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Non classéAir Sénégal fait peau neuve dans le domaine du management. Le nouveau directeur général, Alioune Badara Fall, a opéré un véritable chambardement dans l’organisation de la compagnie nationale. D’abord, il a réduit le Top management en six grandes directions en supprimant toutes les autres qui lui semblaient budgétaires et représentaient des doublons.
D’après L’Observateur, qui donne l’information dans son édition de ce mardi, ont vu le jour la Direction de l’administration générale et support (Dags), la Directions des opérations aériennes (Doa), la Direction des opérations sol (Dos), la Direction technique et maintenance (Dtm), la Direction commerciale et marketing (Dcm) et la Direction finance, stratégie et performance (Dfsp).
En plus, de nouvelles têtes ont fait leur apparition ou leur réapparition dans l’organigramme. L’Observateur renseigne que Djibril Dia, un ancien d’Air Afrique, est nommé responsable Maintenance et Qualité. Marc Moreau, pilote de l’un des A330 Neo va conduire le projet Formation et Vols. Jérôme Maillet, mis au frigo par l’ancien directeur général, Ibrahima Kane, selon le journal, est revenu aux manettes. Il prend la direction des finances, de la stratégie et du développement.
Le nouveau patron d’Air Sénégal a aussi créé un département chargé de l’audit et de l’inspection et un autre qui s’occupe de qualité, de sûreté et de sécurité.
Sitor Ndour, ancien Directeur général du centre des œuvres universitaires de Dakar (COUD), ancien ministre et membre de la coalition BBY, est accusé de viol par sa femme de ménage qui est de surcroît encore une mineure. Ndira Dione, la mère de la présumée victime […]
Non classéSitor Ndour, ancien Directeur général du centre des œuvres universitaires de Dakar (COUD), ancien ministre et membre de la coalition BBY, est accusé de viol par sa femme de ménage qui est de surcroît encore une mineure.
Ndira Dione, la mère de la présumée victime est revenue sur les faits et au micro de Seneweb. Elle révèle que c’est au troisième jour de travail de sa fille chez le responsable politique de l’APR, que celui-ci aurait abusé de sa fille.
C’est à la veille de la Tabaski, que la fille, née en décembre 2005,a été recrutée comme femme de ménage par le sieur Ndour. « Ses tâches étaient de prendre soin des trois filles de son patron et de sa femme qui ne jouirait pas de ses facultés mentales, pour un salaire de 45000 fCfa », raconte la mère de la présumée victime. Sauf que, selon elle, « son employeur avait une autre idée derrière la tête ».
« C’est au troisième jour de travail , le lundi, lendemain de la Tabaski, que l’homme, après le déjeuner, a ordonné à ses filles d’aller faire la sieste ainsi qu’à la bonne qui est installée dans une chambre séparée. Quelques minutes plus tard, il s’introduit dans la chambre avant de sécuriser la porte et de neutraliser la fille pour accomplir sa sale besogne. Malgré les cris et appels au secours de la fille, personne n’a réagi, sûrement parce que les filles étaient dans leur chambre à l’étage et que et la maîtresse de maison était absente des lieux », rapporte, encore, la maman de la victime présumée.
« C’est une fois que l’homme a rejoint sa chambre après avoir accompli son acte, que la petite s’est échappée pour aller tout raconter à sa famille ».
Zones d’ombre, “lenteurs de la procédure”
Un viol, tout d’abord selon la famille de la victime, confirmé par une sage femme en service au centre de santé Philippe Maguilène Senghor qui aurait prélevé du sperme dans l’appareil génital de la fille.
La famille de la jeune fille prétend détenir un certificat médical attestant du viol et un enregistrement de vocal sue lequel Sitor Ndour tenterait de les soudoyer pour faire taire l’affaire.
Munis de ces pièces, ils ont déposé plainte à la gendarmerie de la Foire. À signaler que la sage femme qui avait attesté le viol après prélèvement de sperme, a changé de version. Un deuxième test a alors été fait à l’hôpital Idrissa Pouye (ex CTO).
Par ailleurs, poursuit la dame : « les éléments de la gendarmerie ont entendu le violeur chez lui et procédé à une reconstitution des faits avec la fille. Lors de cette étape, une tache a attiré l’attention des enquêteurs qui ont fini par confisquer le drap sur lequel cette tache a été retrouvée. Ils ont ensuite saisi les vêtements portés par l’homme lors de sa forfaiture, pour des analyses ».
Toutefois, ce que déplorent les parents de la petite, c’est la lenteur du dossier qui, selon , »Chef Dia » de la gendarmerie de la foire, aurait été transmis au procureur de la République.
Près de 7 millions de Sénégalais étaient appelés aux urnes dimanche, pour renouveler les 165 sièges du Parlement. Après dépouillement, les résultats favorables à l’inter coalition Yewwi-Wallu ont été contestés par le pouvoir qui annonce avoir gagné 30 départements sur les 46. Voici la répartition […]
Non classéPrès de 7 millions de Sénégalais étaient appelés aux urnes dimanche, pour renouveler les 165 sièges du Parlement. Après dépouillement, les résultats favorables à l’inter coalition Yewwi-Wallu ont été contestés par le pouvoir qui annonce avoir gagné 30 départements sur les 46. Voici la répartition des sièges par département.
Après dépouillement, les résultats provisoires issus du scrutin du 31 juillet 2022 sont favorables à l’inter-coalition Yewwi-Wallu. Mais la coalition Benno Bokk Yakkar qui conteste, annonce déjà sa victoire. En effet, la tête de liste nationale de la coalition au pouvoir, Mimi Touré, a fait savoir dimanche tard dans la nuit, que la coalition du pouvoir a gagné dans 30 départements sur les 46 que compte le Sénégal.
« Nous avons gagné 30 départements » sur les 46 que compte le Sénégal et des circonscriptions à l’étranger. « Ceci nous donne incontestablement une majorité à l’Assemblée nationale », a déclaré à la presse la tête de liste de la coalition présidentielle, Aminata Touré.
Du côté de l’opposition, le mandataire national de Yewwi Askan Wi met en garde contre toute « tentative de manipulation des résultats ». « Nous avons suivi avec stupéfaction la sortie de Madame Mimi TOURE qui non seulement viole la loi en proclamant la victoire de BBY dans certains départements mais se présente en porte-parole du Président Macky SALL qui cherche encore une fois à confisquer les suffrages des sénégalais qui viennent de donner une majorité confortable à l’Assemblée Nationale à l’intercoalition YEWWI WALLU vues les tendances lourdes tirées des PV en notre possession et bien relayées par la presse nationale notamment dans les départements de Mbour, Tivaouane, Louga, Kaolack. Goudomp. Sédhiou, Afrique du Nord. Saraya etc. Et cela en plus des départements qu’elle a implicitement reconnu avoir perdu », a écrit Déthié Fall dans un communiqué.Voici la répartition des sièges par département
L’Assemblée nationale est composée de 165 sièges pourvus pour cinq ans selon un mode de scrutin parallèle dans 54 circonscriptions électorales correspondant aux 46 départements du Sénégal auxquels s’ajoutent 8 circonscriptions de la diaspora. Sur ce total, 112 sièges sont pourvus au scrutin de liste majoritaire à raison d’un à sept sièges par circonscription, selon leur population. Les circonscriptions de la diaspora comportent entre un et trois sièges, pour un total fixé à quinze sièges. Les électeurs votent pour une liste bloquée de candidats et d’un nombre égal de suppléants, sans panachage ni vote préférentiel. La liste ayant reçu le plus de voix remporte tous les sièges à pourvoir dans sa circonscription. Dans celles ne comportant qu’un seul siège, le vote prend de fait la forme d’un scrutin uninominal majoritaire à un tour.
Les 53 sièges restants sont pourvus au scrutin proportionnel plurinominal sur la base du total des voix des partis additionnées au niveau national. Les deux systèmes opèrent indépendamment l’un de l’autre. Contrairement à un système mixte par compensation, les sièges à la proportionnelle ne sont pas attribués de manière que leurs additions à ceux du scrutin majoritaire fassent correspondre le total de sièges des partis à leurs parts des voix au niveau national. Chaque parti obtient une part des sièges pourvus à la proportionnelle correspondant à sa part des suffrages, auxquels s’ajoutent les sièges obtenus dans les circonscriptions à la majorité relative, donnant au scrutin une tendance majoritaire. La répartition des sièges se fait selon le système du quotient simple. Dans le cas de candidats indépendants, les sièges restants après le premier décompte sont attribués suivant la règle du plus fort reste.
La représentation de la diaspora intervient à la suite des changements apportés par le référendum constitutionnel de 2016. La diaspora sénégalaise compte en effet entre 2,5 et 3 millions de personnes pour une population au pays de 14 millions, pour laquelle elle contribue chaque année à l’équivalent d’un tiers du budget de 2017, soit 900 milliards de francs CFA (1,38 milliard d’euros). Les 15 députés élus pour la première fois en 2017 se répartissent dans 8 circonscriptions de 1 à 3 sièges découpées dans les régions du monde en fonction de l’importance de leur diaspora sénégalaise.
La répartition par département des sièges à pourvoir à l’Assemblée nationale :
Région Dakar (18 députés) :
Département de Dakar (7), Pikine (5), Guédiawaye (2), Keur Massar (2), Rufisque (2)
Région de Thiès (10) :
Département de Thiès (4), Mbour (4), Tivaouane (2)
Région de Diourbel (9) :
Département Diourbel (2), Bambey (2), Mbacké (5)
Région de Tamba (7) :
Tamba (2), Bakel (2), Koumpentoum (2), Goudiry (1)
Région de Sédhiou (6) :
Sédhiou (2), Bounkiling (2), Goudomp (2)
Région de Saint-Louis (6) :
Saint-Louis (2), Podor (2), Dagana (2)
Région de Kaffrine (6) :
Kaffrine (2), Koungheul (2), Malem Hodare (1), Birkilane (1)
Région de Kolda (6) :
Kolda (2), Médina Yoro Foulah (2), Vélingara (2)
Région de Louga (6) :
Louga (2), Kébémer (2), Linguère (2)
Région de Matam (5) :
Matam (2), Kanel (2), Ranérou-Ferlo (1)
Région de Kaolack (5) :
Kaolack (2), Guinguinéo (1), Nioro (2)
Région de Fatick (5) :
Fatick (2), Foundiougne (2), Gossas (1)
Région de Ziguinchor (5) :
Ziguinchor (2), Bignona (2), Oussouye (1)
Région de Kédougou (3) : Kédougou (1), Salemata (1), Saraya (1)
Départements de la Diaspora (15) :
Afrique (7)
Europe (6)
Amérique-Océanie (1)
Asie-Moyen Orient (1)
Finalement ils n’auront pas apporté grand-chose à Benno Bokk Yaakaar (Bby). Des responsables comme Bamba Fall, Mayoro Faye et Serigne Mansour Sy Djamil, qui ont fraîchement rejoint Macky Sall, ont tout simplement mordu la poussière, hier dimanche. Lors des dernières élections territoriales du 23 janvier […]
Non classéFinalement ils n’auront pas apporté grand-chose à Benno Bokk Yaakaar (Bby). Des responsables comme Bamba Fall, Mayoro Faye et Serigne Mansour Sy Djamil, qui ont fraîchement rejoint Macky Sall, ont tout simplement mordu la poussière, hier dimanche.
Lors des dernières élections territoriales du 23 janvier 2022, ils étaient tous dans l’opposition et combattaient farouchement le pouvoir en place. Six mois plus tard, ils ont changé de camp soutenant la liste de la majorité présidentielle. Mais, ils semblent être « sanctionnés » par les électeurs lors du scrutin législatif de ce 31 juillet 2022, confirmant ainsi la « jurisprudence » Idrissa Seck, du nom du leader de Rewmi, qui a complètement perdu Thiès, depuis qu’il a acté son fameux « mburu ak soow ».
Parmi les plus célèbres de ces récents transhumants, il y a Bamba Fall, maire de la Médina. Réélu aux forceps au terme d’une campagne électorale violente, il ne lui a fallu que moins d’un mois pour poser ses valises à la présidence de la République. Un acte qui lui a, d’ailleurs, valu le poste de ministre-conseiller. Investi sur la liste de Benno, son principal adversaire d’alors, après avoir été parmi les rares maires à résister à la vague Yewwi en janvier dernier, M. Fall n’a pas finalement pu créer la surprise, ce dimanche. Il est corrigé même dans son propre bureau de vote.
A Saint-Louis, Mayoro Faye n’a pas non plus apporté grand-chose à la coalition au pouvoir qui, pour la première fois depuis 2012, a perdu et la commune et le département. Mécontent du choix porté sur la personne de Babacar Abba Mbaye, investi par l’inter-coalition Yeww Askan Wi-Wallu Sénégal, le désormais ex-secrétaire général à la communication du Pds a donné raison au directoire de son parti. Pire, face à la montée en puissance du jeune « khalifiste », l’avenir politique de Mayoro Faye à Saint-Louis est plus que jamais assombri.
Dernier à annoncer son soutien à Benno bokk yaakaar (Bby) après sa sortie avec fracas de Yewwi Askan Wi, dont il est l’un des fondateurs, Serigne Mansour Sy Djamil est également victime de son ancienne coalition. Le leader de Bess du Ñak n’a pas pu renverser la tendance dans la commune de Fass-Colobane-Gueule Tapée largement gagnée par Barthélémy Dias et Yewwi Askan wi.
« Le directoire national de Bès Du Ñakk a décidé de soutenir la Coalition Benno bokk yakaar qui est la principale force capable de battre Yaw (…) appelle tous les militants et sympathisants à se mobiliser pour voter massivement pour la coalition Bby lors des élections législatives du 31 juillet 2022 (…) demande aux structures et militants de Bès Du Ñakk d’accorder leur soutien aux responsables de Bby de leurs localités respectives pour travailler ensemble à la défaite de la coalition Yaw », lisait-on dans un communiqué rendu public le 27 juillet dernier.
A rappeler qu’une bonne partie des militants de sa formation politique ne l’a pas suivi
L’opposition en montant cet attelage original est sur le point de phagocyter la majorité jusque-là confortable de Macky Sall. La lecture définitive des élections législatives est encore floue pour le moment. Si les tendances montrent clairement une forte poussée de l’opposition emmenée par l’inter coalition […]
ACTUALITE POLITIQUEL’opposition en montant cet attelage original est sur le point de phagocyter la majorité jusque-là confortable de Macky Sall.
La lecture définitive des élections législatives est encore floue pour le moment. Si les tendances montrent clairement une forte poussée de l’opposition emmenée par l’inter coalition Yewwi Askan Wi/Wallu Sénégal, la coalition présidentielle, Benno Bokk Yakaar a revendiqué la victoire, très tard dans la soirée »Nous avons gagné 30 départements » sur les 46 que compte le Sénégal et des circonscriptions à l’étranger. « Ceci nous donne incontestablement une majorité à l’Assemblée nationale », a déclaré à la presse la tête de liste de la coalition présidentielle, Aminata Touré.
« Nous avons donné une majorité à l’Assemblée nationale à notre président de coalition », a-t-elle renchéri sans donner le nombre de députés obtenus par son camp ni préciser s’il s’agit d’une majorité relative ou absolue. Elle a néanmoins reconnu la défaite de sa coalition à Dakar.
La réplique à Mme Touré n’a pas tardé du côté de l’opposition. Barthélémy Dias, a parlé de « vulgaire mensonge » et de « majorité préfabriquée ». »La cohabitation est inévitable. Vous avez perdu cette élection au niveau national. Nous ne l’accepterons pas. Cette forfaiture ne passera pas », a ajouté le maire de Dakar
En attendant les résultats partiels puis définitifs, qui seront prononcés par les organes habilités, l’opposition YAW WALLU peut raisonnablement afficher sa satisfaction. La stratégie de mettre en place l’inter coalition a eu l’effet escompté : pousser Macky Sall dans ses derniers retranchements, et envisager légitimement une cohabitation.
“Accord du siècle”
En parvenant à sceller l’union entre les deux camps, Déthié Fall, mandataire national de la coalition Yewwi Askan Wi avait parlé “d’accord du siècle”. Enthousiasme exagéré mais compréhensible car cette alliance a mis du temps à se dessiner. Que ce soit lors des législatives de 2017 ou des locales de janvier dernier, les tentatives d’alliance avec Abdoulaye Wade et ses alliés ont à chaque fois échoué. Pour parer à un énième désaccord, les deux camps ont mis en place un système pour le moins original : l’entente ne concerne que les listes départementales. Sur le plan national, YAW et Wallu ont déposé des listes distinctes avec comme tête de liste Ousmane Sonko, d’un côté, et Abdoulaye Wade de l’autre. « Pourquoi nous disputer sur les investitures nationales ? Nous savions que nous n’allions pas nous entendre. Nous avons donc décidé de nous concentrer sur les départements », expliquait Déthié Fall, après la concrétisation de l’alliance. “Le calcul est simple : sur l’ensemble des 165 députés qui seront élus le 31 juillet, 112 le seront au niveau départemental, lors d’un scrutin majoritaire à un tour. Le but n’est donc pas d’obtenir plus de 50 % des voix. Juste d’être devant Macky Sall”, ajoutait-il.
Au départ, le deal a créé des remous notamment au sein de Wallu où quelques cadres se sont sentis lésés lors des investitures et ont claqué la porte : Mayoro Faye, Cheikh Mbacké Bara Dolly.
Mais, au final le moins que l’on puisse dire c’est que les deux camps ont tapé dans le mille en tirant leur, chacun, dans les départements où ils sont forts : Dakar, Pikine, Guédiawaye, Keur Massar, Rufisque, Mbacké, Ziguinchor, Oussouye et Bignona, Bambey.
Outre ces localités, l’inter-coalition Yewwi-Wallu a également remporté près de huit départements de la diaspora.
Et l’objectif de contraindre Macky Sall à la cohabitation ne semble pas aussi impossible qu’il ne paraissait, il y a quelques mois.
Pour les élections législatives dont les résultats restent jusque tard dans la soirée favorable à Yewwi , le leader de Gueum Sa Bopp a beaucoup contribué à la victoire de l’opposition. Recalé à l’étape des parrainages , le président du mouvement Gueum Sa Bopp n’a […]
ACTUALITE POLITIQUEPour les élections législatives dont les résultats restent jusque tard dans la soirée favorable à Yewwi , le leader de Gueum Sa Bopp a beaucoup contribué à la victoire de l’opposition. Recalé à l’étape des parrainages , le président du mouvement Gueum Sa Bopp n’a pas baissé le armes pour combattre le président Macky Sall et son régime , qui serait en route pour un troisième mandat . Aussi , il a battu campagne dans plusieurs localité pour soutenir l’opposition non sans donner des consignes de vote favorables à l’opposition avec la mise ne oeuvres de ses dix « recommandations ». Comme pour dire que la campagnes non au troisième mandat (NTM) a déjoué tous les plans de Macky.
Parmi les responsables des «déconvenues» de Benno Bokk Yakaar (BBY) aux législatives d’hier, dimanche, Madiambal Diagne cite le Président Macky Sall lui-même. Dans sa chronique hebdomadaire parue ce lundi dans Le Quotidien, le journaliste estime que le chef de l’Etat est comptable des bons résultats […]
ACTUALITE POLITIQUEParmi les responsables des «déconvenues» de Benno Bokk Yakaar (BBY) aux législatives d’hier, dimanche, Madiambal Diagne cite le Président Macky Sall lui-même. Dans sa chronique hebdomadaire parue ce lundi dans Le Quotidien, le journaliste estime que le chef de l’Etat est comptable des bons résultats qui s’annoncent en faveur de l’opposition.
«Le Président Macky Sall porte une grande responsable dans ces reculs, pour ne pas dire dans ces nouvelles déconvenues électorales, décrète Madiambal Diagne. En effet, il s’était gardé de tirer les enseignements des élections locales de janvier 2022. Il était attendu un remaniement gouvernemental pour nommer un Premier ministre et impulser dans la foulée une nouvelle dynamique politique. Le chef de l’Etat avait choisi de garder le statu quo, en ignorant le coup de semonce des électeurs. »
Le chroniqueur politique interroge : «Qu’est-ce qui expliquerait que les électeurs changent de perception alors que rien de nouveau ne leur a été proposé ? Les électeurs se sont-ils sentis snobés ? Le Président Sall avait tort de choisir de différer son remaniement, ménageant les carences de ses collaborateurs et fermant les yeux sur des comportements d’arrogance décriés par les populations.»
Mais pour Madiambal Diagne d’autres facteurs expliqueraient les modestes résultats de Benno aux Législatives. Il pointe en plus l’unité de façade des responsables de Benno qui étaient naguère en conflit ouvert. «La mayonnaise de l’élan unitaire au sein de BBY n’a pas pris, regrette l’auteur des ‘Lundi de Madiambal’. Les chiffres indiquent pertinemment que les différentes coteries politiques au sein de BBY, qui s’étaient farouchement combattues lors des élections locales sont restées sur leurs hostilités.»
Il détaille : «C’est le cas notamment à Dakar et à Ziguinchor. Les soutiens des autres responsables de BBY n’ont manifestement pas suffi pour permettre à Victorine Ndeye (par exemple) de gagner- mais elle aura participé à limiter les dégâts.»
Autre loupé du camp présidentiel souligné par Madiambal Diagne : l’enrôlement d’élus de l’opposition. «Les démarchages de responsables de YAW (Yewwi skan Wi) qui ont été débauchés n’ont pas apporté de nouveaux électeurs, fait remarquer le chroniqueur du journal Le Quotidien. Si ces maires et autres leaders ont ‘transhumé’, les masses d’électeurs ont continué à garder leur vote protestataire. On peut même augurer que ce débauchage a été contreproductif et a ainsi davantage pu renforcer un sentiment de révulsion.»
Les Sénégalais ont voté dimanche dans le calme pour renouveler le Parlement. Quelques sept millions de personnes étaient appelées pour ce scrutin qui s’est déroulé sans incidents majeurs La Commission nationale électorale autonome (Cena), qui supervise le vote, a déployé quelque 22.000 observateurs. Des experts […]
ACTUALITE POLITIQUELes Sénégalais ont voté dimanche dans le calme pour renouveler le Parlement. Quelques sept millions de personnes étaient appelées pour ce scrutin qui s’est déroulé sans incidents majeurs La Commission nationale électorale autonome (Cena), qui supervise le vote, a déployé quelque 22.000 observateurs. Des experts de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) et de la Francophonie étaient également présents.
Toutes ces organisations ont unanimement apprécié la bonne organisation du vote, prérogative du ministère de l’Intérieur, dirigé par Antoine Diome. Malgré les procès d’intention et les critiques dont il est la cible, provenant notamment du camp de l’opposition, l’ancien agent judiciaire de l’État a réussi le pari de l’organisation de deux élections en l’espace de six mois. Les locales, comme le scrutin législatif qui vient de se dérouler, se sont achevés sans véritable sans trop de heurts ni de contestations sur les résultats proclamés.
En outre, très peu de couas ou de problèmes logistiques ont été relevés par les différents mandataires. Il faut dire que le ministre de l’Intérieur avait pris les devants, récemment, en effectuant une tournée dans quelques centres de vote à Mbour, Sindian, Thiès, Touba, Dakar. Il avait rappelé que rien n’a été laissé au hasard dans le dispositif à mettre en place pour la tenue d’élections normales même en période d’hivernage.
Par ailleurs, les forces de l’ordre, bien présentes sur l’étendue du territoire, ont assuré une bonne couverture sécuritaire du scrutin.
L’engagement n’est pas encore au rendez pour le demarrage du scrutin à Dakar. Jusqu’à 13 H, le taux de participation est estimé à 23 %, selon le prèsident de la Commission électorale nationale autonome, Doudou Ndir.
ACTUALITE POLITIQUEL’engagement n’est pas encore au rendez pour le demarrage du scrutin à Dakar. Jusqu’à 13 H, le taux de participation est estimé à 23 %, selon le prèsident de la Commission électorale nationale autonome, Doudou Ndir.
Les Sénégalais vont voter ce dimanche pour élire 165 députés. Le dernier passage aux urnes avant la présidentielle controversée de 2024. Si l’opposition cherche à imposer la cohabitation au Président Macky Sall, les partisans du pouvoir veulent consolider leurs acquis et permettre au Président de la République […]
ACTUALITE POLITIQUELes Sénégalais vont voter ce dimanche pour élire 165 députés. Le dernier passage aux urnes avant la présidentielle controversée de 2024. Si l’opposition cherche à imposer la cohabitation au Président Macky Sall, les partisans du pouvoir veulent consolider leurs acquis et permettre au Président de la République de terminer ses chantiers et donner un nouveau visage au Sénégal…Mais le dernier mot revient au peuple qui se rendra aux urnes. Qui de Yewwi ou de Benno aura séduit les Sénégalais après les 21 jours de campagne ?
« Le peuple est la seule force motrice, le créateur de l’histoire universelle », avait l’habitude de dire le Président chinois Mao Tsé-Toung. Les Sénégalais qui sont appelés ce dimanche 31 juillet à aller aux urnes pour élire 165 députés qui vont siéger durant les cinq prochaines années à l’Assemblée nationale, décideront eux-mêmes ce qui sera leur futur demain.
Quel type de Sénégal, ils veulent. Les Sénégalais vont-ils dire oui à l’opposition principalement Yewwi Askan Wi et imposer la cohabitation au Président Macky Sall qui aura décrypté le message et compris que c’en est fini de son régime avant même 2024, ou vont-ils continuer à accorder leur confiance à un régime, qui malgré toutes les critiques, a su placer le pays vers la voie de l’émergence.
En faisant son choix ce dimanche, le peuple démontre encore une fois que c’est lui qui tient réellement son destin en mains. Ce n’est ni le régime en place qui cherche toujours à imposer sa majorité, ni l’opposition qui veut imposer la cohabitation pour la première fois au Sénégal, qui décidera du sort du pays. Pendant 21 jours, l’on a vu la coalition au pouvoir, celle de l’opposition sillonner tout le territoire national, avec pour seule ambition, convaincre les électeurs.
Les électeurs savent donc que c’est à eux de décider dans les urnes. Avant même de se rendre aux urnes, les électeurs savent qu’à travers leur choix, ils vont dire non à l’aventurisme. Les Sénégalais savent ce qu’ils veulent, où ils décident d’aller. Ils veulent d’un Sénégal qui sera prospère où il fera bon de vivre demain. Les électeurs ne vont jamais accepter de laisser le Sénégal, un pays de dialogue, qui a une longue tradition démocratique, qui dispose sur son sol national de ressources naturelles aussi riches, être entre les mains d’aventuriers qui vont le conduire
Le peuple aura montré à l’issue du vote de ce dimanche qu’il est mature, et milite pour la stabilité de ce pays. Ceux qui veulent que le Sénégal soit plongé vers le chaos, l’instabilité, afin qu’ils parviennent à leur funeste dessein de s’emparer du pouvoir à travers la violence, auront vite déchanté en voyant que les populations leur auront dit non. Rien ne sera plus comme avant, disait l’autre.
Demain va être un jour nouveau pour le Sénégal, et pour tous ceux qui veulent le conduire dans la voie de l’émergence. Les Sénégalais auront fini demain de tourner définitivement le dos aux aventuriers. Le dernier mot a toujours appartenu au peuple qui a décidé de voter pour la carte de la stabilité au Sénégal. Il est clair que les Sénégalais n’accepteront jamais d’envoyer majoritairement à l’Assemblée nationale, des députés qui ne se soucient guère du devenir de la nation.
Des députés qui ne sont mus que par leurs propres intérêts et ceux d’obscurs lobbys internationaux qui ont leurs regards tournés vers le Sénégal depuis que du pétrole et du gaz ont été découverts sur le territoire national. Ils ont décidé d’avoir la mainmise sur ce pétrole et ce gaz, et ne se donnent pas de limites pour atteindre leurs ambitions. Ils ont déjà leurs relais locaux qu’ils ont aidé à se lancer dans la course pour ces élections législatives. Heureusement que le peuple les a démasqués.