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L’ancienne protectrice d’Adji Sarr s’est montrée devant la Kaaba. Gabrielle Kane affirme qu’elle ne répondra plus à ses détracteurs.

La militante féministe et présidente de l’Association d’appui et de protection des femmes victimes de violations de leurs droits (APROFEV) a, selon ses dires, pardonné à tout le monde. Pourtant, des rumeurs circulaient dans une partie de la presse concernant une interdiction de quitter le territoire national. Cependant, Gabrielle Kane a pu se rendre librement à La Mecque pour accomplir son pèlerinage.

La route continue de faire des victimes. Un accident de la circulation s’est produit ce lundi tôt le matin à hauteur du village de Makabra Guèye, situé dans le département de Louga (nord-ouest). Selon la TFM (Télé Futurs Médias) qui donne l’information, l’accident a causé la mort d’une personne et fait 25 blessés dont 11 dans un état grave.

A l’origine de l’incident, une collision entre un bus qui revenait de Mpal ( nord, commune de Saint-Louis) et un véhicule de type 406. Ce dernier a été percuté par le bus entrainant plusieurs victimes. Les deux véhicules ont fini leur course dans un camion stationné au bord de la route.

Le corps sans vie ainsi que les blessés ont été évacués à l’hôpital régional Amadou Sakhir Mbaye de Louga.

Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes exactes de cet accident.

Au cours d’un match de football, opposant son équipe à une autre équipe d’un des villages de la commune de Sagatta, il n’a pas hésité à planter un coup de couteau à la figure de l’arbitre qui a sifflé un coup-franc contre son équipe.

Les acteurs du milieu sportif de la localité de Loro, dans la commune de Sagatta, ont assisté le week-end passé à un fait inédit qui a failli virer au drame. Ces amateurs du ballon rond qui suivaient tranquillement dans le stade de la zone, un match de football opposant deux équipes des villages de la commune de Sagatta, ont été surpris de la tournure qu’a prise la rencontre sportive.

Selon les informations de L’OBS, un supporter d’une des deux équipes en compétition n’a pas hésité à donner un coup de couteau à l’arbitre du jeu. Sous prétexte que celui-ci a sifflé un coup-franc en défaveur de son équipe. Le week-end passé, au moment où un des matchs de football des Navétanes, organisés au stade de Loro par les acteurs chargés des activités sportives, bat son plein, l’arbitre M. Sylla siffle un coup-franc contre l’une des équipes en jeu.

Ce, après avoir, dit-il, constaté que l’un des joueurs de cette équipe a commis une faute sur son adversaire. Une attitude du maître du jeu qui ne semble point être du goût de M. Mbaye, un des fervents supporters de l’équipe sanctionnée par l’arbitre. Seulement, contrairement aux autres supporters qui, même s’ils ruminent leur colère tout en restant à leur place pour suivre le reste de la rencontre sportive, M. Mbaye n’a pas voulu avaler la pilule amère.

Muni de son dossier médical, Sylla va déposer une plainte contre son bourreau à la Brigade de gendarmerie de Sagatta. Convoqué par les forces de l’ordre, le supporter et marchand ambulant M. Mbaye fait face aux enquêteurs. Revenant sur les détails de l’agression de l’arbitre, le mis en cause avoue toutes les accusations portées sur sa personne. Cependant, justifiant son acte, il révèle aux pandores-enquêteurs qu’il n’a pas du tout apprécié le coup-franc sifflé par l’arbitre en faveur de l’équipe adverse pour sanctionner son équipe.

Ainsi pour manifester sa colère contre le maître du jeu qu’il accuse de rouler pour l’équipe adverse, M. Mbaye dit avoir fait usage de son arme. Ce, dit-il, pour corriger à son tour l’arbitre. Au terme de sa durée légale de garde à vue, il a été déféré au parquet de Louga pour coups et blessures volontaires.

Le drame s’est produit sur l’espace public aménagée par la commune au quartier Farba à Yeumbeul Sud.

Le jeune Ahmadou Bamba Ndiaye, jeune peintre est mort électrocuté. Il jouait au football avec ses amis sur le terrain de basket, avant d’être électrocuté par un fil relié au poste de courant laissé ouvert.

Agé de 21 ans, la victime originaire de Touba, a perdu la vie après avoir été électrocuté par un fil de poteau électrique relié au poste de courant non couvert et abandonné sur la place publique du quartier Farba.

Il faisait 14H, quand le jeune Ahmadou Bamba Ndiaye qui jouait aux « petits camps » avec ses amis sur le terrain de basket éclairé la nuit par un lampadaire fixé au poteau de courant, est rejeté, en le touchant légèrement, loin sur le sol pavé, relate L’OBS.

Ses camarades de jeux qui ont accouru pour le sauver, ont vite été déconcertés par l’odeur du courant électrique et ont crié au secours. En attente des sapeurs-pompiers retardés, les populations riveraines ont vite organisé le transport de la jeune victime au poste de santé, à quelques mètres de la commune où la décision est prise pour une meilleure prise en charge, de le transférer à l’hôpital de Pikine.

Certains témoignent même avoir à maintes reprises alerté la Senelec et la mairie sur des épisodes d’électrocution ratés de justesse de personnes qui se sont approchées des poteaux électriques. Ils témoignent que des jeunes de la commune branchent le fil électrique sur le compteur pour jouer au basket la nuit, avant de le laisser ballant en partant tôt le matin.

Interpellés sur la situation, la Senelec et les services de la mairie dirigés par Bara Gaye se renvoient la balle.

Un ouvrier décède dans des conditions tragiques. Le drame s’est produit à Sicap Mbao Extension, dans la banlieue de Dakar. La victime, âgée de 35 ans, est morte foudroyée par une puissante décharge électrique, rapporte Les Echos.

Le journal déroule le film du drame : « Chargé de peindre une maison dans la localité, le jeune homme installe un dispositif avec son équipe à l’extérieur. Il monte sur l’échafaud et commence à s’activer. Il s’affaire autour de quatre pans du mur de la concession, puis arrive à hauteur du balcon de la maison ; un endroit où un réfrigérateur est installé.[…]. » Il sera électrocuté alors qu’il tentait de déplacer l’appareil électroménager. Ses collègues s’empressent de fouiller la maison à la recherche de l’interrupteur pour couper l’électricité. Le peintre avait déjà rendu l’âme. Alertés, les sapeurs-pompiers ont déposé le corps à la morgue de l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff, ex-Cto,  pour les besoins de l’autopsie.