Une fois de plus, le temps additionnel ne sourit pas aux Sang et Or. Et ce, pour la deuxième fois en quatre jours. Face à Monaco, le Racing s’est incliné 2-3 après avoir recollé à 2-2. Cet après-midi, il y a beaucoup de frustration, mais […]
ACTUALITE SPORTSMes chers compatriotes, Tristesse et consternation pour la démocratie Sénégalaise. Ce dimanche 25 février devait être la date historique pour en finir avec le régime le plus totalitaire et le pire spoliateur que le Sénégal n’ait jamais connu. Après 12 ans à la tête du […]
ACTUALITE POLITIQUELa prochaine sortie de Reug Reug sera organisée par Gaston productions. Le lutteur de Thiaroye a conclu avec la structure de promotion un accord dans ce sens. «Nous avons signé avec Gaston productions un contrat pour la période 2023-2025», confirme le manager du lutteur, Palla […]
ACTUALITE SPORTSUn accident d’une rare violence s’est déroulé ce matin impliquant une voiture de la gendarmerie sur l’autoroute à péage. Elle n’a pas su freiner à temps suite à un carambolage et est entrée en collision avec un autre véhicule. La voiture de la gendarmerie a […]
Non classéUn accident d’une rare violence s’est déroulé ce matin impliquant une voiture de la gendarmerie sur l’autoroute à péage. Elle n’a pas su freiner à temps suite à un carambolage et est entrée en collision avec un autre véhicule. La voiture de la gendarmerie a même touché un civil. Aucune perte en vie humaine n’a été notée.Plus de peur que de mal !
Après le réquisitoire introductif du Procureur de Tambacounda, le juge d’instruction a inculpé et placé sous contrôle judiciaire les trois mis en cause dans l’affaire Doura Diallo, gardés à vue par la gendarmerie et déférés au parquet ce lundi. Le juge d’instruction a pris le […]
Non classéAprès le réquisitoire introductif du Procureur de Tambacounda, le juge d’instruction a inculpé et placé sous contrôle judiciaire les trois mis en cause dans l’affaire Doura Diallo, gardés à vue par la gendarmerie et déférés au parquet ce lundi. Le juge d’instruction a pris le contrepied du parquet qui avait requis le mandat de dépôt.
Le juge d’instruction n’a pas finalement suivi le parquet dans son réquisitoire introductif. En effet, les trois agents de santé, arrêtés dans le cadre de l’enquête sur la mort en couches de Doura Diallo et de son bébé au centre de santé de Kédougou, ont été libérés. Ils ont certes été inculpés, mais ont été placés sous contrôle judiciaire.
En effet, le procureur Baye Thiam avait requis l’ouverture d’une information judiciaire. Même s’il avait sollicité du magistrat instructeur qu’il place sous mandat de dépôt les trois mis en cause : le gynécologue, l’infirmier et l’anesthésiste, le magistrat instructeur a pensé qu’ils avaient des garanties de représentation en justice et que leur incarcération n’est pas nécessaire.
Cette décision va sûrement calmer le Syndicat autonome des médecins du Sénégal (SAMES) qui a décrété 48 heures de grève, à partir de ce lundi, dans toutes les structures sanitaires du Sénégal.
Une transformation institutionnelle et une réduction des effectifs. Ce sont là les deux mesures phares préconisées par les cadres du groupe La Poste pour sauver la boîte. Le Regroupement des cadres de la poste (RECAP) était en conclave ce week-end à l’Ecole nationale de formation des postes […]
Non classéUne transformation institutionnelle et une réduction des effectifs. Ce sont là les deux mesures phares préconisées par les cadres du groupe La Poste pour sauver la boîte. Le Regroupement des cadres de la poste (RECAP) était en conclave ce week-end à l’Ecole nationale de formation des postes de Rufisque.
Les cadres de La Poste se sont penchés sur le grand corps malade de leur entreprise pour un diagnostic et une thérapie de choc afin de tirer celle-ci de sa situation. Réunis autour du Regroupement des cadres de la POSTE (RECAP), ces agents du groupe La Poste ont tenu une rencontre pour décliner un certain nombre de propositions pour sauver la boîte de la faillite qui la guette. Ainsi, au terme de leur conclave, les cadres ont reconnu que les textes qui gouvernent le fonctionnement de la boîte sont obsolètes, les effectifs pléthoriques et le modèle de gouvernance n’est plus aux exigences de performance. «Les problèmes de La poste découlent principalement de l’obsolescence du cadre normatif…de l’absence d’un dispositif de pilotage de la performance, de la défaillance du contrôle et de l’inadéquation de la régulation… On constate un effectif pléthorique par rapport au niveau d’activité et aux perspectives de développement de nouveaux produits et services», a relevé Amadou Diouldé Bâ, responsable de la communication du RECAP qui a lu la déclaration finale.
En plus de la pléthore, une part non négligeable de cet effectif ne répond pas aux besoins de l’entreprise en termes de qualification et de compétences. D’où, une liste de propositions axées essentiellement sur le changement de statut juridique de POSTEFINANCES, de la réduction des effectifs et de la réforme en profondeur des textes et dispositifs organisationnels qui fondent la gouvernance du Groupe La Poste entre autres.
Afin de sauver la boîte et de la relancer, le RECAP, en plus d’un dégraissage des effectifs, préconise un changement radical qui passe par une transformation institutionnelle de POSTEFINANCES. Dans cette perspective, trois options sont indiquées par les cadres. Il s’agit soit «d’en faire une banque commerciale, un système financier décentralisé ou encore un établissement de crédit spécialisé». Dans l’immédiat, les cadres estiment «qu’il urge d’injecter de la trésorerie pour soulager la clientèle afin de préserver le portefeuille et de rendre viable cette transformation».
Un meurtre crapuleux secoue la région de Kolda. Aminata Touré dite Méta a été lâchement assassinée par des individus non encore identifiés, rapporte Libération qui donne l’information. La victime, vivait en France depuis 10 ans. Elle est revenue au bercail dans son village natal de Saré Mbemba […]
Non classéUn meurtre crapuleux secoue la région de Kolda. Aminata Touré dite Méta a été lâchement assassinée par des individus non encore identifiés, rapporte Libération qui donne l’information.
La victime, vivait en France depuis 10 ans. Elle est revenue au bercail dans son village natal de Saré Mbemba Touré dans la commune de Bignarabé avec sa fille, il y a quelque mois.
Agée de 40 ans, elle devait se rendre dans son village pour récupérer sa fille et revenir à Mbour où elle était installée.
Son corps sans vie a été découvert ce samedi matin baignant dans une mare de sang à quelques kilomètres au nord de la commune de Kolda.
Pour le moment, le ou les présumés tueurs ne sont pas identifiés ainsi que le mobile du crime.
Selon les premiers éléments de l’enquête de la gendarmerie, Méta a reçu des coups de couteau. De plus, du chanvre indien a été retrouvé à quelques mètres du corps.
L’élection des hauts conseillers des collectivités territoriales (Hcct) a eu lieu ce dimanche. Au terme du scrutin, sur les 80 sièges qui étaient en jeu, Benno Bok Yakaar en a obtenu 78, «Bok Gis Gis» 1 et «Dental Sénégal actions patriotiques» a obtenu 1 siège. […]
Non classéL’élection des hauts conseillers des collectivités territoriales (Hcct) a eu lieu ce dimanche. Au terme du scrutin, sur les 80 sièges qui étaient en jeu, Benno Bok Yakaar en a obtenu 78, «Bok Gis Gis» 1 et «Dental Sénégal actions patriotiques» a obtenu 1 siège. Le taux de participation était de 68,35%.
Dans un entretien accordé à ‘’SourceA’’ dans sa parution de ce lundi, Gaston Mbengue a fait la leçon à Ousmane Sonko, qui selon lui, a de la haine pour Macky Sall. «La seule chose que je peux faire c’est de prier pour lui afin d’avoir […]
Non classéDans un entretien accordé à ‘’SourceA’’ dans sa parution de ce lundi, Gaston Mbengue a fait la leçon à Ousmane Sonko, qui selon lui, a de la haine pour Macky Sall. «La seule chose que je peux faire c’est de prier pour lui afin d’avoir un cœur apaisé. Sonko est un parent est un Sénégalais et je prie vraiment pour que tout ce qu’il garde dans son cœur puisse disparaître un jour et qu’il revienne sur terre», a dit le promoteur de lutte.
Selon lui, «il y a des acteurs politiques qui cherchent à semer le chaos dans le pays et c’est très dommage. Depuis toujours les gens faisaient de la politique du temps de Senghor, Mamadou Dia mais cette haine qu’on constate dans l’espace politique actuellement est très inquiétante. On voit même des gens d’un même parti qui ne s’aiment pas. Et c’est regrettable ! Il faut que les gens reviennent à la raison».
La succession de pluies ce week-end a été fâcheuse dans tous les quartiers de Dakar, qui se sont retrouvés sous les eaux. Dans la banlieue, c’est le calvaire partout, notamment à Keur Massar. Il pleut et il pleure partout à Dakar. Dans la banlieue dakaroise, […]
Non classéLa succession de pluies ce week-end a été fâcheuse dans tous les quartiers de Dakar, qui se sont retrouvés sous les eaux. Dans la banlieue, c’est le calvaire partout, notamment à Keur Massar.
Il pleut et il pleure partout à Dakar. Dans la banlieue dakaroise, les populations sont sous les eaux après plus de 72 heures de pluies ininterrompues. Malgré les lourds matériels déployés dans le cadre du Plan Orsec enclenché depuis le 5 août. A Keur Massar, érigé en département au lendemain des inondations de l’année dernière, l’on espérait la fin du calvaire avec les grands travaux d’un coût de 15 milliards F Cfa, engagés par les autorités qui avaient promis des lendemains moins stressants. Pari raté !
Car plusieurs quartiers sont sous les eaux et restent sans solution. A l’Unité 9 des Parcelles Assainies de Keur Massar, plus d’une centaine de maisons sont inondées. Des populations prises au piège dans leurs villas. A l’Unité 3, aux quartiers Camille Bass, Aïnoumady 1 et Aladji Pathé, c’est le même décor. A Pikine et Guédiawaye, les inondations ont fait aussi des victimes. A Pikine, les grandes voiries sont gorgées d’eau. D’ailleurs, de nombreux automobilistes ont préféré immobiliser leurs véhicules, laissant les passagers dans le désarroi. La route des Niayes, Thiaroye, Diameguène-Sicap Mbao, Tivaouane-Diacksao sont paralysées.
A Guédiawaye, Wakhinane-Nimzath est chaque année la commune la plus touchée par les inondations. Depuis le début de l’hivernage, Racine Talla a mis à la disposition de certains quartiers, des camions hydrocureurs. Ce dispositif a permis de soulager plusieurs quartiers de cette mairie, située dans un bas-fond. Au niveau des communes de Ndiaréme Limamou Laye, Hamo 4, Hamo 6, arrêt Case Bi, ce sont les mêmes complaintes…. Alors que le ciel gronde toujours.
Suite à un désaccord avec son mari, Binta S. a fait l’objet de chantage sexuel de la part de Baye T. qui détenait ses quatre vidéos intimes. Abasourdie, la jeune dame a fait tomber le chaud lapin dans une auberge, après avoir saisi le commissariat […]
Non classéSuite à un désaccord avec son mari, Binta S. a fait l’objet de chantage sexuel de la part de Baye T. qui détenait ses quatre vidéos intimes. Abasourdie, la jeune dame a fait tomber le chaud lapin dans une auberge, après avoir saisi le commissariat des Parcelles Assainies d’une plainte. C’est alors que les deux cousins de la partie civile, en l’occurrence Mansour S. et Karim S. ont été, eux aussi, appréhendés. Poursuivi pour collecte illicite et distribution d’images contraires aux bonnes mœurs, le trio a comparu devant le tribunal de Dakar statuant en matière de flagrants délits ce vendredi 2 septembre 2022.
Né en 1993 et demeurant à Guédiawaye, Mansour S. a laissé entendre que c’est le mari de la partie civile qui lui a envoyé les images. « Je les ai transférées à mon cousin Karim S., avant de lui demander de sermonner la plaignante », lance-t-il. Karim S., 35 ans, a avoué avoir partagé les vidéos avec son ami Baye T., qui pour se dédouaner, a contesté avoir exercé un chantage sur la victime. « Quand je lui ai déclaré ma flamme, elle m’a demandé de la retrouver chez une amie. C’est après mon arrestation que j’ai su que j’étais dans une auberge », a argué le tailleur. Alors qu’à l’enquête, il a affirmé qu’il n’avait pas l’intention de divulguer les sextapes. Il voulait juste entretenir des rapports sexuels avec la partie civile.
Interrogée sur les faits, mentionne Rewmi, Binta S. a allégué avoir envoyé les images à son conjoint pour pimenter sa vie de couple. Malheureusement, celui-ci a diffusé les vidéos pour faire croire à son entourage qu’elle est une femme de petite vertu. « Baye T. m’a intimé de la retrouver au marché bou bess de Guédiawaye afin de se livrer à des parties de plaisir. Sur recommandation de l’adjudant, je lui ai tendu un piège en lui fixant un rendez-vous dans une auberge », a déclaré la partie civile.
Le substitut du procureur a demandé la requalification de la collecte en détention d’images contraires aux bonnes mœurs, avant de requérir deux ans, dont trois mois ferme pour Baye T. S’agissant de ses deux coaccusés, le parquet a sollicité deux ans avec sursis. Conseil de ceux-ci, Me Abdoulaye Tall a demandé au juge de préserver la paix familiale. Car c’est un climat de deuil qui règne au sein de la famille des prévenus depuis leur arrestation. Constitué pour la défense des intérêts de Baye T., Me Alioune Badara Fall a plaidé la relaxe pour la distribution d’images contraires aux bonnes mœurs. Finalement, la juge a condamné Baye T. à deux ans, dont trois mois ferme contre deux ans, dont un mois ferme pour ses deux co-prévenus. Elle a requalifié la collecte illicite en détention d’images contraires aux bonnes mœurs.
Rocambolesque cette affaire de viol qui a atterri au commissariat du Point E, et qui oppose une jeune femme à un chauffeur de taxi. Ce dernier qui avait pris la jeune femme pour une course aurait, à un moment, emprunté un chemin tortueux, avant d’abuser […]
Non classéRocambolesque cette affaire de viol qui a atterri au commissariat du Point E, et qui oppose une jeune femme à un chauffeur de taxi. Ce dernier qui avait pris la jeune femme pour une course aurait, à un moment, emprunté un chemin tortueux, avant d’abuser de sa cliente dans la pénombre.
Désormais, la jeune femme B. Ba prendra toutes les précautions avant de s’engouffrer dans un taxi. Agée de 22 ans et domiciliée à la Médina, elle a été victime de viol, selon ses accusations et a déposé une plainte ce 30 août, au niveau du commissariat du Point E. A l’en croire, la nuit des faits, c’est vers les coups de minuit qu’elle a emprunté un taxi pour se rendre au chevet de son cousin malade, demeurant à Thiaroye.
Bien installée sur le siège arrière, elle était plongée dans ses pensées, lorsqu’à un moment donné, elle a remarqué que le chauffeur de taxi avait emprunté un chemin tortueux, avant de se garer sur une ruelle sombre. Et avant qu’elle ne réalise ce qui était en train de se passer, le taximan avait fait le tour pour la retrouver à l’arrière. « Il m’a tout de suite étranglée et mordue à l’épaule droite. Et à cause de la violence et de la rapidité des faits, je me suis évanouie », a raconté B. Ba. Selon elle, c’est lorsqu’elle a repris connaissance, qu’elle s’est rendue à l’évidence, qu’elle venait de se faire violer. « A mon réveil, j’ai constaté des traces de sperme sur mes cuisses et sur mes parties intimes et j’ai également remarqué que j’étais à moitié nue et mon pantalon rabaissé », a-t-elle raconté.
« Je lui ai payé 10 000 francs et elle était consentante »
La jeune femme poursuit qu’après avoir effectué son acte, le chauffeur a démarré pour prendre la fuite. Un moment qu’elle a mis à profit pour remonter dans le véhicule, pour crier de toutes ses forces et alerter les gens. D’ailleurs, c’est dans ces circonstances que de bonnes volontés se sont mises à la poursuite du taxi avant d’interpeller le chauffeur. Interrogé sur les accusations qui pèsent sur lui, le chauffeur N. Diop a adopté la stratégie de la dénégation, estimant avoir entretenu une relation sexuelle avec la fille mais avec son consentement. « C’est elle qui a commencé à me faire la cour dans le taxi. Elle m’a même proposé de se rendre au bar Chez Iba, mais finalement, on est tombés d’accord sur le prix de 10 000 francs », a indiqué le sexagénaire. Et selon lui, la passe a eu lieu à Fass, devant un bâtiment abandonné.
« Le taximan avait le pantalon baissé et la fille à moitié nue », selon le témoin
Quoi qu’il en soit, il faut noter que l’une des bonnes volontés qui ont permis son arrestation, a été entendue par les hommes du commissaire Thiam. Selon elle, c’est vers les coups de 3h du matin, alors qu’il était à la devanture de son domicile en compagnie de deux amis qu’un taxi les a dépassés à vive allure. Mais ce qui a le plus attiré leur attention, c’est qu’à l’intérieur du taxi, il y avait une femme qui criait au secours. « Tout de suite après, on a affrété un taxi pour se lancer à sa poursuite. Mais à un certain moment, le taxi du vieux a pris une ruelle du Point E et s’est retrouvé dans une impasse. Et c’est là qu’on l’a obligé à descendre, et il nous a dit que la fille voulait voler son argent », a raconté le témoin. Il a par ailleurs indiqué qu’au moment de son arrestation, « le taximan avait le pantalon baissé et la fille à moitié nue ». Toutes choses qui font que le taximan a été déféré au parquet.