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ACTUALITE justiceNabou Lèye a passé près d’un mois en prison. Depuis le 30 août dernier, la danseuse est inculpée et placée sous mandat de dépôt pour un rôle présumé dans le double meurtre qui a emporté «Aziz Dabala» et son neveu «Wally». Selon Les Échos, ses […]
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ACTUALITE SPORTSComme pressenti, le Nigeria a été éjecté du podium africain. Troisièmes au dernier classement, les Super Eagles ont dégringolé à la cinquième place continentale et quittent la 30e mondiale pour la 38e (-8). Leur contre performance contre l’Afrique du Sud (1-1) et la défaite face au Bénin (2-1) a contribué à la descente du finaliste malheureux de la Can 2023.
Le Maroc, 12e mondial, (+1) domine le podium africain, devant le Sénégal. Les Lions ont perdu une place sur le plan mondial (18e, -1). L’Egypte (36e, +1), la Côte d’Ivoire (37e, +1) sont respectivement troisième et quatrième devant le Nigeria (38e, -8).
Le Top 20 africain au classement FIFA
Maroc (12ème)
Sénégal (18ème)
Egypte (36e)
Côte d’Ivoire (37e)
Nigeria (38e)
Tunisie (41e)
Algérie (44e)
Cameroun (49e)
Mali (50e)
Afrique du Sud (59e)
RD Congo (61e)
Ghana (64e)
Cap-Vert (65e)
Burkina Faso (67e)
Guinée (77e)
Gabon (83e)
Guinée Equatoriale (89e)
Zambie (90e)
Bénin (91e)
Angola (92e)
Les affrontements intercommunautaires à Médina Gounass ont provoqué un incident diplomatique entre le Sénégal et la Guinée-Bissau. En conséquence, le président Umaro Sissoco Embalo a ordonné mercredi la fermeture partielle de la frontière avec le Sénégal. Le président Embalo a déclaré qu’à la suite des […]
ACTUALITE INTERNATIONALLes affrontements intercommunautaires à Médina Gounass ont provoqué un incident diplomatique entre le Sénégal et la Guinée-Bissau. En conséquence, le président Umaro Sissoco Embalo a ordonné mercredi la fermeture partielle de la frontière avec le Sénégal.
Le président Embalo a déclaré qu’à la suite des heurts de lundi, « l’une des communautés a fait appel à des peuls Gabunkés » vivant en Guinée-Bissau. « J’ai immédiatement pris la décision de fermer cette partie de la frontière pour empêcher toute escalade de violence », a-t-il affirmé. « Les forces de sécurité de mon pays veillent scrupuleusement au respect de cette mesure », a-t-il ajouté.
La cité religieuse de Médina Gounass, située dans la région de Kolda, a été le théâtre de violences lundi, jour de l’Aïd. Les affrontements ont opposé les fidèles du khalife local, Thierno Amadou Tidiane Ba, à ceux du marabout Thierno Mounirou Baldé.
Selon le ministère de l’Intérieur, les heurts ont causé un mort et une vingtaine de blessés.
Une fillette de deux ans a été égorgée à Kaffrine. L’oncle de la victime (frère de son père) est l’auteur du crime, d’après Bés Bi, qui donne l’information dans son édition de ce jeudi 19 juin. «Le mis en cause, qui était étudiant à l’Université […]
ACTUALITE SOCIETEUne fillette de deux ans a été égorgée à Kaffrine. L’oncle de la victime (frère de son père) est l’auteur du crime, d’après Bés Bi, qui donne l’information dans son édition de ce jeudi 19 juin. «Le mis en cause, qui était étudiant à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, souffre de troubles psychiatriques, selon ses proches. Il a été mis aux arrêts», indique le journal. Qui renseigne que le corps de l’enfant a été transféré à l’hôpital régional Thierno Birahim Ndao de Kaffrine.
Arrêtés par la police de Tivaouane puis déférés au parquet de Thiès, les trois mis en cause dans l’affaire du «Jakartaman» tué puis brûlé à Mbodjène, sont fixés sur leur sort. Le juge d’instruction, chargé du dossier, a placé M. F. Sy et E. Dione […]
ACTUALITE SOCIETEArrêtés par la police de Tivaouane puis déférés au parquet de Thiès, les trois mis en cause dans l’affaire du «Jakartaman» tué puis brûlé à Mbodjène, sont fixés sur leur sort. Le juge d’instruction, chargé du dossier, a placé M. F. Sy et E. Dione sous mandat de dépôt et accordé la liberté provisoire à W. Diop.
Le premier, apprenti-chauffeur, est le principal suspect. Il était avec la victime le jour des faits. Face aux enquêteurs, il a avoué avoir tué puis brûlé le corps de la victime, Moustapha Dimé, son ami. Ensuite, a-t-il complété, il a conduit la moto de ce dernier jusqu’à Nguékhokh et l’a vendue à E. Dione. D’après L’Observateur, qui suit l’affaire, Sy est poursuivi pour association de malfaiteurs, assassinat avec actes de barbarie et blanchiment de capitaux.
E. Dione est, lui aussi, envoyé à la prison de Thiès. Le journal du Groupe futurs médias rapporte qu’il est inculpé d’association de malfaiteurs, blanchiment de capitaux, détention de chanvre indien et recel. Tôlier de son état, établi à Nguekhokh, Dione serait l’acheteur de la moto du «Jakartaman» tué.
Pour sa part, W. Diop s’en tire à bon compte. Pour le moment. L’Observateur informe en effet que ce dernier a bénéficié d’une liberté provisoire, «le juge d’instruction [considérant] que son implication dans l’assassinat de Dimé» serait minime.
Moustapha Dimé était porté disparu le 2 juin. Deux jours plus tard, il a été retrouvé mort dans un champ à Mbodjène, les restes de son corps calcinés.
La prison du Camp pénal de Liberté 6 a été, hier mercredi, le théâtre d’une mutinerie. Une séance de fouille des chambres a viré à l’affrontement entre détenus et surveillants de prison. Les détenus de la prison du Camp Pénal de Dakar ont vécu une journée chaude […]
ACTUALITE SOCIETELa prison du Camp pénal de Liberté 6 a été, hier mercredi, le théâtre d’une mutinerie. Une séance de fouille des chambres a viré à l’affrontement entre détenus et surveillants de prison.
Les détenus de la prison du Camp Pénal de Dakar ont vécu une journée chaude et très mouvementée marquée par de violents affrontements avec les gardes pénitentiaires. Au cours des échauffourées, plus d’une dizaine de blessés est enregistrée du côté des prisonniers.
Les plus touchés sont les détenus malades et autres personnes âgées. Sans parler des nombreux dégâts matériels enregistrés dans les chambres des pensionnaires du Camp pénal. De sources concordantes de L’OBS, tout serait parti d’une vidéo diffusée sur le réseau social «TikTok» le lundi, jour de la fête de Tabaski, par un détenu de la chambre 8.
Dans la fameuse vidéo, visionnée plus tard dans la soirée du lundi par des gardes pénitentiaires, le jeune prisonnier filmait avec son téléphone portable. Le but était de dénoncer leur situation carcérale qu’il juge atroce et inhumaine, notamment le jour de la Tabaski.
Ainsi, après avoir étalé, dans ladite vidéo, tous les détails de leurs conditions de vie carcérale, le prisonnier de la chambre 8 publie les images sur «TikTok». Quelques heures plus tard, contre toute attente, les gardes pénitentiaires de service découvrent la fameuse vidéo du jeune homme qui circule déjà sur «TikTok».
Après avoir longuement visionné cette vidéo prise dans la chambre 8, les gardes parviennent à reconnaître l’auteur. Le lendemain, à la suite d’une concertation avec le chef de Cour, selon toujours des informations de L’Observateur, les surveillants, sur instruction des autorités administratives de la prison, décident d’exfiltrer le détenu en question.
Ce, afin de le conduire en cellule d’isolement pour quelques jours de punition. Hier mercredi, les gardes pénitentiaires qui ne décolèrent toujours pas devant le comportement «exagéré» du jeune détenu de la chambre 8, reviennent à la charge.
Cette fois-ci, ils décident de fouiller de fond en comble ladite pièce où croupissent 58 détenus. Les affaires personnelles de ces prisonniers ne sont pas épargnées. Les pensionnaires de la chambre 8 se rebellent, opposant une farouche résistance, exigeant que leur codétenu, enfermé en cellule d’isolement, regagne la chambre 8.
Estimant qu’il n’a fait que montrer ce qu’ils endurent dans ce lieu de privation de liberté, ils déclarent aux gardes qu’il est même inadmissible qu’ils fassent l’objet d’une quelconque fouille au lendemain de la Tabaski. Pour la bonne et simple raison que le nombre de détenus bénéficiant de la grâce présidentielle à la veille de la fête est insignifiant. La situation se tend entre les deux parties.
Les surveillants ordonnent alors à tous les occupants de la chambre 8 de vider les lieux. Visiblement très en colère face à la détermination des détenus qui tentent de leur bloquer le passage, les matons auraient jeté plusieurs matelas dans la cour de la prison et arrosé les autres restés dans la chambre.
Courroucés, les détenus décident de porter la réplique aux gardes qu’ils accusent d’avoir pillé leurs nourritures (couscous, sucre, lait en poudre…). C’est ainsi que de violents affrontements éclatent entre les deux camps. Les détenus qui ont refusé de sortir de la chambre, sont malheureusement enfermés et gazés.
17 blessés graves, dont 5 personnes âgées, sont dénombrés.
La prison du Camp pénal de Liberté 6 a été, hier mercredi, le théâtre d’une mutinerie. Une séance de fouille des chambres a viré à l’affrontement entre détenus et surveillants de prison. Les plus touchés sont les détenus malades et autres personnes âgées. Sans parler […]
ACTUALITE SOCIETELa prison du Camp pénal de Liberté 6 a été, hier mercredi, le théâtre d’une mutinerie. Une séance de fouille des chambres a viré à l’affrontement entre détenus et surveillants de prison.
Les plus touchés sont les détenus malades et autres personnes âgées. Sans parler des nombreux dégâts matériels enregistrés dans les chambres des pensionnaires du Camp pénal. De sources concordantes de L’OBS, tout serait parti d’une vidéo diffusée sur le réseau social «TikTok» le lundi, jour de la fête de Tabaski, par un détenu de la chambre 8.
Dans la fameuse vidéo, visionnée plus tard dans la soirée du lundi par des gardes pénitentiaires, le jeune prisonnier filmait avec son téléphone portable. Le but était de dénoncer leur situation carcérale qu’il juge atroce et inhumaine, notamment le jour de la Tabaski.
Ainsi, après avoir étalé, dans ladite vidéo, tous les détails de leurs conditions de vie carcérale, le prisonnier de la chambre 8 publie les images sur «TikTok». Quelques heures plus tard, contre toute attente, les gardes pénitentiaires de service découvrent la fameuse vidéo du jeune homme qui circule déjà sur «TikTok».
Après avoir longuement visionné cette vidéo prise dans la chambre 8, les gardes parviennent à reconnaître l’auteur. Le lendemain, à la suite d’une concertation avec le chef de Cour, selon toujours des informations de L’Observateur, les surveillants, sur instruction des autorités administratives de la prison, décident d’exfiltrer le détenu en question.
Ce, afin de le conduire en cellule d’isolement pour quelques jours de punition. Hier mercredi, les gardes pénitentiaires qui ne décolèrent toujours pas devant le comportement «exagéré» du jeune détenu de la chambre 8, reviennent à la charge.
Cette fois-ci, ils décident de fouiller de fond en comble ladite pièce où croupissent 58 détenus. Les affaires personnelles de ces prisonniers ne sont pas épargnées. Les pensionnaires de la chambre 8 se rebellent, opposant une farouche résistance, exigeant que leur codétenu, enfermé en cellule d’isolement, regagne la chambre 8.
Estimant qu’il n’a fait que montrer ce qu’ils endurent dans ce lieu de privation de liberté, ils déclarent aux gardes qu’il est même inadmissible qu’ils fassent l’objet d’une quelconque fouille au lendemain de la Tabaski. Pour la bonne et simple raison que le nombre de détenus bénéficiant de la grâce présidentielle à la veille de la fête est insignifiant. La situation se tend entre les deux parties.
Les surveillants ordonnent alors à tous les occupants de la chambre 8 de vider les lieux. Visiblement très en colère face à la détermination des détenus qui tentent de leur bloquer le passage, les matons auraient jeté plusieurs matelas dans la cour de la prison et arrosé les autres restés dans la chambre.
Courroucés, les détenus décident de porter la réplique aux gardes qu’ils accusent d’avoir pillé leurs nourritures (couscous, sucre, lait en poudre…). C’est ainsi que de violents affrontements éclatent entre les deux camps. Les détenus qui ont refusé de sortir de la chambre, sont malheureusement enfermés et gazés.
17 blessés graves, dont 5 personnes âgées, sont dénombrés.
La Brigade des Douanes de l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD) a saisi 18 kilos de cocaïne dans une valise non accompagnée, faisant partie d’un lot de bagages en provenance d’un pays frontalier du Sénégal et à destination de l’Union européenne. Voici un résumé des événements […]
ACTUALITE SOCIETELa Brigade des Douanes de l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD) a saisi 18 kilos de cocaïne dans une valise non accompagnée, faisant partie d’un lot de bagages en provenance d’un pays frontalier du Sénégal et à destination de l’Union européenne. Voici un résumé des événements et des implications :
La valise contenant la drogue faisait partie d’un lot de bagages non accompagnés.
Le colis venait d’un pays frontalier du Sénégal et était destiné à un pays de l’Union européenne.
Le scanner de la Haute Autorité des Aéroports du Sénégal (HAAS) a détecté la présence de drogue.
Les agents de HAAS ont immédiatement averti les agents des Douanes en service à la Cellule aéroportuaire anti-trafics (CAAT).
Les tests réalisés par les autorités ont confirmé la présence de cocaïne, répartie en 16 plaquettes d’un poids total de 18 kg.
La contrevaleur totale de la drogue saisie est estimée à 1 440 000 000 francs CFA.
La saisie d’une telle quantité de cocaïne perturbe les opérations des trafiquants, réduisant leur capacité à transporter et distribuer des substances illégales.
Ça chauffe à l’instant au Cap Pénal Liberté 6 où des détenus crient leur colère face aux gardes pénitentiaires. A l’origine de ce mouvement d’humeur, un mauvais traitement qui dure depuis des lustres, et qui viole leurs droits les plus élémentaires, selon la source de […]
À La Une SOCIETEÇa chauffe à l’instant au Cap Pénal Liberté 6 où des détenus crient leur colère face aux gardes pénitentiaires. A l’origine de ce mouvement d’humeur, un mauvais traitement qui dure depuis des lustres, et qui viole leurs droits les plus élémentaires, selon la source de Senego.
Les événements rapportés à la prison de Camp Pénal à Liberté 6, où les détenus se révoltent contre les gardes pénitentiaires, sont préoccupants.
Les détenus protestent contre des mauvais traitements qu’ils subiraient depuis longtemps, qualifiés de violations de leurs droits fondamentaux.
En réponse à ces conditions inacceptables, les détenus ont décidé ce mercredi 19 juin de manifester leur mécontentement de manière plus agressive, ciblant non seulement leurs surveillants, mais aussi cherchant à attirer l’attention de la population et des autorités.
Pour contenir la révolte, des gaz lacrymogènes auraient été utilisés, ce qui a provoqué sans doute une fumée visible depuis une distance importante.
Selon la source de Senego, des mesures doivent être prises pour améliorer les conditions de vie des détenus, conformément aux normes internationales des droits de l’homme.
Déclarant en Douane de profession, M. C. Badji a passé la fête de Tabaski en prison. D’après L’AS, il a roulé dans la farine son client O. Wattara qui lui a demandé de vendre ses véhicules à 3,600 millions. Après avoir vendu les voitures, il […]
ACTUALITE SOCIETEDéclarant en Douane de profession, M. C. Badji a passé la fête de Tabaski en prison. D’après L’AS, il a roulé dans la farine son client O. Wattara qui lui a demandé de vendre ses véhicules à 3,600 millions.
Après avoir vendu les voitures, il a refusé de verser l’argent à Wattara qui a porté plainte à la Division des investigations criminelles. M. C. Badji a été gardé en vue et déféré au parquet pour abus de confiance.
Pour la première fois depuis son election en tant que Président de la République, le Président Bassirou Diomaye Faye effectue un voyage officiel à l’étranger accompagné de l’une de ses épouses. Le Président, qui pratique la polygamie, a choisi de voyager avec Marie Khone Faye […]
Non classéPour la première fois depuis son election en tant que Président de la République, le Président Bassirou Diomaye Faye effectue un voyage officiel à l’étranger accompagné de l’une de ses épouses. Le Président, qui pratique la polygamie, a choisi de voyager avec Marie Khone Faye pour cette visite en France.
Ce mercredi, le Président Faye a quitté Dakar pour se rendre en France, répondant à une invitation conjointe de Gavi, l’Alliance du Vaccin, et de l’Union africaine. Le Chef de l’État participera ce jeudi au Forum mondial pour la souveraineté et l’innovation vaccinales à Paris. Cette rencontre de haut niveau a pour objectif de lancer l’initiative « Accélérateur de la production des vaccins en Afrique (AVMA) » et de débuter la campagne de reconstitution des fonds de GAVI pour la période 2026-2030.
À l’issue de cet événement, le Président Faye sera invité à un déjeuner par le Président français Emmanuel Macron. Ce rendez-vous permettra de renforcer les relations bilatérales entre la France et le pays du Président Faye.