Ministre d’Etat et Présidente de l’ITIE, la Pr Awa Marie Coll Seck vient de démissionner de son poste. Les raisons de son départ ne sont pas encore connues, mais elle est arrivée au lendemain du report de la Présidentielle au 15 décembre 2024 acté hier […]
ACTUALITE POLITIQUECe mercredi, le Nigéria jouera face à l’Afrique du Sud en demi-finale de la CAN 2023. Pour ce match, les Super Eagles pourraient jouer sans leur vedette, Victor Osimhen. Selon les informations de Sport Radio Brila FM, l’attaquant de Naples n’a pas fait le déplacement […]
ACTUALITE SPORTSDéféré au parquet hier, Rose Wardini de son vrai nom a bénéficié d’un retour de parquet. Autrement dit, la gynécologue n’a pas finalement vu le maître des poursuites. Déférée encore ce matin, son dossier file tout vers l’instruction, rapporte L’OBS. D’ailleurs le journal indique que […]
ACTUALITE justiceLe dossier du rapt de «Bébé Aïda» ne connaît pas encore son épilogue. Certes, l’enfant a été retrouvé et la ravisseuse présumée arrêtée. Mais, il y a une autre affaire dans l’affaire. En effet, la police poursuit ses investigations pour retrouver une personne liée à […]
Non classéLe dossier du rapt de «Bébé Aïda» ne connaît pas encore son épilogue. Certes, l’enfant a été retrouvé et la ravisseuse présumée arrêtée. Mais, il y a une autre affaire dans l’affaire. En effet, la police poursuit ses investigations pour retrouver une personne liée à l’histoire.
D’après Libération, qui donne l’information dans son édition de ce lundi, il s’agit d’un individu qui s’est signalé aux membres de la famille de Bébé Aïda alors que ceux-ci étaient dans le désarroi, ne sachant pas où se trouvait l’enfant.
Le «plaisantin», pour reprendre l’expression du journal, les a appelés pour leur dire que la fillette a été retrouvée abandonnée… à Kaolack. Se voulant plus précis, «l’informateur» désigne une voiture 4×4 de couleur noire qui aurait déposé l’enfant dans la rue.
Se fiant à cette vraie fausse information, deux membres de la famille prennent la route pour Kaolack, suivant les indications de l’individu. Ce dernier promit de les attendre sur place pour leur permettre de retrouver Bébé Aïda.
Arrivés sur place, les parents de la fillette durent déchanter. «L’informateur» anonyme n’était plus joignable. Son téléphone paraissait éteint, selon Libération, qui rapporte que la police est à ses trousses.
Alors que pour la plupart du temps c’est le vocable incompatibilité d’humeur qui est mentionné dans les «jugements de divorce» rendus par les Tribunaux, des informations font état, que Plus de 50% des cas de divorces et d’adultères sont causés par l’insatisfaction sexuelle, rapporte Sud […]
Non classéAlors que pour la plupart du temps c’est le vocable incompatibilité d’humeur qui est mentionné dans les «jugements de divorce» rendus par les Tribunaux, des informations font état, que Plus de 50% des cas de divorces et d’adultères sont causés par l’insatisfaction sexuelle, rapporte Sud Quotidien .
Des personnes qui souffrent de l’insatisfaction sexuelle ont partagé leur quotidien, sous couvert de l’anonymat, avec la Rédaction suite à un appel à témoin lancé sur statut WhatsApp.
Relation sans tabou, c’est le rêve de toutes bonnes femmes et bien sûr des hommes normaux aussi. Mais cela reste encore un rêve, du fait du tabou, des pesanteurs et autres stéréotypes socioculturels et par peur d’être mal jugé par son partenaire. Ce qui fait qu’on n’ose pas faire et aller à la découverte de certains carrefours corporels, créant ainsi la routine qui devient à la fois incommodant pour nombre de mariés.
Et parmi ces tabous, l’insatisfaction sexuel constitue une véritable cause d’instabilité dans les couples, en ce sens qu’elle est souvent source de divorce/séparation et d’infidélité ou d’adultère de l’une des partenaires. Quels sont les causes d’une insatisfaction sexuelle ? Comment poser le débat de l’insatisfaction sexuelle dans un couple sans vexer l’autre, parce que le sujet, en plus d’être un peu sensible, est des fois tabou chez certains ? Comment régler le problème sans passer par le divorce ?
Entre masturbation, trop jouer à un jeu de plaisir (sexuel), appels vidéo et addiction aux films pour adulte (porno) etc. le mal semble profond et constitue un véritable briseur de ménages, pardon de couples.
Pour cet homme qui a requis l’anonymat, c’est le viol de sa femme qui a causé son insatisfaction sexuelle: «Ma femme a subi un viol, quand elle avait 12 ans, par son oncle», a-t-il informé. Plus Loin dans sa confession l’anonyme a expliqué son problème. «Au début de notre relation, je ne savais pas ce détail ; mais elle avait du mal à me faire confiance. Par la suite, elle s’est confiée à moi et, à mon tour, je voulais l’aider. À la sortie de prison de son bourreau, elle a fait une dépression. Un mois après, je l’ai épousé pour ne pas la perdre parce que je l’aime ; c’est une femme formidable. Mais, aujourd’hui, je subis avec elle les conséquences de ce viol. J’ai fait 3 mois de mariage, sans consommation, parce que j’attendais qu’elle soit prête. Madame ne fait rien au lit. Aucun signe de satisfaction, je fais tout, seul. A la fin, ça me dérange. J’ai peur de rechasser ce passé sombre de ma femme ; donc, je fais très attention à ça. À force de calculer ça, je ne me concentre pas et bonjour l’insatisfaction sexuelle. J’ai peur d’en parler avec elle, pour ne pas la décevoir et lui faire mal».
Cette situation l’a conduit à commettre l’adultère. «Je suis à la recherche de ce plaisir, ailleurs. «Yallah nama Yallah baal» (Que Dieu me pardonne, en Wolof) car je ne peux pas divorcer. Actuellement, elle suit un traitement chez le sexologue. Elle souffre de frigidité*. Je garde espoir qu’elle se laisse faire pour en finir avec l’adultère et lui faire découvrir le bonheur de faire l’amour. (Rire !)».
Si pour notre homme, c’est le viol se son épouse la cause de son insatisfaction sexuelle, pour cette dame marié à un expatrié, dont nous tairons le nom, c’est la masturbation la source de ses ennuis sexuels.
«La masturbation a détruit ma vie de couple», informe-t-elle. Avant d’ajouter : «Après mon mariage, mon mari est retourné à l’étranger. On procédait à des appels vidéo la nuit où on s’excitait mutuelle. Après, je me masturbe pour terminer. Maintenant, je suis accro à la masturbation et aucun homme ne peut me satisfaire. Au retour de Monsieur, à la fin de chaque acte sexuel, je cours dans la salle de bain pour me masturber. Je ne comprenais pas au début ; je pensais que c’est Monsieur le problème. Quand il est rentré, j’ai commis l’adultère, que Dieu me pardonne. Mais je voulais savoir si c’est avec seulement mon mari que j’ai ce problème ou non. Mais, malheureusement, c’est moi le problème. Seules mes mains me suffisent pour avoir du plaisir. Quand mon mari est de retour, j’utilise les produits aphrodisiaques, comme le ‘’resserre vagin’’ ou ‘’plaisir par force’’ pour avoir du plaisir, mais rien n’y fait. Je veux arrêter, mais c’est impossible. A chaque fois que j’ai mal, je me masturbe pour oublier ma douleur car après je m’endors dans des soucis. Et puis personne ne saura».
Bébé Aïda, qui avait été enlevée, a été retrouvée. La police vient de retrouver bébé Aïda, cet enfant âgé d’un an et demi enlevé lundi dernier à Pikine. Elle se porte bien et sa ravisseuse a été en même temps interpellée a indiqué la même […]
Non classéBébé Aïda, qui avait été enlevée, a été retrouvée.
La police vient de retrouver bébé Aïda, cet enfant âgé d’un an et demi enlevé lundi dernier à Pikine. Elle se porte bien et sa ravisseuse a été en même temps interpellée a indiqué la même source.
Pour rappel, les policiers avaient pu, sur la base de la vidéo de surveillance, retracer presque l’itinéraire de la ravisseuse. Et des témoins, après avoir visionné les images de la vidéo surveillance, avaient affirmé avoir vu la ravisseuse passer devant eux en prenant toujours le soin de cacher son visage.
Les filles ont ravi la vedette aux garçons, au Concours général 2018Le ministre de l’Éducation nationale, Mamadou Talla, a dévoilé, hier, à Diamniadio, les résultats de l’édition 2022 du Concours Général dont le parrain n’est pas encore connu. En attendant la cérémonie solennelle de remise […]
Non classéLes filles ont ravi la vedette aux garçons, au Concours général 2018Le ministre de l’Éducation nationale, Mamadou Talla, a dévoilé, hier, à Diamniadio, les résultats de l’édition 2022 du Concours Général dont le parrain n’est pas encore connu. En attendant la cérémonie solennelle de remise des prix prévue le 11 août prochain au Grand Théâtre, sous le thème « Pour un système éducatif ancré dans ses valeurs et ouvert aux compétences du 21ème siècle : Quelles réformes curriculaires », Le Soleil décortique, dans sa parution de ce samedi, les résultats de ce prestigieux rendez-vous du calendrier scolaire.
Candidats évalués dans 32 disciplines
Créé par le décret 61-213 du 30 mai 1961, modifié par le décret 61-454 du 04 décembre 1961, le Concours général, organisé pour les élèves des classes de Première et de Terminale, a pour objectif de distinguer les meilleur(e)s élèves des lycées d’enseignement général et technique, publics comme privés.
Il permet d’évaluer les candidat(e)s sur des sujets conformes aux programmes officiels, mais avec des épreuves d’un niveau plus exigeant que celui des examens et concours traditionnels.
Pour cette édition, les élèves ont composé dans 32 disciplines au total. Pour être candidat l’élève doit avoir une moyenne générale semestrielle au moins égale à 12/20 et une moyenne de 14/20, au moins, dans la discipline choisie.
À en croire Mamadou Talla, « les sujets ont été, dans l’ensemble, d’un niveau d’exigence conforme aux épreuves habituelles du Concours général. »
53 prix et 51 accessits
Cette année, le nombre de candidats inscrits est de 2.722 (Public et privé) contre 2.132 en 2021, soit 590 candidats de plus. Les candidats sont ainsi répartis : 1.622 inscrits en Première dont 992 filles et 630 garçons (Public et Privé) ; 1.100 inscrits en Terminale dont 543 filles et 557 garçons. (Public et Privé).
Au total 104 distinctions dont 53 prix et 51 accessits ont été enregistrés, dont 60 distinctions en Première et 44 en Terminale. Ainsi, on dénombre 75 distinctions pour le Public soit un pourcentage de 72,11% et 29 pour le Privé, soit 27,89%.
Sur les 104 distinctions, les filles ont totalisé 48 distinctions dont 25 Prix et 23 Accessits, soit 46,15% et les garçons ont eu 56 distinctions dont 28 Prix et 28 Accessits. Les lauréats sont au nombre de 95 dont 46 filles et 49 garçons.
En première, on note 54 lauréats dont 28 filles et 26 garçons et en Terminale, 41 lauréats, dont 27 garçons et 14 filles. En fonction des statuts, on constate que le public arrive largement en tête avec en Première 40 lauréats contre 14 dans le Privé ; en Terminale 26 sont contre et 15 dans le Privé.
Les scientifiques creusent l’écart
En outre, les élèves des séries scientifiques ont encore, cette année, remporté la plupart des distinctions y compris dans les disciplines des séries littéraires, aussi bien en Première qu’en Terminale. Car sur les 95 lauréats, 58 sont de la série S soit 61,05%.
À l’issue du concours, Mlle Fatou Niang, élève en classe de Première S2 au Lycée d’excellence Mariama Bâ de Gorée a été désignée meilleure élève du Sénégal. Elle a obtenu le 1er prix en version latine, le 2ème Accessit en version Grecque.
Fatou Bintou Fall, éléve en classe de S1 Lycée scientifique d’excellence de Diourbel, est désignée Meilleure élève scientifique du Concours général pour les classes de première et Malick Sène, du Lycée scientifique d’excellence de Diourbel est désigné meilleur scientifique pour les classes de Terminale.
Les députés Théodore Cherif Monteil, Marieme Soda Ndiaye, Marie Saw Ndiaye, Toussaint Manga, Oulimata Guiro, Aissatou Mbodji ont saisi le président de l’Assemblée nationale pour l’arrêt des poursuites engagées de leurs collègues. « Conformément aux articles 51 et 52 de la Loi organique portant Règlement intérieur […]
Non classéLes députés Théodore Cherif Monteil, Marieme Soda Ndiaye, Marie Saw Ndiaye, Toussaint Manga, Oulimata Guiro, Aissatou Mbodji ont saisi le président de l’Assemblée nationale pour l’arrêt des poursuites engagées de leurs collègues.
« Conformément aux articles 51 et 52 de la Loi organique portant Règlement intérieur de l’Assemblée nationale, nous avons saisi, ce Vendredi 24 Juin 2022, le Président Moustapha Niasse pour demander l’arrêt des poursuites engagées contre les Députés Mame Diarra FAM, Déthié FALL et Cheikh Abdou MBACKÉ », lit-on dans un communiqué parvenu à PressAfrik.
Les députés signataires d’ajouter: « Nous considérons, en effet, que nos deux collègues Mame Diarra FAM et Déthié FALL ont été illégalement arrêtés ».
Les parlementaires estiment que la justice a outrepassé ses pouvoirs en arrêtant Cheikh Abdou Mbacké. « S’agissant de notre collègue Cheikh Abdou MBACKE, nous estimons que la justice a outrepassé ses pouvoirs en arrêtant un député sous le régime du flagrant délit, pour ensuite vouloir le poursuivre pour d’autres motifs dans le cadre d’une instruction judiciaire, sans l’autorisation de l’assemblée nationale (Art.51 alinéa 2) ».
Dans le souci de protéger l’Institution parlementaire, les députés invitent le président de l’Assemblée Nationale à prendre toutes « les mesures idoines que lui confère la loi en mettant en place une commission ad hoc tel que stipulé par l’alinéa 1 de l’article 52 du Règlement intérieur de l’Assemblée afin de faire suspendre toutes les poursuites et aussi de faire lever les détentions conformément à l’alinéa 5 de l’article 51 de notre Règlement intérieur ».
Par ailleurs, Théodore Cherif Monteil et Cie invitent le Gouvernement du Sénégal à « respecter les libertés individuelles et à garantir à tous les citoyens sénégalais leur droit de manifester et d’exprimer leur opinion conformément à la Constitution ».
Il y a un doublement des pertes sur les prêts en Afrique à cause des risques liés à la nature. La modélisation réalisée par Vivid Economics by McKinsey & Company et FSD Africa montre que l’impact de la destruction de la nature pourrait doubler les […]
Non classéIl y a un doublement des pertes sur les prêts en Afrique à cause des risques liés à la nature. La modélisation réalisée par Vivid Economics by McKinsey & Company et FSD Africa montre que l’impact de la destruction de la nature pourrait doubler les pertes sur les prêts accordés à certains secteurs et souligne la nécessité d’agir sans tarder.
A en croire Rewmi, le premier test de résistance en son genre révèle que les établissements financiers africains ne sont pas préparés à affronter les risques liés à la nature. Le nouveau rapport publié par Vivid Economics by McKinsey et par FSD Africa l’agence de développement du secteur financier financée par le Royaume-Uni souligne l’importance pour les établissements financiers de débloquer les avantages potentiels de l’investissement dans les entreprises protégeant et développant la nature.
En appliquant une analyse inédite à trois banques privées et aux systèmes financiers de la Zambie, de l’Égypte, du Ghana, de l’île Maurice, du Kenya et de l’Afrique du Sud, le rapport montre que pour les portefeuilles de prêts les plus exposés, par exemple en Zambie et au Ghana, les risques liés à la nature dans les secteurs de l’agriculture et de l’extraction pour- raient presque doubler les pertes prévues d’ici à 2030. Cela réduirait de plusieurs millions de dollars américains la valeur des portefeuilles de prêts. Ces risques liés à la nature sont comparables aux risques liés au climat observés dans des secteurs similaires. Le rapport montre que les établissements financiers pourraient tirer profit d’un ajustement des stratégies d’investissement vers des résultats positifs pour la nature.
Par exemple, les actions visant à protéger et à développer la nature et l’évolution de la demande des consommateurs pourraient vraisemblablement créer des opportunités de croissance élevée dans les produits agricoles de base tels que les protéines alternatives. Le rapport estime que la demande de cultures liées aux protéines alternatives cultivées en Afrique, telles que la canne à sucre et les légumineuses, pourrait augmenter de 15 à 36 % d’ici 2030. Le rapport représente la première application dans un contexte réel de l’approche LEAP d’évaluation du risque lié à la nature, qui a été publiée en mars de cette année pour consultation par le TNFD. S’il démontre que, même à ce stade de son élaboration, le cadre peut être utilisé pour générer des conclusions exploitables, les établissements financiers en Afrique peuvent contribuer à son élaboration pour refléter les défis particuliers auxquels ils sont confrontés.
Une dame du nom de L.D a vécu le samedi 11 juin au Parc Zoologique de Hann à Dakar, sûrement la pire journée de sa vie. Elle a failli y laisser sa vie sous le regard impuissant du personnel et des visiteurs du parc. En […]
Non classéUne dame du nom de L.D a vécu le samedi 11 juin au Parc Zoologique de Hann à Dakar, sûrement la pire journée de sa vie. Elle a failli y laisser sa vie sous le regard impuissant du personnel et des visiteurs du parc.
En effet, sa fille y avait une sortie pédagogique programmée par son école. Les enfants devaient être accompagnés de leur maitresse. Mais la dame L.D. a voulu accompagner sa fille.
Arrivée bien avant les enfants, elle a acheté son ticket, et est entrée dans le parc puis s’est placée dans un endroit près de la cage des lions pour attendre les enfants.
Quelques minutes plus tard, elle aperçoit des enfants courir la prévenant de l’arrivée d’un singe qui s’est échappé de sa cage dans le parc. Voulant protéger les enfants, elle s’est levée et s’est mise face au singe dans le but de gérer la situation.
L’animal s’est dirigé directement vers elle. Paniquée et surprise elle n’a pas su quoi faire sur le coup. Le singe s’est jeté alors sur elle brusquement et l’a attaquée. Les images parvenues à PressAfrik (trop sensibles qu’on ne peut pas publier), montent la gravité des blessures de la femme. On y voit la jambe déchiquetée, couse à plusieurs niveaux, après avoir eu des soins.
Dans ses explications, la dame dit avoir même essayé de le repousser en le frappant avec mon sac. Mais le singe l’attaqua une deuxième fois et l’a mordu encore plus fort.
Ces morsures plus graves les unes que les autres l’ont fait perdre beaucoup de sang et l’ont rendu impuissante sur le champ. Elle s’est déplacée en rampant près d’un arbre et avec l’aide d’un garçon, elle s’est placée dans une chambre et a attaché un garrot sur sa jambe.
N’eut été le secours des visiteurs, elle allait y laisser sa vie, vu la détermination de l’animal enragé.
Une plainte a été déposée
Vu la gravité des faits et l’attitude « irresponsable » de la direction, une plainte a été déposée par la famille de la victime, auprès du Procureur pour « mise en danger de la vie d’autrui ».
Joints par PressAfrik au téléphone ce samedi, des agents de la direction des Eaux et forêts disent ne pas être au courant de ces faits. Le premier agent avec qui on a échangé soutient qu’il n’est pas au courant étant donné qu’il n’est pas de service le jour des faits supposés. Son collègue aussi a déclaré qu’on vient de l’informer de cette situation.
PressAfrik a également joint le Commandant Momar Seye du Parc national de Hann. Ce dernier semble confirmer l’information, mais dit ne pas pouvoir évoquer le sujet dans les médias sans l’autorisation de la direction des Eaux de Forêts.
Toutefois, la famille de la victime persiste et signe que les faits ont eu lieu samedi 11 juin aux environs de 11 heures au parc national de Hann. D’ailleurs, dit-elle, la plainte a été déchargée par un responsable du parc dont nous tairons son nom.
Thiaroye Azur est envahi par les fruits. À tous les coins de rues, les vendeurs guettent les clients. Mais avec la crise économique, l’activité économique est impactée. Les vertus, notamment médicinales et aphrodisiaques, sont vantées par les clients, mais aussi par les marchands qui fustigent […]
Non classéThiaroye Azur est envahi par les fruits. À tous les coins de rues, les vendeurs guettent les clients. Mais avec la crise économique, l’activité économique est impactée. Les vertus, notamment médicinales et aphrodisiaques, sont vantées par les clients, mais aussi par les marchands qui fustigent cependant que l’Etat ne s’intéresse pas à leur secteur, rapporte Rewmi.
En ce début d’hivernage, les rues de Thiaroye Azure sont inondées par plusieurs produits. Mais les plus visibles sont la mangue, la papaye, la pastèque, le corossol etc. Le prix des pastèques varient entre 35 et 50 000 FCFA la caisse, Fatou Diba Kâ vend des mangues provenant de la Casamance. Celles venant de « Diass et Pout » ne sont pas encore mûres. « Tout est cher. On ne peut rien refuser pour nos clients. Ceux qui achetaient les mangues à 1000 frs viennent rarement maintenant », a-t-elle dit.
Interpellé sur la question, Abdoulaye Diongue, un autre commerçant, pense que cela constitue une problématique qui n’est pas seulement spécifique à la filière des fruits. Pour lui, c’est un problème global de notre système de production. C’est le maillon faible du système de production au Sénégal. Les bagages sont très chers. Dans la foulée, cette jeune transporteuse de fruits du nom de Daba martèle que ça fait 6 ans qu’elle pratique ce métier, livrant dans la zone de Thiaroye Azur. « J’amène des melons, des mangues et des papayes. Je paye le chauffeur 10 mille francs ».
A l’en croire, à l’heure actuelle, c’est seulement sa dignité qu’elle tente de sauvegarder dans ce commerce car tout est cher. « Nous vendeurs, on ne s’en sort pas. D’ici peu, avec cette augmentation, je ne vais plus livrer de fruits à Dakar. Les taxes sont à la hausse. Nous vendons à perte. Que le ministre du Commerce réagisse vite sinon ce sera un calvaire pour tous », avertit-elle
La scène, paraissant «surréaliste», a surpris plus d’un. Deux agents de la Police préposés à la circulation ont tabassé un taximan jusqu’à ce qu’il perde connaissance, à hauteur de la sortie du péage de Poste Thiaroye hier, vendredi 24 juin 2022, créant un attroupement de curieux venus […]
Non classéLa scène, paraissant «surréaliste», a surpris plus d’un. Deux agents de la Police préposés à la circulation ont tabassé un taximan jusqu’à ce qu’il perde connaissance, à hauteur de la sortie du péage de Poste Thiaroye hier, vendredi 24 juin 2022, créant un attroupement de curieux venus immortaliser l’événement.
L’histoire s’est déroulée hier, vendredi 24 juin 2022, vers 11h, à la sortie de l’autoroute à péage de Poste Thiaroye, au niveau du rond-point donnant accès au pont surplombant le péage. Deux policiers en exercice qui régulaient la circulation sur cet axe ont bastonnés le propriétaire du taxi immatriculé TH-4552L, jusqu’à ce qu’il perde connaissance. Un attroupement et les commentaires qui allaient bon train sur l’état du taximan attiraient davantage de curieux.
Selon un médecin, l’un des premiers à porter secours à la victime, le taximan est en vie, mais dans un état critique. «Je suis médecin à l’hôpital de Thiaroye. Quand je suis descendu, c’est en allant vers Poste Thiaroy que j’ai vu un attroupement par ici. C’est par la suite que je me suis rapproché pour m’enquérir de la situation. Des témoins m’ont dit qu’il y avait une querelle entre le taximan et les policiers. Les policiers l’ont attesté et le taximan est allé payer pour récupérer ses papiers. Une fois au poste indiquée, le taximan n’y a pas trouvé ses papiers. Il est revenu voir les policiers qui l’ont encore renvoyé dans un autre commissariat. Et là aussi, il ne trouvera rien, il est revenu sans ses papiers», explique-t-il.
Poursuivant son déroulé du film, selon les témoignages recueillis auprès de témoins, le médecin précise que «c’est en ce moment que le taximan s’est énervé et à exiger des policiers qu’ils lui rendre ses papiers parce qu’il doit travailler. Le taximan à insister pour récupérer ses papiers et c’est à cet instant que les policiers l’ont assommé de coups. Ils l’ont étranglé et le taximan est tombé sur une voiture et s’est évanoui. Ils l’ont blessé, mais il est en vie. Les Sapeurs-pompiers l’on amené d’urgence», informe le médecin secouriste.
Le témoignage du docteur est confirmé par un mécanicien témoin, du début à la fin, de la scène. Selon A. D. Faye, mécanicien à Poste Thiaroye et témoin des faits, «il est temps qu’on rappelle à l’ordre les hommes de tenue parce que c’est ignoble ce que ces agents ont fait. Ils étaient deux et ont pris le taximan au dépourvue ; sinon ils ne peuvent pas le blesser. Le taximan est plus grand et costaux qu’eux. Ils l’ont immobilisés le cou. Les Sapeurs-pompiers ont réanimé le gars. Moi je pensais qu’il est mort. J’ai eu le cœur meurtri quand j’ai vu le taximan inconscient. Ils n’ont pas le droit de le battre comme ça», s’offusque-t-il.
Pour ce témoin qui a requis l’anonymat, «tous ceux qui sont présents, là, sont des témoins. On a tous vu ce qui s’est passé, mais personne n’ose parler. Pourquoi ? Parce que c’est des policiers. Quand le taximan est tombé, ils ont appelés un douaniers en civile pour qu’il les aide. Mais, même le douanier a refusé de témoigner quand les Sapeurs-pompiers sont venus, parce que c’est eux dans eux. Pourquoi donc nous devons nous taire ? J’espère que justice sera faite pour que plus jamais ce genre d’incident ne se répète», confie-t-il à propos du chauffeur du taxi immatricule TH-4552L, qui a passé la journée à Poste Thiaroye, sans travailler, ses papiers étant entre les mains de ces agents de la circulation qui le faisaient poiroter entre Commissariats.
Idrissa Goudiaby est décédé la semaine dernière à Ziguinchor, lors de la manifestation de Yewwi Askan Wi. Depuis lors, sa famille est en colère, car elle ne digère pas les conclusions de l’autopsie pratiquée sur la victime. D’ailleurs, informe ‘’Les Echos’’ dans sa parution de […]
Non classéIdrissa Goudiaby est décédé la semaine dernière à Ziguinchor, lors de la manifestation de Yewwi Askan Wi. Depuis lors, sa famille est en colère, car elle ne digère pas les conclusions de l’autopsie pratiquée sur la victime.
D’ailleurs, informe ‘’Les Echos’’ dans sa parution de ce samedi, la famille a refusé de l’enterrer sans une contre-expertise. Le journal renseigne que le chef du Parquet qui a commencé ses auditions, leur a demandé de venir récupérer le corps, mais ils ont refusé.
A en croire nos confrères, ils ont demandé au procureur de préserver l’intégrité du corps afin que leur expert puisse faire son travail convenablement.