Ceux qui espéraient assister à un face-à-face public entre Ousmane Sonko et Amadou Bâ pour un débat sur la marche du pays, devront probablement repasser. Si l’on en croit le nouveau président du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (Cnra), Mamadou Oumar Ndiaye, ce duel […]
ACTUALITE POLITIQUEBougane Gueye Dany, leader du mouvement politique « Gueum Sa Bopp », traverse actuellement une situation de détention préoccupante à la prison de Tambacounda. Selon un membre de son cabinet qui l’a récemment visité, il est incarcéré dans une cellule surpeuplée, hébergeant 48 personnes, ce […]
ACTUALITE POLITIQUEUn accident tragique s’est produit hier soir à Ndoukoura, près de Mékhé, lorsqu’un train circulant dans le sens Mékhé-Tivaouane a mortellement percuté une femme. Selon les informations rapportées par nos confrères de Thiès24, l’incident a eu lieu dans des circonstances particulièrement horribles. Des témoins présents […]
ACTUALITE SOCIETESix personnes ont déposé en même temps une plainte contre le directeur des Moyens généraux de la Présidence (MGP), Cheikh Oumar Diagne. Il s’agit de Serigne Modou Bara Doly, Serigne Modou Bousso Dieng, Mouhamadou Fadilou Fall, Modou Lamine Diallo, Amadou Gaye et Cheikhna Cheikh Keïta […]
À La Une justiceSix personnes ont déposé en même temps une plainte contre le directeur des Moyens généraux de la Présidence (MGP), Cheikh Oumar Diagne. Il s’agit de Serigne Modou Bara Doly, Serigne Modou Bousso Dieng, Mouhamadou Fadilou Fall, Modou Lamine Diallo, Amadou Gaye et Cheikhna Cheikh Keïta («commissaire Keïta»). Les plaignants ont saisi le parquet en ce sens, ce mercredi 4 septembre, par l’intermédiaire de leur avocat, Me Abdou Dialy Kane.
«Le sieur Cheikh Oumar Diagne a pris l’habitude de parcourir les plateaux de télévision pour tenir des propos particulièrement outrageants à l’endroit de diverses communautés religieuses», pointent-ils dans la plainte reprise par Libération dans son édition de ce jeudi 5.
«Commissaire Keïta» et Cie reprochent au ministre-conseiller d’avoir soutenu «que la Grande mosquée de Touba et celle de Dakar recèlent des signes ou des symboles maçonniques». De plus, dénoncent les plaignants, Cheikh Oumar Diagne a affirmé que «le Grand Magal de Touba [constitue] un vaste cadre de blanchiment d’argent».
«Toutes ces déclarations prises séparément comme dans leur ensemble, signale Me Abdou Dialy Kane pour le compte de ses clients, constituent des allégations purement diffamatoires en ce qu’elles sont factuellement fausses, mais aussi relèvent d’une volonté farouche de porter atteinte à l’honneur et à la considération des différentes communautés religieuses du pays auxquelles appartiennent les plaignants, dont la communauté mouride.»
Cheikh Oumar Diagne est visé par cette plainte alors que ses propos lugubres sur le Roi du Maroc, Mohamed VI, et son défunt père, Hassan II, suscitent l’indignation.
La multinationale française, spécialisée dans la grande distribution, est dans le collimateur de l’administration fiscale. Selon Libération , le Fisc a redressé Auchan Retail Sénégal, la filiale de la multinationale française connue dans la grande distribution. Si pour le moment le montant du redressement n’est […]
ACTUALITE écomonieLa multinationale française, spécialisée dans la grande distribution, est dans le collimateur de l’administration fiscale. Selon Libération , le Fisc a redressé Auchan Retail Sénégal, la filiale de la multinationale française connue dans la grande distribution. Si pour le moment le montant du redressement n’est pas encore connu, note le confrère, il demeure qu’Auchan le conteste et pour cause. La multinationale, comme Woodside, a fait une opposition devant le tribunal.
Avant de se prononcer dans le fond, la 2ème Chambre civile du tribunal de grande instance hors classe de Dakar a désigné Saliou Dièye du cabinet Fiddex Sda à faire le point entre les parties. Un courrier, apprend-on, dans ce sens lui a été adressé par l’administrateur des greffes le 31 juillet dernier.
Le Premier ministre Ousmane Sonko s’est prononcé, ce mercredi, sur la motion de censure annoncée par le groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar (BBY) pour faire tomber son gouvernement. « Je peux vous rassurer qu’il n’y a pas de motion de censure, parce que d’ici le […]
À La Une POLITIQUELe Premier ministre Ousmane Sonko s’est prononcé, ce mercredi, sur la motion de censure annoncée par le groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar (BBY) pour faire tomber son gouvernement.
« Je peux vous rassurer qu’il n’y a pas de motion de censure, parce que d’ici le 12 [septembre], ces gens-là auront autre chose à faire que d’être députés à l’Assemblée nationale », a-t-il dit dans une rencontre tenue à la primature.
Il ressort de ses propos que le président Bassirou Diomaye Faye va dissoudre cette législature.
Pape Matar Sarr a fait preuve d’humour en réponse aux railleries suscitées par ses propos tenus au début de sa carrière. Sur TikTok, son expression « j’ai que mon quartier tuwoi » est devenue virale. Un challenge a été lancé pour se moquer de l’international sénégalais. Pour […]
ACTUALITE SPORTSPape Matar Sarr a fait preuve d’humour en réponse aux railleries suscitées par ses propos tenus au début de sa carrière.
Sur TikTok, son expression « j’ai que mon quartier tuwoi » est devenue virale. Un challenge a été lancé pour se moquer de l’international sénégalais.
Pour répliquer, Pape Matar Sarr a imprimé cette citation sur un tee-shirt, assumant avec humour les moqueries.
N. D. Ndoye, 32 ans, risque dix ans de réclusion criminelle. C’est la peine requise par le Procureur. Le professeur de Maths, poursuivi pour attouchements sexuels, viols, pédophilie et détournement de mineures, sera fixé sur son sort le 10 septembre prochain, date du délibéré. L’affaire […]
ACTUALITE SOCIETEN. D. Ndoye, 32 ans, risque dix ans de réclusion criminelle. C’est la peine requise par le Procureur. Le professeur de Maths, poursuivi pour attouchements sexuels, viols, pédophilie et détournement de mineures, sera fixé sur son sort le 10 septembre prochain, date du délibéré.
L’affaire remonte à décembre 2019. « La mère de A. Ndiaye [une des victimes présumées] sollicite le professeur pour des cours de renforcement dans les matières scientifiques pour sa fille », rembobine le journal. La même source rapporte que l’élève âgée de 16 ans accuse son professeur d’avoir « profité des heures de cours pour abuser d’elle ». «J’ai commencé à me confier à lui. Un jour, je lui ai confié que je vivais mal la séparation de mes parents. Mon père m’avait abandonnée à l’âge de 2 ans et j’avais besoin d’une figure paternelle. Il m’a promis de jouer ce rôle, tout en veillant sur moi. C’est ainsi qu’il a commencé à avoir de l’emprise sur moi. Il a commencé à me faire des attouchements. Je ne disais rien, parce que je croyais que c’était normal », déclare l’accusatrice.
Elle appuie : «Au début, c’était juste des firts. Il frottait son sexe contre le mien sans me pénétrer. Mais au fur du temps, il a fini par me pénétrer. » O. Ndiaye a tenu à préciser « qu’il ne l’a jamais forcée». « Il me donnait des ordres et j’exécutais», a-t-elle dit.
Quid de l’autre élève ? A ce propos, O. Ndiaye soutient que « le professeur organisait des séances de partouze avec elle et sa meilleure amie, O. W. Ndiaye ». « Ce cauchemar a duré une année », enfonce l’accusation. Des déclarations corroborées, selon L’Observateur, par la seconde plaignante même si celle-ci a brillé par son absence à l’audience.
« J’ai porté plainte pour le mettre hors d’état de nuire. J’en suis sure qu’il comptabilise une dizaines de victimes», martèle O. Ndiaye, bien présente.
En face, Ndoye conteste les faits, affirmant que « son ex-petite amie a monté cette histoire de toutes pièces pour se venger [car] elle ne supporte pas qu’il soit marié à une autre fille ». «J’entretenais une relation amoureuse avec A. Ndiaye. Je lui avais même fait une proposition de mariage, mais elle m’avait dit qu’elle n’était pas prête. Sur ce, on s’est séparés, et j’ai épousé une autre. Six mois après mon mariage, elle m’accuse de viol», s’est-il défendu. La défense plaide l’acquittement pure et simple.
B. Diaw, ancien portier de l’équipe fanion de Saint-Louis, «La Linguère», est dans de beaux draps. L’Observateur rapporte qu’il a été arrêté pour vol de bétail, en compagnie du nommé P. M. Camara. La même source révèle que les faits se sont produits au village […]
ACTUALITE SOCIETEB. Diaw, ancien portier de l’équipe fanion de Saint-Louis, «La Linguère», est dans de beaux draps. L’Observateur rapporte qu’il a été arrêté pour vol de bétail, en compagnie du nommé P. M. Camara. La même source révèle que les faits se sont produits au village de Diougoupe Peulh. Où Diaw et Camara, après avoir capturé des chèvres, 14, au total, les ont aussitôt embarquées dans leur véhicule 4×4.
Malheureusement pour eux, signale le quotidien d’information, des habitants étaient aux aguets. Pris sur le fait, les mis en cause ont tenté de décamper, fonçant sur la foule. Sans succès. « P. M. Camara, qui était au volant, abandonne le véhicule et saute dans le vide. Il sera interpellé par les jeunes du village aux mains de qui, il va passer un sale quart d’heure. Poursuivant la chasse à l’homme, les jeunes vont appréhender le second larron », relate le journal du Groupe futurs médias (GFM). C’est ainsi qu’ils ont été lynchés par la foule en furie avant d’être conduits à la Brigade de gendarmerie de Diama.
L’enquête est loin d’être bouclée. D’autres membres de la bande, notamment des receleurs, sont activement recherchés, glisse L’Observateur.
Absent lors de la plénière convoquée lundi pour l’examen du projet de loi n°11/2024 portant révision de la Constitution en perspective de la suppression du Haut conseil des collectivités territoriales (HCCT) et du Conseil conseil économique, social et environnemental (CESE), le maire de Dakar, Barthélemy […]
ACTUALITE POLITIQUEAbsent lors de la plénière convoquée lundi pour l’examen du projet de loi n°11/2024 portant révision de la Constitution en perspective de la suppression du Haut conseil des collectivités territoriales (HCCT) et du Conseil conseil économique, social et environnemental (CESE), le maire de Dakar, Barthélemy Dias, a voté par procuration.
Le journal Les Échos affirme que le collaborateur de Khalifa Sall a voté en faveur du texte du Président Bassirou Diomaye Faye, tout comme les autres députés de Taxawu Sénégal. La source croit savoir que le député-maire, malgré les bisbilles avec Pastef, le parti au pouvoir, a « toujours estimé que ces institutions [HCCT et CESE] étaient budgétivores et ne servaient à rien ». Il a donc suivi sa logique.
Au final, le texte a été rejeté par les 83 députés de Benno contre 80 voix pour.
Le ministre de la Justice, Ousmane Diagne, a annoncé, lundi, à l’Assemblée nationale, l’ouverture d’une enquête approfondie concernant le scandale présumé à l’Office National de l’Assainissement du Sénégal ( ONAS ). Le ministre de la Justice, qui défendait le projet de loi portant révision de la […]
À La Une POLITIQUELe ministre de la Justice, Ousmane Diagne, a annoncé, lundi, à l’Assemblée nationale, l’ouverture d’une enquête approfondie concernant le scandale présumé à l’Office National de l’Assainissement du Sénégal ( ONAS ).
Le ministre de la Justice, qui défendait le projet de loi portant révision de la Constitution, avait annoncé une enquête pour clarifier le scandale à l’Onas. Le Garde des Sceaux est passé à l’acte.
Selon les informations de Libération, le parquet de Dakar, qui s’est adossé à la plainte du député non inscrit Thierno Alassane Sall, a saisi la Section de Recherches (SR) de la gendarmerie nationale.
Dans son soit-transmis, le procureur a demandé aux gendarmes une enquête exhaustive sur l’ensemble des faits allégués par les différentes parties.
Thierno Alassane Sall avait, dans son document, rappelé des décision de l’ARMP (actuelle ARCOP) et de la Cour suprême, cassant l’attribution de marchés aux sociétés DELTA et VICAS en 2019 et 2020, alors que l’ONAS était dirigée par Lansana Gagny SAKHO, actuel PCA de l’APIX.
La République des Valeurs parle d’une “Mafia au coeur du système de l’assainissement au Sénégal” et demande au procureur de la République auprès de qui elle a déposé une plainte de se saisir de ce dossier.
Le 3 septembre 2024, la Présidence de la République du Sénégal a diffusé un communiqué détaillant sa position suite au rejet par l’Assemblée nationale du projet de loi N°11/2024, qui visait à supprimer le Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT) et le Conseil économique, social […]
ACTUALITE POLITIQUELe 3 septembre 2024, la Présidence de la République du Sénégal a diffusé un communiqué détaillant sa position suite au rejet par l’Assemblée nationale du projet de loi N°11/2024, qui visait à supprimer le Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT) et le Conseil économique, social et environnemental (CESE). Ce projet, porté par le Président S.E.M. Bassirou Diomaye Diakhar Faye, s’inscrivait dans un large programme de réorganisation de l’État et de rationalisation des dépenses publiques.
Le communiqué rappelle que « lors de l’élection présidentielle du 24 mars 2024, des engagements fermes, validés souverainement par le peuple, ont été pris par le Président de la République, S.E.M. Bassirou Diomaye Diakhar Faye ». Ces engagements ont donné naissance à un « Pacte social de gouvernance publique adossé à une réorganisation institutionnelle des organes de l’État », visant une gestion plus efficace des ressources publiques. La suppression du HCCt et du CESE devait compléter la la dissolution déjà effective de la Commission Nationale du Dialogue des Territoires ( CNDT ).
Cependant, le rejet de ce projet de loi par les députés révèle, selon la Présidence, « la rupture profonde entre les députés de la majorité et les aspirations populaires qui se sont massivement exprimées lors de l’élection présidentielle du 24 mars 2024 ». Cette décision parlementaire est perçue comme un décalage entre les élus et les attentes des citoyens.
Malgré ce rejet, le Président de la République « prend acte de la décision des députés de la majorité » et reste résolu à poursuivre ses réformes. Le communiqué souligne l’importance de « l’expression des positions politiques plurielles, essentielle au jeu démocratique et à l’équilibre des pouvoirs », réaffirmant ainsi l’engagement du Président à maintenir un débat politique ouvert et diversifié.
Voici l’intégralité du communiqué émis par la Présidence de la République du Sénégal :
REPUBLIQUE DU SENEGAL
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE
COMMUNIQUÉ
Lors de l’élection présidentielle du 24 mars 2024, des engagements fermes, validés souverainement par le peuple, ont été pris par le Président de la République, S.E.M. Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Il en ressort un Pacte social de gouvernance publique adossé à une réorganisation institutionnelle des organes de l’État, qui engage nécessairement une rationalisation systématique des charges de celui-ci.
La suppression, déjà effective, de la Commission Nationale du Dialogue des Territoires (CNDT), ainsi que celle du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT) et du Conseil économique, social et environnemental (CESE), soumise à l’appréciation de l’Assemblée nationale à travers le projet de loi N°11/2024, portant révision de la Constitution, s’ajoutent aux différentes directives présidentielles sur la rationalisation des dépenses publiques, que le gouvernement entend mettre en œuvre dans le cadre de la doctrine de transformation de la gouvernance publique inscrite dans le PROJET.
Le rejet du projet de loi portant révision de la Constitution, visant la dissolution du HCCT et du CESE, renseigne à suffisance, s’il en est besoin, sur la rupture profonde entre les députés de la majorité et les aspirations populaires qui se sont massivement exprimées lors de l’élection présidentielle du 24 mars 2024.
Le Président de la République prend acte de la décision des députés de la majorité et réaffirme son engagement à œuvrer pour l’expression des positions politiques plurielles, essentielle au jeu démocratique et à l’équilibre des pouvoirs.
#Jubbanti
Présidence de la République, le 3 septembre 2024
Le Ministre-conseiller, porte-parole de la Présidence
Ousseynou LY
En plus de la psychose des assassinats, les habitants de HLM Montagne ont vu leur vie agitée par un accident mortel dont un des leurs a été victime. Il s’agit d’un enfant mortellement fauché par un L200 qui transportait plusieurs personnes. Le drame a eu lieu vers […]
ACTUALITE SOCIETEEn plus de la psychose des assassinats, les habitants de HLM Montagne ont vu leur vie agitée par un accident mortel dont un des leurs a été victime.
Il s’agit d’un enfant mortellement fauché par un L200 qui transportait plusieurs personnes. Le drame a eu lieu vers 7h du matin près de l’avenue Bourguiba à côté de la Senelec.
Il a fallu que l’enfant échappe, quelques secondes à la vigilance de sa mère, alors qu’ils traversaient la route pour l’irréparable se produise.
Le conducteur du véhicule ne pouvait plus retenir ses larmes, après l’accident mortel. Le chauffeur du pock-up a été arrêté par la Police.