Placée sous mandat de dépôt le 28 août dernier pour les crimes d’associations de malfaiteurs, complicité d’assassinat avec barbarie, Nabou Léye a bénéficié, hier jeudi, d’une liberté provisoire. L’information a été confirmée à Seneweb par une source autorisée proche du dossier.La libération de la danseuse […]
ACTUALITE justiceÀ travers une forte mobilisation sillonnant tout le cayor, la caravane de Sàmm Sa Kàddu a été reçue par les populations de Thiès, de Tivaouane etc. Prenant la parole, Bougane Guèye Dany a appelé les habitants de cette contrée à sanctionner le Pastef. À l’en […]
ACTUALITE POLITIQUEUne première plainte, suivie d’une plainte complémentaire déposée par Me Bamba Cissé, avocat d’Ousmane Sonko, est à l’origine de cette affaire, révèle Libération qui donne l’information ce vendredi. La Sûreté urbaine (SU) de Dakar a contacté hier Madiambal Diagne pour lui signifier une convocation. Cependant, […]
À La Une justiceLe Haut Commandant du Port, Ibrahima Diaw, est sorti de sa réserve pour apporter des éclaircissements après le chavirement du bateau « Princesse Jessica », accosté au port de Dakar depuis quelque temps, qui a coulé avec trois personnes à bord. Ibrahima Diaw est revenu […]
ACTUALITE SOCIETELe Haut Commandant du Port, Ibrahima Diaw, est sorti de sa réserve pour apporter des éclaircissements après le chavirement du bateau « Princesse Jessica », accosté au port de Dakar depuis quelque temps, qui a coulé avec trois personnes à bord.
Ibrahima Diaw est revenu sur les véritables causes de l’incident qui a emporté la « Princesse Jessica ». Selon lui, l’incident a eu lieu dans la nuit du 15 au 16 octobre 2024.
Il a expliqué que le navire a été heurté par un autre cargo plus grand. De ce fait, la « Princesse Jessica », qui ne pouvait pas résister, a subi des voies d’eau (entrée d’eau imprévue dans le navire à la suite d’une ouverture dans la coque sous la ligne de flottaison, NdlR) et a coulé à quai.
Le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye effectue effectue une visite à Kédougou, ce vendredi et jeudi prochains. Il va constater de visu l’ampleur du débordement du fleuve Sénégal et les conséquences qui en ont découlées au détriment des populations riveraines.. «Je voudrais, avant tout propos, […]
À La Une SOCIETELe président Bassirou Diomaye Diakhar Faye effectue effectue une visite à Kédougou, ce vendredi et jeudi prochains. Il va constater de visu l’ampleur du débordement du fleuve Sénégal et les conséquences qui en ont découlées au détriment des populations riveraines..
«Je voudrais, avant tout propos, exprimer ma compassion et ma solidarité aux populations riveraines du fleuve Sénégal qui ont été durement frappées par les inondations dues aux crues du fleuve éponyme.
Mes chers compatriotes, je me rendrai dans la région de Kédougou pour apporter mon réconfort aux populations éplorées les 18 et 19 octobre 2024 », a-t-il annoncé.
Toutefois, le chef de l’État a indiqué que la ministre de la famille et des solidarités, accompagnée du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, sera également au chevet des populations qui ont été touchées par les inondations, renseigne iRadio.
Le département de Bakel, situé dans l’est du Sénégal, fait face à une situation dramatique liée aux crues du fleuve Sénégal. Un enfant de 7 ans a tragiquement perdu la vie en se noyant dans les eaux en crue, selon la RFM. Ce drame survient […]
ACTUALITE necrologieLe département de Bakel, situé dans l’est du Sénégal, fait face à une situation dramatique liée aux crues du fleuve Sénégal. Un enfant de 7 ans a tragiquement perdu la vie en se noyant dans les eaux en crue, selon la RFM.
Ce drame survient alors que la région est sous l’emprise d’inondations exacerbées par le débordement du fleuve, dont la cote d’alerte a été atteinte en août dernier. Ces crues sont aggravées par les lâchers d’eau du barrage de Manantali, intensifiant les risques d’inondations dans les zones avoisinantes comme Bakel. Les élus locaux, alarmés par la situation, ont appelé au déclenchement du plan ORSEC pour venir en aide aux populations sinistrées.
L’urgence est de trouver des solutions durables face à ces événements. Le gouvernement a également intensifié le suivi hydrologique dans les zones à risque pour prévenir de nouveaux drames. Ce mercredi, Ousmane Sonko a annoncé que le gouvernement va débloquer 8 milliards de FCFA pour assister les sinistrés.
Le département de Bakel, situé dans l’est du Sénégal, fait face à une situation dramatique liée aux crues du fleuve Sénégal. Un enfant de 7 ans a tragiquement perdu la vie en se noyant dans les eaux en crue, selon la RFM. Ce drame survient […]
ACTUALITE necrologieLe département de Bakel, situé dans l’est du Sénégal, fait face à une situation dramatique liée aux crues du fleuve Sénégal. Un enfant de 7 ans a tragiquement perdu la vie en se noyant dans les eaux en crue, selon la RFM.
Ce drame survient alors que la région est sous l’emprise d’inondations exacerbées par le débordement du fleuve, dont la cote d’alerte a été atteinte en août dernier. Ces crues sont aggravées par les lâchers d’eau du barrage de Manantali, intensifiant les risques d’inondations dans les zones avoisinantes comme Bakel. Les élus locaux, alarmés par la situation, ont appelé au déclenchement du plan ORSEC pour venir en aide aux populations sinistrées.
L’urgence est de trouver des solutions durables face à ces événements. Le gouvernement a également intensifié le suivi hydrologique dans les zones à risque pour prévenir de nouveaux drames. Ce mercredi, Ousmane Sonko a annoncé que le gouvernement va débloquer 8 milliards de FCFA pour assister les sinistrés.
Le Comité National de Gestion de la Lutte (CNG) a un nouveau président : Malick Ngom. Ancien arbitre, il succède à Bira Sène, dont le mandat a pris fin le 30 septembre 2024 après deux mandats marqués par de nombreuses réformes. Malick Ngom a été […]
ACTUALITE SPORTSLe Comité National de Gestion de la Lutte (CNG) a un nouveau président : Malick Ngom. Ancien arbitre, il succède à Bira Sène, dont le mandat a pris fin le 30 septembre 2024 après deux mandats marqués par de nombreuses réformes.
Malick Ngom a été désigné par l’Association des lutteurs en activité, dirigée par Ibrahima Dione, connu sous le nom de Gris Bordeaux, qui a exprimé le soutien unanime des lutteurs pour sa candidature, a confirmé le nouveau président du CNG à la rédaction de SeneNews. La nomination de Malick Ngom intervient dans un contexte de défis majeurs pour le CNG, notamment des tensions entre les lutteurs et les promoteurs concernant l’organisation des galas et les frais imposés par la structure. Gris Bordeaux a souligné que les promoteurs avaient subi des préjudices, étant souvent contraints de débourser des sommes élevées pour organiser des événements.
Le nouveau président aura la tâche de poursuivre les efforts de modernisation du CNG, comme l’a fait son prédécesseur, en ajustant notamment les coûts des licences pour les lutteurs et en établissant de nouvelles règles de sécurité pour les événements. Malick Ngom devra aussi faire face aux attentes croissantes des acteurs de la lutte sénégalaise, qui espèrent des changements significatifs dans la gestion de ce sport emblématique du pays.
Le nommé Madiap Sarr a été condamné à deux mois de prison ferme, ce mercredi 16 octobre. Ce jeune homme de 28 ans a été reconnu coupable d’abus de confiance par le tribunal des flagrants délits de Dakar. Sa peine est assortie du versement de […]
ACTUALITE SOCIETELe nommé Madiap Sarr a été condamné à deux mois de prison ferme, ce mercredi 16 octobre. Ce jeune homme de 28 ans a été reconnu coupable d’abus de confiance par le tribunal des flagrants délits de Dakar. Sa peine est assortie du versement de 4 millions de francs Cfa à la partie civile pour toutes causes et préjudices confondues.
Cofina était la plaignante. Madiap Sarr occupait le poste de chargé du recouvrement dans cette institution financière spécialisée dans la méso-finance. Sa mission était de collecter les fonds dus à l’entreprise et les verser dans ses caisses.
Lors d’un audit interne, un trou de 5 millions 225 mille francs Cfa apparaît dans les comptes. Devant les difficultés de Sarr à justifier l’anomalie, Cofina porte plainte contre lui pour abus de confiance. Il apparaîtra que le chargé du recouvrement a détourné le montant en cause pour jouer au Parifoot. Et malheureusement pour lui, il a tout perdu.
Devant le tribunal des flagrants délits, Madiap Sarr «a reconnu sans ambages les faits qui lui sont reprochés avant de faire son mea-culpa», rapporte L’Observateur, qui a assisté à l’audience. Le journal informe que la famille du mis en cause a déjà versé à la banque 2 millions 250 mille francs Cfa en guise de réparation partielle du préjudice. Elle devra trouver 4 millions supplémentaires pour permettre à Sarr de faire face à la sanction pécuniaire du tribunal qui, en sus, l’a envoyé en prison pour deux mois.
L’enquête autour de la tragédie survenue à Ngor, où une travailleuse de nuit a été retrouvée morte à moitié nue dans son appartement, connaît des avancées majeures. Selon des sources exclusives de Seneweb, trois suspects ont été arrêtés par les gendarmes de la brigade de […]
ACTUALITE SOCIETEL’enquête autour de la tragédie survenue à Ngor, où une travailleuse de nuit a été retrouvée morte à moitié nue dans son appartement, connaît des avancées majeures. Selon des sources exclusives de Seneweb, trois suspects ont été arrêtés par les gendarmes de la brigade de recherches de Faidherbe. Il s’agit de deux prostituées, D. Sow et M. Sy, ainsi que d’un client nommé A. Diop.
Les trois individus ont été placés en détention provisoire et font l’objet d’une enquête approfondie après avoir été longuement interrogés par les autorités. D’après le dossier de l’enquête, les deux jeunes femmes arrêtées étaient présentes avec leur collègue décédée, Nd. C. S., la nuit des faits.
Le client A. Diop est considéré comme le principal suspect dans cette affaire. Selon des informations obtenues, il aurait appelé la victime tard dans la nuit du mercredi, vers 3 heures du matin, et serait l’un des derniers à l’avoir vue vivante. L’enquête se concentre désormais sur la reconstitution des événements de cette nuit afin de déterminer les circonstances exactes du décès de la victime. Les autorités continuent de travailler sur l’affaire pour faire toute la lumière sur ce drame.
Les villages de la commune de Ballou, dans le département de Bakel, vivent une situation dramatique depuis près d’une semaine en raison des lâchers du barrage de Manantali. Le fleuve Sénégal, sortant de son lit, a inondé champs et habitations. Les habitants ont dû trouver […]
ACTUALITE SOCIETELes villages de la commune de Ballou, dans le département de Bakel, vivent une situation dramatique depuis près d’une semaine en raison des lâchers du barrage de Manantali. Le fleuve Sénégal, sortant de son lit, a inondé champs et habitations. Les habitants ont dû trouver refuge sur les terrasses ou sur les hauteurs du Diéri. Bien que des secours étatiques soient arrivés, la réponse est largement insuffisante par rapport aux besoins. Une solidarité locale, menée par les expatriés de la région, tente de compenser la lenteur de l’État.
Depuis six jours, plusieurs villages dont Aroundou, Yafera, Golmy et Balou sont sous les eaux, rendant les déplacements impossibles sans pirogue. « C’est vraiment difficile », confie Cheikhna Camara, maire de Balou. Le paysage est transformé en une scène apocalyptique, et les habitants, déplacés de force, attendent une intervention étatique décisive, notamment le déclenchement du Plan Orsec. Mamadou Diabe Cissokho, habitant d’Aroundou, alerte sur le risque de maladies dues aux conditions insalubres et à un manque criant de tentes pour s’abriter.
Les réseaux de communication sont coupés, exacerbant l’isolement. Les routes sont inaccessibles sans risques, et la rareté des ressources pousse les habitants à de longs trajets en pirogue et en voiture pour se procurer le nécessaire. L’eau potable manque cruellement, l’eau courante étant contaminée et malodorante, forçant les habitants à se rabattre sur des solutions improvisées et insuffisantes.
De plus, le courant électrique est coupé par mesure de sécurité, plongeant les villages dans l’obscurité. Le réseau téléphonique étant hors service, les habitants se retrouvent totalement déconnectés. Les besoins urgents incluent la mise en place d’hôpitaux mobiles, car les infrastructures sanitaires, comme à Yafera, sont inaccessibles.
La réponse de l’État est fortement critiquée. La lenteur de l’intervention, ressentie par les sinistrés, exacerbe leur frustration. Sohané Barry déplore l’absence de soutien et l’épuisement des ressources locales. Malgré la visite tardive du ministre de l’Intérieur, accompagnée d’une promesse d’aide, les ressentiments persistent face à une mobilisation jugée insuffisante.
Le passage de l’onde de crue continue de faire grimper le niveau des eaux, menaçant davantage de villages le long de son trajet. L’urgence humanitaire est manifeste alors que les sinistrés clament leur détresse face à l’ampleur du désastre et l’inefficacité des actions étatiques.
Dans le cadre de l’enquête sur les marchés de l’Onas, Thierno Alassane Sall et Cheikh Dieng ont été entendus par la Section de recherches de la gendarmerie de Colobane. Le premier est l’auteur de la plainte contre X qui a déclenché la procédure. Le second […]
À La Une justiceDans le cadre de l’enquête sur les marchés de l’Onas, Thierno Alassane Sall et Cheikh Dieng ont été entendus par la Section de recherches de la gendarmerie de Colobane. Le premier est l’auteur de la plainte contre X qui a déclenché la procédure. Le second était le directeur général de l’entreprise, limogé après l’éclatement des suspicions de corruption et de surfacturations sur le marché de curage des canaux à Dakar et dans les autres régions. Sall a confirmé sa plainte tandis que Dieng, reparti libre de la Section de recherches, a déclaré avoir apporté les preuves qu’il est blanc comme neige dans cette affaire.
Aussitôt après ces deux auditions, les regards se sont tournés vers Cheikh Tidiane Dièye, qui assure la tutelle de l’Onas en tant que ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement. Celui qui avait laissé entendre que le directeur de l’Onas limogé était coupable, notamment de choix douteux dans l’exécution du marché en question.
Cheikh Tidiane Dièye peut bel et bien être entendu. Il y a deux voies selon le juriste Ibrahima Ndiaye, interrogé par Source A : soit le Garde des Sceaux donne son aval soit son collègue démissionne. «Si le ministre de la Justice le veut, il donne autorisation au procureur de la République pour entendre Cheikh Tidiane Dièye», renseigne le spécialiste. Qui s’empresse d’ajouter que s’il doit être jugé, le ministre de l’Hydraulique est passible de la Haute Cour de justice.
Selon Ibrahima Ndiaye, Cheikh Tidiane Dièye peut «mettre tout le monde à l’aise» en démissionnant. «C’est comme ça que ça se passe dans des pays démocratiques, appuie le spécialiste de Source A. Quand vous êtes cité, à tort ou à raison, dans un scandale comme celui de l’Onas, vois allez voir le président de la République ou son Premier ministre pour leur dire : ‘le temps d’éclaircir cette situation, je voudrais être libéré de mes charges ministérielles’.»
Les travailleurs du Groupe Emedia Invest expriment leur plus vive indignation face à la situation préoccupante qu’ils subissent depuis plusieurs mois. En effet, cela fait maintenant 5 mois que « les braves hommes et femmes constants et dévoués à l’entreprise, sont confrontés à des retards […]
ACTUALITE médiaLes travailleurs du Groupe Emedia Invest expriment leur plus vive indignation face à la situation préoccupante qu’ils subissent depuis plusieurs mois. En effet, cela fait maintenant 5 mois que « les braves hommes et femmes constants et dévoués à l’entreprise, sont confrontés à des retards de paiement qui mettent en péril leur bien- être et celui de leurs familles ».
Selon le communiqué du Synpics de ce groupe de presse, la situation, déjà difficile, s’est aggravée avec la suspension de l’assurance maladie.
Ils jugent cette situation intenable et inacceptable, soulignant qu’il s’agit d’une violation flagrante de leurs droits fondamentaux. En conséquence, la section Synpics d’Emedia en appelle une dernière fois à la direction du groupe pour qu’elle prenne ses responsabilités.
Ils demandent que les salaires en souffrance soient versés immédiatement et que l’assurance maladie soit rétablie dans les plus brefs délais. Les travailleurs préviennent que sans ces mesures, ils se verront, à partir de ce lundi, dans l’obligation de « ne plus exécuter leurs tâches rédactionnelles ».