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ACTUALITE SOCIETELe Quotidien s’inquiète du rythme d’endettement du nouveau régime. Après 450 milliards d’Eurobonds empruntés début avril, l’État du Sénégal a levé plus de 250 milliards de francs CFA supplémentaires. Le journal, citant le communiqué de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM), informe que les […]
ACTUALITE écomonieLe Quotidien s’inquiète du rythme d’endettement du nouveau régime. Après 450 milliards d’Eurobonds empruntés début avril, l’État du Sénégal a levé plus de 250 milliards de francs CFA supplémentaires.
Le journal, citant le communiqué de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM), informe que les nouvelles autorités ont obtenu «trois emprunts obligataires d’un montant global de 265 milliards de francs CFA, de maturité variable entre 5 et 10 ans».
«Le premier emprunt, qui va de 2024 à 2029, est de 6,45%, comme d’ailleurs le troisième qui va de 2024 à 2034, pour un taux d’intérêt de 6,65%, tandis que le second va rapporter 6,25% aux institutions qui se sont engagées auprès du Sénégal », ajoute la source.
Selon le quotidien d’information, il a été juste indiqué que ces montants empruntés «vont servir à financer des investissements prévus dans le budget 2024» sans plus de précisions.
Dans tous les cas, estime LeQuotidien, «cette course aux emprunts» ne se justifie pas d’autant que rappelle celui-ci : Le nouveau régime a trouvé 320 milliards laissés par le Président sortant, Macky Sall, dans les comptes logés à la BCEAO.
Des pèlerins sénégalais de retour du Hajj à la Mecque cette année ont débarqué avec le coronavirus dans leurs bagages. Plusieurs parmi eux sont testés positifs à la maladie. Les autorités sénégalaises maintiennent le dispositif sanitaire de surveillance à l’aéroport international Blaise Diagnedepuis que des pèlerins […]
ACTUALITE SOCIETEDes pèlerins sénégalais de retour du Hajj à la Mecque cette année ont débarqué avec le coronavirus dans leurs bagages. Plusieurs parmi eux sont testés positifs à la maladie.
Les autorités sénégalaises maintiennent le dispositif sanitaire de surveillance à l’aéroport international Blaise Diagne
depuis que des pèlerins de retour du pèlerinage à la Mecque ont été testés positifs au Covid19. Le Pr Souleymane Mboup, directeur exécutif de l’Institut de Recherche en Santé, de Surveillance Épidémiologique et de Formations (IRESSEF), a fait le bilan provisoire. Il confie que sur 1 000 pèlerins contrôlés, près du quart, soit environ 250 individus ont été positifs.
Il ressort des résultats des analyses que plus de 25 variants ont été détectées dont certaines qui sont nouvelles voire jamais détectées sur le continent africain et au niveau des bases de données internationales. Toutefois, le Pr Mboup soutient qu’à ce stade, on ne peut pas dire qu’il y a déjà une propagation de la Covid-19 au Sénégal.
A l’en croire, le ministre de la Santé lui avait demandé de mettre en place un dispositif à l’aéroport pour pouvoir au moins faire les tests et savoir de quoi il s’agissait. Selon Pr Mboup, dès les premières heures de l’alerte, les autorités sanitaires ont très vite pris les devants. On ne savait pas de quoi souffraient ces pèlerins mais il s’est rendu compte qu’avec les premiers tests, plus de 60% d’entre eux souffraient d’une infection de COVID-19.
Cette année, 12 860 Sénégalais ont pris part au Hajj 2024 à la Mecque en Arabie Saoudite. La forte chaleur, qui y a sévi lors des rites, a malheureusement coûté la vie à cinq (05) de ces pèlerins sénégalais que le gouvernement a demandé d’enterrer dans la ville sainte.
Ce pèlerinage qui a pris fin sur une note tragique avec plus 1 300 décès, selon les autorités saoudiennes, a endeuillé beaucoup de pays, notamment des Africains. Les fidèles sénégalais ont commencé à rentrer au pays depuis la semaine dernière. Mais la vague de retour constitue une autre équation à résoudre pour les autorités du pays.
Les conflits entre belles-sœurs se retrouvent souvent devant les tribunaux, plus précisément au tribunal d’instance de Mbour. Il arrive fréquemment que la partie civile se désiste à la dernière minute pour limiter les conséquences. Entre Khady N. et la sœur de son mari, Ndèye D., […]
ACTUALITE faits-divertsLes conflits entre belles-sœurs se retrouvent souvent devant les tribunaux, plus précisément au tribunal d’instance de Mbour. Il arrive fréquemment que la partie civile se désiste à la dernière minute pour limiter les conséquences. Entre Khady N. et la sœur de son mari, Ndèye D., le courant ne passe plus. Une banale histoire de poupée a ravivé la haine entre ces deux femmes, qui ont fini par en venir aux mains.
Beaucoup plus forte, la prévenue a pris le dessus sur sa belle-sœur, laissant Khady N. avec une tête ensanglantée. Khady N. a porté plainte, mais ses parents et ceux de la partie civile l’ont convaincue de se désister. Cependant, nourrissant toujours une rancœur contre la sœur de son mari, elle a lâché cette phrase qui a indigné le tribunal : « Quand j’ai porté plainte contre elle, ses parents m’ont dit qu’ils ont gagné la bataille et que je n’aurai pas gain de cause parce qu’ils connaissent les autorités ».
Le président du tribunal a réagi fermement : « Je ne comprends pas cette perception que certains ont de la justice, ce discrédit dont elle est l’objet. Madame, vous devez savoir que nous jugeons dans l’impartialité totale, sur la base des faits du dossier qui nous est présenté, de l’enquête et des débats d’audience ».
Le procureur a également exprimé son indignation : « Ce discrédit sur la justice n’est pas juste. Vous devez avoir du respect envers la justice de votre pays. Nous ne défendons la cause de personne. Vous n’avez pas à écouter ceux qui s’arrogent le pouvoir qu’ils n’ont pas de nous influencer. C’est faux ! ».
Le corps sans vie d’un conducteur de moto Jakarta a été retrouvé mercredi dernier dans la brousse, entre la commune de Waoundé et le village de Diovoysi, situés dans l’arrondissement d’Orkadiéré, département de Kanel. La victime, âgée de 29 ans et répondant au nom de […]
ACTUALITE SOCIETELe corps sans vie d’un conducteur de moto Jakarta a été retrouvé mercredi dernier dans la brousse, entre la commune de Waoundé et le village de Diovoysi, situés dans l’arrondissement d’Orkadiéré, département de Kanel.
La victime, âgée de 29 ans et répondant au nom de M. Ségua, aurait été agressée aux environs de 15 heures, selon un proche de la famille.
Aussitôt informé de la triste nouvelle, son père, S. Bédou, a alerté la Brigade de Gendarmerie de Waoundé. Les gendarmes, accompagnés du médecin-chef, se sont rendus sur les lieux et ont retrouvé le corps sans vie du jeune homme, domicilié à Waoundé, laissant derrière lui deux épouses et trois enfants. Après les constats d’usage, la dépouille a été déposée à la morgue pour autopsie. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du décès.
Trois soldats sénégalais devraient comparaître devant le Tribunal militaire ce vendredi. Selon les informations rapportées par le journal Le Témoin, il s’agit de l’adjudant I. Sagna, du sergent-chef P. Badji et du soldat de première classe S. Coly. Accusés d’avoir « divulgué des informations sensibles […]
À La Une SOCIETETrois soldats sénégalais devraient comparaître devant le Tribunal militaire ce vendredi. Selon les informations rapportées par le journal Le Témoin, il s’agit de l’adjudant I. Sagna, du sergent-chef P. Badji et du soldat de première classe S. Coly.
Accusés d’avoir « divulgué des informations sensibles et stratégiques aux chefs combattants du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC), les deux sous-officiers et le soldat seraient inculpés par le Doyen des juges d’instruction pour « complicité d’atteinte à la sûreté de l’État, atteinte à la défense nationale, mise en danger de la vie d’autrui et complot contre l’autorité de l’État », précise la source. Le journal souligne que ces faits graves auraient eu lieu lors d’une opération de sécurisation dans le sud du pays : avec l’appui des accusés, les rebelles auraient réussi à « intercepter des conversations et autres numéros téléphoniques révélant la position des militaires » en opération en Casamance.
Selon les premiers éléments de l’enquête, poursuit le quotidien, « le sergent-chef P. Badji souhaitait faire tomber sa section composée d’une trentaine d’hommes dans une embuscade », en leur « indiquant un itinéraire différent de celui qui mène vers le village de Djibidione » où, d’après l’accusation, « des éléments du MFDC étaient prépositionnés ». Il serait reproché aux deux autres soldats des faits similaires.
Trois soldats sénégalais devraient comparaître devant le Tribunal militaire ce vendredi. Selon les informations rapportées par le journal Le Témoin, il s’agit de l’adjudant I. Sagna, du sergent-chef P. Badji et du soldat de première classe S. Coly. Accusés d’avoir « divulgué des informations sensibles […]
À La Une SOCIETETrois soldats sénégalais devraient comparaître devant le Tribunal militaire ce vendredi. Selon les informations rapportées par le journal Le Témoin, il s’agit de l’adjudant I. Sagna, du sergent-chef P. Badji et du soldat de première classe S. Coly.
Accusés d’avoir « divulgué des informations sensibles et stratégiques aux chefs combattants du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC), les deux sous-officiers et le soldat seraient inculpés par le Doyen des juges d’instruction pour « complicité d’atteinte à la sûreté de l’État, atteinte à la défense nationale, mise en danger de la vie d’autrui et complot contre l’autorité de l’État », précise la source. Le journal souligne que ces faits graves auraient eu lieu lors d’une opération de sécurisation dans le sud du pays : avec l’appui des accusés, les rebelles auraient réussi à « intercepter des conversations et autres numéros téléphoniques révélant la position des militaires » en opération en Casamance.
Selon les premiers éléments de l’enquête, poursuit le quotidien, « le sergent-chef P. Badji souhaitait faire tomber sa section composée d’une trentaine d’hommes dans une embuscade », en leur « indiquant un itinéraire différent de celui qui mène vers le village de Djibidione » où, d’après l’accusation, « des éléments du MFDC étaient prépositionnés ». Il serait reproché aux deux autres soldats des faits similaires.
Malgré les explications de la Coalition Yewwi Askan Wi, par la voix du député Ayib Daffé, sur l’ « impossibilité » pour Sonko de tenir sa Dgp, ils ont été nombreux à faire part de leur désaccord. Moundiaye Cissé a ainsi donné son avis sur la question. […]
ACTUALITE POLITIQUEMalgré les explications de la Coalition Yewwi Askan Wi, par la voix du député Ayib Daffé, sur l’ « impossibilité » pour Sonko de tenir sa Dgp, ils ont été nombreux à faire part de leur désaccord.
Moundiaye Cissé a ainsi donné son avis sur la question. Le Président de l’Ong 3D, repris par e-média, rappelle que la Déclaration de politique générale (Dpg) est une exigence constitutionnelle.
Pour lui, « si le Règlement intérieur de l’Assemblée nationale bloque ce processus, il devient impératif de le réviser ! Même s’il faut rappeler que c’est avec les mêmes textes et les mêmes députés que le Pm (Amadou Ba) a fait sa Dpg ».
Vendredi dernier, vers 23 heures, A. Diallo avait rendez-vous avec la mort. L’homme domicilié à Pikine Rue 10 emprunte l’Autoroute Malick Sy. Arrivé au niveau de la bretelle de la Patte d’Oie, à quelques dizaines de mètres de l’école Mariama Niass, il est interpellé par […]
ACTUALITE SOCIETEVendredi dernier, vers 23 heures, A. Diallo avait rendez-vous avec la mort. L’homme domicilié à Pikine Rue 10 emprunte l’Autoroute Malick Sy. Arrivé au niveau de la bretelle de la Patte d’Oie, à quelques dizaines de mètres de l’école Mariama Niass, il est interpellé par un individu d’une trentaine d’années environ.
Ce dernier, qui sera identifié plus tard comme portant le même nom de famille (Diallo) que lui et dont le prénom commence aussi par A, l’accoste et, sans perdre du temps, tente de le détrousser. La victime résiste et pousse son bourreau à dégainer un couteau de cuisine qu’il lui plante à plusieurs reprises. L’un des coups éventre le promeneur, qui s’écroule et commence à se vider de son sang.
A. Diallo, l’agresseur, se penche sur le pauvre et lui vide les poches avant de tourner les talons. Quelques mètres plus loin, il revient sur ses pas et achève sa victime, qui agonisait, d’un coup qui lui ouvre le thorax.
Le crime accompli, le meurtrier s’engouffre dans la pénombre, vers Grand-Yoff. La dépouille du Pikinois sera récupérée par les sapeurs-pompiers et déposée à l’Hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff pour autopsie. Alertés, les éléments du commissariat des Parcelles Assainies se déploient sur les lieux du crime, font les constatations d’usage et ouvrent une enquête.
Pour plus d’efficacité dans la traque du tueur, les hommes du commissaire Kébé s’associent avec ceux de son collègue de Grand-Yoff, commissaire Kaïré, et la police technique et scientifique. Les éléments des brigades de recherches des deux commissariats effectuent une opération de sécurisation dans leurs zones de compétence qui portera ses fruits : plusieurs individus suspects sont arrêtés. A. Diallo est l’un d’entre eux.
Ce dernier sera démasqué par les caméras de surveillance déployées autour de la bretelle de l’Autoroute située au niveau de la Patte d’Oie. «Les images montrent clairement l’agresseur commettant son crime crapuleux. Mieux, il portait encore les mêmes habits», raconte L’Observateur, qui détaille cette affaire dans son édition de ce vendredi 28 juin.
Pire pour le meurtrier présumé, signale le journal, les policiers l’ont arrêté alors qu’il détenait l’arme du crime, maculé de sang, celui de la victime d’après les analyses scientifiques de la police.
A. Diallo a été placé en garde à vue puis présenté au procureur de la République, renseigne la même source.
Les jeunes chauffeurs I. Ndiaye et T. Sall tous deux agés de 31 ans, ont été attraits ce 26 juin, devant la barre du tribunal correctionnel pour usage de chanvre indien. Conducteurs de bus, les prévenus ont comparu libres parce que bénéficiant d’une liberté provisoire. […]
ACTUALITE justiceLes jeunes chauffeurs I. Ndiaye et T. Sall tous deux agés de 31 ans, ont été attraits ce 26 juin, devant la barre du tribunal correctionnel pour usage de chanvre indien. Conducteurs de bus, les prévenus ont comparu libres parce que bénéficiant d’une liberté provisoire. Les deux chauffeurs ont été interpellés à Yoff à la suite d’une descente des gendarmes dans les parages. Ils avaient bénéficié d’un mandat de dépôt le 24 juin passé. Devant le juge, ils ont tous deux reconnu les faits qui leur sont reprochés.
« Nous fumions du chanvre indien », a confié devant la barre I. Ndiaye conforté par son co-accusé T. Sall.
« Vous conduisez quoi comme véhicule ? », leur a demandé le juge.
« Je conduis un bus de 25 places », a indiqué le sieur Sall.
« Idem », a ajouté I. Ndiaye.
« Vous transportez des passagers et vous vous permettez de fumer du chanvre indien. Vous jouez avec votre lucidité et vous voulez qu’on vous laisse partir comme ça. Si par malheur un accident se produisait on va chercher le problème ailleurs alors que c’est le manque de lucidité de votre part. Arrêtez de fumer du chanvre indien », leur a recommandé la présidente du tribunal.
« Nous fumions après notre descente du travail c’était vers 19 heures », ont ajouté les mis en cause.
Rendant son verdict, le tribunal a reconnu les deux jeunes chauffeurs I. Ndiaye et T. Sall coupables des faits d’usage de chanvre indien. Ils ont écopé tous les deux de 3 mois d’emprisonnement assorti de sursis.
Louis François Mendy, champion d’Afrique aux 110m haies à Douala, au Cameroun, a exprimé une profonde frustration envers la Fédération sénégalaise d’athlétisme et le ministère des Sports. Malgré son titre prestigieux, il dénonce fermement les primes dérisoires qui lui ont été attribuées : seulement 50 […]
ACTUALITE SPORTSLouis François Mendy, champion d’Afrique aux 110m haies à Douala, au Cameroun, a exprimé une profonde frustration envers la Fédération sénégalaise d’athlétisme et le ministère des Sports. Malgré son titre prestigieux, il dénonce fermement les primes dérisoires qui lui ont été attribuées : seulement 50 000 FCFA du ministère des Sports et 30 000 FCFA supplémentaires de la part de la Fédération.
À travers une déclaration sur Instagram, Mendy critique vertement cette situation, soulignant que même les footballeurs comme Sadio Mané ou Gana ne se contenteraient jamais d’une telle somme.
« C’est malheureux d’être Champion d’Afrique au Sénégal. Être Champion d’Afrique au Sénégal ce n’est que de nom. Être Champion d’Afrique pour gagner une prime de 50 000 FCFA de la part du ministère des Sports, et une autre somme de 30 000 FCFA rajoutée à cette dernière par le président de la fédération. Mieux vaut aller jouer au football, car Sadio Mané ou Gana n’aurait jamais accepté cette somme. Je vous remets votre prime. Fier d’être Champion d’Afrique. Il est temps que cela cesse », a dénoncé Louis François Mendy sur son compte Instagram au lendemain de son sacre aux Championnats d’Afrique à l’épreuve des 110m haies.
Il exprime son désir que les athlètes sénégalais soient respectés et rétribués à leur juste valeur, pointant du doigt le manque de soutien financier adéquat ainsi que les conditions difficiles de préparation pour les Jeux Olympiques à venir.
« Je ne fais pas de comparaison avec les footballeurs. Je parle au nom de tous ces athlètes sénégalais qui ne sont pas respectés à leur juste valeur. Qu’on sache rétribuer les efforts et sacrifices des sportifs qui portent haut les couleurs du Sénégal. Les tickets de restauration, les frais médicaux, tout cela, ils ne gèrent rien… J’avais juste cela à dire. Ce n’est pas normal qu’on nous donne une somme de 80 000 FCFA. J’ai vu les félicitations du président de la République, j’en suis fier, mais il faut qu’il entende ça. Je ne peux pas attendre 23 millions du ministère pour qu’on vienne me remettre 80 mille FCFA », a renchéri Louis F. Mendy sur Wiwsport, hier, mercredi.
Il conclut en appelant à une prise de conscience et à un changement radical dans la manière dont les athlètes sont soutenus et récompensés dans leur pays.