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ACTUALITE SOCIETELe gouverneur de la région de Diourbel, Ibrahima Fall, a donné, mercredi, des assurances pour une bonne organisation du grand magal de Touba prévu entre le 14 et le 15 septembre prochain. ’’Nous avons fait le tour des doléances du comité d’organisation et à travers […]
ACTUALITE SOCIETELe gouverneur de la région de Diourbel, Ibrahima Fall, a donné, mercredi, des assurances pour une bonne organisation du grand magal de Touba prévu entre le 14 et le 15 septembre prochain.
’’Nous avons fait le tour des doléances du comité d’organisation et à travers certains pôles. Si tout est bien fait, nous osons espérer que l’édition 2022 du grand magal de Touba sera une réussite’’, a-t-il dit au terme d’une réunion du comité régional de développement (CRD) consacré aux préparatifs du grand magal de Touba.
La rencontre s’est tenue en présence du président du comité d’organisation, Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre, porte-parole du Khalife général des mourides, et d’autres dignitaires de la confrérie.
Le magal de Touba commémore le départ en exil au Gabon du fondateur du mouridisme, Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, le 12 août 1895, sous la contrainte de l’autorité coloniale.
Des centaines de milliers de fidèles musulmans, principalement de la confrérie mouride se rendent chaque année à cette manifestation religieuse. Nécessitant une importante préparation dans divers domaines.
C’est ainsi que dans le secteur de la santé, les doléances évoquée lors de CRD ont essentiellement tourné autour de la mise en service du nouvel hôpital, Ahmadoul Khadim, et l’achèvement des travaux de construction du forage de l’hôpital Matlabul Fawzeiny.
Au total, 6353 praticiens de la santé (médecin généraliste, spécialistes, infirmiers etc) seront déployés dans les hôpitaux de Touba et de Diourbel.
Selon le gouverneur, ’’des mesures ont été prises’’ par la région médicale avec la mise en place de 182 postes, le renforcement du parc des ambulances. Il est prévu la mise en place d’un service des urgences aux alentours de la grande mosquée de Touba.
Le service d’hygiène va, de son côté, procéder à des opérations désherbage de saupoudrage, et de désinfection des domiciles et certaines résidences de dignitaires religieux. Des mesures de prévention contre le paludisme seront mises en oeuvre.
L’unité de Coordination de la gestion des déchets solides s’est engagée à appuyer le comité d’organisation pour le nettoiement de la ville religieuse.
Ibrahima Fall a rappelé que le gouvernement avait fait des efforts considérables dans les secteurs de l’eau et de l’assainissement à Touba.
’’On a conscience que le grand magal de Touba va se tenir en période d’hivernage c’est pour cela que l’année dernière une enveloppe de 4 milliards a été dégagée et cette année, il y a un projet de 23 milliards uniquement pour la réalisation des travaux de drainage des eaux pluviales’’, a-t-il souligné.
Dans le même temps, des dispositions ont été annoncées pour lutter contre les inondations par la l’ONAS et la 22 ème compagnie d’incendies et de secours de Touba.
Dans le secteur de l’hydraulique, trois nouveaux forages devraient être mis en service avant l’événement, en plus d’un dispositif d’appui à travers des camions citernes.
S’agissant du volet sécuritaire, des effectifs conséquents de police et de gendarmerie seront déployer afin de garantir une meilleure sécurité des personnes et des biens.
’’Les forces de défense et de sécurité sont rodées mais également mieux outillées et toutes les dispositions seront prises pour assurer une bonne couverture sécuritaire du grand magal’’, a assuré le gouverneur de Diourbel.
Les secteurs de l’énergie, de la communication, l’élevage, le commerce, les eaux et forêts et l’Agéroute ont également exprimé leurs engagements pour un bon déroulement de l’évènement religieux.
Pour une réussite l’édition 2022, le chef de l’exécutif régional Diourbel a exhorté les chefs de services concernés à prendre toutes les dispositions pour satisfaire les doléances du comité d’organisation.
Il a recommandé un suivi rapproché par le préfet du département de Mbacké des engagements et mesures prises à travers des réunions sectorielles.
APS
Le corps de François Mancabou, décédé alors qu’il était en détention dans le cadre de l’enquête sur la «Force spéciale» dont il serait membre, a été autopsié dimanche dernier à l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff. L’expertise a été menée par des spécialistes désignés par l’Ordre […]
ACTUALITE SOCIETELe corps de François Mancabou, décédé alors qu’il était en détention dans le cadre de l’enquête sur la «Force spéciale» dont il serait membre, a été autopsié dimanche dernier à l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff. L’expertise a été menée par des spécialistes désignés par l’Ordre des médecins du Sénégal. Le rapport des légistes va dans le sens de la thèse avancée par le procureur de la République lors de son point de presse suivant l’annonce du décès de la victime.
Selon Libération de ce jeudi, l’autopsie conclut que François Mancabou est mort d’une «fracture du rachis cervical ayant entraîné des complications neurologiques». Le journal rapporte que les légistes déclarent n’avoir relevé aucune trace de violence sur le corps de la victime.
Après l’annonce du décès de François Mancabou, le procureur avait déclaré devant les journalistes que ce dernier a succombé à ses blessures contractées lors de sa garde à vue. Ce jour-là, avait précisé le chef du parquet, le défunt avait violemment cogné la porte de sa cellule avant de s’évanouir. Il est mort après quelques semaines d’hospitalisation dans une structure de santé.
A l’exception de Pape Mamadou Seck, qui s’est évadé du Pavillon spécial de l’hôpital Aristide Le Dantec, tous les membres supposés de la «Force spéciale» gardés à vue en même que François Mancabou, auraient confirmé que la victime a lui-même cogné la porte du violon du commissariat central de Dakar. Ils se seraient confiés aux éléments de la DIC, qui sont chargés de l’enquête.
La famille de François Mancabou ne croit pas à cette version. Elle défend que ce dernier est décédé de tortures qu’il aurait subies lors de sa garde à vue. Elle n’avait pas apprécié que l’autopsie ait été pratiquée à son insu et sans la présence d’un expert de leur choix. Son avocat, qui n’écarte pas de recourir à une contre-expertise, disait attendre le rapport d’autopsie avec l’espoir que la thèse des tortures soit confirmée.
La parole par les actes, les mots par des actions fortes pour rappeler au président Macky Sall la nécessité de respecter ses promesses face à la situation dramatique que vivent les populations de la banlieue à chaque saison des pluies . Tel est le but […]
ACTUALITE SOCIETELa parole par les actes, les mots par des actions fortes pour rappeler au président Macky Sall la nécessité de respecter ses promesses face à la situation dramatique que vivent les populations de la banlieue à chaque saison des pluies . Tel est le but des visites effectuées par Bougane Guèye, président du mouvement Gueum Sa Bopp ce mercredi à Keur Massar au quartier Ainoumady .Ainsi l’opposant du président Macky Sall s’est rendu sous les eaux avec les populations de la banlieue » ceux qui avaient en charge les inondations à keur Massar doivent être jugés pour haute trahison » . Un maniéré pour dire que le plan Orsec déclenché par le gouvernement avec des milliards dégagés, est voué à l’échec en dépit des 700 milliards investi pour lutter contre les inondations. Ce gros dit t-il reste une équation. Toutefois , le leader de Geum Sa Bopp promet d’apporter son soutien aux sinistrés de la banlieue
Mamadou Tall Thiombane a fait un boucan d’enfer à l’école où étudie sa petite fille. Pour venger cette dernière qui a été tabassée, le sexagénaire a menacé de mort son enseignante, madame Diallo et cassé le bras de son collègue, Mamadou Seck. Les faits se sont […]
ACTUALITE SOCIETEMamadou Tall Thiombane a fait un boucan d’enfer à l’école où étudie sa petite fille. Pour venger cette dernière qui a été tabassée, le sexagénaire a menacé de mort son enseignante, madame Diallo et cassé le bras de son collègue, Mamadou Seck. Les faits se sont déroulés dans un établissement, sis à Rufisque le 16 juin 2022.
Mamadou Tall Thiombane a donné un mauvais exemple à sa petite-fille et ses camarades qui étudient dans une école à Rufisque. Âgé de 63 ans, le retraité s’est acharné sur leurs enseignants à la suite d’une punition corporelle infligée à sa petite-fille. Élève en classe de Cm2, celle-ci a confié à son grand-père avoir été molestée par son enseignante, madame Diallo. Remonté, Mamadou Tall Thiombane est allé se plaindre auprès de l’inspecteur d’académie de Rufisque, lequel lui a promis de régler le problème. Mais, le vieux qui était toujours fâché, s’est rendu ensuite à l’école pour s’attaquer aux enseignants. Devant les élèves qui étaient en train de composer, il a menacé de mort madame Diallo et brisé le bras de son collègue, Mamadou Seck au cours d’une incroyable scène de violence. Arrêté suite à la plainte de ses victimes, le prévenu a été placé sous mandat de dépôt le 7 juillet 2022. À la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar hier, il explique que madame Diallo avait corrigé sa petite-fille et son camarade avec un fouet en bronze. Ces derniers ont eu des blessures respectivement à la hanche et au bras qui ont été constatées par l’inspecteur. « Je suis le président des parents d’élèves de cette école depuis 2014. J’étais parti là-bas pour régler le problème à l’amiable avec le directeur. Mamadou Seck est sorti de nulle part pour me demander de sortir de l’école. C’est dans ces circonstances qu’on s’est battu, avant de se retrouver ensemble au sol. Il m’a blessé à l’œil gauche en y introduisant ses deux doigts. Ses collègues et la femme du gardien de l’établissement m’ont également administré des coups. Cette dernière s’est emparée d’un pilon », a relaté le marié, père de cinq enfants qui a battu en brèche le chef de menace de mort contre madame Diallo. « C’est la première fois que je la vois », lance-t-il. « Faux », lui rétorque madame Diallo. « Il a dit clairement qu’il allait me tuer », a asséné l’institutrice. Mamadou Seck a, quant à lui, renseigné que le comparant avait injurié tout le personnel. « Lorsque je lui ai demandé de sortir de l’école, il m’a agressé et fracturé mon bras droit. Il a aussi menacé ma collègue. Il n’a pas été pris à partie », a souligné M. Seck. Des allégations corroborées par le directeur de l’établissement qui a comparu en tant que témoin. D’après M. Ndoye, le mis en cause ne l’a pas épargné. Il l’a abreuvé d’injures. Les parties civiles qui ont opté pour l’apaisement, se sont désistées de leur plainte. Le maître des poursuites a requis l’application de la loi. Le conseil de la défense a plaidé la disqualification des faits en blessures involontaires. Un avis qu’il ne partage pas avec le juge qui a condamné le prévenu à trois mois de prison avec sursis pour menace de mort et coups et blessures volontaires ayant entraîné 15 jours d’incapacité temporaire de travail.
Un clin d’œil aux personnes du 3e âge à la veille des élections législatives du 31 juillet 2022 ? Le Président Macky a Sall a rendu public ce mardi 19 juillet, le décret portant Revalorisation des pensions et rentes du régime de base du Fonds […]
ACTUALITE POLITIQUE
Un clin d’œil aux personnes du 3e âge à la veille des élections législatives du 31 juillet 2022 ? Le Président Macky a Sall a rendu public ce mardi 19 juillet, le décret portant Revalorisation des pensions et rentes du régime de base du Fonds national des Retraites et des pensions militaires d’invalidité, pourtant signé depuis le 30 juin 2022.
« A la suite de la Conférence sociale organisée en avril 2017 et dont le thème portait sur la réforme des retraites au Sénégal, le Gouvernement avait retenu d’assurer le relèvement continu et significatif du niveau des pensions afin d’améliorer la qualité de
vie des retraités. Dans cette perspective, le régime de pension de retraite complémentaire a été institué par la loi n°2018-12 du 30 mars 2018. Cette avancée significative a eu, certes, un impact positif sur la pension des fonctionnaires civils et militaires admis à la retraite après son entrée en vigueur, mais n’a pas amélioré celle de la population plus importante des anciens retraités, hors du périmètre de ce second pilier. », a écrit le ministre des Finances, Abdoulaye Daouda Diallo dans le Rapport de présentation dudit décret.
Avant de poursuivre : « Il s’y ajoute que l’évolution du régime indemnitaire de certains actifs n’étant pas assimilable à une augmentation générale des traitements et salaires du secteur public, lespensions et rentes n’ont pas connu de hausse depuis 2011.
Aujourd’hui, l’embellie financière du Fonds national de Retraites, dont les projections font ressortir une situation excédentaire sur une longue période, milite en faveur d’une revalorisation des pensions et rentes du régime de base ainsi que des pensions militaires d’invalidité aux taux de 10, 12, 15 et 25% selon la hiérarchie ».
Amitié , Sicap (Liberté 1 , 2 3) , Jet vD’eau , Bourguiba , Colobane , Fass Medina , Sam , Keur Gorgui ont été les points saillants de la caravane du président du mouvement Gueum Sa Bopp , Bougane Gueye Dany . Hier ce […]
ACTUALITE POLITIQUEAmitié , Sicap (Liberté 1 , 2 3) , Jet vD’eau , Bourguiba , Colobane , Fass Medina , Sam , Keur Gorgui ont été les points saillants de la caravane du président du mouvement Gueum Sa Bopp , Bougane Gueye Dany . Hier ce dernier a sillonné ces localités précitées avec une foule qui a accompagné le leader de la philosophie Gueum Sa Bopp . A cet effet , les militants qui sont sortis massivement n’ont pas manqué d’adopter les dix recommandations de Bougane consistant à barrer la route au président Macky Sall .
Malgré la colère des étudiants, les dés sont jetés : toutes les universités publiques seront fermées au plus tard le 23 juillet jusqu’en début octobre. Si les universités Cheikh Anta Diop de Dakar et Gaston Berger de Saint-Louis ont officialisé la mesure, Alioune Diop de Bambey, […]
ACTUALITE SOCIETEMalgré la colère des étudiants, les dés sont jetés : toutes les universités publiques seront fermées au plus tard le 23 juillet jusqu’en début octobre. Si les universités Cheikh Anta Diop de Dakar et Gaston Berger de Saint-Louis ont officialisé la mesure, Alioune Diop de Bambey, Assane Seck de Ziguinchor et Iba Der Thiam de Thiès vont matérialiser l’arrêt des cours dans les prochaines heures. En vérité, c’est le ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation (Mesri) qui a envoyé une note à tous les recteurs portant l’arrêt des cours. Est-ce lié à la situation politique et électoral assez volatile ? Probablement ! En tout cas, la mesure aura un impact sur la validation des crédits des étudiants qui ont à peine fait 3 mois de cours. Surtout qu’à l’Ugb par exemple, la décision de la fermeture a été prise en plein examen dans plusieurs Ufr… A l’Ucad, les cours du second semestre ont été stoppés net… Ces faits montrent qu’il est urgent de rétablir un calendrier normal dans les universités publiques qui va de juillet à octobre. Ça va marquer la fin des années universitaires qui se chevauchent depuis des années.
Mystère autour de la mort d’un sexagénaire à Mbacké. Le corps sans vie d’un individu non encore identifié a été découvert hier à Darou Salam, entre une maison et un terrain, par une dame. Informés de la découverte macabre vers 14 h, les policiers du […]
ACTUALITE SOCIETEMystère autour de la mort d’un sexagénaire à Mbacké. Le corps sans vie d’un individu non encore identifié a été découvert hier à Darou Salam, entre une maison et un terrain, par une dame.
Informés de la découverte macabre vers 14 h, les policiers du commissariat urbain de Mbacké ont rappliqué sur les lieux indiqués. Sur place, les limiers ont retrouvé un homme âgé d’une soixantaine d’années allongé à même le sol.
D’après nos sources, la victime a été couverte d’une bâche en toile. Et une blessure a été constatée dans la région de son œil droit. Cet homme non encore identifié serait un Sdf (sans domicile fixe), d’après les témoignages recueillis sur place.
Après les constats d’usage effectués par les hommes du commissaire Salif Camara, le corps sans vie a été acheminé à l’hôpital par les sapeurs-pompiers pour autopsie.
L’enquête ouverte par la police de Mbacké suit son cours.
Dans l’affaire François Mancabou, s’achemine-t-on vers un nouveau cas Idrissa Goudiaby ? La famille de ce taximan mort à Ziguinchor le jour de la manifestation interdite de Yewwi Askan Wi, le 17 juin, a demandé et obtenu une deuxième autopsie sur la dépouille de la […]
ACTUALITE SOCIETEDans l’affaire François Mancabou, s’achemine-t-on vers un nouveau cas Idrissa Goudiaby ? La famille de ce taximan mort à Ziguinchor le jour de la manifestation interdite de Yewwi Askan Wi, le 17 juin, a demandé et obtenu une deuxième autopsie sur la dépouille de la victime. Elle ne faisait pas confiance à la première expertise, qui avait conclu que le défunt a été tué avec un objet contondant et tranchant alors qu’elle se dit convaincue que le défunt a reçu une balle.
Le même scénario risque de se répéter pour François Mancabou. L’autopsie du corps de ce dernier a été réalisée dimanche dernier à l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff alors que les avocats de la famille de la victime affirment qu’ils n’ont pas été informés. Les robes noires disent attendre les résultats de l’expertise, en espérant qu’ils confirmeront leur thèse selon laquelle le défunt a succombé à des tortures. Dans le cas contraire, ils n’écartent pas de réclamer une contre-expertise.
En attendant le rapport du légiste, le président de l’Ordre des médecins, Dr Boly Diop, informe que c’est bien l’organisation qu’il dirige qui a choisi les experts qui ont pratiqué l’autopsie de François Mancabou. «C’est effectivement l’Ordre qui a désigné les médecins légistes. Nous avons fait le choix et nous l’avions communiqué aux intéressés», a confié Dr Boly Diop dans les colonnes de Enquête de ce mardi.
Pourquoi la famille de François Mancabou n’a pas été informée ? Pourquoi le médecin qu’elle devait désigner, n’a pas été retenu ? Pourquoi l’autopsie n’a pas été pratiquée à l’hôpital Aristide Le Dantec, plus proche de Principal, où la dépouille était gardée ?
Le président de l’Ordre des médecins s’est gardé de se prononcer sur ces questions que soulève la famille du défunt. Il dit : «Vous savez que nous ne pouvons pas entrer dans certaines considérations.»