Ousmane Sonko peut désormais compter sur son « frère » Déthié Fall pour les législatives anticipées du 17 novembre. Le leader du parti républicain pour le progrès (Prp) a annoncé son soutien au leader du parti Pastef – Les Patriotes, ce mercredi, face à la presse. « A […]
À La Une POLITIQUEAlioune Badara Mbacké, médecin accusé de coups et blessures volontaires sur son épouse Dieynaba Sangharé Ndiaye, devrait comparaître aujourd’hui mercredi devant le Tribunal de Matam, selon L’Obs. Cette comparution fait suite à une plainte déposée par son épouse, après des violences ayant entraîné une incapacité […]
ACTUALITE SOCIETEA Mermoz, une bande d’agresseur a été percutée par un automobiliste près de l’Auchan, en face de l’ambassade du Maroc. Selon les témoignages, les agresseurs ont attaqué une femme et un homme pour s’emparer de ses biens. Ils ont été heurtés par par un automobiliste, […]
ACTUALITE SOCIETEFatoumata Barry, alias Rangou, sera jugée en correctionnelle le 5 décembre prochain dans l’affaire de la « Yendu Party » organisée le 27 mai 2020 à l’hôtel Ngor Timis. La jet-setteuse et ancienne animatrice de la Sen TV, poursuivie pour association de malfaiteurs, prostitution, proxénétisme, diffusion d’images […]
ACTUALITE justiceFatoumata Barry, alias Rangou, sera jugée en correctionnelle le 5 décembre prochain dans l’affaire de la « Yendu Party » organisée le 27 mai 2020 à l’hôtel Ngor Timis.
La jet-setteuse et ancienne animatrice de la Sen TV, poursuivie pour association de malfaiteurs, prostitution, proxénétisme, diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs, défaut de carnet sanitaire et violation de la loi sur l’état d’urgence, ainsi que d’autres filles et neuf garçons, ont été placés sous mandat de dépôt le 5 juin, avant d’obtenir une liberté provisoire le 1er décembre 2020.
L’équipe du Sénégal affronte le Burkina Faso ce vendredi au stade Abdoulaye Wade de Diamniadio à 19h00 GMT, pour le compte de la première journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2025. Les « Lions » visent une victoire pour s’emparer des […]
ACTUALITE SPORTSL’équipe du Sénégal affronte le Burkina Faso ce vendredi au stade Abdoulaye Wade de Diamniadio à 19h00 GMT, pour le compte de la première journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2025. Les « Lions » visent une victoire pour s’emparer des trois points et occuper la tête du groupe L.
Le retour de Sadio Mané dans l’attaque pourrait apporter un plus à l’équipe. Aliou Cissé et ses hommes doivent impérativement gagner ce match pour dépasser le Burundi, qui a provisoirement pris la tête du groupe L après sa victoire 3-2 contre le Malawi jeudi.
Même si le défi s’annonce de taille, le sélectionneur Aliou Cissé dispose des ressources nécessaires pour venir à bout des Burkinabè.
Les consommateurs ne sont pas au bout de leur peine. « D’ici un mois, il y aura encore une crise du pain », prévient le président de la Fédération nationale des boulangers du Sénégal (FNBS). Repris par Le Quotidien, Amadou Gaye s’exprimait lors de la […]
ACTUALITE écomonieLes consommateurs ne sont pas au bout de leur peine. « D’ici un mois, il y aura encore une crise du pain », prévient le président de la Fédération nationale des boulangers du Sénégal (FNBS). Repris par Le Quotidien, Amadou Gaye s’exprimait lors de la Semaine du pain tenue sous le thème : « Changeons nos habitudes alimentaires pour une souveraineté alimentaire ».
« Les boulangers sont fatigués et les boulangeries sont en train de fermer », a-t-il lancé, indexant les autorités du nouveau régime. Gaye martèle : « Nous avons la pression fiscale, le prix du pain [150 F CFA] n’est pas bon, et l’État n’a pas respecté ses engagements par rapport au décret 22/77 et nos appuis en électricité. »
Le boulanger plaide pour une nouvelle politique agricole visant à « réduire les importations de blé, en favorisant les farines locales ». Il explique : « La souveraineté alimentaire ne doit plus être un slogan, mais une réalité. Nous avons travaillé avec le Bos, nous avons sorti un programme qu’on appelle Import-substitution. […]. Le consommateur aime toujours la baguette française. Aujourd’hui, on veut réduire les importations en les remplaçant par le mil et le maïs. Pour cela, il faudrait une nouvelle politique agricole qui va permettre que le rendement en céréales qui est fait puisse se développer, afin de réduire les prix. »
Le boulanger de conclure : « C’est pour dire à l’État qu’au moment où il est en train de faire 0% de taxe sur la farine de blé, il est en train de taxer les farines locales. Nous voulons que cela s’arrête».
Le Président Bassirou Diomaye Faye va s’adresser au peuple sénégalais dès son retour de Chine, informe la Rts repris par Enquête. Aucune précision n’est faite dans le texte lu à la Télévision nationale, souligne le journal. La même source croit toutefois savoir que le chef […]
À La Une POLITIQUELe Président Bassirou Diomaye Faye va s’adresser au peuple sénégalais dès son retour de Chine, informe la Rts repris par Enquête.
Aucune précision n’est faite dans le texte lu à la Télévision nationale, souligne le journal. La même source croit toutefois savoir que le chef de l’État sénégalais n’occultera pas l’actualité phare liée à la crise parlementaire.
On a frôlé le pire à Ngor plage où une opération de démantèlement d’une influente mafia de drogue dure a viré au drame… Des affidés d’une mafia de drogue se sont attaqués aux policiers en civil de l’Ocrtis qui venaient d’interpeller deux cerveaux locaux de […]
ACTUALITE SOCIETEOn a frôlé le pire à Ngor plage où une opération de démantèlement d’une influente mafia de drogue dure a viré au drame…
Des affidés d’une mafia de drogue se sont attaqués aux policiers en civil de l’Ocrtis qui venaient d’interpeller deux cerveaux locaux de ce trafic. L’exfiltration des caïds a donné suite à des violences inouïes.
D’après le récit de L’OBS, Samedi 31 août 2024, en fin de matinée, des éléments de la division opérationnelle de l’Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis) débarquent à Ngor plage, précisément à l’hôtel «Madrague».
Dans ce réceptif, les hommes du commissaire Niane, tout nouvel homme fort de l’Ocrtis, ont pour mission d’épier un influent caïd de la mafia de drogue dure opérant à Ngor et environs.
Les agents infiltrés qui surveillaient les moindres mouvements d’un des dealers depuis plusieurs semaines, étaient parvenus à l’épier en train de fournir discrètement ses stock de crack, d’héroïne et d’ecstasy, sur la plage de Ngor et sur la corniche ouest.
Ce jour, le dispositif policier dirigé par le chef de la Division opérationnelle de l’Ocrtis, s’est blotti dans des coins discrets dudit hôtel où travaille la cible. Et comme par enchantement, l’hôtel venait ce jour de se séparer de A A. K. pour cumul de comportements aux antipodes des règles de conduite du réceptif.
Âgé de 52 ans, A. A. K. récupère ses baluchons et se dirige vers son véhicule stationné au parking de l’hôtel où l’attendait son vieil ami et acolyte. Voyant que A. A. K. et son compagnon s’apprêtaient à vider les lieux, les policiers en civil interviennent et cernent son véhicule.
Déterminés à extirper A. A. Kane et S. B. encore aux mains des policiers, les dealers vont s’opposer par tous les moyens à l’embarquement des caïds. Face à la menace de plus en plus expressive des assaillants, le chef du dispositif policier dégaine son pistolet et effectue deux tirs de sommation.
Au lieu de prendre la clé des champs, les dealers ripostent en s’attaquant physiquement aux policiers qui, pour éviter un carnage, choisissent de contenir les assaillants sans ouvrir le feu. Au cours de l’assaut, un des agents va perdre son arme de service muni d’une cartouche déjà engagée.
Le pistolet est ramassé par K. Ngor qui le brandit. C’est sur ces entrefaites qu’une balle tirée dudit pistolet atteint au mollet gauche, un policier qui prêtait main forte à un collègue.
La Bip appelée en renfort
Alors que le dispositif policier s’attelait à contenir la furie des assaillants, tout en tenant en sécurité les deux interpellés, une autre foule de jeunes débarquent sur les lieux pour prêter main forte à K. N. et sa bande.
Face à cette nouvelle donne complexe, les policiers de l’Ocrtis font face à un choix cornélien : tirer sur les assaillants, tout en sécurisant les deux «colis» et faire un retrait stratégique sans effusion. Sur le feu de l’action, leslim iers de l’Ocrtis ont fait le choix d’un retrait stratégique avec les deux interpellés acheminés dans les locaux de l’hôtel.
Dans la foulée, les sapeurs-pompiers en faction aux abords de la plage de Ngor procèdent à l’évacuation de l’agent blessé à l’hôpital Principal. Pour rétablir au plus vite l’ordre public, le dispositif de police a sollicité un renfort de la Brigade d’intervention polyvalente (Bip) et du Groupement rapide d’intervention (Gri).
La descente expresse de ces unités d’élite de la police permit de maîtriser la situation, avec à la clé, l’interpellation de quatre (4) assaillants, dont K. N.. Sur instruction du Procureur, Kh. Ngor et sa bande sont mis à la disposition de la Gendarmerie, pour «complicité de trafic de drogues, entrave à une mission de police, incitation à la violence contre des agents de police et confiscation de l’arme de service d’un fonctionnaire de police dans l’exercice de ses missions.»
Accusée du vol de bijoux en or d’une valeur de 16 millions FCfa, au préjudice de sa patronne, la domestique Mame Diarra a été jugée hier, au tribunal d’instance de Dakar. Elle risque 6 mois de prison. La plaignante A. Cissé accuse sa domestique d’avoir dérobé ses […]
ACTUALITE SOCIETEAccusée du vol de bijoux en or d’une valeur de 16 millions FCfa, au préjudice de sa patronne, la domestique Mame Diarra a été jugée hier, au tribunal d’instance de Dakar. Elle risque 6 mois de prison.
La plaignante A. Cissé accuse sa domestique d’avoir dérobé ses bijoux en or d’une valeur de 16 millions de FCFA. Une accusation réfutée par la prévenue. Les débats d’audience ont permis de situer les faits courant juillet dernier. A l’époque, la commerçante Awa Cissé choisit d’employer la domestique Mame Diarra.
Une collaboration rendue possible, grâce à l’agent recruteur et de placement de domestiques, Abdou Rahim Baldé. Le trio convient d’une rémunération mensuelle de 75 000 FCfa. Seulement, au bout d’une semaine de travail, Mame Senghor contacte l’agent de placement pour se plaindre de la lourde charge de travail et manifeste son désir d’arrêter.
Abdou Rahim lui conseille alors de servir un alibi à sa patronne et qu’il se chargera, à son tour, de lui trouver une autre domestique. La dame simule alors des nausées et autres maux de ventre, tout en cherchant à attirer l’attention de sa patronne. Interpellée par celle-ci, la domestique sert qu’elle traîne un début de grossesse et qu’elle souhaite arrêter le boulot. Une requête acceptée par la patronne.
Seulement à la veille de la cessation de travail de sa domestique, la commerçante Awa Cissé va, à sa descente du travail, vérifier ses bijoux en or. C’est ainsi qu’elle constate la disparition des deux bijoux en or d’une valeur de 16 millions FCfa qu’elle avait ramenés d’Arabie saoudite.
Elle saisit les gendarmes de la brigade de la Foire. Une enquête est ouverte et l’exploitation du téléphone de la domestique a permis aux gendarmes de relever que la mise en cause s’était absentée plusieurs fois dans l’après-midi du mardi 23 et mercredi 24 juillet pour se rendre au quartier Tally-Boumack, à l’insu de sa patronne.
Les enquêteurs ont aussi su qu’elle discutait avec deux individus. Le premier avait assuré lui avoir trouvé un travail en Côte-d’Ivoire, alors que sa discussion avec le second, un certain Cheikh Dollar, a porté sur une histoire de «IPhone 15». Arrêtée et mise devant le fait accompli, la domestique perd les pédales.
A la barre du tribunal hier, la prévenue Mame Senghor a réfuté les accusations. A l’en croire, elle n’a fait que 3 fois le ménage de la chambre de sa patronne et que c’était en présence de celle-ci. Elle reconnaît s’être rendue à Tally Boumack, «pour rencontrer le menuisier qui lui confectionne des meubles.»
L’avocat de la partie civile a réclamé 20 millions de FCFA. A sa suite, rapporte L’OBS, le parquet a requis 6 mois ferme. Les avocats de la défense, estimant que l’accusation ne repose que sur de simples suppositions, ont plaidé la relaxe pure et simple à titre principal et la relaxe au bénéfice du doute subsidiairement.
Le verdict sera connu le 19 septembre prochaine.
Le détenu René Capain Bassène a été évacué hier mercredi 04 septembre, aux environs de 10 heures, aux services des urgences du centre hospitalier de Ziguinchor (sud) suite à la grève de faim qu’il avait entamé depuis une semaine. Condamné en première instance à la […]
ACTUALITE SOCIETELe détenu René Capain Bassène a été évacué hier mercredi 04 septembre, aux environs de 10 heures, aux services des urgences du centre hospitalier de Ziguinchor (sud) suite à la grève de faim qu’il avait entamé depuis une semaine. Condamné en première instance à la réclusion criminelle puis confirmée en appel, le détenu dans l’affaire Boffa-Bayotte, a refusé de s’alimenter. Son état de santé s’est détérioré. Selon Amadou Tom Mbodj, président de l’ Organisation nationale d’assistance juridique et judiciaire (Ona2J), « les risques de complications graves, telles qu’une déshydratation sévère et des dommages aux organes vitaux, sont considérablement accrus »
Selon le journal Libération, cette évacuation indique une détérioration significative de son état de santé, nécessitant une innervation médicale urgente
Amadou Tom Mbodj qui a informé que les autorités médicales surveillent attentivement ses signes vitaux, lance un appel à l’endroit des autorités. » Nous espérons une intervention rapide pour éviter des conséquences plus graves ».
Par ailleurs, les organisations des défenses de droit de l’homme et sa famille sont interpellées par M.Mbodj pour » dissuader René Capain Bassène de ne pas continuer sa diète et l’encourager à adopter d’autres formes de résistances plus sécuritaires ».
Virés par le chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye, les présidents du CESE et du HCCT, Aminata Mbengue Ndiaye et Abdoulaye Daouda Diallo (ADD) n’ont pas encore reçu le décret de limogeage. Où est le décret limogeant Aminata Mbengue Ndiaye et Abdoulaye Daouda Diallo (ADD). Selon Abdou […]
ACTUALITE POLITIQUEVirés par le chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye, les présidents du CESE et du HCCT, Aminata Mbengue Ndiaye et Abdoulaye Daouda Diallo (ADD) n’ont pas encore reçu le décret de limogeage.
Où est le décret limogeant Aminata Mbengue Ndiaye et Abdoulaye Daouda Diallo (ADD). Selon Abdou Mbow, ni le président du CESE ni la présidente du HCCT ont reçu les décrets mettant fin à leurs fonctions respectives.
Seul le communiqué du ministre secrétaire général de la Présidence, Oumar Samba Bâ, a été partagée. Et dans le communiqué, il n’est aucunement mentionné un numéro de décret…
Rebondissement dans l’affaire Maman Aicha Ndong. Son amie A. Gueye, initialement suspectée, a été libérée par décision du procureur de la République. Malgré des soupçons sérieux, suite à deux interrogatoires approfondis et des témoignages compromettants recueillis par les enquêteurs, la jeune fille de 16 ans, […]
ACTUALITE SOCIETERebondissement dans l’affaire Maman Aicha Ndong. Son amie A. Gueye, initialement suspectée, a été libérée par décision du procureur de la République.
Malgré des soupçons sérieux, suite à deux interrogatoires approfondis et des témoignages compromettants recueillis par les enquêteurs, la jeune fille de 16 ans, amie de Maman Aicha, a été relâchée. Placée en garde en vue en raison de preuves pouvant la compromettre, son implication avait suscité de nombreuses spéculations.
Cependant, après un examen minutieux des preuves et des déclarations, le procureur a jugé que les charges retenues contre elle ne suffisaient pas à justifier une poursuite judiciaire.
Sa libération représente un tournant dans l’affaire, bien que de nombreuses questions demeurent sans réponse. Les enquêteurs poursuivent leur investigation pour élucider les zones d’ombre restantes.
La cause de la mort de Maman Aicha Ndong reste inconnue, l’autopsie ayant conclu à un décès inexpliqué. La famille, qui a récupéré le corps pour l’inhumation, attend toujours que justice soit rendue et que les circonstances de ce drame soient pleinement clarifiées.
Tout a commencé avec la disparition de Maman Aïcha Ndong alors qu’elle revenait de la boutique en compagnie de sa copine, pour aboutir à la découverte de son corps sans vie dans un canal…
Le dossier du PRODAC (Programme des domaines agricoles communautaires), opposant Ousmane Sonko à l’ancien ministre du Tourisme, Mame Mbaye Niang, sera bientôt rouvert. Ousmane Sonko qui animait, dimanche 10 juin 2024, une conférence politique de la Jeunesse patriotique a fait une grosse révélation sur le […]
ACTUALITE justiceLe dossier du PRODAC (Programme des domaines agricoles communautaires), opposant Ousmane Sonko à l’ancien ministre du Tourisme, Mame Mbaye Niang, sera bientôt rouvert.
Ousmane Sonko qui animait, dimanche 10 juin 2024, une conférence politique de la Jeunesse patriotique a fait une grosse révélation sur le dossier Prodac. Un dossier pour lequel il a été condamné à six mois de prison avec sursis pour diffamation. Une peine qui l’a rendu inéligible à la Présidentielle 2024.
Il avait confié que le rapport qui l’avait valu une condamnation pour diffamation au préjudice de Mame Mbaye Niang, existe bel et bien. « Le rapport est sur ma table. Je vais le mettre à la disposition de la justice. La justice a toujours nié son existence », informait le leader de Pastef.
Libération révèle que le rapport de l’Inspection générale des finances (IGF) sur le Prodac a été transmis à la Division des investigations criminelles (DIC) qui a ouvert une enquête. Et l’ex-ministre de la Jeunesse a du souci à se faire.
« À cause de ce dossier, on m’a empêché d’être candidat à la Présidentielle. Ce dossier a causé des morts et des blessés. J’ai été agressé, ma voiture saccagée, mon convoi gazé quand je devais répondre à la convocation de la justice», se souvenait Sonko.