La machine judiciaire s’emballe. L’ancien ministre des Sports, Lat Diop, est convoqué ce samedi matin, 21 septembre, à la Division des investigations criminelles (DIC). Libération croit savoir que l’ex-directeur générale de la Loterie nationale sénégalaise (Lonase) sera interrogé sur deux dossiers. Lesquels ? Le premier […]
ACTUALITE SOCIETESix véhicules auraient été offerts à Pape Alé Niang qui, à son tour, a muté en son nom et mis certains d’entre eux à la disposition de la RTS, selon Rfm. Birahim Seck du Forum civil, sur son compte X, demande l’ouverture d’une enquête pour identifier […]
ACTUALITE SOCIETELes frères A. K. et A. Sarr risquent gros. Attraits à la barre du Tribunal de Mbour, ils seront fixés sur leur sort, le 24 septembre prochain, date du délibéré. Ils sont accusés d’avoir embarqué à bord de leur pirogue des candidats à destination de […]
ACTUALITE SOCIETELes températures extrêmes ont coûté la vie à au moins 577 pèlerins cette année. Le mercure a grimpé à presque 52 °C dans la ville sainte de l’islam. Temps de lecture : 2 min Ajouter à mes favoris Google News Commenter PartagerComment expliquer un tel drame […]
ACTUALITE religionLes températures extrêmes ont coûté la vie à au moins 577 pèlerins cette année. Le mercure a grimpé à presque 52 °C dans la ville sainte de l’islam.
Temps de lecture : 2 min Ajouter à mes favoris Google News Commenter PartagerComment expliquer un tel drame ? Des diplomates arabes ont annoncé, mardi 18 juin, qu’au moins 550 pèlerins étaient morts durant le « hajj », le grand pèlerinage musulman annuel dans l’ouest de l’Arabie saoudite, en raison de la chaleur. Ce pèlerinage annuel s’est déroulé cette année encore en plein été, du vendredi 14 au dimanche 16 juin, dans l’une des régions les plus chaudes au monde, avec des températures atteignant les 51,8 degrés Celsius à La Mecque, la ville la plus sainte de l’islam. Au moins 323 pèlerins égyptiens sont décédés, en majorité à cause de la chaleur, ont indiqué mardi à l’AFP deux diplomates arabes, sous le couvert de l’anonymat.
« Tous sont morts à cause de la chaleur », à l’exception d’un pèlerin qui a succombé après avoir été blessé lors d’un mouvement de foule, a déclaré l’un des diplomates, ajoutant que le chiffre total provenait de la morgue d’un hôpital dans le quartier Al-Muaisem de La Mecque.
Des Égyptiens encore portés disparusLes diplomates ont indiqué que 550 corps avaient été transportés à la morgue d’Al-Muaisem, l’une des plus importantes de La Mecque.
Selon un bilan établi par l’AFP, les chiffres des morts égyptiens portent ainsi à 577 le nombre de décès durant le hajj signalés par différents pays qui, pour la plupart, ne précisent pas cependant le nombre exact de cas liés à la chaleur. Le ministère égyptien des Affaires étrangères a affirmé plus tôt mardi que des « opérations de recherche des Égyptiens portés disparus pendant le hajj » étaient en cours, en évoquant « un certain nombre de décès ».
Dimanche, les autorités saoudiennes avaient affirmé avoir traité plus de 2 000 pèlerins souffrant de stress thermique, sans fournir d’informations sur des décès. Au moins 60 Jordaniens sont également morts, ont indiqué les diplomates, alors que le ministère jordanien des Affaires étrangères avait indiqué plus tôt mardi avoir délivré 41 permis d’inhumer pour enterrer des fidèles à La Mecque.
1,8 million de croyants ont participé au pèlerinage cette année
Les autorités « suivent les procédures d’enterrement des pèlerins jordaniens décédés pendant le hajj après avoir souffert d’un coup de chaleur », avait ajouté le ministère. Le hajj, l’un des plus grands rassemblements religieux au monde, est l’un des cinq piliers de l’islam et les musulmans qui en ont les moyens doivent l’accomplir au moins une fois dans leur vie. Il subit de plus en plus les effets du changement climatique, a averti une étude saoudienne publiée en mai selon laquelle les températures sur les sites où se déroulent les rituels augmentent de 0,4 degré Celsius tous les dix ans.
Les autorités saoudiennes ont conseillé aux fidèles d’utiliser des ombrelles, de boire beaucoup et d’éviter de s’exposer au soleil durant les heures les plus chaudes de la journée, mais de nombreux rituels se font dehors et en pleine journée. 1,8 million de croyants ont participé au pèlerinage cette année.
Le chanteur Wally Ballago Seck a été désigné Ambassadeur de la Télévision nationale RTS par le nouveau directeur général, Pape Alé Niang. Cette nomination a suscité des réactions mitigées parmi les Sénégalais. Certains saluent le choix de Pape Alé Niang, mais d’autres le critiquent sévèrement […]
ACTUALITE ET PEOPLELe chanteur Wally Ballago Seck a été désigné Ambassadeur de la Télévision nationale RTS par le nouveau directeur général, Pape Alé Niang. Cette nomination a suscité des réactions mitigées parmi les Sénégalais.
Certains saluent le choix de Pape Alé Niang, mais d’autres le critiquent sévèrement en raison de l’attitude de Wally Ballago Seck lors des manifestations contre le régime de Macky Sall. Wally Seck avait déclaré, « J’entends des petits CONS youy wakh ay kassaw kassaw… Je préfère être neutre, qu’on ne me mêle pas à ces histoires », lors d’un concert à Paris, ce qui avait choqué certains membres de la diaspora sénégalaise. Le journaliste Ayoba Faye a rappelé ces propos pour souligner l’incompatibilité de cette nomination avec l’engagement public de Wally Seck.
Des internautes pensent qu’il y a des artistes plus méritants, comme Abdou Guitté Seck, Dip Doundou Guiss, Nit Doff, ou Queen Biz, qui ont pris position aux côtés du peuple lors des manifestations. La journaliste Maty Sarr Niang a exprimé cette opinion, affirmant que justice devrait primer avant toute réconciliation.
Cependant, d’autres défendent le choix de Pape Alé Niang en tant que décision stratégique pour la promotion de la RTS. L’activiste Mollah Morgun a critiqué les détracteurs de la nomination, arguant que Pape Alé Niang connaît bien son domaine et a agi dans l’intérêt de la RTS. Le journaliste Rassoul Gueye a ajouté qu’aucun artiste n’est mieux placé que Wally Seck pour ce rôle, soulignant l’importance de soutenir les initiatives visant à réconcilier la RTS avec le public.
Pendant que le débat continue sur les réseaux sociaux, Wally Seck a exprimé sa gratitude et prend cette nomination très au sérieux. Il se décrit comme étant le favori de la jeunesse et estime que toute personne souhaitant travailler efficacement doit collaborer avec lui, affirmant : « Dans ce pays, personne ne peut venir, vouloir travailler sans Wally ».
Des affrontements entre disciples rivaux ont fait un mort et plus d’une trentaine de blessés à Médina Gounass, lundi 17 juin, jour de la Tabaski pour la plupart des musulmans du Sénégal. La victime décédée est un commerçant qui aurait été atteint par balle alors […]
À La Une SOCIETEDes affrontements entre disciples rivaux ont fait un mort et plus d’une trentaine de blessés à Médina Gounass, lundi 17 juin, jour de la Tabaski pour la plupart des musulmans du Sénégal. La victime décédée est un commerçant qui aurait été atteint par balle alors qu’il se trouvait devant son commerce, selon plusieurs médias.
Si le ministre de l’Intérieur, Jean-Baptiste Tine, était ce mardi dans la cité religieuse pour désamorcer la crise, la gendarmerie a lancé son enquête pour faire la lumière sur cette affaire. Les têtes commencent d’ailleurs à tomber. D’après L’Observateur, «après 36 heures d’investigations, de recoupements et de constations matérielles, une série d’arrestations a démarré».
Le journal précise : «30 personnes ont été acheminées au poste de la gendarmerie puis à Kalfourou. Les investigations se poursuivent.»
En plus du bilan humain, les affrontements de Médina Gounass ont causé d’importants dégâts matériels. «Vitres du véhicule du khalife général de Médina Gounass caillassées, des voitures incendiées, des magasins pillés et mis en feu, des produits et autres denrées étalés à même le sol, des pneus brûlés, des cailloux et tabliers de commerçants au sol», décrit L’Observateur.
Le corps sans vie d’un jeune garçon a été retrouvé jeudi, en état de putréfaction, sous le pont de Niaguis, sur la rive gauche du fleuve Casamance (sud). La victime répondait au nom d’Antoine Gomis. Il était porté disparu depuis lundi dernier. La découverte macabre […]
ACTUALITE SOCIETELe corps sans vie d’un jeune garçon a été retrouvé jeudi, en état de putréfaction, sous le pont de Niaguis, sur la rive gauche du fleuve Casamance (sud). La victime répondait au nom d’Antoine Gomis. Il était porté disparu depuis lundi dernier.
La découverte macabre a été faite par deux pêcheurs qui étaient en train de mener leurs activités. Ces derniers ont vite alerté la gendarmerie et les sapeurs-pompiers pour leur signaler la présence sous le pont de Niaguis d’un cadavre humain flottant dans le fleuve.
Selon des sources du journal Libération, « plusieurs plaies ont été constatées sur le visage du défunt. Sur instruction du Procureur de la République et de l’accord de sa famille, Antoine Gomis dont le corps était de décomposition très avancée, a été porté en terre sur place ».
Antoine Gomis était, au moment de sa disparition, en provenance du village de Diafar, situé dans la commune de Marssassoum. Une fois à la gare routière de Ziguinchor, il devait rejoindre ses parents qui habitent le quartier de Tilène-Complémentaire. Depuis lors, il était perdu de vue. La gendarmerie a ouvert une enquête.
Un conducteur de moto Jakarta âgé d’une trentaine d’années et son passager du même âge ont été tués dans une collision avec un camion de vidange, jeudi à Tivaouane.Le choc a eu lieu aux alentours de 18h25 sur la route nationale, non loin du centre […]
ACTUALITE SOCIETEUn conducteur de moto Jakarta âgé d’une trentaine d’années et son passager du même âge ont été tués dans une collision avec un camion de vidange, jeudi à Tivaouane.
Le choc a eu lieu aux alentours de 18h25 sur la route nationale, non loin du centre secondaire d’incendie et de secours de Tivaouane, encore appelé caserne des sapeurs-pompiers.
Le véhicule de vidange, roulant en direction de Thiès, a heurté la moto qui se déplaçait en sens inverse, avec deux personnes à bord.
Le conducteur et son passager sont morts sur le coup.
Après le constat de la police, les pompiers ont transporté les deux corps sans vie à l’hôpital Mame Abdou Aziz Dabakh de Tivaouane.
Leader du mouvement «Gueum sa bopp» et candidat recalé à la dernière élection présidentielle, Bougane Guèye n’est pas convaincu par la gestion des tenants de l’actuel pouvoir. D’où ses doutes quant à la capacité de Diomaye Faye et Ousmane Sonko d’apporter le changement tant promis […]
ACTUALITE POLITIQUELeader du mouvement «Gueum sa bopp» et candidat recalé à la dernière élection présidentielle, Bougane Guèye n’est pas convaincu par la gestion des tenants de l’actuel pouvoir. D’où ses doutes quant à la capacité de Diomaye Faye et Ousmane Sonko d’apporter le changement tant promis au Peuple sénégalais.
L’avènement du duo Diomaye Faye-Ousmane Sonko au sommet du pouvoir suscite un espoir de changement chez l’écrasante majorité des Sénégalais, mais il y a ceux qui doutent de ce changement. Bougane Guèye, président du mouvement «Gueum sa bopp», fait partie de ce lot. Le patron de D-Media persiste et signe dans ses critiques envers le leader du parti Pastef, Ousmane Sonko, et son acolyte Bassirou Diomaye Faye.
Dans une récente vidéo partagée sur Seneweb, Bougane Guèye a exprimé ses doutes quant à la capacité de ce tandem à diriger le pays. «Tous ces politiciens n’ont jamais rien réalisé dans le pays», déclare-t-il d’emblée.
«Ce ne sont pas ces gens-là qui vont changer le Sénégal», remet une couche le leader de «Gueum sa bopp». Ces propos reflètent une profonde désillusion face aux promesses de changement portées par Sonko et Faye à travers une vidéo de celui qui ne se définit pas comme un «politicien professionnel».
Laissant entendre que l’expérience et les réalisations concrètes sont essentielles pour prétendre à la gouvernance, Bougane Guèye décrit les nouveaux tenants du pouvoir comme des politiciens sans réalisations notables, mettant ainsi en doute «leur capacité à apporter les réformes nécessaires pour améliorer la situation du pays».
N’ayant pu avoir l’occasion de participer à la dernière élection présidentielle à cause d’une candidature recalée, Bougane Guèye s’était abstenu d’apporter un soutien à un candidat. Ceux qui sont aujourd’hui au pouvoir avaient sollicité son soutien en vain. Bougane Guèye s’était réservé pour un second tour qu’il n’aura pas l’occasion de voir se dérouler. La faute à un raz-de-marée de la Coalition «Diomaye Président» avec son candidat Bassirou Diomaye Faye, parrainé par son leader, Ousmane Sonko, avec une victoire au premier tour de plus de 54% des suffrages valablement exprimés. «Je libère tous les militants de Gueum sa bopp, votez pour le candidat que vous jugez prompt à diriger le pays», avait-il déclaré. Annonce survenant à quelques heures seulement du premier tour de l’élection présidentielle du 25 mars dernier, mettant fin aux rumeurs relatives à un éventuel soutien au candidat «drivé» par Sonko. Alors qu’il avait soutenu ce dernier en dénonçant son emprisonnement et soutenu qu’il avait été victime d’une «injustice» de la part du régime sortant. D’ailleurs, Bougane Guèye avait affiché son opposition à au régime sortant en ne lâchant pas d’une semelle l’ancien Président Macky Sall, en se permettant de reprendre les tournées que ce dernier effectuait dans les localités du Sénégal à travers le «Tib Tank» pour démonter les arguments du président sortant. Bougane Guèye incarne cette nouvelle génération d’acteurs politiques qui cherchent à envoyer à la retraite la vieille garde.
La Société des pétroles du Sénégal, Petrosen, a concocté plusieurs prêts auprès des opérateurs pétroliers notamment Woodside, Bp et Kosmos. Selon le document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle 2024-2026, visité hier jeudi, par Libération, Pétrosen a emprunté 450 millions de dollars à Woodside dans […]
ACTUALITE écomonieLa Société des pétroles du Sénégal, Petrosen, a concocté plusieurs prêts auprès des opérateurs pétroliers notamment Woodside, Bp et Kosmos. Selon le document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle 2024-2026, visité hier jeudi, par Libération, Pétrosen a emprunté 450 millions de dollars à Woodside dans le cadre du projet pétrolier Sangomar ce, pour « financer une partie de ses besoins ».
La convention a été signée avec l’entreprise australienne le 09 janvier 2020. La durée initiale était de 5 ans. La première durée prolongée est de 2 ans à compter de la date d’échéance jusqu’au remboursement intégral du prêt consenti avec un taux d’intérêt de 6,5% par an.
Le quotidien d’information informe, dans sa parution de ce vendredi, que le remboursement se fera à partir des revenus issus de la vente du pétrole brut (part de Petrosen).
Prétrosen ne s’est pas arrêté en si bon chemin. Elle a usé du même procédé dans le cadre du projet Grande Tortue Ahmeyim (GTA), basé sur le développement de deux champs de gaz offshore. En effet, en février 2019, Kosmos et Bp avaient signé des accords de prêt avec des compagnies pétrolières nationales de la Mauritanie et du Sénégal pour financer la part respective des deux compagnies nationales des coûts de développement encourus pour la première phase de production.
Concernant Petrosen, elle a reçu ainsi un prêt de 290, 0145 millions de dollars de Bp sur une période initiale de 7 ans. Ce prêt a été accordé avec un taux d’intérêt de 6,5% par an.
Concernant le remboursement, souligne le journal, Pétrosen l’a planifié sur ses revenus issus de la vente du gaz naturel. Pour Kosmos, Petrosen a bénéficié d’une facilité de 144,9855 millions de dollars.
Un maçon nommé B. Dieng risque 10 ans de prison ferme. Il s’agit de la sentence requise contre ce dernier par le procureur au terme des débats de son procès devant la chambre criminelle de Dakar. L’affaire est mise en délibéré pour le 20 juin. […]
ACTUALITE SOCIETEUn maçon nommé B. Dieng risque 10 ans de prison ferme. Il s’agit de la sentence requise contre ce dernier par le procureur au terme des débats de son procès devant la chambre criminelle de Dakar. L’affaire est mise en délibéré pour le 20 juin.
B. Dieng est poursuivi pour pédophilie. Il est accusé d’avoir poussé C. Mbengue, un garçon de 11 ans, à lui faire des attouchements. «Il m’a entraîné à l’étage avant de me demander de jouer avec son sexe jusqu’à ce qu’il éjacule. Après, il a menacé de me tuer si je le dénonce», a déclaré à la barre la victime présumée.
D’après L’Observateur, qui a assisté à l’audience, l’affaire remonte à 2021 quand le père de C. Mbengue a engagé B. Dieng pour accomplir les finitions du deuxième étage de sa maison. Le contrat a duré un mois 15 jours durant lesquels le maçon passait ses journées chez les Mbengue et y restait parfois jusque tard dans la nuit.
Mais au lieu de se limiter à boucler son chantier, Dieng essayait en même temps de satisfaire sa libido avec le fils de son client. Pris de peur, ce dernier s’est toujours gardé de se confier jusqu’à ce que le maçon soit démasqué par son grand-frère, S. Mbengue, 13 ans à l’époque des faits.
En proposant à ce dernier de lui caresser le sexe, B. Dieng se jetait dans la gueule du loup. «Contrairement à son jeune frère, S. Mbengue s’est confié à sa mère. Ce qui a donné à son petit frère le courage de conter sa mésaventure, rapporte L’Observateur. Le père, mis au parfum, a saisi la justice d’une plainte. Le maçon a été ainsi arrêté puis placé sous mandat de dépôt.»
Face au juge, B. Dieng a balayé les accusations des deux garçons, jurant que cette histoire est une invention de la tante des victimes présumées. «Elle me devait 75 000 francs CFA, mais refusait de me les rembourser, prétextant que je devais d’abord finir le chantier. On a eu une altercation et elle m’a menacé. Le lendemain, je suis venu travailler comme à l’accoutumée et, quelques minutes après, les éléments de la police se sont présentés à moi et m’ont embarqué.»
Le maçon sera fixé sur son sort le 20 juin.
L’affaire du marché de gré à gré entre le ministère de la Santé et de l’Action sociale et la société Afrique conception distribution (ACD) portant sur 71 milliards de francs a été vidée hier jeudi par la Cour suprême. Le marché de gré à gré portant sur […]
ACTUALITE justiceL’affaire du marché de gré à gré entre le ministère de la Santé et de l’Action sociale et la société Afrique conception distribution (ACD) portant sur 71 milliards de francs a été vidée hier jeudi par la Cour suprême.
Le marché de gré à gré portant sur 71 milliards FCFA entre l’Etat du Sénégal, notamment le ministère de la Santé et de l’Action sociale et la société Afrique Conception Distribution (ACD)a été évoquée hier à la Cour suprême. La plus haute juridiction, qui a statué sur le dossier, a rejeté le recours des sociétés AFSI, Carrefour Medical… confortant ainsi le ministère de la Santé.
Soupçonnant ainsi des irrégularités dans cette affaire, plusieurs sociétés spécialisées dans la vente de matériel médical avaient fait une requête aux fins d’annulation déposée au niveau de la Chambre administrative de la haute juridiction.
Le ministère de la Santé avait octroyé le marché financé par la banque allemande KFW, pour les travaux de relèvement des plateaux techniques des services d’imagerie médicale des hôpitaux, de construction et équipement de l’hôpital de Bakel, du Centre de diagnostic et d’imagerie (Cdim) au centre hospitalier régionale de Fatick et la fourniture de matériel roulant (ambulances médicalisées…). Des sociétés comme Afsi SA, Carrefour Médical, Technologies services, etc. avaient estimé qu’un tel marché qui porte sur une manne financière de 71 milliards de nos francs ne devait pas être confié à la seule société ACD.
Elles ont soupçonné des irrégularités dans l’octroi du marché. Cependant, quelque temps après que le recours a été déposée, certaines sociétés se sont désistées. Elles avaient saisi par lettre le Premier président de la Cour suprême pour qu’il leur donne acte de leur désistement.
D’après des informations de Libération, l’enquête sur les 100 voitures du Palais non restituées depuis l’alternance du 24 mars dernier, avance à grands pas. Le journal rapporte en effet qu’une vingtaine de véhicules a été récupérée par la Brigade de recherches de la gendarmerie, chargée […]
À La Une POLITIQUED’après des informations de Libération, l’enquête sur les 100 voitures du Palais non restituées depuis l’alternance du 24 mars dernier, avance à grands pas. Le journal rapporte en effet qu’une vingtaine de véhicules a été récupérée par la Brigade de recherches de la gendarmerie, chargée de l’enquête.
La même source révèle en outre que l’ex-directrice générale de la Télédifusion du Sénégal (TDS) Dr Nafissatou Diouf, convoquée par les enquêteurs dans le cadre de cette affaire, a été «totalement blanchie». «Les vérifications effectuées par les gendarmes ont attesté que son nom s’est retrouvé par erreur sur la liste ; le détenteur du véhicule [au sujet duquel elle a été convoquée] a d’ailleurs été identifié», complète Libération.