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ACTUALITE POLITIQUEPrévenus d’offre ou de cession de drogue, Mouhamed Déme, Amadou Diouf et Saliou Khar Ndiaye ont fait face aux juges du tribunal des flagrants délits de Dakar, ce lundi. La représentante du ministère public a demandé que Amadou Diouf et Saliou Khar Ndiaye soient condamnés […]
Non classéPrévenus d’offre ou de cession de drogue, Mouhamed Déme, Amadou Diouf et Saliou Khar Ndiaye ont fait face aux juges du tribunal des flagrants délits de Dakar, ce lundi. La représentante du ministère public a demandé que Amadou Diouf et Saliou Khar Ndiaye soient condamnés à 2 ans d’emprisonnement ferme. Quant au premier nommé, Mouhamed Dème, il a bénéficié d’une liberté provisoire. Le verdict sera rendu le 26 septembre prochain.
L’utilisation du protoxyde d’azote est néfaste pour la santé. Malgré les moult mises en garde sur les méfaits de ce comprimé utilisé en chirurgie et qui est détourné par des jeunes à des fins illicites, le plus dans les boites de nuit, ces comprimés sont utilisés de plus en plus. Mais, c’est le plus souvent de leur liberté qu’ils vont payer leurs agissements car cette substance fait partie de la catégorie des drogues.
La preuve : c’est la détention et la commercialisation de ce produit qui a conduit à l’arrestation des nommés Amadou Diouf, Mouhamed Déme et Saliou Khar Ndiaye. Il ressort de la procédure que c’est au cours d’un contrôle de routine que les policiers ont procédé à l’arrestation de Amadou Diouf. En effet, quand les flics ont stoppé le taxi qui le transportait, le jeune homme né en 1998, jette les capsules entre ses pieds avant de descendre du véhicule.
Son attitude suspecte oblige les policiers à ramasser la boîte pour vérification. Ils constatent la présence de 31 capsules. Arrêté et conduit au commissariat, il est soumis à une enquête au cours de laquelle, il renseigne que le produit prohibé trouvé en sa possession est destiné pour sa consommation personnelle. Il soutenait les avoir acquis auprès de Saliou Khar Ndiaye à 25.000 francs CFA. Ainsi, pour procéder à l’arrestation de ce dernier, les policiers lui tendent un piège en intimant l’ordre à Amadou de passer une nouvelle commande.
C’est au moment de la livraison du produit que Saliou a été appréhendé alors qu’il venait juste de quitter chez lui, pour livrer la marchandise. Venu s’enquérir de la situation suite à l’arrestation de son ami, Mouhamed Deme tombe entre les mailles des filets des policiers. Placés tous les trois sous mandat de dépôt le 12 septembre, ils ont fait face ce lundi, au juge du tribunal des flagrants délits de Dakar. Ils sont poursuivis pour offre ou cession de drogue.
Amadou Diouf entendu en premier, plaide non coupable. «J’ignorais que le produit que je détenais est prohibé. Je l’avais acheté pour faire du gâteau», a-t-il déclaré contestant ainsi, les propos qui lui sont prêtés dans le procès-verbal d’enquête. Interrogé par la parquetière, il varie une nouvelle fois dans ses allégations et soutient qu’il utilise ces médicaments pour dormir.
Interrogé à son tour, Mouhamed Deme, âgé de 35 ans renseigne qu’il ne savait pas que Khar détenait de la drogue. Selon lui, il voulait juste connaître les raisons de son arrestation. Né en 1994, Saliou Khar Ndiaye qui était arrêté alors qu’il détenait 11 boites de 50 capsules de protoxyde d’azote reconnaît avoir vendu le même produit à Amadou Diouf. «Il m’a dit que c’est une pâtissière qui a commandé le produit pour les besoins du Magal. Elle l’utilise pour faire de la mousse de gâteau. En outre, on le vend en ligne», a-t-il expliqué.
Après avoir requis la relaxe de Mouhamed Deme, la représentante du ministère public a demandé que Amadou Diouf et Saliou Khar Ndiaye soient condamnés à 2 ans d’emprisonnement ferme. Réquisitoire sévère selon les avocats de ces derniers. Constitué pour défendre Amadou Diouf, Me Abdoulaye Tall relève : «Toute l’enquête portait sur la détention en vue de l’usage. Sur quoi se fonde le parquet pour dire que Amadou Diouf s’adonnait à l’offre ou la cession. Il avait une boîte de 30 capsules».
«Si vous estimez que la substance constitue de la drogue, je vous demande de disqualifier les faits en détention en vue de l’usage», a plaidé Me Tall. Son confrère Me Boubacar Dramé accentue sa plaidoirie sur l’usage domestique du produit. Se fondant sur ses recherches, l’avocat se demande si le produit fait partie de la catégorie des drogues. Il a ainsi sollicité la relaxe de son client Saliou Khar Ndiaye.
Quand à Mouhamed Deme, son avocat Me Ndiaga Dabo a demandé sa relaxe pure et simple. «Les enquêteurs n’ont eu aucun élément sérieux à son endroit. On tend un piège à Saliou Khar. Il part pour s’enquérir de sa situation, on l’interpelle et on le met en détention pendant une semaine alors qu’il souffre d’une maladie chronique. Il est diabétique. On n’a rien trouvé sur lui », a souligné Me Dabo qui a demandé la mise en liberté provisoire d’office de son client si l’avoir doit être mise en délibéré.
Le parquet n’ayant fait aucune objection à sa demande, le tribunal accorde la mise en liberté provisoire de son client Mouhamed Deme. Quant à Amadou Diouf et Saliou Khar Ndiaye, il retourne à la citadelle du silence jusqu’au 26 septembre. Le verdict sera rendu à cette date.
« LE MIS EN CAUSE RECONNAÎT AVOIR ENTRETENU DES RELATIONS SEXUELLES AVEC L’ÉPOUSE DE SON AMI INTIME Un jeune homme a été arrêté par les éléments de la gendarmerie et déféré au parquet de Louga. Il est accusé d’avoir entretenu des relations sexuelles avec la femme […]
Non classéUn jeune homme a été arrêté par les éléments de la gendarmerie et déféré au parquet de Louga. Il est accusé d’avoir entretenu des relations sexuelles avec la femme de son meilleur Ami dans la commune de Thieppe département de Kébémer.
Selon L’Observateur qui donne l’information, la victime présumée est l’épouse d’un émigré. Ce dernier qui est rentré récemment au bercail, a constaté que sa femme présentait des signes d’une grossesse avancée juste après leur nuit de noces. Il sera surpris quand les blouses blanches on appris que sa femme était enceinte de 4 mois.
L’immigré très choqué par les faits interroge son épouse pour savoir l’auteur de sa grossesse: « F. S m’avait invitée chez lui et quand je suis arrivée, il m’a violée. J’avais des scrupules pour le dénoncer, car j’étais consciente que certains n’allaient pas me croire», a-t-elle déclaré.
Le mis en cause reconnaît avoir entretenu des relations sexuelles avec l’épouse de son ami intime mais nie catégoriquement les accusations de viol : «C’est elle qui me provoquait. Elle me faisait des avances. J’ai fini par accepter et nous avons entretenu des rapports sexuels. (…) Je regrette les faits et je demande pardon à mon ami.»
Un étudiant sénégalais est arrêté à l’aéroport de Tunis-Carthage. Il s’agit de Serigne Mor Mbodji, un boursier de l’Etat Sénégalais. Il est bénéficiaire de la coopération Tunisico-sénégalaise. Il sera jugé aujourd’hui pour outrage à agent. L’étudiant vient tout juste de finir son cursus avec un […]
Non classéUn étudiant sénégalais est arrêté à l’aéroport de Tunis-Carthage. Il s’agit de Serigne Mor Mbodji, un boursier de l’Etat Sénégalais. Il est bénéficiaire de la coopération Tunisico-sénégalaise. Il sera jugé aujourd’hui pour outrage à agent.
L’étudiant vient tout juste de finir son cursus avec un diplôme d’ingénieur. Serigne Mor Mbodji devait rentrer au bercail. Il s’est alors rendu à l’aéroport de Tunis pour embarquer. Mais, il restait introuvable à l’atterrissage de l’avion à Dakar.
La famille de l’étudiant lance l’alerte. Ce n’est qu’après des recherches qu’elle est informée de l’arrestation de Serigne Mor Mbodji et de sa comparution programmée pour ce 20 septembre.
Il est reproché à l’étudiant d’avoir exercé une violence sur un élément de la police tunisienne.
Les étudiants sénégalais de Tunis interpellent Aïssata Tall Sall, ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur pour tirer leur camarade de ce problème.
Au Sénégal, le ministère français des Affaires étrangères enquête sur un réseau qui serait à l’origine d’un c délivrés à des étudiants. Ce n’est pas la première fois qu’un trafic de visas est démantelé. L’affaire a fait grand bruit au Sénégal. Alors que l’ambassade a […]
Non classéAu Sénégal, le ministère français des Affaires étrangères enquête sur un réseau qui serait à l’origine d’un c délivrés à des étudiants. Ce n’est pas la première fois qu’un trafic de visas est démantelé.
L’affaire a fait grand bruit au Sénégal. Alors que l’ambassade a annoncé une hausse de 250 % des demandes de visas Schengen, des irrégularités ont été constatées au sein du service des visas du consulat français de Dakar. De quoi amener l’Inspection générale du Quai d’Orsay à diligenter une enquête.
La fraude aux visas, qui passe par les falsifications de documents, par des intermédiaires qui « vendent » des créneaux de rendez-vous mais également par le trafic lié à des réseaux consulaires ou aux prestataires, est loin d’être nouvelle.
Dans un rapport d’information de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale française, les ex-députés M’jid El Guerrab et Sira Sylla classent d’ailleurs le trafic de visas dans la catégorie des simples « contraintes » liées à la délivrance des fameux sésames. Mais ils omettent — consciemment ? — d’évoquer les trafics dus à des réseaux consulaires et se concentrent sur les « fraudes documentaires ».
En Afrique subsaharienne, deux pays sont à la pointe de la fraude. « Dans des pays comme le Sénégal et la Côte d’Ivoire, la fraude est massive : elle représente 20 à 30 % des dossiers de demande de visa », assurent les élus qui estiment que « la difficulté liée à la prise de rendez-vous est accentuée par la multiplication des officines qui préemptent tous les créneaux dès leur ouverture sur internet et les ‘revendent’ aux demandeurs ».
Mais on parle là de faux documents. Pourquoi une telle omerta lorsqu’il s’agit de dénoncer des réseaux au sein des consulats ? Il y a quinze ans, sept agents du consulat de France à Moscou avaient été sanctionnés après la découverte d’« anomalies dans le traitement des visas ». En réalité, le consulat de France avait accrédité des agences qui vendaient, pour des prix variant entre 1 000 et 1 200 euros, des visas en fabriquant de fausses attestations. L’ambassade français avait, à l’époque, refusé de rendre publique la liste et préféré étouffer l’affaire.
L’affaire de Dakar pourrait bien se solder de la même façon. l’Inspection générale du ministère des Affaires étrangères compte en effet agir de façon discrète. Selon des sources proches du consulat français au Sénégal, le trafic concerne des délivrances de visas à des étudiants, contre rémunérations.
Un trafic qui bénéficie de deux facteurs : la difficulté, d’un côté, d’obtenir un visa Schengen ; les délais, parfois très longs, des démarches, de l’autre côté. « Ces délais de prise de rendez-vous sont en pratique imposés aux prestataires par les consulats en fonction de la capacité de ces derniers à instruire les demandes dans un délai de quelques jours. La phase d’instruction des visas au consulat constitue donc le goulot d’étranglement de la demande de visa », indique un rapport du Sénat français de 2015.
Que faire pour éviter ce juteux trafic ? Pour les ex-députés M’jid El Guerrab et Sira Sylla, « la dématérialisation permettra de mettre fin au cauchemar du circuit des passeports – entassés dans des bassines à linge pesant parfois près de 15 kilos, souvent transportés manuellement – et de l’archivage ‘physique’ des dossiers ». De quoi, assurent-ils, réduire les « re-saisies » des dossiers par les prestataires et les agents consulaires et, indubitablement, limiter les risques de trafic.
D’habitude, l’incompatibilité entre les fonctions ministérielles et celles parlementaires faisait en sorte que tout nouveau membre du Gouvernement perdait son statut de député en faveur de son suppléant. Du coup, la lettre d’Abdoulaye Daouda Diallo demandant au président de l’Assemblée nationale de suspendre son mandat […]
Non classéD’habitude, l’incompatibilité entre les fonctions ministérielles et celles parlementaires faisait en sorte que tout nouveau membre du Gouvernement perdait son statut de député en faveur de son suppléant. Du coup, la lettre d’Abdoulaye Daouda Diallo demandant au président de l’Assemblée nationale de suspendre son mandat est l’objet de plusieurs fantasmes.
Mais ‘’SourceA’’ qui a fait ses investigations dans sa parution de ce mardi, révèle que, les députés de la défunte Treizième Législature (Pouvoir comme Opposition) ont, dans un passé récent, voté une loi qui fait en sorte que, désormais, le député titulaire élu puisse bel et bien procéder à la suspension de son mandat à l’Assemblée nationale.
En d’autres termes, souligne le journal, le député suppléant est susceptible d’être bouté de l’Hémicycle et envoyé en chômage, dès que le titulaire cessera d’exercer ses fonctions de ministre.
Le soudeur métallique M.Hanne est un multirécidiviste. Condamné à deux reprises pour vol, le bonhomme ne veut pas changer de comportement. Habitant à Pikine Benne Tally, M. Hanne a été surpris dans une maison en train de dérober des rouleaux de fils électriques et des […]
Non classé
Le soudeur métallique M.Hanne est un multirécidiviste. Condamné à deux reprises pour vol, le bonhomme ne veut pas changer de comportement. Habitant à Pikine Benne Tally, M. Hanne a été surpris dans une maison en train de dérober des rouleaux de fils électriques et des cartons de carreaux. Pourtant, il avait à plusieurs reprises réussi à voler du matériel dans ce site d’une société de la place. D’ailleurs la propriétaire,
A. Sall, avait déjà déposé une plainte à la Dic. Son modus operandi sera découvert par le vigile de la société qui a mis fin aux agissements de M. Hanne. Il est conduit à la Dic où il reconnaît sans ambages les faits. Il brade les fils électriques au marché Alizé et les carreaux à Grand Dakar. Le mis en cause est placé en garde à vue. Il sera déféré au parquet pour vol avec effraction commis la nuit et recel.
« SI MACKY SALL A CETTE TENTATION DU 3EME MANDAT ET VEUT PASSER PAR L’ÉTAPE DE WADE LES SÉNÉGALAIS VONT REFAIRE LA MÊME CHOSE L’ancien journaliste Yoro Dia et membre du nouveau gouvernement en tant que ministre, coordonnateur de la communication de la Présidence de […]
Non classéL’ancien journaliste Yoro Dia et membre du nouveau gouvernement en tant que ministre, coordonnateur de la communication de la Présidence de la République du Sénégal va-t-il toujours défendre ses principes et maintenir ses déclarations sur le 3eme mandat ?
D’après Yoro Dia, la Constitution est clair et souligne que nul ne peut avoir plus de deux mandats consécutifs. Donc si Macky Sall est un entre humain il ne peut pas avoir plus de deux mandats consécutifs. Pour étayer ses propos, le journaliste renseigne qu’un pays doit avoir une histoire politique. Celle du Sénégal de 2012, a montré que les sénégalais ont de la dignité et le sens de la responsabilité parce que quand Abdoulaye Wade a voulu faire un forcing, la manière dont les sénégalais ont réglé la question est une jurisprudence. « Si Macky Sall a cette tentation et veut passer par cette étape les sénégalais vont refaire la même chose », dit-il.
En effet, l’analyste politique et actuel collaborateur du Président Macky Sall qui a soutenu sa thèse de Doctorat en science politique samedi dernier à l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar avait déclaré dans sa chronique intitulée : « Le 3e mandat : un pari pascalien à l’envers » que « le Sénégal a réglé la question du 3ème mandat en congédiant démocratiquement Wade (Me Abdoulaye Wade, ndlr) après son forcing légal, parce que dans notre pays, l’élection est un mécanisme de remise en jeu du pouvoir. On ne peut pas dire la même chose de la Guinée de Alpha Condé qui, contrairement au Sénégal, n’est pas encore détribalisée ou des-ethnicisée.
Alpha Condé a toujours déclaré que modifier la Constitution pour un 3e mandat équivaudrait à trahir ses principes et les combats pour lesquels il s’est battu toute sa vie. On ne peut que constater qu’entre les délices du pouvoir et les principes qu’il a toujours défendus, son choix est fait. En voulant faire du forcing, le Pr Condé mène un combat anachronique qui l’enferme dans un pari pascalien à l’envers : à tous les coups il va perdre.
Après avoir perdu, il pourra, en écrivant ses mémoires, lire tranquillement Montesquieu qui, de façon fort sage, nous dit : «Le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument.»
Le successeur du ministre Seydou Gueye estime que dans certains pays africains l’élection est un mécanisme de relégitimation du pouvoir en place. Car dans la plupart des pays africains, on croit qu’on n’organise pas des élections pour les perdre, ce qui fait que les élections deviennent une simple formalité.
Il ajoute : « En Afrique ou l’Asie, la souveraineté du Peuple est une fiction juridique derrière laquelle avance masquée la souveraineté d’un homme qui instrumentalise la Constitution selon ses intérêts du moment. Ce simple argument sur la sincérité des élections fit effondrer comme un château de cartes l’édifice théorique de Monsieur le ministre ».
À l’heure où le télétravail devient la norme en Belgique, pour les fonctions compatibles, il convient de préciser quelques règles d’usage à respecter avec son PC professionnel, rappelle le site spécialisé Glassdoor. 1) Ne sauvegardez pas vos mots de passe personnels Il n’est pas simple de […]
Non classéÀ l’heure où le télétravail devient la norme en Belgique, pour les fonctions compatibles, il convient de préciser quelques règles d’usage à respecter avec son PC professionnel, rappelle le site spécialisé Glassdoor.
Il n’est pas simple de retenir par cœur tous ses mots de passe. Différentes stratégies s’opèrent donc: soit on utilise toujours le même, et c’est risqué, soit on en utilise plusieurs mais on les sauvegarde automatiquement par facilité: erreur! En effet, l’employeur peut se réserver un droit de regard et de contrôle sur les ordinateurs de l’entreprise et sur les activités de l’employé pour protéger ses intérêts: e-mails, messageries instantanées professionnelles, etc.
De plus en plus d’entreprises belges et françaises ont recours à des services de messageries instantanées internes pour garantir la communication entre collègues. La tentation est grande, cependant, d’utiliser ces également outils pour bavarder en “MP”. Attention, toutefois: il faut savoir que la plupart de ces logiciels professionnels stockent l’intégralité de vos échanges, publics ou privés. Bref, prenez garde à ce que dites ou… allez discuter sur d’autres plateformes.
Même s’il est impossible, en cette période de reconfinement, d’aller travailler dans un café ou un espace public, il n’est pas inutile de rappeler cette règle: les réseaux publics sont généralement peu protégés et il convient donc d’éviter certaines opérations comme des virements bancaires ou d’autres tâches “secret défense”.
C’est si simple de créer un petit dossier sur le bureau de son PC pro et d’y déverser toute sa vie. Or, ce stockage de données personnelles peut s’avérer délicat dans plusieurs cas de figure: si vous êtes licencié du jour au lendemain ou si l’entreprise fait faillite, par exemple. En effet, vous n’aurez pas forcément le temps de sauvegarder ces données et vous ne saurez jamais ce que votre ex-employeur en fera.
De nombreux employés possèdent une seconde activité. Or, il est particulièrement risqué d’utiliser ses heures de bureau et son PC pro pour arrondir ses fins de mois. Comme mentionné plus haut, l’employeur conserve un droit de surveillance à distance et cette “trahison” pourrait vous coûter cher.
En outre, depuis que le télétravail connaît une croissance exponentielle, les employeurs adaptent leurs pratiques. Ils sont ainsi de plus en plus nombreux à recourir à des logiciels de surveillance à distance.
Plus de 150 dirigeants, dont Macky Sall, sont attendus à New York, cette semaine, dans le cadre de l’Assemblée générale des Nations-unies pour être au chevet d’un monde en crise ébranlé par la guerre en Ukraine, notamment. Un sommet sur l’éducation se tiendra d’abord lundi […]
Non classéPlus de 150 dirigeants, dont Macky Sall, sont attendus à New York, cette semaine, dans le cadre de l’Assemblée générale des Nations-unies pour être au chevet d’un monde en crise ébranlé par la guerre en Ukraine, notamment. Un sommet sur l’éducation se tiendra d’abord lundi et à partir de mardi, les chefs d’État et de gouvernement vont se succéder à la tribune de l’Onu.
Chaque année, les dignitaires du monde entier se réunissent au siège de l’ONU à New York, pour une Assemblée générale. Contrairement à la 75ème session qui s’est tenue virtuellement en 2020 et à la 76ème session qui s’est tenue, suivant un format hybride en 2021, eu égard à la pandémie du Covid-19, l’Assemblée générale de cette année se tient entièrement, en présentiel au siège des Nations Unies à New York.
Début Cde la session
L’Assemblée générale a commencé comme d’habitude, par un discours du président de l’Assemblée générale. La 77ème session de l’Assemblée générale des Nations-Unies a débuté le 13 septembre, et son nouveau président a exhorté les dirigeants mondiaux à travailler ensemble et à combler les « profondes divisions », afin de s’attaquer aux problèmes les plus urgents de l’humanité, tels que le conflit en Ukraine.
Bien que le monde soit actuellement incertain et qu’il connaisse des clivages géopolitiques croissants, Csaba Krösi, le nouveau président, a souligné devant les participants que les Nations-Unies ont été fondées sur les ruines de la guerre et de la dévastation dans l’intention d’être un « puits de solutions ». « Pour répondre aux défis les plus pressants de l’humanité, il faut collaborer, revigorer un multilatéralisme inclusif, en réseau et efficace, et se concentrer sur ce qui nous unit », a-t-il déclaré.
L’Ukraine comme point focal
M. Krösi a souligné que le conflit en Ukraine a été un « tournant » et que si le monde ne fait pas attention, la « méthode » de guerre résultant de l’invasion russe pourrait faire partie de la « boîte à outils de la vie internationale ». « Ce conflit doit prendre fin. Il a affirmé qu’il « tue des individus, il tue le développement, il tue la nature, et il tue des millions de rêves ». Le risque d’utiliser des armes nucléaires est maintenant plus grand qu’il ne l’a été au cours des 40 dernières années, a ajouté le nouveau président. « Cette réalité inquiétante nous oblige tous à travailler ensemble sur la question du désarmement », a-t-il déclaré.
La promesse de changement dans les efforts environnementaux
En outre, M. Krösi a lancé un avertissement : à mesure que la planète se réchauffe et que ses ressources naturelles se raréfient, les conflits vont s’aggraver. « La crise de l’eau sera probablement notre plus grande menace. Récemment, des températures record, des incendies violents et des inondations dévastatrices ont été enregistrés. « Il semble que Mère Nature réagisse », a-t-il déclaré, soulignant que « les affaires courantes » reprendront après le Covid-19 et que « ce n’est pas une option ».
Le diplomate hongrois a également noté que, bien qu’elle soit « plus facile à gérer », la pandémie, ainsi que l’insécurité alimentaire grave, la montée en flèche des prix de l’énergie, l’inflation record et les perturbations de la chaîne d’approvisionnement mondiale, continuent de faire des ravages dans le monde entier.
« La vieille routine ne reviendra pas. La seule façon d’obtenir de meilleurs résultats est de changer. Nous connaissons déjà les formes générales de la transformation dont nous avons besoin. Le cadre de Sendai, l’accord de Paris, notre programme commun et l’agenda 2030 pour le développement durable nous poussent tous dans la bonne direction. La question de savoir si nous allons tenir nos promesses reste ouverte », a-t-il déclaré.
Mettre l’accent sur les nouvelles avancées scientifiques
Le nouveau président de l’Assemblée générale a déclaré que son mandat serait axé sur « les solutions par la solidarité, la durabilité et la science », soulignant l’importance de la science dans le processus décisionnel de l’organe des Nations Unies. « Je m’efforcerai de promouvoir des progrès mesurables dans la transformation de la durabilité – et de favoriser la solidarité nécessaire pour réaliser des percées ou éviter de futures catastrophes ». Faire simplement le point sur les objectifs de développement durable est insuffisant. « Nous avons besoin de plus de science de notre côté si nous voulons atteindre les objectifs d’ici 2030 », a-t-il déclaré.
En outre, M. Krösi a promis de collaborer activement avec des membres du secteur commercial, des universités, des organisations de la société civile, des chercheurs et des praticiens afin de proposer des solutions fondées sur la réalité, les faits et la science.
En ce qui concerne la récente résolution historique visant à créer un Bureau de la jeunesse des Nations Unies, il a déclaré : « Nous devons tendre activement la main aux jeunes, en les faisant participer à ce que nous faisons, afin que, lorsqu’ils seront assis dans ces sièges, ils puissent proposer des plans et des idées plus ambitieux que les nôtres. Il a poursuivi : « Nous devons également faire participer activement les jeunes à ce que nous faisons afin que, lorsqu’ils s’assiéront dans ces fauteuils, ils puissent proposer de meilleurs plans et de meilleures idées », notant la récente résolution historique visant à créer un Bureau de la jeunesse des Nations unies.
Le deuxième orateur de la session de l’Assemblée générale d’aujourd’hui était le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres. Il a félicité M. Krösi et a souligné que, malheureusement, les problèmes qui ont caractérisé la 76ème session demeurent. Il a exhorté à l’unité pour montrer la grande promesse et le potentiel de l’ONU, en disant : « Nous faisons face à un monde en péril à travers notre travail pour faire avancer la paix, les droits de l’homme et le développement durable ».
Les éléments de la Division Nationale de la Lutte contre le Trafic de Migrants et pratiques assimilées (DNLT) de la Police nationale ont encore frappé fort. Ils ont démantelé un réseau international de trafic de migrants qui sévit entre la République Démocratique du Congo, le […]
Non classéLes éléments de la Division Nationale de la Lutte contre le Trafic de Migrants et pratiques assimilées (DNLT) de la Police nationale ont encore frappé fort. Ils ont démantelé un réseau international de trafic de migrants qui sévit entre la République Démocratique du Congo, le Sénégal, le Maroc et la France. Cette semaine déjà, dix d’entre eux, dont deux femmes, ont été interpellés puis déférés au Parquet, selon Seneweb.
Les activités du groupe consistaient à transporter des migrants par voie aérienne du Congo en France, en passant par le Sénégal et le Maroc sur la base de faux sauf-conduits portant l’entête de l’Ambassade démocratique du Congo à Dakar. C’est ainsi que les éléments du Commissaire Faye ont mis fin aux agissements de ce réseau en interpellant deux congolaises de la RDC à l’Aéroport International Blaise Diagne, qui avaient par devers elles des sauf-conduits contrefaits .
Interrogées dans un premier temps, elles ont tenté de faire croire aux enquêteurs qu’elles devaient retourner chez elles en RDC. Mais pressées de questions, elles ont fini par craquer, révélant qu’effectivement elles devaient rallier le royaume chérifien (Maroc) pour se faire délivrer des documents et continuer leur périple. Destination la France ! Selon leurs dires, elles ont été conduites au Sénégal par un compatriote qui est basé en France et qui a un représentant ici au Sénégal et au Maroc.
Dans le cadre de l’enquête, il a été découvert que 08 autres congolais de Kinshasa sont également basés au Sénégal plus précisément à Ouest-Foire, où ils occupent un appartement dans l’attente d’être envoyés en France via le Maroc. Certains avaient par devers eux des documents sénégalais de voyage, des certificats d’hébergement qui leur ont permis d’avoir des visas et foulé le sol sénégalais, entre autres. Les sources de nos confrères révèlent toujours que ces visas sont, même, arrivés à expiration depuis plusieurs mois
Selon les investigations préliminaires, ces faussaires quittaient le Sénégal avec des faux documents soit avec des passeports guinéens sur la base de la ressemblance ou avec de faux sauf-conduits. Les 10 interpellés ont été déférés au Parquet. Ils sont poursuivis pour association de malfaiteurs, trafic de migrants, complicité de faux, usage de faux, séjour irrégulier sur le territoire national et vagabondage.
Les organisateurs de ce réseau sont activement recherchés. D’ailleurs les dernières informations reçues révèlent que l’un des trafiquants et leur représentant au Sénégal ont été déjà localisés. Leur interpellation ne va pas tarder. Pour les autres trafiquants qui sont hors du Sénégal, l’on signale que les Bureaux centraux nationaux Interpol (BCN) seront saisis pour leur mise en demeure.