il n’hésite d’ailleurs pas à jouer sur la fibre nationaliste pour inviter les entreprises sénégalaises à lui faire confiance.
En 2018, il a lancé le mouvement citoyen « Gueum sa Bopp », il anime l’esprit « self made man » dans un pays à majorité composé de jeunes. Il sillonne le pays à la rencontre des populations pour s’enquérir des problèmes que vivent ces dernières au quotidien, retrace un autre confrère.
Après cette expérience, Bougane Gueye Dany déclare sa candidature aux élections présidentielles de février 2019. Un pari audacieux qui illustre le courage de ce jeune leader à descendre dans l’arène politique. Une candidature appréciée à sa juste valeur. L’ascension du jeune africain sur la scène politique s’est traduite par une médiatisation forte qui le place aujourd’hui, incontestablement, au devant de l’échiquier politique du pays.
Aujourd’hui à l’image de Barack Obama, Macky Sall en est à son second, donc dernier mandat, selon la constitution sénégalaise. Et coïncidence du destin, avec les législatives de juillet 2022 parsemées d’embûches pour l’opposition, il positionne Aminata Mimi Touré comme sa « Hilary Clinton » pour lui succéder au fauteuil présidentiel, après « un Mbourok Soow » au goût amer d’un Idrissa Seck qui a trahi ses votants pour rejoindre le « Macky ».
Malgré les multiples tentatives de musèlement, Bougane Guèye Dany, le leader de Gueum Sa Bopp, à l’inverse de Trump pourrait bien devenir le plus jeune président du Sénégal.
Car nul doute n’est permis de douter que le rêve suprême du régime de Macky est de liquider politiquement l’autre rival de Bougane, Ousmane Sonko… Mais avec le calvaire des Sénégalais dont Macky mesure un peu la portée en dégageant 54 milliards FCFA en appui aux ménages, comme sous Wade son prédécesseur, l’autre slogan qui se déclenche chez les Sénégalais est aujourd’hui « Tout ! Sauf Macky ! Macky Doyna seuk !»
La douane sénégalaise est plus que jamais déterminée à lutter contre toutes formes de fraude et particulièrement celle relative aux faux médicaments. Et l’opération visant à boucler les réseaux de receleurs et commanditaires de ce trafic criminel a porté ses fruits. Laquelle s’est déroulée les […]
ACTUALITE SOCIETELa douane sénégalaise est plus que jamais déterminée à lutter contre toutes formes de fraude et particulièrement celle relative aux faux médicaments. Et l’opération visant à boucler les réseaux de receleurs et commanditaires de ce trafic criminel a porté ses fruits. Laquelle s’est déroulée les mardi 24 et mercredi 25 mai 2022 entre les zones maritimes de Thiaroye-Guédj et le quartier Thiaroye-Gare. Selon un communiqué rendu public, cette opération a permis aux soldats de l’économie «d’intercepter un véhicule taxi bagages bourré de colis suspects le mardi 24 mai 2022 vers 4 heure du matin à Thiaroye-Guédj et d’appréhender deux individus dont un qui s’est présenté comme étant le propriétaire de la cargaison».
«Le contrôle des colis a permis de découvrir qu’il s’agit de grosses quantités de médicaments dont le conditionnement et l’humidité ne laissent aucun doute sur le fait que la marchandise a d’abord été transportée par voie maritime»
A en croire le communiqué de la douane, «le contrôle des colis a permis de découvrir qu’il s’agit de grosses quantités de médicaments dont le conditionnement et l’humidité ne laissent aucun doute sur le fait que la marchandise a d’abord été transportée par voie maritime». Le colonel Alpha Touré Diallo qui a signé le document renseigne que l’interrogatoire des deux prévenus et les enquêtes menées par la suite ont permis la localisation du dépôt de destination de ladite marchandise aux environs du Marché de Thiaroye dans un endroit communément appelé Parc-Rénn. «Les agents qui se sont déportés sur les lieux ont constaté, en présence du propriétaire, l’existence d’un stock de plusieurs cartons, sacs et autres contenants de médicaments», renseigne la note.
«La totalité de la marchandise saisie font état de divers types de faux médicaments composés d’antalgiques, d’antiacides, d’anti-inflammatoire, d’anti-diarrhéiques, de multivitaminés, d’antibiotiques, d’injectables, d’antipaludéens, d’antimycosiques, d’antianémiques, d’aphrodisiaques et des dispositifs médicaux»
«L’ecor de la totalité de la marchandise saisie (à bord du véhicule et dans le dépôt) et l’évaluation menée conjointement par des représentants de la Direction de la Pharmacie et du Médicament, de l’Ordre des Pharmaciens du Sénégal ainsi que du Syndicat des pharmaciens privés font état de divers types de faux médicaments composés d’antalgiques, d’antiacides, d’anti-inflammatoire, d’anti-diarrhéiques, de multivitaminés, d’antibiotiques, d’injectables, d’antipaludéens, d’antimycosiques, d’antianémiques, d’aphrodisiaques et des dispositifs médicaux, d’une contrevaleur estimée à 1 150 000 000 de francs CFA. L’enquête suit son cours», lit-on dans le communiqué. L’administration des Douanes termine pour réaffirmer sa détermination à combattre la Criminalité transnationale organisée sous toutes ses formes et appelle les populations à plus de vigilance.