Ce lundi 28 octobre 2024, le journal Les Echos rapporte une violente attaque contre le convoi d’Abass Fall, acteur politique influent, à Mermoz – Sacré-Cœur. Cet incident aurait entraîné des blessures parmi les militants d’Abass Fall, ainsi que des agressions physiques et des dégradations de véhicules. Face […]
À La Une POLITIQUEQuelques jours seulement après l’arrestation du leader du mouvement Geum sa bopp, Bougane Guèye Dany la coalition Samm sa Kaddu a saisi les Nations Unies pour exiger la libération de leur allié. Selon Barthélémy Dias et Cie, cette arrestation est « une grave atteinte aux libertés individuelles et […]
ACTUALITE POLITIQUEPrison de Tambacounda : Bougane Guèye Dani refuse de s’alimenter par méfiance Depuis le 19 octobre, Bougane Guèye Dani, président du mouvement Geum Sa Bopp et candidat aux élections législatives du 17 novembre prochain, est incarcéré pour « refus d’obtempérer, rébellion et outrage à agent […]
ACTUALITE POLITIQUEUn SDF Sénégalais de 70 ans a été retrouvé mort carbonisé suite à un incendie qui s’est déclaré dans un appartement à Trezzo sull’Ada, dans la région de Milan. Tragédie à Trezzo sull’Adda samedi matin. Un Sénégalais âgé de 70 ans est décédé à la suite d’un […]
ACTUALITE SOCIETEUn SDF Sénégalais de 70 ans a été retrouvé mort carbonisé suite à un incendie qui s’est déclaré dans un appartement à Trezzo sull’Ada, dans la région de Milan.
Tragédie à Trezzo sull’Adda samedi matin. Un Sénégalais âgé de 70 ans est décédé à la suite d’un incendie qui s’est déclaré vers 6 heures du matin au 35 via Jacopo da Trezzo, en plein centre, dans un immeuble avec cour au premier étage.
Selon les premières informations, la victime est sans abri et l’appartement n’est pas occupé en permanence. Les flammes n’ont laissé aucune issue à l’homme, d’origine sénégalaise, qui occupait le logement.
Les carabiniers, arrivés sur place, ont plutôt tiré une femme des flammes, la sauvant, qui a ensuite été hospitalisée sous code jaune. Le corps de la victime a été retrouvé par les pompiers, arrivés avec 5 véhicules.
Pour permettre aux pompiers d’effectuer les opérations de secours et d’éteindre les flammes, une vingtaine d’habitants ont été évacués, dont une femme âgée alitée qui a été prise en charge par des soignants et conduite à l’hôpital. Outre la maison d’où sont parties les flammes, les pompiers ont déclaré 4 autres appartements inutilisables.
L’Autorité de régulation de la commande publique (Arcop) a pris une décision concernant un contentieux entre les sociétés AEE POWER SENEGAL et AEE POWER EPC. Cette dernière a résilié un contrat dans le cadre d’un projet avec l’Agence Sénégalaise d’Électrification Rurale (ASER) pour l’électrification rurale […]
À La Une écomonieL’Autorité de régulation de la commande publique (Arcop) a pris une décision concernant un contentieux entre les sociétés AEE POWER SENEGAL et AEE POWER EPC. Cette dernière a résilié un contrat dans le cadre d’un projet avec l’Agence Sénégalaise d’Électrification Rurale (ASER) pour l’électrification rurale au Sénégal.
La décision n° 095/2024/ARCOP/CRD/DEF du 4 septembre 2024 mentionne que AEE POWER SENEGAL dénonce un accord entre ASER et AEE POWER EPC, l’accusant de violer le contrat initial. Elle évoque des irrégularités, notamment l’émission de garanties sans paiement préalable par la compagnie d’assurance SONAC-SA et l’inéligibilité de AEE POWER EPC à une garantie souveraine d’État initialement accordée grâce à la participation d’AEE POWER SENEGAL.
L’Arcop invite ASER à fournir sa version des faits et les documents pertinents pour permettre au Comité de Règlement des Différends (CRD) de statuer. La décision sera notifiée aux parties concernées et publiée sur le portail des marchés publics.
AEE POWER SENEGAL, représentée par le cabinet d’avocats Boubacar Koïta & associés, a saisi le CRD pour dénoncer des violations contractuelles dans un marché public d’électrification dans plusieurs régions du Sénégal. Une controverse a émergé suite à la renégociation de ce contrat.
On en sait un peu plus sur le black out de ce jeudi. Senelec informe « qu’un incident survenu au poste de Hann a entraîné la perte du réseau interconnecté de l’OMVS et des perturbations sur la distribution de l’électricité » sans donner plus de […]
ACTUALITE SOCIETEOn en sait un peu plus sur le black out de ce jeudi. Senelec informe « qu’un incident survenu au poste de Hann a entraîné la perte du réseau interconnecté de l’OMVS et des perturbations sur la distribution de l’électricité » sans donner plus de précisions.
Les Échos, citant des membres de la Société nationale d’électricité, souffle que « c’est une géomètre qui est à l’origine de la coupure». Le journal, se référant toujours à ses informateurs, rapporte que « [cette dernière, membre de l’équipe devant faire des travaux de réfection à Hann, a commis une erreur de manipulation à l’origine du black out».
La même source précise que la géométrie, « blessée », a été évacuée à l’hôpital. Mais, rassure Les Échos, « ses jours ne sont pas en danger ».
Le préfet de Dakar, par l’intermédiaire de son adjoint, vient d’interdire la manifestation prévue par Serigne Modou Mbacké Bara Dolly et ses camarades après la prière de ce vendredi à la mosquée Massalikoul Jinane de Colobane informe Senenews. L’autorité prefectorale a justifié cette décision en […]
ACTUALITE SOCIETELe préfet de Dakar, par l’intermédiaire de son adjoint, vient d’interdire la manifestation prévue par Serigne Modou Mbacké Bara Dolly et ses camarades après la prière de ce vendredi à la mosquée Massalikoul Jinane de Colobane informe Senenews.
L’autorité prefectorale a justifié cette décision en invoquant des risques avérés de troubles à l’ordre public, ainsi que des perturbations à la libre circulation des personnes et des biens. Pour rappel, Modou Mbacké Bara Dolly et ses partisans avaient planifié cette marche pour protester contre les déclarations du ministre conseiller à l’égard des chefs religieux du Sénégal, notamment Serigne Touba et Mame El Hadj Malick Sy.
Après l’interdiction d’une précédente manifestation le 6 septembre, Modou Mbacké Bara Dolly avait affirmé qu’ils étaient prêts à sacrifier leurs vies pour organiser la marche prévue demain, même en cas de nouvelle interdiction.
Oulèye Diatta, une résidente de Thiocé Est et épouse du quartier, a survécu au tragique naufrage de la pirogue de fortune dirigée par le capitaine Cheikh Sall, qui a sombré au large de Mbour. Rescapée de cette catastrophe qui a coûté la vie à 39 […]
ACTUALITE SOCIETEOulèye Diatta, une résidente de Thiocé Est et épouse du quartier, a survécu au tragique naufrage de la pirogue de fortune dirigée par le capitaine Cheikh Sall, qui a sombré au large de Mbour. Rescapée de cette catastrophe qui a coûté la vie à 39 personnes, Oulèye, voisine du capitaine, est encore sous le choc. Gravement blessée, elle a partagé son témoignage poignant avec L’Observateur.
Toujours figée par l’horreur de l’événement, la jeune femme, encore pensive et désorientée, a relaté les terribles moments du naufrage, revisitant les scènes dramatiques de ce voyage périlleux qu’elle espérait accomplir pour atteindre l’Espagne.
«Je m’appelle Oulèye Diatta candidate à l’émigration clandestine à bord de la pirogue du capitaine Cheikh Sall qui a chaviré en pleine mer, dimanche passé, au large de Mbour, alors que nous étions en partance pour l’Espagne. L’organisateur de ce voyage est mon voisin de quartier, un homme très serviable, qui a toujours fait de son mieux pour aider les gens de son entourage à avoir de meilleures conditions de vie. Pour preuve,
« Le jour du voyage, j’ai embarqué avec mon mari »
« Il y a quelques semaines, quand j’ai entendu dans le quartier parler d’un projet de voyage initié par Cheikh Sall, je l’ai approché pour lui faire part de mon souhait de rallier l’Europe. Mais n’ayant pas d’argent pour payer la traversée, je lui ai promis, à l’image de bon nombre de candidats qui n’ont payé leur transport qu’une fois en Espagne, de lui rembourser son argent dès que je commencerais à travailler. Dans un premier temps, il m’a conseillé d’attendre le prochain voyage, puisqu’il ne voulait pas faire de surcharge de passagers. Ce n’est que plus tard qu’il m’a demandé de me préparer. Le jour du voyage, après avoir confié mon enfant à ma maman à Dakar, j’ai embarqué, avec mon mari, à bord de la pirogue. Contrairement à moi, lui qui avait déjà payé le billet de son transport, portait un gilet de sauvetage. »
« C’est au moment de récupérer le gilet que la tragédie est survenue »
« Après 5 km de traversée, Cheikh Sall, le dernier à rejoindre la grande embarcation en haute mer, a demandé à un des passagers de me donner un gilet. Et c’est au moment de récupérer le gilet que la tragédie est survenue. Quand il a pris place et mis le moteur de la pirogue en marche que des passagers de l’autre côté, juste en face de nous, ont paniqué et sont venus sur nous. Sans tarder, le capitaine est intervenu, demandant à tout le monde de rester tranquille à sa place initiale. Il n’avait pas terminé de parler que des passagers sur la même rangée que moi, se sont rués vers ceux d’en face. La pirogue commença alors à taguer. Malgré cette panique généralisée, Cheikh Sall s’est montré très serein, prononçant sans cesse le nom d’Allah. Soudain, la pirogue s’est renversée. »
« Alors que je me débattais sous l’eau, le capitaine m’a remis au dessus de la pirogue »
« Alors que je me débattais de toute ma force sous l’eau, je l’ai entendu à plusieurs reprises crier mon nom. C’est ainsi qu’il est parvenu à me saisir par la main pour me remettre au-dessus de la pirogue. Il a malheureusement voulu sauver beaucoup de gens, avant d’aller à la rencontre d’autres pirogues qui rejoignaient le quai de pêche de Mbour. Avant l’arrivée des secouristes, plusieurs candidats ont réussi à s’agripper à la pirogue. Mais les fortes vagues ont emporté la quasi-totalité des passagers. Finalement, je fus la seule femme restée sur la pirogue, en compagnie de deux pêcheurs qui me réconfortaient, m’enjoignant de ne jamais lâcher la corde qui me servait de point d’appui. »
« Je voyais des gens mourir sous mes yeux, bavant abondamment…»
« A ce moment, tout mon désir était de me laisser emporter par les vagues, tellement j’étais épuisée. Sous la force des vagues, la pirogue tournoyait à tel point que la corde à laquelle je m’accrochais a fini par céder. Je voyais des gens mourir sous mes yeux dans des conditions très douloureuses, bavant abondamment. Certains tendaient vainement la main, à la recherche d’hypothétiques secours. A un moment, j’aperçus mon mari au loin flottant sur l’eau, un de ses amis a nagé jusqu’à moi, me demandant de ne jamais abandonner au risque de mourir. Quelques instants après, je l’ai vu mourir. En voyant ses images ponctuées de cris de détresse des candidats, j’ai complètement perdu espoir. Je ne voyais que la mort devant moi. »
« J’ai vu de nombreux corps sans vie emportés par les vagues »
« A force de m’accrocher à la pirogue en mouvement, j’ai eu plusieurs blessures sur presque tout le corps. J’ai vu de nombreux corps sans vie emportés par les vagues, alors que peu avant, tout le monde nourrissait l’espoir de rallier l’Espagne. Même après le chavirement, au milieu des cris des passagers, le capitaine s’interrogeait sur les causes du drame. Ce n’est que plus tard que les sapeurs-pompiers sont venus nous assister. Après mes soins, j’ai regagné mon domicile conjugal. Vers 20 H, il est venu s’enquérir de ma situation avant de retourner chez lui. Même entouré de ma belle-famille et de mes proches, il m’est impossible de me départir des images du chavirement. Elles se bousculent sans cesse dans ma tête. La nuit, je reste sur mon lit, les yeux ouverts. J’ai frôlé la mort. »
Suite à la dissolution de l’Assemblée Nationale par le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, le leader de « Geum Sa Bopp » Bougane Guèye, n’ a pas manqué encore une fois de tirer sur le tandem Diomaye-Sonko. Sur sa page Facebook, il critique sévèrement le […]
ACTUALITE POLITIQUESuite à la dissolution de l’Assemblée Nationale par le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, le leader de « Geum Sa Bopp » Bougane Guèye, n’ a pas manqué encore une fois de tirer sur le tandem Diomaye-Sonko. Sur sa page Facebook, il critique sévèrement le duo Diomaye Sonko, dans un texte intitulé » de Vitrine démocratique à l’Etat renégat?
« Notre pays ouvre ce soir l’une des plus scabreuses pages de son histoire institutionnelle avec l’émergence de menteurs crédibles qui curieusement drainent des foules buvant avec une idiotie rationnelle leurs mensonges. Le premier est le second et le second méconnaît l’insulteur des confréries.
Jamais, dans la vie de cette nation, la folie aveugle d’un seul homme n’a autant pris le dessus sur la souveraineté de notre vaillant peuple.
A y regarder de près, le citoyen Ousmane Sonko, chef de Pastef, impose sa veulerie avec un mépris inédit de nos institutions y compris aujourd’hui la présidence de la République. Il ne se présentera donc pas à l’Assemblée nationale. Victoire d’un chef qui confirme que le populisme demeure le patriotisme des idiots.
Le moment présent m’inspire, comme proclamé par la Déclaration de 1789, “ Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément .
Face aux manœuvres et jublang du duo Diomaye -Sonko pour esquiver la DPG, face à un PR sans parole ni signature, le désespoir se mesure à l’aune de l’élan suicidaire des jeunes sans perspectives, à l’insécurité humaine et juridique, à l’anxiété de nos partenaires financiers, au désarroi du Secteur privé et à la volonté manifeste de museler la presse, etc..
Le temps de la résistance a sonné : face aux reniements et forfaitures, aux règlements de comptes sur mesure, nous n’avons d’autres alternatives que de nous dresser devant ces fossoyeurs de la République !
Pour le leader politique, « le Jub, Jubanti inconnu de notre glossaire institutionnel ne devrait en aucun cas remplacer notre BUT qui doit rester “la conservation des droits naturels et imprescriptibles” que sont “la liberté, la propriété, la sûreté et la RÉSISTANCE à l’OPPRESSION”.
Une mobilisation nationale s’impose pour faire respecter la Constitution et nos institutions face à ce multi récidiviste !
La date des élections législatives au dimanche 17 Novembre, j’appelle toutes les forces vives de notre nation à s’unir pour sauver le Sénégal ».
Les Sénégalais sont appelés aux urnes, le 17 novembre 2024, pour des élections législatives anticipées. Le choix de cette date suscite des interrogations sur le parrainage. L’élection anticipée du 17 novembre 2024 supprime-t-elle de facto le système de parrainage ? OUI. Car le parrainage et ses […]
ACTUALITE POLITIQUELes Sénégalais sont appelés aux urnes, le 17 novembre 2024, pour des élections législatives anticipées. Le choix de cette date suscite des interrogations sur le parrainage.
L’élection anticipée du 17 novembre 2024 supprime-t-elle de facto le système de parrainage ? OUI. Car le parrainage et ses contraintes n’ont pas été prévus en cas d’élection anticipée, ni par la Constitution ni par le Code électoral.
« Ce qui voudra dire, qu’en toute logique juridique, il ne doit pas y avoir de parrainage lors de ces élections législatives anticipées », analyse dans l’anonymat un juriste interrogé par L’OBS.
Poursuivant son argumentaire, le juriste et spécialiste des questions électorales soutient que dans ce cas de figure, les procédures qui dépassent les 90 jours prévus par la Constitution ne doivent pas, en principe, s’appliquer.
Il base son raisonnement sur la récente jurisprudence en France. «Cela a été le cas lors des dernières élections anticipées en France. Je pense que le Conseil constitutionnel sénégalais va, à peu près, suivre l’exemple du Conseil constitutionnel français dans ce sens», conclut-il.
Un avis partagé par Ndiaga Sylla. L’expert électoral juge la date du 17 novembre trop juste pour respecter le délai prévu par le Code électoral concernant le dépôt des listes qui est de 85 jours encore moins recueillir des parrainages.
«On ne peut plus faire le parrainage parce que les listes seront déposées dans moins de 65 jours. Le parrainage est un élément du dossier de candidature. La collecte est faite des mois avant le dépôt», dit-il.
Sur demande du chef de l’Etat Bassirou Diomaye Faye, les juges du Conseil constitutionnel ont tranché qu’il n’y aura pas de parrainages, renseigne Les Echos.
« J’ai toujours su qu’on allait dissoudre l’Assemblée nationale » , a déclaré Thierno Alassane Sall, ce jeudi 12 septembre sur la Rfm. L’ancien député précise n’avoir jamais pensé que le Président Bassirou Diomaye Faye allait se « dédire ». « Et j’ai été très surpris. Et on dirait qu’au Sénégal, […]
À La Une POLITIQUE« J’ai toujours su qu’on allait dissoudre l’Assemblée nationale » , a déclaré Thierno Alassane Sall, ce jeudi 12 septembre sur la Rfm.
L’ancien député précise n’avoir jamais pensé que le Président Bassirou Diomaye Faye allait se « dédire ». « Et j’ai été très surpris. Et on dirait qu’au Sénégal, on n’accorde plus d’importance aux promesses. Le président avait écrit à l’Assemblée nationale pour leur dire que la Déclaration de politique générale (DPG) allait se tenir le 13 » , a rappelé le président de la République des Valeurs (RV).
Qui poursuit : « Au niveau des ambassades étrangères, il y’en a qui discutent avec nous… Ils son préoccupés par la situation du pays, qu’on se dise la vérité. Et tout le monde était attentif à l’issue de cette crise. Mais lui (le chef de l’État), lorsqu’il écrivait à l’Assemblée, n’avait aucune intention à ce que la DPG se tienne. Ils ont fait du ‘ndioudji ndiadji’… Le Président Diomaye ne peut pas entamer son mandat avec des tromperies. Il a dévalorisé la parole sénégalaise ».
D’après Thierno Alassane Sall, le Président Diomaye aurait dû mettre l’accent sur le deuil national. « Il a même oublié de s’y prononcer dans son discours… La parole publique est morte, la parole d’un chef de l’État est morte, elle ne vaut plus rien, elle a été liquidée par le président de la République…» , a-t-il regretté.
L’annulation de son invitation a provoqué la colère de Pape Djibril Fall qui s’est fendu d’un post pour la dénoncer. Le président de la République va s’adresser à la Nation, ce jeudi à 20 h. À cet effet, l’émission « Champ contre champ » n’aura pas lieu […]
ACTUALITE POLITIQUEL’annulation de son invitation a provoqué la colère de Pape Djibril Fall qui s’est fendu d’un post pour la dénoncer.
Le président de la République va s’adresser à la Nation, ce jeudi à 20 h. À cet effet, l’émission « Champ contre champ » n’aura pas lieu après le journal télévisé de la RTS. À la suite de l’annulation de son invitation, Pape Djibril Fall a déversé sa bile sur la chaîne nationale.
« Mes chers compatriotes,
Sine die, la RTS vient d’annuler avec fracas l’émission prévue aujourd’hui après le journal de 20 h, pourtant à son initiative.L’heure est grave ; le pays anxiogène et le désespoir qui étreint nos concitoyens exige de la RTS une vraie pluralité et non de façade dans le traitement de l’information pour le bien de la population sénégalaise. Halte à la censure. #RTSnieupasiyem. »
Une rocambolesque histoire de poison versé dans un puits secoue le paisible village de Bourgou situé dans la commune de Ndoga-Babacar. Un individu a versé du poison intitulé «conquête» dans le puits du village pour tuer l’ensemble des habitants. Démasqué, le mis en cause a été arrêté et […]
ACTUALITE SOCIETEUne rocambolesque histoire de poison versé dans un puits secoue le paisible village de Bourgou situé dans la commune de Ndoga-Babacar.
Un individu a versé du poison intitulé «conquête» dans le puits du village pour tuer l’ensemble des habitants. Démasqué, le mis en cause a été arrêté et déféré au parquet local.
Les habitants de Bourgou, une localité située dans le département de Tamba, n’en reviennent toujours pas. Ceci, après avoir découvert qu’un individu du nom de Sory Camara a versé du poison dans le principal puits du village dans le but de leur ôter la vie.
Les faits ont eu lieu au village de Bourgou, une localité située dans la commune de Ndoga-Babacar (département de Tamba), sur la route nationale n°7. Selon des sources de l’Observateur, l’auteur de ce projet macabre a été identifié sous le nom de, Ibrahima Sory Camara. Piqué par on ne sait quelle mouche, Camara s’est rendu au principal puits du village muni d’un petit récipient contenant du poison intitulé «conquête».
Seulement, sa sale besogne n’a pas échappé à certains dans la foule qui se sont empressés de le dénoncer. C’est ainsi que les restes de ce poison ont été trouvés par devers lui. Avisé, l’ancien Président du conseil rural (Pcr), ainsi que des autorités de la zone sont venus constater les faits.