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À La Une necrologieFin de cavale pour Dof Ndèye ! Sous le coup d’un mandat d’arrêt, le rappeur a été arrêté par la gendarmerie dans une maison sise à Nguékokh, vers 04h selon des informations exclusives de Seneweb. Il sera acheminé à la brigade territoriale de Kaolack en […]
À La Une justiceFin de cavale pour Dof Ndèye ! Sous le coup d’un mandat d’arrêt, le rappeur a été arrêté par la gendarmerie dans une maison sise à Nguékokh, vers 04h selon des informations exclusives de Seneweb.
Il sera acheminé à la brigade territoriale de Kaolack en charge de son dossier.
Comment le gendarmerie a fait tomber le rappeur Dof Ndèye
L’artiste a accusé un jeune homme d’avoir vandalisé son véhicule au moment où il était sur scène lors d’un concert à Ndoffane. Armé d’un couteau, Dof Ndèye a réussi à maîtriser l’individu avant de lui porter des coups. La victime a perdu beaucoup de sang avant de se sauver.
Munie d’un certificat médical attestant d’une incapacité temporaire de travail de 30 jours, la victime a déposé une plainte sur la table du commandant de la brigade territoriale de Kaolack. Les gendarmes ont, par la suite, lancé un avis de recherche et d’interpellation contre le rappeur Dof Ndèye.
Selon des sources de Seneweb, le mis en cause s’est réfugié à Nguékhokh où il a éteint son téléphone. Les enquêteurs ont localisé Dof Ndèye pour la dernière fois dans cette localité de la Petite-côte.
Après investigations, les gendarmes de la compagnie de Mbour et ses unités d’élite ont effectué une descente musclée à Nguékokh vers 04h30 du matin. Les hommes en bleu ont réussi à cueillir le fugitif dans un domicile.
Selon les textes de loi, la déclaration de politique générale devra se faire dans les trois mois suivant la nomination du Premier ministre. Cependant, le journaliste Madiambal Diagne, propriétaire du journal Le Quotidien, soupçonne Ousmane Sonko de vouloir se cacher derrière le COVID-19 pour éviter […]
ACTUALITE POLITIQUESelon les textes de loi, la déclaration de politique générale devra se faire dans les trois mois suivant la nomination du Premier ministre. Cependant, le journaliste Madiambal Diagne, propriétaire du journal Le Quotidien, soupçonne Ousmane Sonko de vouloir se cacher derrière le COVID-19 pour éviter de tenir cette déclaration devant l’Assemblée nationale.
De nombreux cas positifs ont été détectés parmi les prélèvements effectués sur les pèlerins sénégalais en provenance d’Arabie Saoudite. Selon l’APS, les tests ont confirmé des cas positifs au coronavirus chez ces pèlerins, avec des taux variant entre 20 % et 60 % selon les vols. Face à cette situation préoccupante, le ministre de la Santé et de l’Action sociale s’est rendu à l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD) pour s’enquérir de la situation. Un important dispositif sanitaire a été mis en place pour le dépistage et la prise en charge des cas.
Lors d’une déclaration, le ministre a souligné l’importance d’éviter tout rassemblement familial ou cérémonie d’accueil pour les pèlerins de retour des Lieux saints de l’islam, surtout ceux qui ont été testés positifs au virus. Cette mesure vise à prévenir une potentielle transmission communautaire de la maladie.
Madiambal Diagne, très critique des actions d’Ousmane Sonko comme en témoignent ses publications sur les réseaux sociaux, insinue dans une publication que Ousmane Sonko pourrait profiter d’une éventuelle interdiction de rassemblement pour ne pas faire sa déclaration de politique générale. Étant nommé Premier ministre depuis près de trois mois, Ousmane Sonko devra faire sa déclaration de politique générale en fonction des textes de loi dans les deux semaines qui viennent.
Dans une publication, Madiambal Diagne mentionne qu’une « lugubre clinique médicale de la banlieue de Dakar alerte sur d’éventuels cas de Covid. Cela fait le buzz au Sénégal. On appréhende que le gouvernement annulera tout rassemblement et ce sera un prétexte pour éviter un redouté face à face du Premier ministre avec les députés. Ce n’est pas drôle pour en rire ! »
Les soupçons de Madiambal Diagne semblent incompréhensibles, car dans aucun pays au monde actuellement, il n’y a de restrictions, même les tests de Covid sont supprimés pour l’entrée des voyageurs dans la plupart des aéroports. Il semble donc improbable que le Sénégal impose des conditions drastiques ou restreigne les déplacements de la population avec des interdictions de manifestations ou de rassemblements. Même au plus fort de la pandémie, le Sénégal n’avait pas pris de mesures très draconiennes, et les tentatives de l’ancien régime pour établir des couvre-feux avaient été rapidement abandonnées suite à des manifestations.
Il est également important de noter que des travaux sont actuellement en cours à l’Assemblée nationale. Si Ousmane Sonko doit faire sa déclaration de politique générale, il devra soit attendre la fin des travaux, qui pourraient se terminer avant la fin du délai imparti, soit trouver un autre lieu pour la faire avant la fin de ce délai.
L’agent Wave, qui a détourné plus de 8 millions FCFA a écopé d’un an d’emprisonnement dont trois mois ferme. A. M. agent de Wave, 45 ans et père de trois enfants, se chargeait de recouvrement au quotidien aux différents points Wave à Rufisque. Au début […]
ACTUALITE SOCIETEL’agent Wave, qui a détourné plus de 8 millions FCFA a écopé d’un an d’emprisonnement dont trois mois ferme.
A. M. agent de Wave, 45 ans et père de trois enfants, se chargeait de recouvrement au quotidien aux différents points Wave à Rufisque. Au début tout se passait bien jusqu’à la fin de l’année où son patron devrait faire le point financier. Ce dernier se rend compte d’un trou de 8.300.000 francs Cfa.
D’après SourceA, le mis en cause avait maquillé son forfait en remplaçant l’argent dérober par le versement quotidien des autres points. Il a été jugé au tribunal des flagrants délits après presque un mois de détention. Devant la barre, le prévenu reconnaît les faits qui lui sont reprochés.
Il déclare avoir fuit pour éviter que son dossier me soit mêlé à la politique. En effet, selon lui, il fait partie des têtes de fils du parti Pastef à Rufisque. « Je fait partie du parti Pastef donc j’avais peur que mon dossier soir aggravé » a-t-il laissé entendre.
Cependant, le plaignant balaie d’un revers de main ces allégations. « Je lui ai demandé de rembourser les manquements avant le 31 décembre. Il a pris la poudre d’escampette pendant 16 mois. Pourtant on fait la caisse tous les jours. Il m’envoie son rapport par whatsapp », ajoute la partie civile qui réclame 15 millions en guise de dommages et intérêts.
Le ministère public en appui requiert de déclarer Abdou Mbengue coupable du chef d’abus de confiance. Le juge a ainsi déclaré coupable Abdou Gueye. Ce dernier a écopé d’un an d’emprisonnement dont trois mois ferme.
Sur une première vague de 124 pèlerins téstés, 78 se sont révélés positifs. Suffisant pour que le ministre de la Santé et de l’Action sociale les invite à surseoir à leur traditionnel « Ganalé » cette année. Cette mesure, bien que difficile, vise à protéger la population et […]
ACTUALITE SANTESur une première vague de 124 pèlerins téstés, 78 se sont révélés positifs. Suffisant pour que le ministre de la Santé et de l’Action sociale les invite à surseoir à leur traditionnel « Ganalé » cette année. Cette mesure, bien que difficile, vise à protéger la population et à contenir la propagation du virus.
« Nous appelons les populations à éviter d’organiser, pour le moment, des cérémonies de rassemblement pour accueillir leurs parents ou proches qui viennent d’effectuer le pèlerinage aux Lieux saints de l’islam, surtout ceux qui sont positifs au coronavirus », a-t-il demandé.
S’agissant des cinq pèlerins sénégalais décédés, le ministre de faire savoir ces derniers présentaient des symptômes respiratoires aigus.
« Au départ, on pensait que ces décès étaient causés par les phénomènes extrêmes de vagues de chaleur enregistrés cette année à la Mecque. Mais on s’est rendu compte que les personnes décédées présentaient des symptômes respiratoires aigus » a-t-il rapporté.
« Constatant cela », a-t-il poursuivi, on s’est dit qu’il y a probablement une épidémie de type respiratoire et on a mis en place à l’AIBD, un dispositif sanitaire de dépistage au Covid-19, pour surveiller les pèlerins dès leur retour au Sénégal ».
Sur une première vague de 124 pèlerins testés 78 se sont révélés positifs au coronavirus. Suffisant pour que le ministre de la Santé et de l’Action les invite à surseoir à leur traditionnel « Ganalé » pour éviter toute propagation du virus.
« Nous appelons les populations à éviter d’organiser, pour le moment, des cérémonies de rassemblement pour accueillir leurs parents ou proches qui viennent d’effectuer le pèlerinage aux Lieux saints de l’islam, surtout ceux qui sont positifs au coronavirus », a-t-il demandé.
S’agissant des cinq pèlerins sénégalais décédés, le ministre de faire savoir ces derniers présentaient des symptômes respiratoires aigus.
« Au départ, on pensait que ces décès étaient causés par les phénomènes extrêmes de vagues de chaleur enregistrés cette année à la Mecque. Mais on s’est rendu compte que les personnes décédées présentaient des symptômes respiratoires aigus » a-t-il rapporté.
« Constatant cela », a-t-il poursuivi, on s’est dit qu’il y a probablement une épidémie de type respiratoire et on a mis en place à l’AIBD, un dispositif sanitaire de dépistage au Covid-19, pour surveiller les pèlerins dès leur retour au Sénégal ».
Après la décision du Conseil National de la Consommation du 21 juin 2024, de baisser le prix de la farine boulangère de 19 200 FCFA à 15 200 FCFA soit une réduction de 4000 FCFA, les meuniers du Sénégal à travers l’association des meuniers industriels […]
À La Une écomonieAprès la décision du Conseil National de la Consommation du 21 juin 2024, de baisser le prix de la farine boulangère de 19 200 FCFA à 15 200 FCFA soit une réduction de 4000 FCFA, les meuniers du Sénégal à travers l’association des meuniers industriels du Sénégal (Amis) comptent suspendre la production. En effet, ils considèrent que cette mesure intervient au moment où le coût moyen du blé est en hausse constante et dépasse 300 euros soit plus de 196.000 francs CFA. Cette réalité selon l’association des meuniers ne permet pas d’apporter une réponse basée sur la baisse de l’essentiel des facteurs de production de farine. Les travaux menés en réunion technique avec les services de l’État ont permis de relever que la renonciation aux droits de douanes et taxes sur la valeur ajoutée (TVA) représenterait 1355 FCFA sur le prix du sac.
Dans ces conditions le financement de l’écart de 2645 FCFA sur le prix de la farine demeure incertain pour les entreprises meunières et pour l’ensemble des acteurs de la filière, expliquent les meuniers qui rapportent dans leur communiqué que la baisse de 4000 FCFA n’est pas financée à ce jour.
« C’est avec regret que nous vous annonçons que l’Association des Meuniers Industriels du Sénégal engage ses 7 membres dans une mesure de retrait car, ne pouvant pas s’engager dans un dispositif de vente à perte et déclare officiellement un arrêt provisoire de production », lit-on dans le communiqué de l’Amis qui ajoute qu’à compter de ce lundi 24 juin 2024 « un arrêt périodique et collectif de production permettant de ralentir le niveau des pertes induites quotidiennement, ce jusqu’à ce qu’une réponse assurant la survie des meuniers soit apportée ».
Par cette démarche responsable et citoyenne ils exhortent les autorités gouvernementales à veiller à la stabilité du marché dans l’intérêt de la filière et à relancer le dialogue nécessaire et salutaire, car estiment-ils, « la filière est au bord d’une crise sans précédent et joue sa survie »
N’est-il pas temps de s’interroger sur la délivrance des grâces présidentielles? En tout cas, après la dernière signature libérant 376 détenus à la veille de la Tabaski, deux malfaiteurs ont repris leur « routine » sans attendre. Ces deux bénéficiaires sont déjà retournés en prison. Dimanche, veille de la […]
ACTUALITE SOCIETEN’est-il pas temps de s’interroger sur la délivrance des grâces présidentielles? En tout cas, après la dernière signature libérant 376 détenus à la veille de la Tabaski, deux malfaiteurs ont repris leur « routine » sans attendre. Ces deux bénéficiaires sont déjà retournés en prison. Dimanche, veille de la Tabaski. M.Thiaw avait tué un jeune tailleur à Yeumbeul. Sérieusement lynché par les populations, il a été sauvé in extrémis par les policiers. Comme M.Thiaw, le ressortissant guinéen A.Ba avait bénéficié de la clémence présidentielle. Dans la nuit de mardi à mercredi, il a été interpellé en flagrant délit pour vol et usage de chanvre indien, a appris Libération ce vendredi.
Le panafricain et pourfendeur déclaré de la France, Kémi Seba, n’a pas apprécié la visite du président sénégalais Bassirou Diomaye Faye à son homologue français Emmanuel Macron. Après l’annonce du président français sur les réseaux sociaux, se réjouissant de la réussite de leur première rencontre […]
ACTUALITE POLITIQUELe panafricain et pourfendeur déclaré de la France, Kémi Seba, n’a pas apprécié la visite du président sénégalais Bassirou Diomaye Faye à son homologue français Emmanuel Macron.
Après l’annonce du président français sur les réseaux sociaux, se réjouissant de la réussite de leur première rencontre et du partenariat à revigorer entre la France et le Sénégal, Kémi Seba a éclaté de rire.
En réponse au post de Macron sur la visite de Bassirou Diomaye Faye, le président de l’ONG Urgences panafricanistes a commenté avec plusieurs émojis avec un fou rire narquois.
Kémi Seba ne s’attendait certainement pas à « une nouvelle impulsion » donnée aux relations entre la France et le Sénégal. Avec l’élection de Bassirou Diomaye Faye et la rupture annoncée, le panafricaniste espérait un changement radical, comme il l’a toujours demandé vis-à-vis des pays alliés à la France.
🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣
— Kemi Seba Officiel (@KemiSeba1) June 20, 2024
Le commissariat urbain de Tivaouane a réalisé un coup double. Le tueur présumé de Moustapha Dimé, «Jakartaman» dont le corps sans vie a été retrouvé brûlé dans un champ à Mbodjène, arrêté par les hommes du commissaire Ibrahima Diouf, était l’homme recherché depuis plus d’un […]
ACTUALITE SOCIETELe commissariat urbain de Tivaouane a réalisé un coup double. Le tueur présumé de Moustapha Dimé, «Jakartaman» dont le corps sans vie a été retrouvé brûlé dans un champ à Mbodjène, arrêté par les hommes du commissaire Ibrahima Diouf, était l’homme recherché depuis plus d’un an pour une série de vols suivis de viols perpétrés dans la même localité.
M. Sy, puisque c’est de lui qu’il s’agit, est placé sous mandat de dépôt et détenu à la prison de Thiès pour association de malfaiteurs, assassinat avec actes de barbarie et blanchiment de capitaux. À ces chefs suspendus au-dessus de sa tête devraient s’ajouter ceux de vols et de viols.
Les Échos, qui donne l’information, rappelle que M. Sy «faisait l’objet d’intenses recherches depuis le mois d’avril 2023 et avait quitté le secteur [Mbodjène] le mois de mai suivant». Le journal rapporte qu’à la suite de son arrestation pour le meurtre de Moustapha Dimé, il «a reconnu sur procès-verbal les vols suivis de viols avec menace de machette».
La même source renseigne que le mis en cause aurait violé trois femmes. Son mode opératoire était rôdé : chauffeur suppléant de «clando», en marge de ses activités de «Jakartaman», M. Sy attendait d’être seule avec une femme dans sa voiture, la nuit tombant, pour dérouler sa manœuvre.
Prétextant fuir les contrôles policiers, il abandonnait les artères principales de Mbodjène pour s’enfoncer dans la brousse. Au bout de quelques centaines de mètres, il simulait une panne, s’éjectait de sa voiture armé d’un coupe-coupe. Après avoir dépouillé sa victime, tenue en respect grâce à l’arme blanche, il la forçait à se laisser abuser. Son forfait accompli, M. Sy fondait dans la pénombre. Ni vu ni connu.
Une de ses trois victimes a été retrouvée dans un sale état, rapporte Les Échos, citant des témoins : «Ce sont des femmes du village [Mbodjène], à la recherche de bois mort dans la brousse, qui ont découvert la jeune femme et l’ont assistée.»
Le Conseil National de la Consommation du Sénégal a concrétisé aujourd’hui, vendredi 21 juin, les décisions prises lors de sa réunion du 13 juin dernier visant à réduire les prix des denrées alimentaires essentielles. Sous la houlette du ministre de l’Industrie et du Commerce, Serigne […]
ACTUALITE écomonieLe Conseil National de la Consommation du Sénégal a concrétisé aujourd’hui, vendredi 21 juin, les décisions prises lors de sa réunion du 13 juin dernier visant à réduire les prix des denrées alimentaires essentielles. Sous la houlette du ministre de l’Industrie et du Commerce, Serigne Gueye Diop, cette initiative vise à rendre ces produits plus accessibles à tous, dans un contexte où le coût de la vie pèse lourdement sur les ménages sénégalais.
Les produits concernés par cette baisse tarifaire incluent l’huile de palme raffinée, le riz brisé ordinaire, le sucre cristallisé, le pain, la farine de blé et le ciment. Des ajustements précis ont été adoptés pour chacun de ces produits, reflétant une volonté politique de répondre aux besoins urgents de la population.
Pour le riz brisé ordinaire, par exemple, les nouveaux prix fixés à l’importation et en gros permettent de maintenir des marges raisonnables pour les distributeurs tout en abaissant le coût pour le consommateur final, établi désormais à 410 FCFA le kilogramme dans les boutiques. Une mesure cruciale alors que le riz constitue une base alimentaire pour de nombreuses familles sénégalaises.
Quant à la farine de blé, essentielle à la production de pain, les sacs de 50 kg seront désormais vendus à 15 200 FCFA pour la version type 55 et à 15 700 FCFA pour la version améliorée. Parallèlement, la baguette de 190 grammes, un aliment de base largement consommé, sera disponible à 150 FCFA dans toutes les boulangeries du pays.
L’huile de palme raffinée, largement utilisée dans la cuisine sénégalaise, voit également ses prix révisés avec un bidon de 20 litres fixé à 18 500 FCFA et un prix au détail de 1000 FCFA le litre, une mesure saluée pour alléger le budget alimentaire des familles sénégalaises.
Enfin, le sucre cristallisé, un ingrédient incontournable dans de nombreux foyers, est désormais disponible à 600 FCFA le kilogramme dans les boutiques de détail, grâce aux ajustements tarifaires adoptés par le Conseil.