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L’accés a été coupé et un couvre-feu a été annoncé au Gabon samedi, le jour-même de la présidentielle au cours de laquelle le chef de l’ Etat Ali Bongo Ondimba brigue un troisième mandat face à Albert Ondo Ossa, son plus sérieux rival, derrière lequel s’est rangée tardivement la plus grande partie de l’opposition.

Egalement après l’arrestation en juillet dernier de l’opposant au pouvoir de Macky Sall, Ousmane Sonko poursuivis pour divers chefs d’inculpation, les réseaux sociaux avaient été suspendus notamment Tik Tok et Internet ralenti. Ce,pour éviter des appels à la violence des partisans des opposants dans ces deux pays susnommés.

Alors que la percée cyber technologique a la spécificité d’apporter des avantages énormes à tous les niveaux dans le cadre du décloisonnement de l’information sous toutes ses formes,le Sénégal et le Gabon faisant fi de la liberté d’information de l’accès pour tous à Internet ont drastiquement choisi de suspendre ces réseaux sociaux pour des raisons éminemment partisanes.

Plongeant ainsi une bonne partie des entreprises numériques dans le dénouement total.
Du coup, l’on assiste à un isolement de ces pays sur la galaxie Internet réduisant nulle l’activité numérique qui génère pourtant beaucoup d’argent au niveau du cyberespace.

Gageons que cette nouvelle dynamique ne se perpétue au risque de susciter des dommages collatéraux incommensurables pour tous ceux qui travaillent par le biais d’Internet.

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