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À La Une médiaElle ne perd pas de temps. Anta Babacar Ngom Diack, députée de la 15? législature installée le lundi 2 décembre dernier, a adressé une série de questions écrites au ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, Alioune Sall.
Dans sa correspondance, la parlementaire s’appuie sur les dispositions du Règlement intérieur de l’Assemblée nationale pour solliciter des éclaircissements sur la publication récente de la liste des organes de presse dits « conformes » à la réglementation en vigueur.
La députée précise que cette démarche intervient dans un contexte où cette publication suscite « de nombreuses interrogations, tant parmi les acteurs du secteur que dans l’opinion publique ». Elle révèle avoir été interpellée par des professionnels des médias et exprime son souhait d’obtenir « des réponses claires, précises et documentées afin d’éclairer ces préoccupations légitimes ».
La première question posée par Anta Babacar Ngom Diack porte sur les bases légales qui définissent la conformité des organes de presse. Elle demande : « Quels sont les critères spécifiques définis par la législation sénégalaise ou les régulations sectorielles pour déterminer la conformité des organes de presse ? Ces critères ont-ils été validés par les instances compétentes en matière de régulation des médias ? ».
Sur le plan de la transparence, elle interroge les mécanismes garantissant l’impartialité du processus. « Quels mécanismes précis sont en place pour garantir l’impartialité et la transparence dans le processus de sélection des organes de presse dits conformes, en particulier pour ceux éligibles aux partenariats avec les institutions publiques ou aux appuis financiers de l’État ? ».
La députée questionne également la méthode employée pour élaborer la plateforme d’enregistrement des organes de presse. Elle souhaite savoir si cette dernière a été conçue en concertation avec des acteurs clés, notamment le Conseil des Diffuseurs et Éditeurs de Presse du Sénégal (CDEPS).
Par ailleurs, elle s’intéresse au sort des organes jugés non conformes et demande : « Quelles mesures ont été mises en place pour accompagner les organes de presse considérés comme non conformes afin de leur permettre de régulariser leur situation ? Existe-t-il un mécanisme d’appel ou de recours pour ces derniers, et, le cas échéant, quelles en sont les modalités ? ».
Un autre aspect central des préoccupations soulevées concerne la compatibilité des critères appliqués avec la Constitution. « Les critères de conformité appliqués respectent-ils pleinement les dispositions constitutionnelles du Sénégal, notamment en matière de liberté d’opinion, de droit à l’information et de pluralisme des médias ? », interroge-t-elle.
Anta Babacar Ngom Diack s’intéresse également à l’impact global de la réforme sur le paysage médiatique. Elle questionne : « Quel est l’impact attendu de cette réforme sur l’écosystème médiatique national, en particulier sur les médias émergents et les radios communautaires, souvent confrontés à des contraintes financières et organisationnelles ? ».
Enfin, la députée cherche à comprendre les dispositifs prévus pour assurer une mise en œuvre efficace des mesures annoncées. « Quels mécanismes de suivi sont prévus pour s’assurer de la mise en œuvre effective et équitable de ces mesures ? Des évaluations périodiques sont-elles planifiées, et si oui, à quelle fréquence ? », demande-t-elle.
M. D. B, une fille de 34 ans s’était attachée de P. P., âgé de 69 ans, originaire d’un pays d’Europe. La fille a vécu durant trois mois avec P. P. Elle voyait déjà sa vie en rose aux côtés de son amour qui lui […]
ACTUALITE SOCIETEM. D. B, une fille de 34 ans s’était attachée de P. P., âgé de 69 ans, originaire d’un pays d’Europe. La fille a vécu durant trois mois avec P. P.
Elle voyait déjà sa vie en rose aux côtés de son amour qui lui avait promis le mariage.
Malheureusement, le conte de fée s’est transformé en cauchemar. Elle s’est retrouvée à la prison de Mbour pour les délits de dommage à la propriété d’autrui.
Elle aurait détruit des biens immobiliers de son amant, qui après avoir rompu la relation lui a demandé de quitter sa maison.
En effet la fille ne s’entend pas bien avec le jardinier, ce qui a fini par détériorer sa relation avec son amant.
Le chauffeur qui officie en même temps comme jardinier travaille depuis trois ans chez l’Européen.
Pour tenter de sortir le jardinier de la maison, l’amante va informer les gendarmes de la culture de chanvre indien dans le jardin de son amant.
M. D. B. accuse le jardinier S. R. F. comme étant la personne qui cultive le chanvre indien dans un pot du jardin.
Ils ont été arrêtés et jugés au tribunal de Grande Instance de Mbour pour détention et usage de chanvre indien et violences et voies de fait et dommage à la propriété d’autrui.
Elle soutient qu’un soir alors qu’elle se trouvait seule dans la maison de son amant, un groupe d’individus est venu pour entrer en effraction dans la maison. Les malfrats auraient défoncé la porte de la maison.
La fille a affirmé devant le juge s’être cachée pour se sauver. Pis, elle soupçonne que les malfrats auraient été envoyés par son amant pour l’apeurer parce que son compagnon qui ne s’entendait plus avec elle lui avait demandé de quitter sa résidence. Mais l’amant accuse sa copine d’avoir causé des dommages à sa propriété.
Sermonnée par les juges qui lui demandent de garder sa dignité et qu’elle devait partir de la maison où sa présence n’était plus souhaitée, elle se met à pleurer. Elle dit ne pas comprendre que son amant puisse protéger et préférer son chauffeur qu’à elle.
A la barre du tribunal, elle explique avoir vendu toutes ses affaires quand elle rejoignait la maison de son amant qui lui avait promis le mariage. Vu qu’elle a perdu sa caution, ses bagages, elle a dit à son amant qui est devenu son ennemi, qu’elle ne comptait pas quitter la maison les mains vides. Le septuagénaire devait lui rembourser d’abord son argent.
Pour Me Étienne, qui défendait les intérêts du chauffeur : « la question du chanvre est savamment préparée par qui je ne sais pas ».
Le délibéré est fixé au 10 décembre prochain.
Ancien sélectionneur de l’équipe nationale de lutte, il a profondément marqué l’histoire de ce sport emblématique du Sénégal. Grâce à son expertise et son engagement, Ambroise Sarr a joué un rôle central dans l’évolution et la reconnaissance de la lutte sénégalaise au-delà des frontières, insufflant […]
ACTUALITE necrologieAncien sélectionneur de l’équipe nationale de lutte, il a profondément marqué l’histoire de ce sport emblématique du Sénégal. Grâce à son expertise et son engagement, Ambroise Sarr a joué un rôle central dans l’évolution et la reconnaissance de la lutte sénégalaise au-delà des frontières, insufflant à ses élèves les valeurs fondamentales de discipline, de courage et d’humilité.
Sous sa direction, l’équipe nationale a remporté de nombreuses distinctions, consolidant la place incontournable de ce sport dans la culture sénégalaise. Véritable mentor, il a encadré plusieurs générations de lutteurs, laissant une empreinte indélébile dans le milieu sportif.
Sa disparition constitue une immense perte pour le Sénégal, où il était unanimement respecté pour son dévouement et son rôle inestimable dans le rayonnement de la lutte.
En ces moments de deuil, nous adressons nos plus sincères condoléances à sa famille, à ses proches et à toute la communauté de la lutte sénégalaise. Que son héritage continue d’inspirer les générations futures.
Samuel Sarr compte saisir le Tribunal de commerce. L’ancien ministre de l’Énergie entend ainsi contester la nomination de Abdou Karim Diop comme directeur général par intérim de West african energy (Wae). Ce dernier a été désigné ce weekend, d’après plusieurs médias, pour remplacer le plaignant […]
ACTUALITE justiceSamuel Sarr compte saisir le Tribunal de commerce. L’ancien ministre de l’Énergie entend ainsi contester la nomination de Abdou Karim Diop comme directeur général par intérim de West african energy (Wae).
Ce dernier a été désigné ce weekend, d’après plusieurs médias, pour remplacer le plaignant après son placement sous mandat de dépôt pour abus de biens sociaux portant sur 8 milliards de francs Cfa au préjudice, d’après l’accusation, de Wae.
«Selon Samuel Sarr, Moustapha Ndiaye n’a pas la compétence de convoquer le Conseil d’administration (Ca) [de Wae]. Car, seul un administrateur comme la Senelec peut convoquer le Ca et non un simple actionnaire», rapporte L’Observateur, qui donne l’information dans son édition de ce mercredi.
L’ancien ministre affirme que ce dernier a été remplacé au poste de Pca du projet, depuis février dernier, par le directeur général de la Senelec, Papa Mademba Bitèye, l’ancien, puis Pape Toby Gaye, son successeur.
C’est la deuxième fois que Moustapha Ndiaye désigne Abdou Karim Diop DG par intérim de Wae. La première fois, c’était en juin 2024; la décision a été contestée et l’affaire est pendante au niveau du Tribunal de commerce, renseigne dans L’Observateur Me Baboucar Cissé, un des avocats de Samuel Sarr. «Il [Moustapha Ndiaye] revient avec le même procédé […] que nous allons aussi attaquer», annonce la robe noire.
En conseil des ministres ce mardi 3 décembre, le Premier ministre, Ousmane Sonko, a évoqué la tenue de sa Déclaration de Politique Générale (Dpg) qui, selon lui, devra se tenir dans les plus brefs délais. Il a demandé au ministre, Secrétaire général du Gouvernement, de […]
À La Une POLITIQUEEn conseil des ministres ce mardi 3 décembre, le Premier ministre, Ousmane Sonko, a évoqué la tenue de sa Déclaration de Politique Générale (Dpg) qui, selon lui, devra se tenir dans les plus brefs délais.
Il a demandé au ministre, Secrétaire général du Gouvernement, de coordonner les travaux de finalisation de sa » Déclaration de Politique générale qu’il compte effectuer dans les plus brefs délais » devant la nouvelle Assemblée nationale.
Par ailleurs, M.Sonko a exhorté les ministres à engager l’année budgétaire 2025, en accordant une priorité aux dossiers les plus urgents. À cet effet, chaque ministère est instruit d’élaborer un plan d’actions pour le premier semestre 2025.
Dans ce sillage, le Pm a rappelé aux membres du gouvernement l’importance à accorder une parfaite planification des grandes échéances du programme de travail de leurs départements ministériels respectifs. Il a également demandé à faire l’évaluation des ressources humaines disponibles comparativement aux cibles de performances de leurs ministères.
Il a ainsi rappelé les ministres et secrétaires d’Etat à prendre en charge les « défis immenses attachés à la mise en œuvre de l’Agenda 2050 de transformation systémique du Sénégal ».
« Tout le monde aura remarqué que Le Quotidien, ce journal de référence ne fait plus partie des médias reconnus au Sénégal par le régime Pastef. Le ridicule est poussé aussi loin, pour réserver le même sort à D Media et la 7 TV. Nous refusons […]
ACTUALITE média« Tout le monde aura remarqué que Le Quotidien, ce journal de référence ne fait plus partie des médias reconnus au Sénégal par le régime Pastef. Le ridicule est poussé aussi loin, pour réserver le même sort à D Media et la 7 TV. Nous refusons d’accepter une telle décision illégale », a-t-il écrit.
« Ma sympathie et mon soutien à tous les acteurs des médias qui font les frais de l’arbitraire du gouvernement de Ousmane Sonko. Nous ne militons que pour l’ordre et la concorde, mais face à votre arbitraire, nous combattrons », a ajouté le journaliste.
Une réaction partagée par le patron du CDEPS, Mamadou Ibra Kane qui, dans une conférence de presse, s’est dit « scandalisé » par les déclarations du ministre de la communication et par la publication de la liste.
Ce mardi, le ministre de la Communication, Alioune Sall, a publié la liste des médias qui respectent le code de la presse et qui sont, par conséquent, reconnus par l’Etat. Il s’agit de 112 médias sur les 535 recensés par le gouvernement, dont 54 presses […]
ACTUALITE médiaCe mardi, le ministre de la Communication, Alioune Sall, a publié la liste des médias qui respectent le code de la presse et qui sont, par conséquent, reconnus par l’Etat. Il s’agit de 112 médias sur les 535 recensés par le gouvernement, dont 54 presses en ligne, 10 télévisions, 14 journaux, 14 chaînes de radio, 11 chaînes de radio communautaire et 6 Web TV.
Selon le ministre, la liste est provisoire, et les médias non reconnus ont 72h pour se régulariser et se conformer au code de la presse. Si, après ce délai, ils ne le sont toujours pas, ils ne recevront plus d’aides ni de marchés publics.
Voici la liste des médias reconnus par l’Etat
Un détournement de 30 millions de francs CFA est reproché au chef de l’agence Lamine Guèye de la Banque nationale de développement économique (BNDE) ainsi qu’à ses complices. Selon Libération de ce vendredi, le chef de l’agence est poursuivi « pour accès frauduleux à un système électronique, faux […]
ACTUALITE SOCIETEUn détournement de 30 millions de francs CFA est reproché au chef de l’agence Lamine Guèye de la Banque nationale de développement économique (BNDE) ainsi qu’à ses complices.
Selon Libération de ce vendredi, le chef de l’agence est poursuivi « pour accès frauduleux à un système électronique, faux et usage de faux, et détournement de fonds. Il a été arrêté et déféré au parquet. »
La même source précise que, « grâce à un système frauduleux », l’accusé effectuait des virements irréguliers qu’il récupérait par la suite sous forme de fonds détournés.
Le président Bassirou Diomaye Faye a annoncé un remaniement ministériel en réponse à la publication des résultats officiels des législatives, où le parti au pouvoir a obtenu 130 sièges. Cette décision coïncide avec l’installation de la nouvelle Assemblée nationale, présidée depuis le 2 décembre par […]
À La Une POLITIQUELe président Bassirou Diomaye Faye a annoncé un remaniement ministériel en réponse à la publication des résultats officiels des législatives, où le parti au pouvoir a obtenu 130 sièges. Cette décision coïncide avec l’installation de la nouvelle Assemblée nationale, présidée depuis le 2 décembre par Malick Ndiaye.
Depuis le palais présidentiel, le Premier ministre Ousmane Sonko a confirmé ce mardi 3 décembre 2024 que le remaniement n’affectera pas le nombre de ministres, mais introduira des ajustements stratégiques. Il a présenté le nouveau gouvernement comme étant axé sur des « solutions, des réalisations et des résultats ».
Un décret signé par le président précise les principaux changements. Malick Ndiaye, élu président de l’Assemblée nationale, et Yankhoba Dième, ministre du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les institutions, quittent leurs postes respectifs. Désormais, Yankhoba Dième prend en charge le ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens, précédemment dirigé par Malick Ndiaye. Abass Fall, pour sa part, est nommé ministre du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les institutions.
Modifications ministérielles : le Premier ministre Ousmane Sonko qualifie ces ajustements de « petits remaniements ». Par ailleurs, il a annoncé la tenue exceptionnelle du Conseil des ministres ce mardi, en raison d’un déplacement officiel du Chef de l’État à l’étranger prévu mercredi.
La présidence de l’Assemblée nationale semblait se jouer entre El Malick Ndiaye (Pastef), actuel ministre des Infrastructures et des Transports, et Ayib Daffé (Pastef). Finalement, selon les dernières informations, Ayib Daffé sera investi président de l’institution. El Malick Ndiaye, bien qu’initialement pressenti, a opté pour […]
ACTUALITE POLITIQUELa présidence de l’Assemblée nationale semblait se jouer entre El Malick Ndiaye (Pastef), actuel ministre des Infrastructures et des Transports, et Ayib Daffé (Pastef). Finalement, selon les dernières informations, Ayib Daffé sera investi président de l’institution. El Malick Ndiaye, bien qu’initialement pressenti, a opté pour rester au gouvernement et devrait démissionner de son mandat de député.
Le Premier ministre Ousmane Sonko, tête de liste nationale du Pastef lors des législatives anticipées du 17 novembre, adopte une démarche similaire. Il ne siègera pas à l’Assemblée nationale, préférant demeurer dans l’exécutif auprès du président Bassirou Diomaye Faye. Ce lundi 2 décembre, jour de rentrée parlementaire, il est attendu à l’hémicycle pour officialiser sa démission.
Le Pastef, fort de ses 130 sièges obtenus lors du scrutin, prend les rênes de l’Assemblée, consolidant son rôle dominant sur l’échiquier politique.
La coalition Takku Wallu Sénégal a, quant à elle, désigné Aïssata Tall Sall comme présidente de son groupe parlementaire, avec Djimo Souaré comme vice-président. Farba Ngom occupera la fonction de 7e ou 8e vice-président de l’Assemblée nationale, tandis qu’Abdou Karim Sall, ancien directeur général de l’ARTP, présidera une commission parlementaire clé.