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ACTUALITE SPORTSLe responsable de la massification au niveau de Pastef, par ailleurs agent des Impôts et Domaines, Pape Mamadou Seck, est arrêté depuis le 17 juin 2022 dernier, pour actes assimilés à du terrorisme avec des explosifs artisanaux. Ce que réfute Pastef, qui dément son partisan […]
Non classéLe responsable de la massification au niveau de Pastef, par ailleurs agent des Impôts et Domaines, Pape Mamadou Seck, est arrêté depuis le 17 juin 2022 dernier, pour actes assimilés à du terrorisme avec des explosifs artisanaux. Ce que réfute Pastef, qui dément son partisan avec la dernière énergie.
Voici Pape Mamadou Seck, agent des Impôts et Domaines, responsable de la massification de PASTEF, qui a été arrêté le 17 juin dernier, au moment où, à la tête d’une escouade de près d’une dizaine de personnes avec des explosifs artisanaux, qu’il aurait lui-même financés, il s’apprêtait à mettre le feu à la centrale électrique du Cap des biches.
Pour des CONNERIES, il vient de bousiller sa carrière, sa vie et celle de ses enfants. Au moins, il peut prendre 20 ans de réclusion criminelle pour actes terroristes.
Il est le frère de Ousseynou Seck alias Akhenaton établi à l’extérieur, et qui, à l’aise et confortablement installé, met en péril la vie de jeunes Sénégalais. Lui et Kayz Fof.
Dans une logique maillage des zones rurales ou intérieures du Sénégal, c’est un leader nommé Bougane Guèye Dany qui depuis 2011 -2012, déroule une stratégie qui, à l’arrivée, s’est avérée payante. A la relecture son élimination injuste, c’est même ce qui semble poser pour Macky […]
Non classéDans une logique maillage des zones rurales ou intérieures du Sénégal, c’est un leader nommé Bougane Guèye Dany qui depuis 2011 -2012, déroule une stratégie qui, à l’arrivée, s’est avérée payante. A la relecture son élimination injuste, c’est même ce qui semble poser pour Macky et Benno et qui aurait valu à la Grande Coalition Gueum Sa Bopp d’être recalée pour les prochaines législatives, alors que les arguments avancées ont été démontés pièce par pièce, par Bougane et ses proches…
Le leader de la Grande Coalition Gueum Sa Bopp, Bougane Guèye Dany, déclinant son programme pour l’essor du Sénégal basé sur sa jeunesse et ses valeurs, accorde une grande attention au monde rural. Au-delà des acteurs économiques intérieurs du pays, après décryptage du potentiel local, Bougane a décidé de semer la graine dans ces champs qu’il juge fertiles. Et selon sa vision, ce faire passe une conscientisation de ces populations presque oubliés dans les politiques stratégiques de l’indépendance à nos jours.
Le triste constat est que cet état qui prône toujours « une autosuffisance alimentaire » pour son indépendance économique, ne se semble se soucier du monde rural qu’à la vielle des élections, ou plus de façon plus sombre, quand des problèmes fonciers agitent le pays.
En réponse, au-delà de la volonté de massification électorale dans les zones rurales, la Coalition Gueum déroule depuis des années son maillage de zones oubliées du pays. Une stratégie qui ambitionne aussi de contrecarrer les « tournées économiques », d’un président, chef de parti et de coalition. Fidèles à la vision de leur leader, la jeunesse de Gueum Sa Bop qui se dit prête à porter le combat est aussi assez dans les localités intérieures du pays. C’est d’ailleurs ce qui a valu à leur leader Bougane de rafler la victoire, dans des zones oubliées, où les grandes Coalitions du pouvoir comme l’opposition ne s’y attendaient.
Depuis, les membres de leur coalition, (même injustement éliminée des Législatives), invitent les jeunes de ce pays à se joindre à eux pour contrer à Macky Sall et son régime.
« Nous allons battre campagne contre le Bénno et dirons Non à la troisième candidature de Macky Sall. C’est pourquoi nous lançons un appel à toute la jeunesse sénégalaise, de toutes les localités du Sénégal pour dérouler un Programme dénommé « Troisième mandat Doufi Amé ». Avaient-ils récemment lancé, dévoilant un coin d’un programme, où ils comptent faire les visites de porte-à- porte partout au Sénégal.
Dr Marie Khémess Ngom Ndiaye était en déplacement, hier, à Tivaouane dans la structure pour s’enquérir de la situation suite à l’accident et encourager les travailleurs dans ces moments où la justice est en train de mener les enquêtes suite au drame et de réfléchir […]
Non classéDr Marie Khémess Ngom Ndiaye était en déplacement, hier, à Tivaouane dans la structure pour s’enquérir de la situation suite à l’accident et encourager les travailleurs dans ces moments où la justice est en train de mener les enquêtes suite au drame et de réfléchir à la réouverture du pôle mère enfant.
D’après ‘’SourceA’’, la Ministre qui s’est prosternée devant l’implication du khalife général des Tidianes pour que la paix sociale règne à l’hôpital, a soutenu qu’elle va travailler et tout faire pour gérer, éviter les risques dans les structures même si le risque zéro n’existe pas.
L’activiste Guy Marius Sagna, arrêté au lendemain de la manifestation du 17 juin et placé hier sous mandat de dépôt, risque gros. Selon ‘’Le Soleil’’ dans sa livraison de ce mercredi, cinq chefs d’accusations ont été retenus contre le leader de Frapp France Dégage. Il […]
Non classéL’activiste Guy Marius Sagna, arrêté au lendemain de la manifestation du 17 juin et placé hier sous mandat de dépôt, risque gros. Selon ‘’Le Soleil’’ dans sa livraison de ce mercredi, cinq chefs d’accusations ont été retenus contre le leader de Frapp France Dégage.
Il s’agit, renseigne le journal, de la provocation directe à un attroupement non armé, participation à l’organisation d’une manifestation interdite, actions diverses et rassemblements illicites ayant entraîné des dégradations causées aux biens, trouble à l’ordre public. A noter Guy Marius Sagna a été interpellé en même temps que 20 autres personnes.
Âgé seulement de 19 ans, A.G. a déjà maille à pâtir avec la justice. Écroué depuis presque 3 semaines, il est retenu contre lui le délit de détournement de mineures. Il fera face au juge des flagrants délits de Dakar vendredi prochain. De l’économie des […]
Non classéÂgé seulement de 19 ans, A.G. a déjà maille à pâtir avec la justice. Écroué depuis presque 3 semaines, il est retenu contre lui le délit de détournement de mineures. Il fera face au juge des flagrants délits de Dakar vendredi prochain.
De l’économie des faits, il ressort que le vendredi 3 juin aux environs de 05h du matin, quand la maîtresse de l’internat S. A. M, Mame Diarra, s’est levée pour réveiller les filles de l’internat afin qu’elles apprennent leurs leçons, elle a remarqué que K. G et C. G. D avaient disparu. C’est ainsi qu’elle a immédiatement avisé le directeur de l’internat, M Fall.
Automatiquement, ce dernier a fait une ronde autour du secteur mais ne les a pas vues. Sur ce, il est parti faire sa déclaration à la Gendarmerie de la Foire qui lui a demandé de faire la même chose à la police de Dieuppeul, chose qu’il a faite.
Arrivé au Commissariat de Dieuppeul, M. Fall a fait part au commissaire de ses soupçons. En effet, révèle le directeur de l’internat, des élèves lui ont fait savoir que K. G leur avait dit qu’elle allait rejoindre son petit ami A. G qui habite à Grand-Dakar. Ainsi, les parents des jeunes filles et lui sont partis voir le chef du quartier où habite le jeune homme et celui-ci leur a dit que A. G n’était pas l’auteur de ces faits. Ayant parlé au concerné, A. G qui est le petit-fils du délégué de quartier leur fait croire qu’il ne savait pas où se trouvaient les jeunes filles.
Heureusement pour eux, car, en sortant de la maison du jeune, ils ont rencontré un jeune homme qui les a édifiés. Celui-ci a dit à la tante de K. G, la dame F. K. Niang qu’il savait où se trouvent les enfants et qu’il les ramènera. Après cela, M. Fall et les familles des deux jeunes filles sont retournés déposer leur plainte au Commissariat. C’est à leur sortie du service que le gars les a appelés pour leur dire qu’il a retrouvé les enfants qui se trouvaient à la plage de Mermoz. C’est ainsi que les jeunes filles ont été retrouvées.Conduit au Commissariat, C. G. D révèle aux enquêteurs être sortie avec son amie le jeudi aux environs de 23h 00. À l’en croire, c’est au moment du dîner que son amie K. G et elles ont décidé de fuguer de peur qu’on les frappe parce qu’elles ne mémorisent pas les leçons qu’elles devaient réciter le lendemain. Sur ces entrefaites, elles ont établi leur plan et C. G. D lui a demandé de simuler un enlèvement. Selon elle, leur première tentative a échoué car ayant été prise par le gardien.
Une fois dans l’établissement, poursuit-elle, elles ont attendu que tout le monde s’endorme pour enfin réussir à partir. Arrivées au niveau du pont, elles ont pris un taxi pour rejoindre le petit ami de C. G. D, le nommé A. G qui était au courant de leur plan de fuite parce que sa petite amie l’avait avisé pour qu’il les soutienne.
Entendue à son tour, C. G. D a révélé avoir été accueillie par son petit ami chez lui où elles ont passé la nuit. En outre, elle confie avoir flirté avec le jeune homme avant de dormir. C’est le lendemain, selon elle, que A. G leur a donné un billet de 1.000 francs afin qu’elles rejoignent leur internat. «Nous sommes parties sans savoir où nous allions et avons suivi des garçons qui faisaient du sport jusqu’à ce que nous arrivions à la plage de Mermoz. Aux environs de 19 heures, j’ai emprunté un téléphone pour appeler Paco afin qu’il sache que nous étions à la plage de Mermoz. C’est là-bas que les flics sont venus nous trouver», déclare-t-elle aux enquêteurs.
Le mis en cause, lui, a contesté tous les faits qui lui sont reprochés. Selon lui, il ne faisait qu’aider sa petite amie qui l’a appelé nuitamment pour lui dire qu’elle était dans un taxi qu’elle devait payer à son arrivée.
Au terme de sa durée légale de garde-à-vue, A. G a été placé sous mandat de dépôt suite à son déferrement au parquet. Sauf renvoi, il sera jugé à l’audience des flagrants délits du vendredi pour détournement de mineur.
Les proches de Idrissa Goudiaby, mort à Ziguinchor lors des manifestations de vendredi dernier, réfutent les conclusions de l’autopsie qui parle d’une «mort violente par choc hémorragique suite à une plaie pénétrante du cou causée par une arme blanche contondante et tranchante comme une hache […]
Non classéLes proches de Idrissa Goudiaby, mort à Ziguinchor lors des manifestations de vendredi dernier, réfutent les conclusions de l’autopsie qui parle d’une «mort violente par choc hémorragique suite à une plaie pénétrante du cou causée par une arme blanche contondante et tranchante comme une hache ou un sabre». Face à la presse, Moustapha Diémé, le porte-parole de la famille rejette cette thèse.
«Depuis son décès nous n’avons aucune information officielle venant des autorités administratives sur la mort de notre frère. Nous n’avons des informations qu’à travers les réseaux sociaux et la presse, qui nous disent qu’il a été tué par arme blanche. Ce que nous rejetons. Il n’est pas tué par arme blanche mais par balle.
Nous voulons qu’on fasse toute la lumière sur le décès de notre frère. Nous avons un avocats et le soutien de Amnesty, Vision citoyenne et des populations. Nous ferons une contre-expertise si les résultats officiels nous disent qu’il s’agit d’une mort par arme blanche.»
Au deuxième trimestre de l’année 2022, l’Etat du Sénégal a mobilisé 253 milliards Fcfa à la date du 22 juin 2022 sur le marché financier de l’Uemoa. L’émission a été souscrite à 123% soit des offres estimées 67, 672 milliards Fcfa. La durée de remboursement […]
Non classéAu deuxième trimestre de l’année 2022, l’Etat du Sénégal a mobilisé 253 milliards Fcfa à la date du 22 juin 2022 sur le marché financier de l’Uemoa.
L’émission a été souscrite à 123% soit des offres estimées 67, 672 milliards Fcfa. La durée de remboursement est de 10 ans. Le rendement moyen pondéré est assorti à 5, 82%.
L’émission qui s’en est suivie s’est déroulée, le 22 du même mois, sous forme d’obligations du Trésor qui a permis de mobiliser 60 milliards Fcfa fournis par 25 participants.
Le taux de couverture était de 187,80% soit 42 milliards Fcfa rejetés. La maturité est de cinq ans pour un rendement moyen pondéré de 5,27%.
La première opération du mois de mai s’est faite le 6 du mois. Le Sénégal, a, en effet, lever 50,5 milliards Fcfa en Bons assimilables du Trésor.
L’opération est couverte à 111%. La durée de remboursement a été fixée à 364 jours. Le taux de rendement moyen pondéré était de 2,87%.
Le 20 du même mois, le Sénégal est retourné sur le marché financier de l’Uemoa. L’opération entre dans le cadre des obligations de relance. Le montant levé est de 35 milliards Fcfa. L’émission a connu un succès puisqu’elle a été couverte à 191.51% par 17 participants. Le délia de remboursement retenu est de 5 ans.
Le Sénégal est retourné sur le marché financier que le 17 juin 2022 en mobilisant 51 milliards Fcfa en deux temps (30,671 milliards et 20,686 milliards Fcfa). Les taux de couverture sont respectivement de 120 et 102%. Les délais de remboursement sont fixés à 3 et à 5 ans. Pour le premier trimestre, le Sénégal a mobilisé 240 milliards Fcfa levés en 5 opérations.
Placés sous mandat de dépôt lundi dernier, le procès des députés Déthié Fall, Mame Diarra Fam ainsi que leurs co-inculpés a été renvoyé au lundi 27 Juin prochain. Le juge du tribunal des flagrants délits de Dakar a estimé que la salle ne pouvait contenir […]
Non classéPlacés sous mandat de dépôt lundi dernier, le procès des députés Déthié Fall, Mame Diarra Fam ainsi que leurs co-inculpés a été renvoyé au lundi 27 Juin prochain. Le juge du tribunal des flagrants délits de Dakar a estimé que la salle ne pouvait contenir les 84 personnes arrêtées dans cette affaire. Un dispositif spécial devrait être aménagé pour permettre leur procès. Nous y reviendrons.
L’affaire opposant l’Union Sociale Libérale (USL) contre l’État du Sénégal sera jugée demain 23 juin 2022 à 12h devant la Cour suprême de Dakar. Le 25 mars 2022, Me Abdoulaye TINE, Président du parti USL avait saisi en référé la Cour Suprême pour solliciter la […]
Non classéL’affaire opposant l’Union Sociale Libérale (USL) contre l’État du Sénégal sera jugée demain 23 juin 2022 à 12h devant la Cour suprême de Dakar.
Le 25 mars 2022, Me Abdoulaye TINE, Président du parti USL avait saisi en référé la Cour Suprême pour solliciter la suspension de l’arrêté du Ministre de l’intérieur en date du 3 mars 2022.
Cet arrêté fixait les modalités d’application du parrainage pour les élections législatives du 31 juillet 2022.
Selon l’USL, le refus de l’Etat du Sénégal de se soumettre au droit en respectant l’arrêt de la Cour de Justice de la CEDEAO du 28 avril 2021 et qui déclarait illégal le système de parrainage, ce refus devra être sanctionné par le juge administratif. Un Juge qui est le garant et le gardien de la légalité administrative.
Pour rappel, l’affaire avait été déjà appelée à la Barre le 9 juin dernier avant d’être renvoyée au 23 juin 2022 à 12h.
Le motif avancé par le President de la Cour pour justifier ce renvoi était « la bonne administration de la justice ».
Il est évident que la suspension de arrêté du Ministre de l’intérieur entraînera inéluctablement le report des élections législatives qui sont prévues pour le 31 juillet 2022.
En effet,tout le processus électoral devra être repris à zéro et ceci sans le système illégal de parrainage.
Dans presque un an jour pour jour (du 23 juin au 23 juillet), la Côte d’Ivoire accueillera la CAN 2023. Si l’organisation de la compétition à cette période de l’année va limiter les conflits avec les clubs européens, elle fait en revanche peser une vraie inquiétude […]
Non classéDans presque un an jour pour jour (du 23 juin au 23 juillet), la Côte d’Ivoire accueillera la CAN 2023. Si l’organisation de la compétition à cette période de l’année va limiter les conflits avec les clubs européens, elle fait en revanche peser une vraie inquiétude quant aux conditions météorologiques. Les mois de juin-juillet correspondent en effet à la saison des pluies au pays des Eléphants, avec des précipitations parfois diluviennes pendant 6 à 8 heures d’affilée…
Cela a encore été le cas lundi lorsque des trombes d’eau se sont abattues sur la capitale économique, entraînant l’arrêt du derby entre le Stade d’Abidjan et l’Africa Sports après 24 minutes au Stade Robert Champroux. En parallèle, des vidéos circulent sur les réseaux sociaux montrant ce mardi matin les principaux axes routiers d’Abidjan complètement inondés et inutilisables…
Ces scènes sont forcément préoccupantes à un an de la CAN, mais la Confédération africaine de football (CAF) et les instances locales campent pour l’heure sur leurs positions. «Pour ce qui est des infrastructures d’accès au stade, nous sommes un pays équatorial qui vit depuis toujours avec cette météo. Nous sommes préparés. Pour ce qui est des pelouses, ça pourrait être un problème en effet, mais nous travaillons sur des systèmes de drainage efficaces», rétorquait ainsi François Albert Amichia, président du comité local d’organisation, à RMC en début d’année. Un optimisme qui contraste avec les images vues ces dernières heures…
Alors que des voix s’élèvent pour demander la reprogrammation de la CAN en janvier, ce dossier n’a pas fini de faire parler…